4214 shaares
Extrait du communiqué diffusé le Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM), après le lancement d'une procédure judiciaire par Valeurs Actuelles.
« Comme chacun peut le lire sur son site, le CDJM estime que l'article est contraire aux règles déontologiques qui précisent que les journalistes doivent "respecter la dignité des personnes citées et/ou représentées". »
« Plus d'un mois après la publication de cet avis, la direction de Valeurs actuelles prend la responsabilité d'une procédure liberticide en assignant le CDJM en référé, au motif qu'il "porte atteinte à la présomption d'innocence" de son directeur de la publication. En tentant de semer la confusion entre ce qui relève de l'éthique journalistique et ce qui relève du droit pénal, Valeurs actuelles vise clairement à faire taire le CDJM dans un "procès bâillon". Il exige des dommages et intérêts, et tente d'interdire toute expression concernant le respect de la déontologie du journalisme dans ses publications. »
« Valeurs actuelles a obtenu le soutien de responsables de magazines regroupés au sein du Syndicat des éditeurs de presse magazine (SEPM) pour l'accompagner dans cette procédure liberticide. Paradoxalement, on trouve parmi ses membres des titres qui ont violemment condamné l'article sur la députée Danièle Obono. »
« L'audience aura lieu le 2 février. C'est un rendez-vous majeur pour la liberté d'expression et le droit de chaque citoyen à une information de qualité. »
« Comme chacun peut le lire sur son site, le CDJM estime que l'article est contraire aux règles déontologiques qui précisent que les journalistes doivent "respecter la dignité des personnes citées et/ou représentées". »
« Plus d'un mois après la publication de cet avis, la direction de Valeurs actuelles prend la responsabilité d'une procédure liberticide en assignant le CDJM en référé, au motif qu'il "porte atteinte à la présomption d'innocence" de son directeur de la publication. En tentant de semer la confusion entre ce qui relève de l'éthique journalistique et ce qui relève du droit pénal, Valeurs actuelles vise clairement à faire taire le CDJM dans un "procès bâillon". Il exige des dommages et intérêts, et tente d'interdire toute expression concernant le respect de la déontologie du journalisme dans ses publications. »
« Valeurs actuelles a obtenu le soutien de responsables de magazines regroupés au sein du Syndicat des éditeurs de presse magazine (SEPM) pour l'accompagner dans cette procédure liberticide. Paradoxalement, on trouve parmi ses membres des titres qui ont violemment condamné l'article sur la députée Danièle Obono. »
« L'audience aura lieu le 2 février. C'est un rendez-vous majeur pour la liberté d'expression et le droit de chaque citoyen à une information de qualité. »