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Selon cette analyse, Moscou n'aurait pas grand-chose à perdre s'il rendait à Tokyo les îles qu'il revendique. D'autant qu'en cas d'accord, la Russie pourrait bénéficier des investissements japonais qui lui faisaient défaut jusqu'à présent. Au risque de mécontenter Pékin, qui devrait alors compter avec un rival pour construire sa nouvelle route de la soie ? Pas forcément. Au contraire, cela pourrait même contribuer à rapprocher les deux puissances asiatiques. Affaire à suivre.