4214 shaares
« Si le ministère de la Culture ne cède pas au tout-répressif, il affirme […] "que ces formes dites 'inclusives' n'ayant pas de parallélisme strict avec l'oral conduisent à éloigner la langue écrite de la langue parlée, nuisent à la lisibilité des textes et complexifient l'écriture, en décalage avec la tendance à la simplification et à la clarté de la langue administrative engagée depuis de longues années". "Ces formes", poursuit la rue de Valois, "dans leur écriture et dans leur prononciation, sont peu accessibles à tous, alors même que la maîtrise d'une langue commune demeure un enjeu majeur de cohésion sociale". »
Le Gouvernement redit ainsi sa réticence à voir se répandre l'usage du point-médian. Mais en même temps, le président de la République et les ministres excluent régulièrement l'emploi du masculin générique, de même que les journalistes. Bref, l'écriture dite inclusive est bel et bien en train de se généraliser. Et tant pis pour la cohésion sociale qu'elle met effectivement à mal.
Le Gouvernement redit ainsi sa réticence à voir se répandre l'usage du point-médian. Mais en même temps, le président de la République et les ministres excluent régulièrement l'emploi du masculin générique, de même que les journalistes. Bref, l'écriture dite inclusive est bel et bien en train de se généraliser. Et tant pis pour la cohésion sociale qu'elle met effectivement à mal.