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Connaissez-vous la série des Battlefield Manga ? Au Japon, c'est « l'une des œuvres les plus célèbres et célébrées de Leiji Matsumoto », le créateur du capitaine Harlock, alias Albator.
D'accord avec Guillaume Nicoulaud, comme souvent. À un détail près : les conséquences de cette hystérie islamophobe n'ont absolument rien d'inattendues. Au contraire ! C'est la raison pour laquelle cette affaire nous met en colère.
À la faveur de la polémique, les ventes de burkinis sont en hausse. Ce n'est pas une surprise : la démagogie islamophobe contribue à réaliser les fantasmes dont elle prétend se défier.
Un point de vue libéral : « les burkinis n'auraient pas été un problème si la République avait pu garantir à ses citoyens le pouvoir de s'en moquer ».
Des chevaux en nombre, au point qu'il fallut en acheter outre-Atlantique ; des ânes et des mulets venus d'Algérie ; des pigeons réquisitionnés en France... Décidément, c'était une autre époque !
À la fin des années quatre-vingt, les constructeurs japonais s'accordèrent pour limiter la puissance de leurs voitures à 280 chevaux. Sur le papier, car en pratique une Nissan Skyline GTR ne manquait pas de les dépasser.
Lu sur Telos : « L'économie est holiste, pas dualiste, et la distinction trop abrupte entre exposé et abrité n'est pas opérationnelle. »
La Caisse nationale d'allocations familiales ne versera pas de subventions pour un séjour sur la foi musulmane. Qu'elle n'en verse plutôt aucune, cela lui éviterait des arbitrages impossibles !
Michaël Foessel se propose de « clarifier les principales significations charriées par le thème de la citoyenneté mondiale » – un concept ambivalent à l'égard du politique.
Quelques témoignages piubliés en mai dernier. Où l'on voit aussi que des enfants se réapproprient l'islam contre la volonté d'assimilation de leurs parents.
Loin de faire reculer le "communautarisme", la surenchère islamophobe à l'œuvre ces jours-ci l'attise aux dépens des libertés. Si la pudeur s'avère effectivement dévoyée, mieux vaut se saisir de la question avec légèreté !
Étonnante bienveillance à l'égard des laïcistes : « nous ne pouvons nous abstenir de faire grief à ceux des musulmans qui persistent à se singulariser de la sorte », écrit Aziz Benyahia dans Algérie Focus.
D'accord avec Samia Ghali : « De quel droit empêche-t-on les gens de se baigner comme ils veulent ? » On les en empêche par intolérance et calcul électoral. Peut-être aussi en vertu d'une législation réprimant les entraves à la mixité.
Le monde bouge. Littéralement. Cela donne le vertige, car même à l'échelle humaine, force est de constater que rien n'est jamais figé.
Les Échos brossent un portrait élogieux de Michel Hommel. Directeur de diverses revues, passionné d'automobile, il a contribué à redynamiser le village d'Ille-et-Vilaine où il s'est installé.
Soucieux de verrouiller les couverture médiatique des Jeux, le Comité international olympique (CIO) interdit notamment la création de GIF animés rendant compte des exploits sportifs.
Confrontés à l'afflux de migrants, les pays d'accueil devraient susciter l'édification de nouvelles cités, selon cette proposition iconoclaste. Le développement de Hong Kong sous protection britannique servirait de modèle.
Des travaux, un câble sectionné, et voilà, plus rien. Amateurisme consternant. Rassurez-nous : l'application SAIP, ce n'était que pour la communication, n'est-ce pas ?
Quelques chiffres rappelés par Guillaume Nicoulaud, accompagnés d'une mise en garde convenue mais néanmoins bienvenue.
Paradoxe : parmi les Français âgés de dix-huit à trente ans, « seulement 68% de ceux qui affirment avoir une religion croient en l'existence de Dieu ».