4214 shaares
« Les élèves de première année de l'IEP lyonnais ont découvert que leur sujet de partiel employait le pronom "iels" et l'écriture inclusive. »
« Selon Daphné, même Sciences Po Lyon utilise rarement ce pronom: "L'IEP emploie l'écriture inclusive, dans toute sa communication et dans une partie des sujets, mais personnellement, je n'avais encore jamais vu ce mot à Sciences Po Lyon", déclare l'étudiante. Avant de poursuivre : "Mais c'était un partiel de sociologie. Et les enseignants dans cette matière sont souvent les plus marqués par l'idéologie woke." »
« Si les étudiants interrogés affirment qu'ils ne sont pas obligés d'employer l'écriture inclusive, certains s'inquiètent des répercussions s'ils décident de ne pas l'utiliser. "On ne nous menace pas de nous enlever des points pour cela, mais dans la mesure où une grande majorité d'élèves tend à l'appliquer, le fait d'y renoncer vous désigne de facto comme un étudiant récalcitrant", indique Antoine, en troisième année à Sciences Po Lyon et militant à la Cocarde, syndicat étudiant proche de la droite souverainiste. Et d'ajouter: "Quand on voit à quel point certains d'entre eux sont militants, on peut se demander s'ils ne le prennent pas en compte dans leur notation." »
En tout cas, l'écriture dite inclusive se reflète non pas seulement dans le vocabulaire, mais aussi dans la grammaire elle-même, si bien qu'en raison de son émergence, des gens aux opinions différentes n'ont plus de langage commun ; c'est dramatique !
« Selon Daphné, même Sciences Po Lyon utilise rarement ce pronom: "L'IEP emploie l'écriture inclusive, dans toute sa communication et dans une partie des sujets, mais personnellement, je n'avais encore jamais vu ce mot à Sciences Po Lyon", déclare l'étudiante. Avant de poursuivre : "Mais c'était un partiel de sociologie. Et les enseignants dans cette matière sont souvent les plus marqués par l'idéologie woke." »
« Si les étudiants interrogés affirment qu'ils ne sont pas obligés d'employer l'écriture inclusive, certains s'inquiètent des répercussions s'ils décident de ne pas l'utiliser. "On ne nous menace pas de nous enlever des points pour cela, mais dans la mesure où une grande majorité d'élèves tend à l'appliquer, le fait d'y renoncer vous désigne de facto comme un étudiant récalcitrant", indique Antoine, en troisième année à Sciences Po Lyon et militant à la Cocarde, syndicat étudiant proche de la droite souverainiste. Et d'ajouter: "Quand on voit à quel point certains d'entre eux sont militants, on peut se demander s'ils ne le prennent pas en compte dans leur notation." »
En tout cas, l'écriture dite inclusive se reflète non pas seulement dans le vocabulaire, mais aussi dans la grammaire elle-même, si bien qu'en raison de son émergence, des gens aux opinions différentes n'ont plus de langage commun ; c'est dramatique !