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Philippe Barthelet brosse dans Valeurs actuelles le portrait élogieux d'une figure de l'Action française, dont l'« antidogmatisme répugnera toujours aux simplifications de la propagande ».
Tandis que Lisbonne sollicite l'aide internationale, la perspective d'une restructuration des dettes demeure un tabou. Pour éviter la contagion, mais aussi pour répondre aux intérêts de Paris et Berlin, selon cette analyse diffusée par Telos.
Le bilan nuancé d'une mesure phare des années Jospin, remise à la mode par le PS à l'approche de la présidentielle.
La hausse des taux directeurs de la BCE suscite un large débat. Dans l'attente d'acquérir les compétences qui nous permettront de prendre parti, nous le suivrons avec intérêt.
Par rapport à leurs homologues irlandaises, bien qu'elles soient imposées à un taux supérieur, les entreprises françaises bénéficieraient d'une assiette suffisamment réduite pour compenser ce handicap...
« Contre la "mondialisation ultralibérale", le Front national n'a pas de vrais adversaire », observe Alain Madelin, qui fustige des discours convenus nourris de volontarisme. Son analyse fait écho à quelques fondamentaux royalistes.
Le rééquilibrage des revenus du capital et du travail « se heurte à un mur de complexité » ; notre confrère Jean-Francis Pécresse en donne un aperçu.
Fustigeant une opération « contraire à l'intérêt national », Camberra s'est opposé à la fusion des bourses de Singapour et d'Australie.
L'affaire Icesave se dénouera devant les tribunaux, promettent Amsterdam et Londres. Avec pour arbitre l'Autorité de surveillance de l'AELE.
Les Échos confondent l'espace Schengen avec l'Union européenne. Preuve que, si elle le voulait, L'Action Française 2000 pourrait parfois tenir la dragée haute à ses confrères les plus prestigieux !
La Bundesbank aurait joué les entremetteurs afin d'assurer la rémunération de l'Iran vendant son pétrole à l'Inde. Cela en dépit des sanctions décrétées par l'UE.
Ce faisant, le gouvernement italien prétend singer la France, directement visée.
Porté à 30 milliards d'euros à la fin 2010, l'encours de la dette des départements pourrait quasiment doubler d'ici à 2014 si l'on prolongeait les tendances actuelles.
La plupart des voyants sont dans le rouge, soulignent Les Échos. En cause : la hausse de la facture énergétique, mais aussi les importations de biens intermédiaires tels que les métaux ou la chimie.
Sans doute faut-il considérer ce reportage avec un regard critique. Cela étant, la dépêche proposée en lien pointe à juste titre les effets contreproductifs de l'activisme anti-IVG...
Marianne nous étonne en ouvrant ses colonnes à cette tribune appelant à « abolir le cours légal de l'euro » – autrement dit, la mainmise des banques centrales sur les affaires monétaires.
Le FMI pointe l'intervention persistante de l'État américain sur le marché immobilier, dont il amplifie l'instabilité. C'est dire combien se fourvoient ceux qui résument l'origine de la crise à la pratique d'un libéralisme effréné...
Fustigeant le concept de "démondialisation", Catoneo appelle la France à se mobiliser pour affronter la concurrence des pays émergents. En avant !
Qui ne veut aucun risque renonce au bénéfice, souligne Jean-Michel Bélouve. Fustigeant le "principe de précaution", il considère que ses agitateurs fuient leurs responsabilités.
Un nouveau décryptage du pacifisme allemand, qui souligne notamment le "revirement" d'Angela Merkel – laquelle avait regretté que Berlin ne s'engage pas en Irak en 2003.