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Les États ne sont pas les seuls à mettre leurs créanciers à l'amende : « ce sont actuellement 470 milliards d'euros de dettes d'entreprises libellées en euros qui traitent à taux négatifs », rapportent Les Échos. Parmi les bénéficiaires de ce curieux phénomène, il y a Altice, Nokia ou encore Schneider Electrics.