4214 shaares
« Notre objectif, c'est changer le monde, en commençant par l'électroménager », proclame Kareen Maya Levy, cofondatrice de kippit. Vaste programme.
« À l'origine de kippit », explique-t-elle, « il y a […] une panne » ; « la panne de trop » : « juste à la fin de la garantie, le réparateur qui m'explique qu'il pourrait peut-être réparer mais que vu le temps qu'il devra y passer et le coût des pièces à changer, ça va coûter plus cher que d'acheter un produit neuf ».
« Avec mon associé », raconte-t-elle, « on réfléchit alors à une nouvelle approche de l'électroménager et on décide de créer kippit, la marque d'électroménager qui ne se change plus ». « Chez kippit », assure-t-elle, « tout doit être durable, de la conception à la relation avec les utilisateurs en passant par la production ».
Le résultat, selon elle ? Ce sont « des produits, éco-conçus, qui utilisent des technologies éprouvées et des matériaux recyclables et-ou recyclés ». De plus, annonce-t-elle, « les consommateurs deviennent acteurs en créant des programmes ou des accessoires, ou en réparant de manière autonome ».
« Les plans sont en open source », est-il précisé. Cela sera-t-il suffisant pour changer la donne ? On demande à voir.
« À l'origine de kippit », explique-t-elle, « il y a […] une panne » ; « la panne de trop » : « juste à la fin de la garantie, le réparateur qui m'explique qu'il pourrait peut-être réparer mais que vu le temps qu'il devra y passer et le coût des pièces à changer, ça va coûter plus cher que d'acheter un produit neuf ».
« Avec mon associé », raconte-t-elle, « on réfléchit alors à une nouvelle approche de l'électroménager et on décide de créer kippit, la marque d'électroménager qui ne se change plus ». « Chez kippit », assure-t-elle, « tout doit être durable, de la conception à la relation avec les utilisateurs en passant par la production ».
Le résultat, selon elle ? Ce sont « des produits, éco-conçus, qui utilisent des technologies éprouvées et des matériaux recyclables et-ou recyclés ». De plus, annonce-t-elle, « les consommateurs deviennent acteurs en créant des programmes ou des accessoires, ou en réparant de manière autonome ».
« Les plans sont en open source », est-il précisé. Cela sera-t-il suffisant pour changer la donne ? On demande à voir.