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« Auchan se lance sur le Bon Coin. Pour ce faire, l'idée est que chaque magasin dispose d'une page de "vendeur professionnel" et l'alimente. Après un test sur une poignée d'hypers, une vingtaine d'Auchan sont aujourd'hui actifs. […] Pour l'essentiel, les produits concernés sont les fins de série, des modèles d'expo ou encore des produits légèrement endommagés, vendus avec une décote de moitié a calculé Auchan sur les mille premiers produits proposés. »
Cela à l'occasion des Jeux Olympiques de 2024. En invoquant même parfois des prétextes relativement futiles.
« Dans ce premier amendement, défendu par Philippe Tabarot (LR), il s'agit d'autoriser la captation du son par les caméras. […] Un autre amendement vise cette fois à mobiliser la vidéosurveillance pour "lutter efficacement contre la multiplication des infractions de prise en charge illégale de clients par des transporteurs publics particuliers, VTC ou taxis clandestins". Une situation qui "porte atteinte à l'image de la France auprès des voyageurs", lit-on dans l'exposé des motifs. Quant au dernier amendement du genre déposé par la droite, il souhaite ouvrir la possibilité "mettre en œuvre un traitement algorithmique destiné à identifier, sur la base de leurs caractéristiques biométriques, des personnes limitativement et préalablement énumérées faisant peser une menace grave et immédiate sur l'ordre public". […] Il s'agit de recourir "à des traitements de données biométriques en temps réel dans l'espace public". »
« Dans ce premier amendement, défendu par Philippe Tabarot (LR), il s'agit d'autoriser la captation du son par les caméras. […] Un autre amendement vise cette fois à mobiliser la vidéosurveillance pour "lutter efficacement contre la multiplication des infractions de prise en charge illégale de clients par des transporteurs publics particuliers, VTC ou taxis clandestins". Une situation qui "porte atteinte à l'image de la France auprès des voyageurs", lit-on dans l'exposé des motifs. Quant au dernier amendement du genre déposé par la droite, il souhaite ouvrir la possibilité "mettre en œuvre un traitement algorithmique destiné à identifier, sur la base de leurs caractéristiques biométriques, des personnes limitativement et préalablement énumérées faisant peser une menace grave et immédiate sur l'ordre public". […] Il s'agit de recourir "à des traitements de données biométriques en temps réel dans l'espace public". »
« Pour parler d'une seule et même, plusieurs acteurs ont décidé de se regrouper en créer "Coalition Rétrofit H2". Présentée comme une "initiative d'entreprises et d'organisations désireuses d'industrialiser le rétrofit à hydrogène pour le transport routier lourd", la jeune entité vise à rassembler l'ensemble des acteurs de la chaîne de valeur du domaine du transport : spécialistes du rétrofit mais aussi chargeurs, transporteurs, équipements, sociétés de financements, politiques et administration publique. En rassemblant une diversité d'acteurs aux métiers très complémentaires, la coalition souhaite favoriser l'émergence d'une filière rétrofit "industrielle" capable de convertir plusieurs dizaines de milliers de poids lourds chaque année. »
« Pour David Belliard, maire adjoint écolo à la "transformation de l'espace public et mobilités", la série qui fait de la capitale une sorte de bonbon sucré instagrammable ne fait pas que véhiculer une image "conservatrice" de la capitale, elle vit sur le "déni climatique". […] Vous l'aurez compris, le déclassement de la capitale n'est donc pas seulement le résultat de la négligence de sa mairie socialiste mais un projet idéologique qui promet de la redessiner pour en chasser les touristes qui ne sont pas encore totalement dégoûtés par l'intermittence des transports publics, la pénurie de chauffeurs de bus, les rats ou encore le saccage du mobilier urbain au nom de l'enchevêtrement de planifications locales. »
Un « plan anti-avortement » ? « Une initiative controversée du parti d’extrême droite Vox visant à empêcher les avortements dans la région espagnole de Castille-et-León » ? À la lecture du titre puis du chapeau cet article d'Euractiv, on s'imagine qu'il s'agit de restreindre sévèrement le droit à l'avortement. Ce qui s'avère trompeur, étant donné les précisions apportées par la suite : « Le "protocole du battement de cœur du fœtus" sera proposé aux femmes enceintes de six à neuf semaines, a expliqué M. Garcia Gallardo, dans le but de permettre aux parents de créer un lien émotionnel avec leur bébé. "Les médecins ne seront pas forcés de faire quoi que ce soit, les femmes enceintes ne seront pas forcées de faire quoi que ce soit", a déclaré M. Fernández Mañueco lundi. »
« Emily in Paris ne garde de la ville-lumière que ses monuments, sa romance, ses magasins, son architecture. Une ville préservée des idéologies politiques qui défigurent les Champs-Élysées ou la place du Trocadéro, où la porte de la Chapelle et Stalingrad n'existent pas et où l'on ne sait pas ce que sont des élections. Une ville où l'on ne garde que le confort de notre siècle et la beauté de ceux qui l'ont précédé. On ne sait trop s'il faut en vouloir à ladite série car après tout, le but premier de l'art est peut-être, avant d'être engagé, d'être beau, sans compter que nombre de téléspectateurs y cherchent une distraction, non une leçon. La série attire en tout cas les touristes : et si, au lieu d'être fidèle à la ville, elle l'inspirait ? »
« Rechercher par exemple "site officiel de X site pirate" ne donne aucun résultat pertinent. En revanche, cela fait remonter dans les recherches des sites non officiels (et aux intentions souvent bien plus malhonnêtes) empruntant le nom de ceux plus connus. »
« Comment pouvons-nous réduire ensemble les impacts environnementaux du numérique ? » Telle est la question lancée par Orange dans le cadre d'une consultation publique. Parmi les réponses recensées par Alexandre Boero pour Clubic (17 janvier 2023), certaines renvoient directement aux thématiques qui nous intéressent, dans le cadre de notre enquête sur l'obsolescence programmée.
« Il faut proposer aux employés de racheter les équipements (PC, écrans, etc.) et mobiliers (bureaux, chaises) plutôt que de les jeter », propose Évelyne (quarante-neuf ans). Cela se fait déjà ici ou là, et faciliter ce genre d'initiative semble effectivement souhaitable. Si les entreprises y trouvent leur compte, si des associations prennent les choses en main sans leur compliquer la vie par exemple, elles joueront certainement le jeu.
De son côté, Olivier (cinquante-cinq ans) veut « inciter […] les clients à conserver longtemps leurs mobiles », et même les « récompenser » à cet effet, regrettant manifestement qu'ils « renouvellent trop fréquemment » leurs smartphones. Mais suivant quelles modalités cela pourrait-il se faire ? Sans doute peut-on vérifier qu'un appareil a bien été conservé par un client. Cependant, comment s'assurer que vous n'en achetiez pas un autre par ailleurs, sinon au prix d'une surveillance très intrusive (surveillance de vos transactions bancaires, de vos communications, etc.) ? En outre, si les récompenses suggérées incitent les gens à conserver un appareil sans l'utiliser, alors qu'il aurait été donné ou revendu sans ça, on n'aura fait qu'aggraver les choses.
De son côté, Anouk (cinquante-trois ans) affirme qu'« il faut interdire les versions annuelles de nouveaux téléphones et passer à deux ans ». On se demande bien suivent quels critères les autorités pourraient identifier « les versions annuelles » de tel ou tel produit. Suivant leur nom souvent conservé d'une génération à l'autre, comme c'est le cas avec les I-Phone ? Il suffirait alors d'en changer… Les possibilités du marketing sont infinies !
Dernière proposition retenant notre attention : pour Daniel (vingt et un ans), « il faut que le remplacement de la batterie soit à prix accessible (5 % du prix du téléphone) pendant cinq ans ». En pratique, cela conduirait tout simplement à renchérir le prix des téléphones. Tout le monde en a-t-il conscience ?
« Il faut proposer aux employés de racheter les équipements (PC, écrans, etc.) et mobiliers (bureaux, chaises) plutôt que de les jeter », propose Évelyne (quarante-neuf ans). Cela se fait déjà ici ou là, et faciliter ce genre d'initiative semble effectivement souhaitable. Si les entreprises y trouvent leur compte, si des associations prennent les choses en main sans leur compliquer la vie par exemple, elles joueront certainement le jeu.
De son côté, Olivier (cinquante-cinq ans) veut « inciter […] les clients à conserver longtemps leurs mobiles », et même les « récompenser » à cet effet, regrettant manifestement qu'ils « renouvellent trop fréquemment » leurs smartphones. Mais suivant quelles modalités cela pourrait-il se faire ? Sans doute peut-on vérifier qu'un appareil a bien été conservé par un client. Cependant, comment s'assurer que vous n'en achetiez pas un autre par ailleurs, sinon au prix d'une surveillance très intrusive (surveillance de vos transactions bancaires, de vos communications, etc.) ? En outre, si les récompenses suggérées incitent les gens à conserver un appareil sans l'utiliser, alors qu'il aurait été donné ou revendu sans ça, on n'aura fait qu'aggraver les choses.
De son côté, Anouk (cinquante-trois ans) affirme qu'« il faut interdire les versions annuelles de nouveaux téléphones et passer à deux ans ». On se demande bien suivent quels critères les autorités pourraient identifier « les versions annuelles » de tel ou tel produit. Suivant leur nom souvent conservé d'une génération à l'autre, comme c'est le cas avec les I-Phone ? Il suffirait alors d'en changer… Les possibilités du marketing sont infinies !
Dernière proposition retenant notre attention : pour Daniel (vingt et un ans), « il faut que le remplacement de la batterie soit à prix accessible (5 % du prix du téléphone) pendant cinq ans ». En pratique, cela conduirait tout simplement à renchérir le prix des téléphones. Tout le monde en a-t-il conscience ?
« Fallait-il que nous trouvions une excuse pour éprouver ce service ? Toujours est-il que l'état de la batterie de l'I-Phone 12 d'un collègue nous en fournit une. Le "magasin de réparation en service interne" propose toutes les pièces nécessaires : la nouvelle batterie bien sûr, mais aussi une paire d'adhésifs pour recoller l'écran, et des vis de remplacement. Le tout coûte 77,11 euros, mais 26,26 euros peuvent être récupérés en renvoyant l'ancienne batterie. Les outils et accessoires nécessaires peuvent être achetés à l'unité, du couvercle de protection de l'écran à 0,56 euros jusqu'à l'"équipement de démontage à chaud" à 263,62 euros, en passant par le plateau de réparation à 51,60 euros. Plus simplement, le "kit d'outils" complet peut être loué pour 59,95 euros… et 1 200 euros de caution. »
« La taille du kit d'outils est inversement proportionnelle à celle du produit réparé : une petite mallette de 2 kg pour les Macbook Pro, une grosse mallette de 18 kg pour le Macbook Air, et deux énormes valises à roulettes frôlant 36 kg pour l'I-Phone. Le descellement très théâtral des malles donne l'impression d'ouvrir son propre centre de services à domicile, mais il faut encore ajouter quelques accessoires presque indispensables. Passe encore que les gants en nitrile ou les lingettes imbibées d'alcool ne soient pas fournis, il doit nous en rester quelques cartons après quatre ans de pandémie. Mais les gants thermorésistants ? Le tapis et le bracelet antistatique ? Le bocal de sable "propre, sec et non traité" à renverser en cas de problème avec la batterie ? Ces accessoires sont certainement moins courants, et il restait de la place dans les malles. »
« La taille du kit d'outils est inversement proportionnelle à celle du produit réparé : une petite mallette de 2 kg pour les Macbook Pro, une grosse mallette de 18 kg pour le Macbook Air, et deux énormes valises à roulettes frôlant 36 kg pour l'I-Phone. Le descellement très théâtral des malles donne l'impression d'ouvrir son propre centre de services à domicile, mais il faut encore ajouter quelques accessoires presque indispensables. Passe encore que les gants en nitrile ou les lingettes imbibées d'alcool ne soient pas fournis, il doit nous en rester quelques cartons après quatre ans de pandémie. Mais les gants thermorésistants ? Le tapis et le bracelet antistatique ? Le bocal de sable "propre, sec et non traité" à renverser en cas de problème avec la batterie ? Ces accessoires sont certainement moins courants, et il restait de la place dans les malles. »
On-Mag présente cinq modèles recommandés par Ecoustics : Thorens TD-125, VPI HW-19, Technics SL-1700, Yamaha YP-701 et Dual 701. « Cette sélection se cantonne à des modèles d'occasion dont les marques existent toujours en 2023 et dont les pièces détachées seraient a priori disponibles. »
« Le concept Toyota AE86 H2 hérite d'un bloc moteur de 1,6 l converti pour fonctionner à l'hydrogène. Outre la modification des injecteurs et des bougies d'allumage, le constructeur a intégré au niveau du coffre deux réservoirs de stockage issus de la Mirai. Sans donner d'indications précises quant aux caractéristiques et aux performances du concept, Toyota indique que son développement est issu de l'expérience acquise dans le milieu de la compétition où les prototypes Corolla et Yaris H2 sont actuellement mis à l'épreuve. »
« "L'hydrogène apparaît comme une proposition très attrayante" a souligné le dirigeant [de Tata Motors] lors d'une interview accordée à The Economic Times en marge de l'Auto Expo de Delhi. "Au sein de l'hydrogène, il existe deux technologies : l'une est la pile à combustible électrique et la seconde est le moteur à combustion interne à hydrogène. Dans l'état actuel des choses, il semble que le moteur à combustion interne à hydrogène puisse probablement voir le jour en termes de commercialisation plus rapidement que la pile à combustible" a-t-il estimé. Pour le dirigeant de Tata Motors, l'émergence du moteur à combustion hydrogène est favorisée […] par la possibilité de pouvoir utiliser un hydrogène à la pureté inférieure à celle exigée par les piles à combustible. »
De la part d'un quotidien de référence comme Le Monde, on n'attendait bien l'expression d'un minimum de dédain ! François Angelier revient sur l'Histoire de France de Jacques Bainville, à l'occasion d'une réédition chez Tempus.
« Quand on veut peser sur le destin de la France, autant en connaître l'histoire, celle de ses égarements avoués et de ses triomphes supposés. Si les maurrassiens attendirent en vain le "coup de force" qui allait rendre "le pays réel" à ses rois, ils eurent en revanche l'opportunité de s'entendre conter le passé du "récit national" par quelques bardes autorisés. Best-seller paru en 1924 chez Fayard, l'Histoire de France, de Jacques Bainville (1879-1936), spécialiste des affaires étrangères au quotidien L'Action française, en reste le parangon. Loin du tranchant polémique de Maurras (1868-1952) ou de l'euphorie sanguine d'un Léon Daudet (1867-1942), usant d'une clarté de propos apaisée (Michelet, étonnamment, est vanté pour son "impression juste" des faits) et rectiligne, le monarchiste Bainville vulgarise, de roi en crise, de bataille en réforme, la gestation française. Il évoque l'émergence d'une France toujours en chantier, idéale dans son principe et son étendue, terre dont l'avènement est accéléré ou retardé selon que l'heure est à la stricte gestion ou à la démence, aux devoirs du trône ou au règne de la rue. »
« Mais ce qui frappe le plus est bien sa vision du temps historique. Pour lui, "la vie des peuples a comme des lois fixes", des événements archétypaux qui se réactualisent au fil des siècles, l'affaire Dreyfus "répétant" la Réforme, la Fronde ou 1789. Rééditée avec les illustrations de Job (1858-1931), l'Histoire de France, de Bainville, tient aujourd'hui de l'Atlantide et du "lieu de mémoire". »
« Quand on veut peser sur le destin de la France, autant en connaître l'histoire, celle de ses égarements avoués et de ses triomphes supposés. Si les maurrassiens attendirent en vain le "coup de force" qui allait rendre "le pays réel" à ses rois, ils eurent en revanche l'opportunité de s'entendre conter le passé du "récit national" par quelques bardes autorisés. Best-seller paru en 1924 chez Fayard, l'Histoire de France, de Jacques Bainville (1879-1936), spécialiste des affaires étrangères au quotidien L'Action française, en reste le parangon. Loin du tranchant polémique de Maurras (1868-1952) ou de l'euphorie sanguine d'un Léon Daudet (1867-1942), usant d'une clarté de propos apaisée (Michelet, étonnamment, est vanté pour son "impression juste" des faits) et rectiligne, le monarchiste Bainville vulgarise, de roi en crise, de bataille en réforme, la gestation française. Il évoque l'émergence d'une France toujours en chantier, idéale dans son principe et son étendue, terre dont l'avènement est accéléré ou retardé selon que l'heure est à la stricte gestion ou à la démence, aux devoirs du trône ou au règne de la rue. »
« Mais ce qui frappe le plus est bien sa vision du temps historique. Pour lui, "la vie des peuples a comme des lois fixes", des événements archétypaux qui se réactualisent au fil des siècles, l'affaire Dreyfus "répétant" la Réforme, la Fronde ou 1789. Rééditée avec les illustrations de Job (1858-1931), l'Histoire de France, de Bainville, tient aujourd'hui de l'Atlantide et du "lieu de mémoire". »
« Depuis que l'interdiction des élevages de poules en batterie est entrée en vigueur, le 1er janvier, le pays fait face à une pénurie d'œufs. Les rayons sont vides. Et beaucoup imaginent désormais adopter des poules et les garder chez eux. Un intérêt observé par Trade Me. "Ruby Topzand, sa porte-parole, indique que les recherches de poulets, de cages et d'aliments pour animaux sont passées de 9 300 à plus de 21 400 la semaine dernière, soit une augmentation de 129 %", rapportait RNZ le 5 janvier. »
« Il faut attendre l'électrochoc MX-5 en 1989 pour que le feu vert soit réellement donné à un futur roadster MG. […] Entre traction, moteur avant-propulsion, et moteur central-propulsion, on retient cette dernière formule en 1991. En effet, les tests clientèle montrent un rejet de la traction pour une voiture-plaisir découvrable, et on n'a pas les fonds pour développer une plate-forme moteur avant/roues arrière motrices. En revanche, si on place l'ensemble moteur-boîte au centre de l'auto, on peut tout à fait se procurer la plate-forme ad-hoc. Comment ? On prend celle de la Rover 100 puis on la retourne, afin de placer la mécanique derrière les passagers. Il fallait y penser ! »
Celui-ci « propose un "kit de nettoyage pour Airpods" qui promet de venir restaurer le revêtement en maille, pour retrouver […] une performance acoustique maximale », comme le rapporte Stéphane Ficca. « Concrètement », précise-t-il sur Clubic, « le kit est fourni avec un liquide à venir déposer sur les grilles des Airpods, qu'il faudra laisser agir durant soixante secondes » ; « dès lors, on utilise une petite brosse pour déloger les impuretés, puis on utilise un gel spécifique pour venir recueillir ces mêmes impuretés ».
« Souvenez-vous… Il y a quasiment un an, sur le plateau de BFM, Michel-Édouard Leclerc (sentant la peur de l'inflation avant les autres) annonce bloquer le prix de la baguette à 29 centimes. […] Le 15 avril […], un boulanger de Nice (indépendant mais sous enseigne Paul) attaque l'enseigne devant l'Autorité de la Concurrence. »
« Le mois dernier, l'Autorité de la Concurrence a rendu sa décision. […] Le boulanger est débouté. Tant sur le prix abusivement bas que sur la concurrence déloyale qui en découlerait (le boulanger en question était fort éloigné d'un Leclerc et donc, à ce titre, ne pouvait argumenter un préjudice). Mais le plus intéressant, comme toujours, est le pourquoi de la décision. L'Autorité de la Concurrence note que le plaignant, malgré deux relances, n'a fourni aucun élément tangible sur le coût de production d'une baguette de nature à alimenter sa requête. Ce qui illustre bien, avec le recul, l'incroyable polémique : tout le monde avait un avis mais personne n'avait de données précises pour l'étayer. Même un boulanger. »
« Le mois dernier, l'Autorité de la Concurrence a rendu sa décision. […] Le boulanger est débouté. Tant sur le prix abusivement bas que sur la concurrence déloyale qui en découlerait (le boulanger en question était fort éloigné d'un Leclerc et donc, à ce titre, ne pouvait argumenter un préjudice). Mais le plus intéressant, comme toujours, est le pourquoi de la décision. L'Autorité de la Concurrence note que le plaignant, malgré deux relances, n'a fourni aucun élément tangible sur le coût de production d'une baguette de nature à alimenter sa requête. Ce qui illustre bien, avec le recul, l'incroyable polémique : tout le monde avait un avis mais personne n'avait de données précises pour l'étayer. Même un boulanger. »
« Les élèves de première année de l'IEP lyonnais ont découvert que leur sujet de partiel employait le pronom "iels" et l'écriture inclusive. »
« Selon Daphné, même Sciences Po Lyon utilise rarement ce pronom: "L'IEP emploie l'écriture inclusive, dans toute sa communication et dans une partie des sujets, mais personnellement, je n'avais encore jamais vu ce mot à Sciences Po Lyon", déclare l'étudiante. Avant de poursuivre : "Mais c'était un partiel de sociologie. Et les enseignants dans cette matière sont souvent les plus marqués par l'idéologie woke." »
« Si les étudiants interrogés affirment qu'ils ne sont pas obligés d'employer l'écriture inclusive, certains s'inquiètent des répercussions s'ils décident de ne pas l'utiliser. "On ne nous menace pas de nous enlever des points pour cela, mais dans la mesure où une grande majorité d'élèves tend à l'appliquer, le fait d'y renoncer vous désigne de facto comme un étudiant récalcitrant", indique Antoine, en troisième année à Sciences Po Lyon et militant à la Cocarde, syndicat étudiant proche de la droite souverainiste. Et d'ajouter: "Quand on voit à quel point certains d'entre eux sont militants, on peut se demander s'ils ne le prennent pas en compte dans leur notation." »
En tout cas, l'écriture dite inclusive se reflète non pas seulement dans le vocabulaire, mais aussi dans la grammaire elle-même, si bien qu'en raison de son émergence, des gens aux opinions différentes n'ont plus de langage commun ; c'est dramatique !
« Selon Daphné, même Sciences Po Lyon utilise rarement ce pronom: "L'IEP emploie l'écriture inclusive, dans toute sa communication et dans une partie des sujets, mais personnellement, je n'avais encore jamais vu ce mot à Sciences Po Lyon", déclare l'étudiante. Avant de poursuivre : "Mais c'était un partiel de sociologie. Et les enseignants dans cette matière sont souvent les plus marqués par l'idéologie woke." »
« Si les étudiants interrogés affirment qu'ils ne sont pas obligés d'employer l'écriture inclusive, certains s'inquiètent des répercussions s'ils décident de ne pas l'utiliser. "On ne nous menace pas de nous enlever des points pour cela, mais dans la mesure où une grande majorité d'élèves tend à l'appliquer, le fait d'y renoncer vous désigne de facto comme un étudiant récalcitrant", indique Antoine, en troisième année à Sciences Po Lyon et militant à la Cocarde, syndicat étudiant proche de la droite souverainiste. Et d'ajouter: "Quand on voit à quel point certains d'entre eux sont militants, on peut se demander s'ils ne le prennent pas en compte dans leur notation." »
En tout cas, l'écriture dite inclusive se reflète non pas seulement dans le vocabulaire, mais aussi dans la grammaire elle-même, si bien qu'en raison de son émergence, des gens aux opinions différentes n'ont plus de langage commun ; c'est dramatique !
« Durant le premier conflit mondial, 7,8 millions de Français furent mobilisés, soit 20 % de la population française totale. Parmi ces 7,8 millions de Français, figuraient 73 000 Français d'Algérie, soit 20 % de toute la population "pied-noir". Les pertes parmi les Français métropolitains furent de 1 300 000 morts, soit 16,67 % des effectifs. Les pertes des Français d'Algérie furent de 12 000 morts, soit 16,44 % des effectifs. »
« Le Maghreb (Maroc, Algérie et Tunisie) fournit 218 000 hommes (dont 178 000 Algériens), soit 2,65 % de tous les effectifs de l'armée française. Les colonies d'Afrique noire dans leur ensemble fournirent quant à elles, 189 000 hommes, soit 2,3 % de tous les effectifs de l'armée française. »
« Les pertes des Maghrébins combattant dans l'armée française furent de 35 900 hommes, soit 16,47 % des effectifs. Les chiffres des pertes au sein des unités composées d'Africains sud-sahariens (les Tirailleurs) sont imprécis. L'estimation haute est de 35 000 morts, soit 18,51 % des effectifs ; l'estimation basse est de 30 000 morts, soit 15,87 %. »
« Ces chiffres contredisent donc l'idée-reçue de "chair à canon" africaine d'autant plus qu'au minimum, un tiers des pertes des Tirailleurs "sénégalais" furent la conséquence de pneumonies et autres maladies dues au froid, et non à des combats. »
« Le Maghreb (Maroc, Algérie et Tunisie) fournit 218 000 hommes (dont 178 000 Algériens), soit 2,65 % de tous les effectifs de l'armée française. Les colonies d'Afrique noire dans leur ensemble fournirent quant à elles, 189 000 hommes, soit 2,3 % de tous les effectifs de l'armée française. »
« Les pertes des Maghrébins combattant dans l'armée française furent de 35 900 hommes, soit 16,47 % des effectifs. Les chiffres des pertes au sein des unités composées d'Africains sud-sahariens (les Tirailleurs) sont imprécis. L'estimation haute est de 35 000 morts, soit 18,51 % des effectifs ; l'estimation basse est de 30 000 morts, soit 15,87 %. »
« Ces chiffres contredisent donc l'idée-reçue de "chair à canon" africaine d'autant plus qu'au minimum, un tiers des pertes des Tirailleurs "sénégalais" furent la conséquence de pneumonies et autres maladies dues au froid, et non à des combats. »
Réaction exemplaire, mais défaillance lamentable de l'État. « À Marseille (Bouches-du-Rhône), les habitants de la cité HLM des Campanules, située dans le 11e arrondissement de la ville, se mobilisent contre l'installation d'un trafic de stupéfiants. Des dealers occupent en effet l'entrée de la résidence. Face à cette situation, des habitants se relaient jour et nuit pour éviter de voir ce trafic s'implanter dans leur immeuble. "On est à peu près une quarantaine chaque jour", explique une résidente rencontrée par C-News en précisant "on espère donner l'exemple dans d'autres cités". »