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« En moins de quarante-huit heures, la vidéo comptait ce 12 juin environ 300 000 vues sur Twitter. La jeune femme qui filme montre d'abord un fond de teint de la gamme Accord Parfait de L'Oréal, d'une couleur plutôt foncée, et l'étiquette collée au dos du produit. Puis, un autre fond de teint de la même gamme d'une couleur destinée aux peaux plus claires. Elle affirme : "Derrière tous ceux qui sont foncés, il y a un antivol mais par contre derrière les blancs, pas d'antivol, je sais pas c'est quoi le message." »
« Le produit pour "peaux plus foncées" comporte bien une étiquette antivol, contrairement à celui pour "peaux plus claires” placé non pas par Carrefour, mais par le producteur des fonds de teint, L’Oréal. Mais la raison n'est pas un ciblage d'un type de clientèle, selon la marque. Jamel Boutiba, directeur général de L'Oréal Paris France, explique : "Le système de protection est différent entre ces deux produits, et la raison est simple, c'est qu'on fait évoluer ce système régulièrement. Ces deux produits sont issus de deux productions différentes, la teinte la plus foncée identifiée sur la vidéo est une production très récente, elle date de 2019, alors que l'autre est une production de 2018". "Quand on fait évoluer le système de protection, on le fait pour toute la gamme" précise-t-il, de sorte que tous les produits d'une même production ont le même système de protection quelle que soit la couleur de peau à laquelle ils sont destinés. »
« À la direction des relations presse de Carrefour, Denise Rodrigues a la même explication : "Depuis 2019, il y a eu un changement chez L'Oréal sur les systèmes de protection de ces produits qui ont tous des antivols. Une gamme s'est écoulée plus vite que l'autre, et donc les nouveaux stocks sont arrivés avec des antivols", explique-t-elle. »
« Le produit pour "peaux plus foncées" comporte bien une étiquette antivol, contrairement à celui pour "peaux plus claires” placé non pas par Carrefour, mais par le producteur des fonds de teint, L’Oréal. Mais la raison n'est pas un ciblage d'un type de clientèle, selon la marque. Jamel Boutiba, directeur général de L'Oréal Paris France, explique : "Le système de protection est différent entre ces deux produits, et la raison est simple, c'est qu'on fait évoluer ce système régulièrement. Ces deux produits sont issus de deux productions différentes, la teinte la plus foncée identifiée sur la vidéo est une production très récente, elle date de 2019, alors que l'autre est une production de 2018". "Quand on fait évoluer le système de protection, on le fait pour toute la gamme" précise-t-il, de sorte que tous les produits d'une même production ont le même système de protection quelle que soit la couleur de peau à laquelle ils sont destinés. »
« À la direction des relations presse de Carrefour, Denise Rodrigues a la même explication : "Depuis 2019, il y a eu un changement chez L'Oréal sur les systèmes de protection de ces produits qui ont tous des antivols. Une gamme s'est écoulée plus vite que l'autre, et donc les nouveaux stocks sont arrivés avec des antivols", explique-t-elle. »
D'un côté, on nous explique, avec une orthographe négligée, que « les produits d'informatiques font partis des appareils étant les plus soumis à l'obsolescence programmée » et que « beaucoup de fabricants conçoivent leurs appareils de sorte que la durée de vie ou l'expérience utilisateur se trouve impactée peu de temps après la fin de garantie ». Mais de l'autre, on nous dit que « peu de personnes entretiennent leur ordinateur, tablette ou smartphone » et que « c'est pour cela qu'après quelques années vos appareils informatiques deviennent plus long, mettent plus de temps à s'allumer ». Allez comprendre !
« Les députés ont définitivement adopté, le 27 mai, la proposition de loi du groupe LReM et du Modem qui autorise ces ventes. La loi, qui porte sur la transparence de l'information sur les produits agricoles et alimentaires, a été publiée au Journal officiel du 11 juin. »
« Jusque-là, les semences non inscrites au catalogue officiel ne pouvaient être cédées qu'à titre gratuit, et encore avec un certain nombre de contraintes sanitaires. La disposition votée permet désormais de vendre ces semences. "C'est-à-dire les semences traditionnelles ou nouvellement élaborées, relevant du domaine public, plus rares et garantes de la biodiversité", explique Barbara Bessot Ballot, rapporteure LREM de la proposition de loi. »
« Cette possibilité de vente avait été votée dans la loi pour la reconquête de la biodiversité de 2016 mais avait été censurée par le Conseil constitutionnel du fait qu'elle n'autorisait que les seules associations à y procéder. »
« La vente est désormais possible, par tous types d'opérateurs, aux "utilisateurs finaux non professionnels ne visant pas une exploitation commerciale de la variété". C'est-à-dire essentiellement les jardiniers amateurs et les collectivités publiques, selon la rapporteure. La prochaine bataille à mener selon Barbara Pompili ? Autoriser au plan européen la commercialisation des semences paysannes en agriculture conventionnelle. »
« Jusque-là, les semences non inscrites au catalogue officiel ne pouvaient être cédées qu'à titre gratuit, et encore avec un certain nombre de contraintes sanitaires. La disposition votée permet désormais de vendre ces semences. "C'est-à-dire les semences traditionnelles ou nouvellement élaborées, relevant du domaine public, plus rares et garantes de la biodiversité", explique Barbara Bessot Ballot, rapporteure LREM de la proposition de loi. »
« Cette possibilité de vente avait été votée dans la loi pour la reconquête de la biodiversité de 2016 mais avait été censurée par le Conseil constitutionnel du fait qu'elle n'autorisait que les seules associations à y procéder. »
« La vente est désormais possible, par tous types d'opérateurs, aux "utilisateurs finaux non professionnels ne visant pas une exploitation commerciale de la variété". C'est-à-dire essentiellement les jardiniers amateurs et les collectivités publiques, selon la rapporteure. La prochaine bataille à mener selon Barbara Pompili ? Autoriser au plan européen la commercialisation des semences paysannes en agriculture conventionnelle. »
« Peugeot a toujours été salué pour la qualité de ses châssis. Teknikens Värld la prend d'ailleurs en référence dans ses vidéos avec le break Peugeot 508 SW Hybrid qui passe le test à 78 km/h. Malgré des années d’électronique et d'amélioration des pneumatiques, c'est toujours la Citroën Xantia Activa V6 qui détient la vitesse de passage la plus élevée avec 85 km/h. Les supercars modernes passent un peu moins vite. »
« S'il n'est pas possible de contester le caractère de soutien du plan présenté ce matin par trois ministres, il est par contre plus étonnant de ne pas y trouver des informations basiques, comme les dates de livraison des matériels évoqués. Éventuellement, même, de savoir si certains des matériels acquis ne sont en fait pas déjà fabriqués. […] Dans ce genre de cas, évidemment, on ne peut plus parler de soutien à l'activité, mais bel et bien de soutien à la trésorerie des industriels concernés. Ce qui peut aussi se défendre, mais concerne des éléments de langage bien différents. Car le fondement du plan, c'est de dire que les matériels vont être livrés en anticipation, et pourtant, pas la moindre date ne figure dans le document livré ce matin par les trois ministres. […] On ne connaît pas non plus la part de cette facture qui fuira à l'étranger. »
Privilège blanc ?
« Officiellement, le terme remonte à l'année 1988. Peggy McIntosh, professeure d'études féministes à l'université Wellesley, rédige une liste de quarante-six manifestations de ce "privilège blanc". Pêle-mêle, elle évoque le fait pour un Blanc d'"allumer la télé […] et de voir des gens de ma race largement représentée", ou encore sa conviction qu'en cas "de besoin d'assistance médicale ou juridique, ma race ne jouera pas en ma défaveur". »
« Ceux qui n'adhèrent pas au concept de "privilège blanc" ne nient pas l'ampleur ni la prégnance des discriminations raciales. Mais selon eux, employer ce terme s'avérerait contre-productif et dangereux. "Je ne vois pas de meilleur moyen de nourrir une vision raciale. Cela braque la société dans son ensemble, et l'extrême droite se frotte les mains", insiste l'historien Emmanuel Debono. […] Lui prône une vision universaliste où les distinctions de race, de couleur ou d'ethnie ne doivent pas être mises en exergue. "Ce concept est trop réducteur et trop heurtant. Il impose une grille de lecture Noirs-Blancs. Or, il y a mille autres façons de se définir en France. C'est à côté de la plaque, on l'a bien vu avec les Gilets jaunes", ajoute […] Gwenaëlle Calvès, professeur de droit public à Cercy-Pontoise (Val-d'Oise) et membre de membre de l'Observatoire parisien de la laïcité. »
« Les pourfendeurs du "privilège blanc" estiment incohérent d'employer cette expression au vu des "différences" entre l'histoire américaine et française. "La ségrégation est ancrée dans les corps aux Etats-Unis. Cette manie de transposer des notions américaines est inepte et choquante", affirme Emmanuel Debono. "Aux États-Unis, le privilège était d'ordre juridique sous la ségrégation. Les Blancs et les Noirs avaient des droits différents définis par la loi", abonde Gwenaëlle Calves. »
« En tout cas, "la jeunesse blanche est en train de se rendre compte qu'elle est blanche. Elle ne trouve pas ça dégradant et infamant que d'avoir ce statut", pose l'universitaire antiraciste Nacira Guénif. "Elle veut devenir alliée voire même complice des luttes antiracistes", ajoute-t-elle. »
Le racisme semble hélas promis à un bel avenir.
« Officiellement, le terme remonte à l'année 1988. Peggy McIntosh, professeure d'études féministes à l'université Wellesley, rédige une liste de quarante-six manifestations de ce "privilège blanc". Pêle-mêle, elle évoque le fait pour un Blanc d'"allumer la télé […] et de voir des gens de ma race largement représentée", ou encore sa conviction qu'en cas "de besoin d'assistance médicale ou juridique, ma race ne jouera pas en ma défaveur". »
« Ceux qui n'adhèrent pas au concept de "privilège blanc" ne nient pas l'ampleur ni la prégnance des discriminations raciales. Mais selon eux, employer ce terme s'avérerait contre-productif et dangereux. "Je ne vois pas de meilleur moyen de nourrir une vision raciale. Cela braque la société dans son ensemble, et l'extrême droite se frotte les mains", insiste l'historien Emmanuel Debono. […] Lui prône une vision universaliste où les distinctions de race, de couleur ou d'ethnie ne doivent pas être mises en exergue. "Ce concept est trop réducteur et trop heurtant. Il impose une grille de lecture Noirs-Blancs. Or, il y a mille autres façons de se définir en France. C'est à côté de la plaque, on l'a bien vu avec les Gilets jaunes", ajoute […] Gwenaëlle Calvès, professeur de droit public à Cercy-Pontoise (Val-d'Oise) et membre de membre de l'Observatoire parisien de la laïcité. »
« Les pourfendeurs du "privilège blanc" estiment incohérent d'employer cette expression au vu des "différences" entre l'histoire américaine et française. "La ségrégation est ancrée dans les corps aux Etats-Unis. Cette manie de transposer des notions américaines est inepte et choquante", affirme Emmanuel Debono. "Aux États-Unis, le privilège était d'ordre juridique sous la ségrégation. Les Blancs et les Noirs avaient des droits différents définis par la loi", abonde Gwenaëlle Calves. »
« En tout cas, "la jeunesse blanche est en train de se rendre compte qu'elle est blanche. Elle ne trouve pas ça dégradant et infamant que d'avoir ce statut", pose l'universitaire antiraciste Nacira Guénif. "Elle veut devenir alliée voire même complice des luttes antiracistes", ajoute-t-elle. »
Le racisme semble hélas promis à un bel avenir.
Volkswagen fait repentance, après avoir diffusé une publicité d'un goût douteux. « Au nom du comité de direction, je tiens à m'excuser officiellement d'avoir offensé les gens en raison d'un manque de sensibilité interculturelle », a déclaré Hiltrud D. Werner, membre du conseil d'administration du constructeur allemand. « Nous avons constaté un manque de sensibilité et des erreurs de procédure », a-t-elle reconnu. Et cela, a-t-elle précisé, « après avoir analysé environ quatre cents dossiers avec un volume de plus de 16,5 Go et mené des entretiens internes avec les employés et les agences externes concernées ». Des chiffres à l'aune desquels on admettra assurément la sincérité de cette contrition… « Nous prenons maintenant des mesures nécessaires en réponse », a-t-elle ajouté. Ce qui se traduira vraisemblablement par l'embauche de "sensitivity readers" – un métier d'avenir.
Le journaliste Marc Endeweld publie dans Le Média une longue enquête consacrée aux soutiens macronistes de Qwant, qualifié de par son auteur. Il y révèle que la Direction interministérielle du numérique estimait dans son audit que le moteur de recherche "souffre de plusieurs limitations : une difficulté à passer à l'échelle, notamment en termes de nombre de pages web traitées ; une difficulté à gérer un rafraîchissement fréquent des pages web déjà visitées pour en capturer les modifications ; une impossibilité d'utiliser l'index en temps réel pour les recherches des utilisateurs". Le document, qui n'a jamais été rendu public, n'est pas diffusé mais en partie révélé. En annexe, l'analyse technique des auditeurs assistés de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI), du ministère des Armées et de l'École normale supérieure "se fait à la fois plus sévère et précise" écrit notre confrère. »
Et donc, parce que Qwant n'est pas parfait, on devrait en occulter les qualités, et prôner la préférence américaine, y compris pour l'administration française ?
Et donc, parce que Qwant n'est pas parfait, on devrait en occulter les qualités, et prôner la préférence américaine, y compris pour l'administration française ?
« Le scénario assez embrouillé situe toute l’intrigue dans la capitale japonaise au sortir de la guerre dont les conséquences économiques et psychologiques sont toujours vivaces. Un tantinet mélodramatique, Tokyo Joe est surtout intéressant pour la description de la vie à Tokyo dans cette période particulière de l’occupation américaine (SCAP) avec ce qui en découle ainsi que pour la prestation efficace, mais calibrée, d’Humphrey Bogart. […] Les extérieurs, sous la forme de transparences factices, ont été captés au Japon par une seconde équipe ayant obtenu la première autorisation d’après-guerre de filmer la ville de Tokyo : à sa sortie, le film plaira au public, car les spectateurs américains le considéraient comme une sorte de documentaire. Effectivement le tableau du Japon, miné par la défaite et la présence américaine, est intéressant : Stuart Heisler a su évoquer la morosité ambiante dans laquelle se déroule cette histoire d’amour et de trafic aérien. »
« Sur Instagram et LinkedIn, à l'occasion du mois des fiertés, Decathlon Turquie a publié son nom écrit aux couleurs de l'arc-en-ciel, symbole des LGBT, avec le message suivant : "Toutes les couleurs sont les bienvenues à Decathlon". Cette publication a entraîné des réactions virulentes […] de la part d'internautes qui ont appelé à boycotter l'enseigne. […] Le message a été retiré des réseaux sociaux et l'enseigne l'a remplacé par une publication dans laquelle elle fait part de sa "surprise" et de sa "peine". "Nous sommes contre toutes les formes de discrimination. Quels que soient la religion, la langue, la race, le sexe, l'identité sexuelle et l'orientation, notre environnement permet à chacun de s'exprimer et d'être lui-même et nous en sommes fiers", a écrit la direction. Ajoutant, à propos de l'affaire Floyd : "ces jours-ci, nous voyons comment la discrimination entraîne le monde de différentes manières, nous invitons tout le monde à être plus sensible et inclusif". Et de conclure : "nous croyons à la force unificatrice du sport !" »
Il est rappelé que « Decathlon […] s'était déjà retrouvé au cœur d'une polémique l'an dernier après avoir voulu mettre en vente en France un "hijab de running" déjà commercialisé au Maroc ». Cette nouvelle affaire nous semble toutefois très différente, car, dans le cas présent, l'enseigne prend explicitement position, et cela, d'une façon "gratuite" – en apparence du moins , car la politisation des marques s'inscrit forcément dans une stratégie marketing.
Il est rappelé que « Decathlon […] s'était déjà retrouvé au cœur d'une polémique l'an dernier après avoir voulu mettre en vente en France un "hijab de running" déjà commercialisé au Maroc ». Cette nouvelle affaire nous semble toutefois très différente, car, dans le cas présent, l'enseigne prend explicitement position, et cela, d'une façon "gratuite" – en apparence du moins , car la politisation des marques s'inscrit forcément dans une stratégie marketing.
« Face aux propos de Donald Trump appelant à une réponse violente à l'encontre des manifestations conséquentes à la mort de George Floyd, tué par quatre policiers, les dirigeants et fondateurs de réseaux sociaux ont eu des réactions diverses. Ces réactions marquent un tournant dans la jeune histoire de ces nouveaux médias. […] Le cas de Snapchat est plus interpellant. En décidant délibérément de ne plus mettre en avant le compte du Président américain dans la section "découverte" de sa plateforme Snapchat Discover, le réseau social fait un choix politique. […] À l'avenir, choisir d'utiliser un réseau social ou l'autre pourrait revenir à un choix politique en fonction de l'attitude de ses patrons. L'utilisation d'un réseau social posera donc pour l'utilisateur une forme de responsabilité nouvelle. Coupables de nous conforter dans nos opinions en étant confronté qu'à des avis qui nous correspondent, les réseaux sociaux laissaient au moins l'illusion du choix éditorial du contenu affiché à l'utilisateur. Ce ne sera bientôt plus le cas si l'exemple de Snapchat se répète et s'amplifie. Les réseaux sociaux se transformeront alors en médias d'opinions. »
« L'alphabet latin aura connu une réussite insolente et toutes les ruptures de l'histoire qui auraient pu remettre en cause son statut l'ont au contraire renforcé dans sa domination. Aujourd'hui, il est le seul alphabet répandu sur les cinq continents habités, le seul à sortir aussi aisément de sa base religieuse du catholicisme occidental, le seul dans lequel toutes les langues importantes disposent d'une transcription. Cela est certainement dû au caractère pratique du système "un son, une lettre" qui lui permet de s'adapter à toutes les langues. Ainsi Rome survit dans la mondialisation moderne. »
Moins on achète, moins on dépense : tel est, en substance, le message martelé par l'Ademe dans son communiqué de presse du 10 juin 2020… Deux informations retiennent néanmoins notre attention.
D'une part, l'Ademe soutient « qu'il est toujours économiquement favorable pour le consommateur d'allonger la durée d'usage après une panne »… « quelques équipements » faisant toutefois « exception » ; par exemple : « le sèche-linge à évacuation ou la télévision 30-40 pouces ».
D'autre part, s'appuyant sur le baromètre Fnac-Darty, l'agence assure que « 50 % des retours SAV sont liés à un mauvais entretien ou une mauvaise utilisation » ; preuve que la responsabilité du consommateur est déterminante.
D'une part, l'Ademe soutient « qu'il est toujours économiquement favorable pour le consommateur d'allonger la durée d'usage après une panne »… « quelques équipements » faisant toutefois « exception » ; par exemple : « le sèche-linge à évacuation ou la télévision 30-40 pouces ».
D'autre part, s'appuyant sur le baromètre Fnac-Darty, l'agence assure que « 50 % des retours SAV sont liés à un mauvais entretien ou une mauvaise utilisation » ; preuve que la responsabilité du consommateur est déterminante.
« C'est une drôle de banderole qui a été installée rue Valade, à deux pas de la place Saint-Pierre, haut lieu des fêtes étudiantes toulousaines », rapporte Le Parisien le 10 juin 2020.
« À l'entrée de la paroisse des étudiants, trône une photo de Dark Vador interpellant les passants : "Tu penches du côté obscur ? Regarde au dos !" Sur la face opposée, c'est Jésus-Christ qui tient un sabre-laser, tout en blanc tel un Jedi, surmonté de la légende : "Jésus est ressuscité. Viens à la lumière !" »
« Depuis son installation pour le carême », précise Julie Rimbert, « l'affiche fait beaucoup réagir » ; « jusqu'aux fans de Star Wars qui accusent la paroisse de blasphème envers le film culte » ! En tout cas, remarque-t-elle, « cette banderole, imaginée par les étudiants de la paroisse, a donc atteint son but ».
« À l'entrée de la paroisse des étudiants, trône une photo de Dark Vador interpellant les passants : "Tu penches du côté obscur ? Regarde au dos !" Sur la face opposée, c'est Jésus-Christ qui tient un sabre-laser, tout en blanc tel un Jedi, surmonté de la légende : "Jésus est ressuscité. Viens à la lumière !" »
« Depuis son installation pour le carême », précise Julie Rimbert, « l'affiche fait beaucoup réagir » ; « jusqu'aux fans de Star Wars qui accusent la paroisse de blasphème envers le film culte » ! En tout cas, remarque-t-elle, « cette banderole, imaginée par les étudiants de la paroisse, a donc atteint son but ».
« Proche du président Trump, et sénateur de l'Arkansas, Tom Cotton, qui ne passe pas pour faire dans le demi-mesure, a clairement brandi la menace d'un retrait d'une partie des forces américaines du Royaume-Uni dans le cas où Londres persisterait à autoriser Huawei à participer au déploiement de la 5G outre-Manche. »
« "Les dirigeants américains réalisent que nos troupes seront confrontées à un risque sécuritaire opérationnel au Royaume-Uni, qu'elles n'auraient pas dans le Pacifique", a fait valoir M. Cotton devant le comité de la défense, à la Chambre des communes. Ainsi, a-t-il continué, le déploiement d'avions F-35 au Royaume-Uni "pourraient être compromis". Et, a-t-il prévenu, "ce serait une erreur pour les députés britanniques de prendre ce redéploiement potentiel des forces américaines pour du bluff ou un simple effort de communication." »
« Selon M. Cotton, les experts américains estiment que Huawei "pourrait aider la Chine" à obtenir des informations sur la façon dont les pilotes [de F-35] se battent ainsi que des données personnelles sur ce derniers. »
« "Les dirigeants américains réalisent que nos troupes seront confrontées à un risque sécuritaire opérationnel au Royaume-Uni, qu'elles n'auraient pas dans le Pacifique", a fait valoir M. Cotton devant le comité de la défense, à la Chambre des communes. Ainsi, a-t-il continué, le déploiement d'avions F-35 au Royaume-Uni "pourraient être compromis". Et, a-t-il prévenu, "ce serait une erreur pour les députés britanniques de prendre ce redéploiement potentiel des forces américaines pour du bluff ou un simple effort de communication." »
« Selon M. Cotton, les experts américains estiment que Huawei "pourrait aider la Chine" à obtenir des informations sur la façon dont les pilotes [de F-35] se battent ainsi que des données personnelles sur ce derniers. »
« Cette recette, qui tient à la nécessité récurrente de garantir un débouché pour les voitures neuves, ne sert pas à diminuer la pollution. Si, malgré les triches, les bureaux d'études travaillent effectivement sur des moteurs légèrement plus économes et moins polluants, le niveau de pollution dépend d'abord du nombre de voitures en circulation qui, lui, ne cesse d'augmenter. Contrairement à l'idée reçue d'une obsolescence programmée de tous les biens industriels, les voitures durent de plus en plus longtemps… faute de ressources pour en changer. »
« GRT Gaz, le gestionnaire du réseau de gaz français, et Creos, son homologue luxembourgeois, ont annoncé, le 26 mai, leur collaboration en vue de créer un réseau de transport européen 100 % hydrogène. Ce projet […] reliera la Sarre (Allemagne), le Grand Est (France) et la frontière Luxembourgeoise. […] L'objectif est "de rendre accessible une infrastructure de transport d'hydrogène de soixante-dix kilomètres, en adaptant des infrastructures gazières déjà existantes", explique GRT Gaz. »
« Dans la foulée de l'arrêt du service, les voitures BlueIndy ont été retirées de la circulation pour être rassemblées en plein air, sur le terrain d'une entreprise de remorquage et de recyclage automobile. L'espoir est mince de les voir reprendre du service car elles semblent avoir été empilées sans ménagement les unes sur les autres. À titre de consolation, la société Blue Systems qui exploitait ces autos certifie que leurs batteries ont été démontées pour être affectées au stockage statique de l'énergie électrique en entrepôt (Bluestorage). Mieux, quelques exemplaires des anciennes voitures BlueIndy intégreront la flotte Blue LA à Los Angeles. […] Comme la Mairie de Paris avant elle, la ville d'Indianapolis se voit confrontée à un choix délicat : soit racheter les stations à l'énergéticien local Indianapolis Power and Light pour les exploiter à ses frais ; soit laisser son propriétaire actuel les démanteler pour libérer un espace compté sur la voirie. »
« En 2019, l'arc-en-ciel de l'orientation sexuelle a pour sigle anglais LGTBQIA+, soit lesbiennes, gays, transgenres, bisexuel-les, queers, intersexes et… asexuel-les. Ça y est, les asexuel-les ont eu gain de cause. Les voilà officiellement "reconnu-es", au même titre que les homos. Mais leur communauté ne sera pas la dernière à obtenir droit de cité : le "plus" (qui vient après LGTBQIA) laisse prudemment la porte ouverte à toutes les personnes qui se sentiraient exclues de la liste. Au Canada, ce sigle – qui comprend maintenant douze orientations – est d'ailleurs devenu : LGBTTIQQ2SAAP (le second T étant pour travesti-e ou transsexuel-le, le second Q pour questioning soit "hésitant-e", le second A pour allié-e, le 2S pour two-spirited soit "bi-spirituel-le", et le dernier P pour pansexuel-le). Cette prolifération de catégories a-t-elle un sens ? »
« Le fait qu'elle désigne pêle-mêle des pratiques, des sentiments, des fantasmes, des hésitations ou des attitudes fait de cette liste fourre-tout le miroir grossissant d'une inflation taxinomique absurde. […] Il me paraît […] contradictoire de combattre un ordre social qui enferme des hommes et des femmes dans des catégories cliniques en revendiquant la légitimité de ces mêmes catégories. »
On est d'accord avec Agnès Giard, l'animatrice de ce blog – comme souvent d'ailleurs. Mais n'est-il pas contradictoire de l'affirmer en écriture dite inclusive ? Celle-ci consiste, précisément, à refuser de parler de qui que ce soit sans lui assigner explicitement un genre ou un sexe ; c'est le principal reproche qu'on lui fait !
« Le fait qu'elle désigne pêle-mêle des pratiques, des sentiments, des fantasmes, des hésitations ou des attitudes fait de cette liste fourre-tout le miroir grossissant d'une inflation taxinomique absurde. […] Il me paraît […] contradictoire de combattre un ordre social qui enferme des hommes et des femmes dans des catégories cliniques en revendiquant la légitimité de ces mêmes catégories. »
On est d'accord avec Agnès Giard, l'animatrice de ce blog – comme souvent d'ailleurs. Mais n'est-il pas contradictoire de l'affirmer en écriture dite inclusive ? Celle-ci consiste, précisément, à refuser de parler de qui que ce soit sans lui assigner explicitement un genre ou un sexe ; c'est le principal reproche qu'on lui fait !
Voici un smartphone « étonnamment réparable au regard des standards actuels ». C'est en tout cas ce qu'affirme Notebookcheck à propos du Sony Xperia 10 II. « La prise casque et le port USB type C sont tous les deux remplaçables, par exemple », souligne Alex Alderson. « Pour accéder aux composants internes », précise-t-il, « il faut retirer le panneau arrière, mais PBK Reviews affirme qu'il n'est pas nécessaire de démonter l'appareil entier pour remplacer l'écran ». Par ailleurs, l'appareil dispose d'une languette pour faciliter le retrait de la batterie. Un exemple à suivre.
Le propriétaire malheureux d'une imprimante Canon MP640, âgée vraisemblablement d'une dizaine d'années, fait part de son désarroi sur Twitter le 29 mai 2020. Le fabricant vient de le lui confirmer : son appareil n'est plus utilisable avec un ordinateur Apple. Faut-il blâmer ce dernier, qui n'assure pas la rétrocompatibilité des périphériques ? Ou bien Canon, qui n'a plus mis à jour le pilote Mac OS depuis 2015 et la sortie de la version 10.11 ? En tout cas, le résultat est là, et il est navrant, même si, en toute rigueur, il ne s'agit pas d'un cas d'obsolescence programmée, chacun de ces acteurs péchant ici par passivité. Reste à savoir s'il existe une solution pour pallier leur insuffisance, via l'utilisation d'un pilote générique ou celle d'un serveur d'impression.
« Les appareils électroniques sont devenus des biens de consommation courante », constate Efficycle ; « on les renouvelle très (trop) souvent, au gré des tendances et de l'usure des modèles », est-il déploré dans cet article. « Les fabricants l'ont bien compris, et abusent de l'obsolescence programmée pour multiplier les séries à la durée de vie de plus en plus courte, mais de plus en plus chères », dénonce l'auteur. « Pourtant, les consommateurs hésitent à accorder leur confiance au marché de l'occasion », poursuit-il.
« Pourtant » ?
Cette contradiction n'a pas lieu d'être. Au contraire : si l'on est convaincu que les produits neufs sont programmés pour tomber en panne, on sera logiquement d'autant plus méfiant à l'idée d'en acheter un d'occasion, avec une date d'autodestruction potentiellement imminente.
Voilà pourquoi parler d'obsolescence programmée à tort et à travers nuit vraisemblablement au développement de l'économie circulaire, bien davantage que cela ne lui profite.
« Pourtant » ?
Cette contradiction n'a pas lieu d'être. Au contraire : si l'on est convaincu que les produits neufs sont programmés pour tomber en panne, on sera logiquement d'autant plus méfiant à l'idée d'en acheter un d'occasion, avec une date d'autodestruction potentiellement imminente.
Voilà pourquoi parler d'obsolescence programmée à tort et à travers nuit vraisemblablement au développement de l'économie circulaire, bien davantage que cela ne lui profite.
La bataille aura duré trois ans. C'était celle de David contre Goliath, selon certains commentaires relevés sur la Toile. Henrik Huseby était accusé par Apple d'importer des pièces contrefaites pour réparer des Iphone.
Visiblement, tout l'enjeu était de savoir si, ce faisant, il portait atteinte à la propriété intellectuelle de la marque à la Pomme. Or, c'est bien le cas selon le verdict définitif de la Justice norvégienne. Aussi Henrik Huseby devra-t-il verser 23 000 euros au géant de Cupertino.
« C'est une grande victoire pour les entreprises comme Apple qui veulent fermer des petites entreprises comme la mienne et contrôler les prix des réparations », a-t-il réagi ; « elles peuvent décréter que le coût du changement d'un écran sera le même que celui de l'achat d'un nouvel appareil, et que la réparation n'a donc aucun intérêt ». De fait, il proposait de changer l'écran d'un Iphone 6S pour trois fois mins cher qu'un réparateur agréé.
De son point de vue, on comprend que la politique d'Apple s'inscrirait donc dans une stratégie d'obsolescence programmée. Une hypothèse à mettre en balance avec la volonté d'Apple de contrôler les moindres aspects de l'"expérience utilisateur", comme ont dit aujourd'hui.
Visiblement, tout l'enjeu était de savoir si, ce faisant, il portait atteinte à la propriété intellectuelle de la marque à la Pomme. Or, c'est bien le cas selon le verdict définitif de la Justice norvégienne. Aussi Henrik Huseby devra-t-il verser 23 000 euros au géant de Cupertino.
« C'est une grande victoire pour les entreprises comme Apple qui veulent fermer des petites entreprises comme la mienne et contrôler les prix des réparations », a-t-il réagi ; « elles peuvent décréter que le coût du changement d'un écran sera le même que celui de l'achat d'un nouvel appareil, et que la réparation n'a donc aucun intérêt ». De fait, il proposait de changer l'écran d'un Iphone 6S pour trois fois mins cher qu'un réparateur agréé.
De son point de vue, on comprend que la politique d'Apple s'inscrirait donc dans une stratégie d'obsolescence programmée. Une hypothèse à mettre en balance avec la volonté d'Apple de contrôler les moindres aspects de l'"expérience utilisateur", comme ont dit aujourd'hui.
« "Il y avait de trop nombreux contributeurs autour de la table au démarrage du programme. En fonction des besoins de son armée, chacun y est allé de ses exigences. Cela a probablement compliqué le cahier des charges et la tâche de l'avionneur, qui s'est retrouvé à gérer des injonctions contradictoires", rappelle Matthieu Lemasson, spécialiste aéronautique et défense au cabinet de conseil PwC. Résultat ? L'appareil sait tout faire ou presque. » Mais cela n'aura pas été facile !
« L'année 2019 a confirmé la tendance constatée un an plus tôt, à savoir que le niveau des prises de commandes auprès des pays membres de l'Union européenne (UEà ne cesse de progresser, pour atteindre 42 % du total des exportations française (et 45% si l'on y inclut les pays européens hors UE). Cette tendance a pu s'affirmer grâce, une nouvelle fois, à la Belgique qui, après le contrat CAMO (Capacité motorisée, avec le choix des blindés Griffon et Jaguar en 2018), a sélectionné le tandem constitué par Naval Group et ECA Group pour le renouvellement des capacités en matière de guerre des mines de ses forces navales ainsi que de celles des Pays-Bas. L'Espagne (deux satellites de télécommunications Spainsat NG) et la Hongrie (hélicoptères H225M et H145M ) et la République de Chypre ont contribué à ce résultat. »
« Dans les colonnes de nos confrères de chez Autocar, Vincent Cobée, le nouveau patron de Citroën, donne quelques indices sur la prochaine berline de la marque. Une berline qui semble avant tout devoir conquérir le marché chinois. Comme l'explique le directeur de la firme aux Chevrons, le véhicule vendu en Chine sera différent par rapport à celui vendu en Europe. »
« "Nous devons trouver le bon équilibre entre la demande mondiale et les adaptations locales. Lorsque vous voulez vous installer en Chine, il faut plus d'équipements électroniques ou encore de chrome sur l'avant de la voiture. En Chine, la face avant doit être statutaire, elle doit être l'assurance que vous avez fait le bon choix. C'est un concept extrêmement difficile à saisir pour les étrangers", explique Vincent Cobée. "Il y a une demande très particulière sur le marché chinois, qui peut paraître un peu trop ostentatoire sur les marchés européens. Vous devez donc modifier les pare-chocs, les optiques ou encore les chromes... De plus, les règles en matière de sécurité, les conditions routières, la taille du moteur et le carburant sont différents. Il y aura un certain nombre de choses liées au réglage de la suspension, aux choix du groupe motopropulseur, à la couleur et au matériau qui varient. Les différentes versions utiliseront la même plate-forme et la même silhouette, il existera plusieurs dimensions pour s'adapter à toutes les attentes." »
« "Nous devons trouver le bon équilibre entre la demande mondiale et les adaptations locales. Lorsque vous voulez vous installer en Chine, il faut plus d'équipements électroniques ou encore de chrome sur l'avant de la voiture. En Chine, la face avant doit être statutaire, elle doit être l'assurance que vous avez fait le bon choix. C'est un concept extrêmement difficile à saisir pour les étrangers", explique Vincent Cobée. "Il y a une demande très particulière sur le marché chinois, qui peut paraître un peu trop ostentatoire sur les marchés européens. Vous devez donc modifier les pare-chocs, les optiques ou encore les chromes... De plus, les règles en matière de sécurité, les conditions routières, la taille du moteur et le carburant sont différents. Il y aura un certain nombre de choses liées au réglage de la suspension, aux choix du groupe motopropulseur, à la couleur et au matériau qui varient. Les différentes versions utiliseront la même plate-forme et la même silhouette, il existera plusieurs dimensions pour s'adapter à toutes les attentes." »
« En conduite vraiment rapide, les réactions deviennent difficilement prévisibles, du fait de l'action conjointe et variable de la direction et du braquage des roues arrière. Le plus déroutant concerne l'entrée en grande courbe rapide : si l'on garde le pied sur le frein, l'arrière peut décrocher de manière assez violente et impromptue. Car la diminution de la vitesse induit une amplification de l'angle de braquage dans la direction active, qui titille un peu trop un arrière au réglage assez vif pour donner de l'agilité à cette lourde et longue auto. Reste que cette BMW est avant tout une voyageuse. Surtout, l'électronique est capable de remettre en ligne sans brutalité tout écart de trajectoire. »
« En France, la nouvelle Série 5 met de côté les six-cylindres essence qui ont pourtant fait la renommée de la marque. Il faut dire qu'il s'agissait d'une des versions les moins demandées : la 540i disparaît, au même titre que la 530i, même si ces modèles seront toujours disponibles sur d'autres marchés. La gamme est coiffée par un V8 de 530 chevaux (M550i xDrive). »
« Dans le cadre du comité stratégique de filière Mines et métallurgie, un groupe de travail s'est penché sur les besoins de recyclage et de seconde vie des batteries, et sur l'organisation d’une filière nationale. […] Aujourd'hui, le recyclage des batteries n'est pas rentable. […] Le recyclage des batteries permet principalement aujourd'hui de produire des métaux d'alliages, "dont la pureté n'est cependant pas celle requise pour la fabrication de nouvelles batteries", note le rapport. À l'avenir, l'enjeu est de développer également un modèle en "boucle fermée", qui permettra de produire des précurseurs de matériaux actifs de cathodes (carbonate de lithium, lithium métal, sulfate de nickel et de cobalt, etc.), qui peuvent être réutilisés dans des batteries. Les acteurs asiatiques se sont déjà positionnés sur ce modèle et annoncent des investissements importants pour pouvoir traiter au minimum 100 000 tonnes par an chacun. »
« Pourquoi cette technologie fait-elle son entrée sur le marché des bus et pas celui des voitures ? Probablement parce que dans ce segment son principal avantage – celui d'utiliser un électrolyte solide ininflammable – est le plus intéressant, et son principal défaut – celui d'être encore relativement volumineuse – est le moins contraignant. Dans les bus électriques, la batterie est en effet disposée sur le toit et la place disponible y est donc suffisante pour des batteries de grand volume. Par contre cette disposition au-dessus de la tête des passagers pose un réel problème de sécurité en cas d'accident ou de choc quand ces batteries sont remplies d'une grande quantité d'un électrolyte liquide inflammable. Problème qui est donc résolu avec les batteries solides. »
Amazon l'a annoncé aux utilisateurs de cet appareil : "à partir du 24 juillet 2020, Echo Look et son application ne fonctionneront plus". Commercialisée depuis trois ans, au prix de 200 dollars, cette caméra connectée était censée prodiguer des conseils en matière vestimentaire. On ignore combien d'exemplaires ont été vendus. Mais les derniers n'auraient été progressivement retirés des rayons que depuis décembre 2019. Certains n'auront donc vécu que quelques mois… Est-il possible de leur trouver un autre usage ? Cela n'est pas très clair. Amazon fait savoir que l'appareil peut être renvoyée pour être recyclé, en échange d'un bon de réduction pour l'achat d'un gadget du même genre. Maigre consolation ?
« En l'espace d'une semaine », rapportent Les Inrockuptibles, « une trentaine de militant.es LGBT ont vu leur compte Facebook et Twitter suspendus » ; pour certains, « ces suppressions en cascade seraient les premiers effets de la loi Avia ». Facebook soutient toutefois qu'« il n’y a pas eu de modification de nos politiques de modération du contenu en la matière dernièrement ». Quant à l'inspiratrice de la loi, elle suggère qu'un complot ait été mis en œuvre pour nuire à son ambition : « Qui a intérêt à décrédibiliser ce texte ? Les plateformes. » Dont acte.
« Camélia, on ne se connaît pas, mais je tenais à te dire que par certains côtés, nous sommes un peu sœurs. […] Par certains côtés donc, du moins "ethniques" et "capillaires", nous sommes un peu sœurs. Sœurs de souffrance en ce qui concerne les cheveux, parce que, je te l'accorde, c'est chiant quand il pleut. Toi, il parait que "quand tu portes tes cheveux frisés, tu ne te sens pas en sécurité face à un flic en France". C'est ton ressenti, il t'appartient et tu as tout à fait le droit de l'exprimer. Personnellement, jamais un policier n'a émis le moindre jugement sur ma coiffure, et même quand j'ai un brushing impeccable, je ne peux pas exclure tout à fait l'hypothèse que les forces de l'ordre s'en foutent royalement. »
« Là où nous sommes différentes, Camélia, c'est que toi tu déclares vivre dans un monde où "des hommes et des femmes qui vont travailler tous les matins en banlieue se font massacrer pour nulle autre raison que leur couleur de peau". »
« Moi je vis dans un monde où la violence est malheureusement très présente. […] Nous avons besoin d'apaisement, d'éducation, de retour aux règles, nous avons besoin qu'un message de raison soit délivré partout, avec fermeté et respect. […] Il y a des drames, des gens qui souffrent vraiment de part et d'autre. Il y a des policiers qui se suicident, de rage, d'impuissance et de désespoir, avec leur arme de service. Il y a des habitants de quartiers qui sont abandonnés, entre incivilités, rodéo, règlements de comptes et trafics de drogue. »
« Si ta démarche consiste juste à mettre de l'huile sur le feu parce qu'il est de bon ton en ce moment d'être dans une posture victimaire raciale : arrête ! Tu nous fais du mal, tu fais du mal à la France. Ce pays dirigé par "de vieux mâle blancs riches" comme tu dis, c'est le tien comme le mien, c'est le nôtre, il ne va pas bien mais il mérite mieux que ces déclarations irresponsables de pompiers pyromanes. Pour le reste, vas chez le coiffeur régler ton problème "d'insécurité capillaire", ou fais comme moi, attache-toi les cheveux. Tu verras, ça aère le cerveau. »
« Là où nous sommes différentes, Camélia, c'est que toi tu déclares vivre dans un monde où "des hommes et des femmes qui vont travailler tous les matins en banlieue se font massacrer pour nulle autre raison que leur couleur de peau". »
« Moi je vis dans un monde où la violence est malheureusement très présente. […] Nous avons besoin d'apaisement, d'éducation, de retour aux règles, nous avons besoin qu'un message de raison soit délivré partout, avec fermeté et respect. […] Il y a des drames, des gens qui souffrent vraiment de part et d'autre. Il y a des policiers qui se suicident, de rage, d'impuissance et de désespoir, avec leur arme de service. Il y a des habitants de quartiers qui sont abandonnés, entre incivilités, rodéo, règlements de comptes et trafics de drogue. »
« Si ta démarche consiste juste à mettre de l'huile sur le feu parce qu'il est de bon ton en ce moment d'être dans une posture victimaire raciale : arrête ! Tu nous fais du mal, tu fais du mal à la France. Ce pays dirigé par "de vieux mâle blancs riches" comme tu dis, c'est le tien comme le mien, c'est le nôtre, il ne va pas bien mais il mérite mieux que ces déclarations irresponsables de pompiers pyromanes. Pour le reste, vas chez le coiffeur régler ton problème "d'insécurité capillaire", ou fais comme moi, attache-toi les cheveux. Tu verras, ça aère le cerveau. »
« Une collision avec un autre navire : telle est la raison, jamais évoquée par le ministère de la défense, pour laquelle a coulé la Minerve. Le 21 juillet 2019, après un demi-siècle d'abandon à l'obscurité, le sous-marin français a été retrouvé gisant au fond de la Méditerranée, face à Toulon. Au terme d'un demi-siècle de silence imposé par les autorités, les familles ont pu rendre hommage à leurs cinquante-deux proches, en mer. Leur fin tragique est reconstituée par l'enquête du fils du commandant du navire, Hervé Fauve, qui publie Retrouver la Minerve, ouvrage coécrit avec le journaliste Léonard Lièvre. […] Le livre répondra aux questions des passionnés d'histoire navale ; il pourra aussi intéresser les néophytes à la manière d'un roman policier. »
« En direct lors de l’émission de Jean-Jacques Bourdin sur RMC, Sibeth Ndiaye a confondu la production annuelle de Renault avec sa capacité de production », rapporte Auto Actu. Et cela, à plusieurs reprises. Quelque chose a dû lui échapper pendant qu’elle préparait son interview…
« La rumeur court depuis quelque temps : Tesla s'apprêterait à lancer une nouvelle batterie, plus puissante que toutes les précédentes. Reuters vient désormais d'annoncer que celle-ci sera disponible sur les Tesla Model 3 vendues en Chine, pour fin 2020-début 2021, avant d'être par la suite diffusée an Amérique du Nord et en Europe. Sa durée de vie serait spectaculaire : un million de miles (environ 1,6 million de kilomètres) selon Tesla, sachant que la batterie du modèle S est actuellement garantie pour 50 000 miles. »
Plan auto, prime à la casse, électrification : commentaire critique des annonces du président de la République. Un article écrit pour Politique Magazine.
La version 2020 du Dell XPS 15 pouces (référence 9500) dispose visiblement d'une batterie d'une qualité limitée. Celle-ci a été conçue pour supporter trois cents cycles de charge et décharge – contre un millier pour celle équipant les Macbook d'Apple. Cela ne préjuge pas nécessairement de la durée de vie de la batterie, mais indique néanmoins au bout de combien de temps on peut craindre de voir sa capacité chuter sous les 80 % d'origine. « Certains considèrent cette durée de vie comme une "norme industrielle" », précise Notebookcheck ; la politique de Dell n'en est pas moins jugée regrettable, « surtout lorsqu'il s'agit de choisir une machine qui devra peut-être fonctionner pendant plusieurs années ».
« Total lance une étude de faisabilité pour construire une usine de polypropylène recyclé en Europe. Pour ce projet, le Français s'est associé à l'américain Pure Cycle Technologies, détenteur d'une technologie licenciée par Procter & Gamble et qui permettrait de retirer tous les contaminants de déchets à haute teneur en polypropylène pour produire un équivalent de polypropylène vierge. L'étude déterminera la viabilité économique du projet, en particulier à travers l'accès à des filières compétitives de matières premières. »
« Corriger un seul mensonge en politique n'est pas possible. Si Twitter l'a fait et maintient sa position, on attendra du réseau social qu'il systématise démarche, sur chaque sujet et pour chaque prise de parole politique. Et même en faisant cela, il se confrontera à d'autres problèmes : quelle fausse vérité mérite une contextualisation ? Qui décide du poids social d'un débat et donc des mensonges qui lui sont liés ? Va-t-on contextualiser des informations sur le système démocratique, comme les élections, mais éviter des sujets moins fondamentaux, comme le débat sur une application mobile Et à quel degré considère-t-on que la désinformation politique est trompeuse ? À quel degré relève-t-elle de l'idéologie ? Bref, des questions que Twitter ne veut pas avoir à se poser, car aucune réponse n'est bonne. »
« C'est ce qui oppose le réseau social à la position de Mark Zuckerberg sur Facebook : "je pense que Facebook ne doit pas être l'arbitre de la vérité sur ce que les gens disent en ligne. En général, je ne pense pas qu'une entreprise privée, surtout si elle est une plateforme, doit dire ce qui est vrai ou pas", affirme-t-il, avant d'ajouter dans cette interview à Fox News que le réseau social ne " touche pas" au discours politique. Un parti-pris qui n'est pas dénué de critique non plus. […] Mais en tenant cette ligne, Zuckerberg reste dans une position confortable et plus socialement acceptable : ce n'est pas son entreprise qui doit trier dans la parole politique. Aux médias, experts et autres fact-checkers, très largement amplifiés par Facebook désormais, de faire ce travail de contextualisation. »
« C'est ce qui oppose le réseau social à la position de Mark Zuckerberg sur Facebook : "je pense que Facebook ne doit pas être l'arbitre de la vérité sur ce que les gens disent en ligne. En général, je ne pense pas qu'une entreprise privée, surtout si elle est une plateforme, doit dire ce qui est vrai ou pas", affirme-t-il, avant d'ajouter dans cette interview à Fox News que le réseau social ne " touche pas" au discours politique. Un parti-pris qui n'est pas dénué de critique non plus. […] Mais en tenant cette ligne, Zuckerberg reste dans une position confortable et plus socialement acceptable : ce n'est pas son entreprise qui doit trier dans la parole politique. Aux médias, experts et autres fact-checkers, très largement amplifiés par Facebook désormais, de faire ce travail de contextualisation. »
Vestiaire collective ? C'est « une plate-forme en ligne de dépôt-vente d'articles de luxe », rappellent Les Horizon. « Dix ans après sa création », est-il précisé, « l'entreprise |…] vient de lever récemment 59 millions d'euros ». Objectif : « développer son marché asiatique autour de la Corée ou du Japon, ainsi que renfoncer sa place sur le marché américain ».
« La justice italienne a confirmé en appel l'amende de 10 millions d'euros initialement infligée au constructeur en 2018 », rapporte Clubic. « La firme de Cupertino avait contesté la décision et fait appel mais la cour a confirmé l'amende en expliquant qu'Apple avait "mis en œuvre des pratiques commerciales déloyales" », est-il précisé. Rappelons toutefois que les conclusions initiales de l'Autorité de la concurrence et du marché italienne (AGCM) ne permettaient pas d'identifier sans ambiguïté un cas d'obsolescence programmée.
Que dire de la Chiron Pur Sport présentée par Bugatti ?
« C'est la face arrière qui apparaît la plus impressionnante », selon Nicolas Meunier, « avec un aileron arrière large de 1,90 mètres, aux supports en X qui se prolongent dans la grille inférieure ». « Sans détour », précise-t-il dans Challenges (27 mai 2020), « les stylistes de la marque avouent avoir puisé leur inspiration dans les vaisseaux de science-fiction » ; « en l'occurrence, le fameux X-Wing de la saga Star Wars ». Vraiment ? Ces appareils-là sont réputés pour leur agilité. Ce qui n'est sans doute pas la qualité première d'une auto frisant les deux tonnes…
« C'est la face arrière qui apparaît la plus impressionnante », selon Nicolas Meunier, « avec un aileron arrière large de 1,90 mètres, aux supports en X qui se prolongent dans la grille inférieure ». « Sans détour », précise-t-il dans Challenges (27 mai 2020), « les stylistes de la marque avouent avoir puisé leur inspiration dans les vaisseaux de science-fiction » ; « en l'occurrence, le fameux X-Wing de la saga Star Wars ». Vraiment ? Ces appareils-là sont réputés pour leur agilité. Ce qui n'est sans doute pas la qualité première d'une auto frisant les deux tonnes…
« Entre 2011 et 2019, près de 14 milliards de trésoreries publiques ont été rapatriés sur le compte unique du Trésor. […] L'augmentation de 6,4 milliards de dépôts à 133,2 milliards d'euros n'est plus d'actualité. L'étude d'impact chiffre les montants déposés à 128,4 milliards, mais l'inscription en LFR 2020 d'une augmentation "zéro" pourrait se traduire par des dépôts simplement en ligne avec l'exécution 2019. Deux phénomènes l'expliqueraient : des dépenses plus importantes des correspondants du Trésor "nationaux" dans le cadre de la lutte contre le Covid-19 ; la réforme du franc CFA en Afrique de l'Ouest, qui devrait se traduire par la suppression de l'obligation de dépôt pour la moitié des réserves de change de l'UEMOA sur le compte du Trésor français (actuellement 15,4 milliards d'euros) en raison de l'évolution des conventions financières ; enfin la baisse du prix du pétrole pourrait conduire les états africains producteurs à tirer sur leurs réserves centralisées sur le compte de l'État à la Banque de France. »
Extraits d'un article signée Agnès Giard.
« C'est l'histoire d'un étudiant américain âgé de dix-huit ans, Simon, et de sa petite amie, dix-neuf ans. Ils s'aiment, ils ont des relations sexuelles. Un jour, Simon, qui manque de confiance en lui-même, demande à sa petite amie si elle peut le sucer. "Il pensait se montrer aguicheur en faisant sa demande" mais c'est un peu raté. Elle le suce sans entrain. Au bout de trente secondes, voyant qu'elle n'y prend pas plaisir, Simon, arrête tout. Plusieurs mois passent. Le malheur veut qu'ils se séparent. Simon apprend qu'une plainte est déposée contre lui. Après une brève audience à huis clos, le voilà expulsé de l'Université pour avoir fait usage de "contrainte émotionnelle et verbale" envers son ex-copine. Simon se voit "attribuer pour la vie l'étiquette de délinquant sexuel", résume Laura Kipnis. Cela signifie qu'il ne pourra plus continuer ses études, car les établissements refusent les candidats reconnus coupables de "mauvais comportement". »
« Des exemples comme celui-là, Laura Kipnis en a des tonnes. Aux États-Unis, elle est devenue l'archiviste des cas d'injustice les plus flagrants du système. Le système, dit-elle, transforme en "agression sexuelle" le simple fait de demander une fellation. "Combien de postulats rétrogrades sur le sexe n'accrédite-t-on pas au nom de la lutte contre les agressions ! Non seulement la capacité d'agir de la femme a-t-elle été dans ce cas complètement gommée, mais notez la prémisse implicite du raisonnement : les étudiantes ne sont pas les égales des hommes en matière de force émotionnelle ou de maîtrise de soi, et elles requièrent qu'une horde d'administrateurs universitaires viennent pallier leur faiblesse. Autre prémisse implicite : le sexe est dangereux, et pendant ces trente secondes la femme a subi une blessure suffisamment grave pour exiger une réparation officielle." »
« Dans Le Sexe polémique, un livre à charge magnifiquement traduit aux éditions Liber, Laura Kipnis attaque. Le système de la délation, dit-elle, est une forme d'hystérie encouragée par les institutions qui prétendent le faire au nom de l'égalité entre les sexes. En Amérique, ces institutions sont les administrations des Universités, grassement payées pour garantir l'ordre. Il s'avère que le ministère de l'Éducation prive de financement tout établissement qui n'appliquerait pas strictement le titre IX (une loi contre la discrimination sexuelle). Pour montrer patte blanche, les Universités ont donc créé des Comités de surveillance qui ne peuvent justifier leur existence qu'en trouvant des coupables, c'est-à-dire en les créant de toutes pièces sur la base de simples rumeurs. Il suffit qu'une enseignante "soupçonnée" d'être lesbienne parle à deux étudiantes en chuchotant (parce qu'elles se trouvent dans une bibliothèque et qu'il est interdit d'y parler à voix haute). Elle est convoquée sans savoir de quoi on l'accuse, puis suspendue. »
« Faut-il voir une avancée dans ce mouvement qui encourage les femmes à porter plainte dès lors qu'une relation s'est mal passée ? Pourquoi les Comités soutiennent-ils les élèves même quand leur plainte est, de toute évidence, le résultat d'une confusion, d'un mal-être, d'un mélange mal digéré de culpabilité, de rancune et d'ignorance ? À qui profitent ces faux procès ? Pas aux femmes, répond Laura Kipnis. Celles-ci sont les premières victimes de la police des mœurs, pour deux raisons. La première raison, c'est que la bureaucratie accroît son pouvoir sur la base d'un discours doloriste qui cantonne systématiquement les femmes dans le rôle de proies passives, influençables, fragiles, incapables de savoir ce qu'elles veulent, inaptes à décider de leur sort. Bref, on fait d'elles des idiotes immatures. […] La deuxième raison c'est que loin de faire baisser le nombre de viols, le paternalisme contribue probablement à les augmenter. […] En surprotégeant la femme on la dissuade de se prendre en charge. […] On l'encourage à se percevoir comme une proie passive, et non pas comme une personne qui sait ce qu'elle veut, qui fait ce dont elle a envie. On la persuade que si ça se passe mal, ce sera toujours la faute de l'autre (puisque l'autre est un prédateur). Mais qu'en est-il dans la réalité ? »
« Dans le vrai monde, faire des expériences, c'est prendre des risques et accepter la part d'échec qui va avec. Comment rendre les femmes fortes avec un discours permanent de mise en garde contre les périls du sexe ? "Être maître de son propre corps, surtout pour les femmes, est un talent qui s'acquiert et qu'on doit enseigner", soutient Laura Kipnis, critiquant avec véhémence le discours sécuritaire (puritain) dominant. »
« C'est l'histoire d'un étudiant américain âgé de dix-huit ans, Simon, et de sa petite amie, dix-neuf ans. Ils s'aiment, ils ont des relations sexuelles. Un jour, Simon, qui manque de confiance en lui-même, demande à sa petite amie si elle peut le sucer. "Il pensait se montrer aguicheur en faisant sa demande" mais c'est un peu raté. Elle le suce sans entrain. Au bout de trente secondes, voyant qu'elle n'y prend pas plaisir, Simon, arrête tout. Plusieurs mois passent. Le malheur veut qu'ils se séparent. Simon apprend qu'une plainte est déposée contre lui. Après une brève audience à huis clos, le voilà expulsé de l'Université pour avoir fait usage de "contrainte émotionnelle et verbale" envers son ex-copine. Simon se voit "attribuer pour la vie l'étiquette de délinquant sexuel", résume Laura Kipnis. Cela signifie qu'il ne pourra plus continuer ses études, car les établissements refusent les candidats reconnus coupables de "mauvais comportement". »
« Des exemples comme celui-là, Laura Kipnis en a des tonnes. Aux États-Unis, elle est devenue l'archiviste des cas d'injustice les plus flagrants du système. Le système, dit-elle, transforme en "agression sexuelle" le simple fait de demander une fellation. "Combien de postulats rétrogrades sur le sexe n'accrédite-t-on pas au nom de la lutte contre les agressions ! Non seulement la capacité d'agir de la femme a-t-elle été dans ce cas complètement gommée, mais notez la prémisse implicite du raisonnement : les étudiantes ne sont pas les égales des hommes en matière de force émotionnelle ou de maîtrise de soi, et elles requièrent qu'une horde d'administrateurs universitaires viennent pallier leur faiblesse. Autre prémisse implicite : le sexe est dangereux, et pendant ces trente secondes la femme a subi une blessure suffisamment grave pour exiger une réparation officielle." »
« Dans Le Sexe polémique, un livre à charge magnifiquement traduit aux éditions Liber, Laura Kipnis attaque. Le système de la délation, dit-elle, est une forme d'hystérie encouragée par les institutions qui prétendent le faire au nom de l'égalité entre les sexes. En Amérique, ces institutions sont les administrations des Universités, grassement payées pour garantir l'ordre. Il s'avère que le ministère de l'Éducation prive de financement tout établissement qui n'appliquerait pas strictement le titre IX (une loi contre la discrimination sexuelle). Pour montrer patte blanche, les Universités ont donc créé des Comités de surveillance qui ne peuvent justifier leur existence qu'en trouvant des coupables, c'est-à-dire en les créant de toutes pièces sur la base de simples rumeurs. Il suffit qu'une enseignante "soupçonnée" d'être lesbienne parle à deux étudiantes en chuchotant (parce qu'elles se trouvent dans une bibliothèque et qu'il est interdit d'y parler à voix haute). Elle est convoquée sans savoir de quoi on l'accuse, puis suspendue. »
« Faut-il voir une avancée dans ce mouvement qui encourage les femmes à porter plainte dès lors qu'une relation s'est mal passée ? Pourquoi les Comités soutiennent-ils les élèves même quand leur plainte est, de toute évidence, le résultat d'une confusion, d'un mal-être, d'un mélange mal digéré de culpabilité, de rancune et d'ignorance ? À qui profitent ces faux procès ? Pas aux femmes, répond Laura Kipnis. Celles-ci sont les premières victimes de la police des mœurs, pour deux raisons. La première raison, c'est que la bureaucratie accroît son pouvoir sur la base d'un discours doloriste qui cantonne systématiquement les femmes dans le rôle de proies passives, influençables, fragiles, incapables de savoir ce qu'elles veulent, inaptes à décider de leur sort. Bref, on fait d'elles des idiotes immatures. […] La deuxième raison c'est que loin de faire baisser le nombre de viols, le paternalisme contribue probablement à les augmenter. […] En surprotégeant la femme on la dissuade de se prendre en charge. […] On l'encourage à se percevoir comme une proie passive, et non pas comme une personne qui sait ce qu'elle veut, qui fait ce dont elle a envie. On la persuade que si ça se passe mal, ce sera toujours la faute de l'autre (puisque l'autre est un prédateur). Mais qu'en est-il dans la réalité ? »
« Dans le vrai monde, faire des expériences, c'est prendre des risques et accepter la part d'échec qui va avec. Comment rendre les femmes fortes avec un discours permanent de mise en garde contre les périls du sexe ? "Être maître de son propre corps, surtout pour les femmes, est un talent qui s'acquiert et qu'on doit enseigner", soutient Laura Kipnis, critiquant avec véhémence le discours sécuritaire (puritain) dominant. »
Au programme de cette mise à jour : « de meilleures performances pour le disque dur », annonce Clubic. Cela « grâce à l'introduction d'un algorithme capable d'adapter les activités d'indexation du système pour Windows Search en fonction du taux d'usage du disque ». De quoi « donner un boost aux performances globales », selon Alexandre Schmid. Espérons-le !
Les progrès annoncés semblent bien maigres. On attend toujours une meilleure gestion de la mise à échelle : changement possible à la volée, ou du moins sans fermer la session ; application via le bureau à distance ; compatibilité assurée de toutes les fenêtres ou boites de dialogue avec un niveau de zoom élevé… Tout cela est-il si difficile à concevoir ?
« Yamaha intègre désormais les fonctionnalités Google Home à toute sa gamme Music Cast », annonce Clubic ; en effet, « jusqu'ici réservée à certains de ses modèles, la compatibilité Google Assistant sera étendue à l'ensemble des produits de la gamme sortis à partir de 2015 ». Selon Guillaume Fourcadier, qui rapporte cette information, la gamme Music Cast de Yamaha constituerait un « écosystème assez complet mais surtout bien tenu à jour ». À vérifier dans la durée !
« Grâce à de nouveaux modèles hybrides et électriques fabriqués à Dieppe, la marque Alpine pourrait être le porte-drapeau de Renault et l'un des porte-drapeaux de notre industrie automobile », conclut l'auteur de cette pétition. Voilà qui risque de refroidit certains passionnés. Cette réserve mise à part, il serait évidemment bien malheureux de voir cette usine disparaître. Dieppe sans Alpine, ce serait un peu comme Maranello sans Ferrari !
« La Plate-forme d'harmonisation, d'analyse, de recoupement et d'orientation des signalements compte aujourd'hui vingt-huit enquêteurs (policiers et gendarmes), chiffre l’Intérieur dans une réponse parlementaire. Au sein de l'Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication (OCLCTIC), Pharos exploite internet-signalement.gouv.fr qui permet à quiconque de signaler des contenus illicites en ligne. Une cellule composée de six enquêteurs des questions terroristes, en ayant aux manettes, la procédure administrative de retrait, blocage et déréférencement des sites internet à caractère terroriste. six autres enquêteurs ont intégré une cellule spécialisée en matière de droit de la presse et de discriminations. »
« Un peu d'humain et beaucoup de souris : c'est la recette qui a permis la création d'embryons d'un nouveau genre. […] Pour arriver à ce résultat, les scientifiques ont intégré des cellules humaines dans un embryon de souris. Les cellules se sont développées dans des tissus destinées à devenir le foie, le cœur, la moelle osseuse et le sang de la future souris. Au total, l'embryon a survécu pendant dix-sept jours, son développement ayant été interrompu par l'équipe de chercheurs – probablement pour des raisons éthiques, la recherche sur les chimères n'étant pas interdite par la loi fédérale américaine. »
« Cette expérience a vocation à être reproduite, indiquent les chercheurs dans leur étude, notamment pour pallier à terme la pénurie de dons d'organes. […] Cette fois, ils ont réussi à passer un cap essentiel : la culture d'un pourcentage relativement élevé de cellules humaines chez un animal. Habituellement, celles-ci survivent assez mal dans ces conditions. Mais cette fois, les chercheurs ont réussi à cultiver jusqu'à 4 % de cellules humaines dans les embryons de souris, le taux le plus bas étant de 0,1 %. […] Ce taux de 4 % a été atteint en reculant l'horloge biologique des cellules humaines. Grâce à une protéine, les chercheurs les ont ramenées à un "stade naïf", ce qui leur a permis de mieux se développer dans l'embryon de souris. »
« Cette expérience a vocation à être reproduite, indiquent les chercheurs dans leur étude, notamment pour pallier à terme la pénurie de dons d'organes. […] Cette fois, ils ont réussi à passer un cap essentiel : la culture d'un pourcentage relativement élevé de cellules humaines chez un animal. Habituellement, celles-ci survivent assez mal dans ces conditions. Mais cette fois, les chercheurs ont réussi à cultiver jusqu'à 4 % de cellules humaines dans les embryons de souris, le taux le plus bas étant de 0,1 %. […] Ce taux de 4 % a été atteint en reculant l'horloge biologique des cellules humaines. Grâce à une protéine, les chercheurs les ont ramenées à un "stade naïf", ce qui leur a permis de mieux se développer dans l'embryon de souris. »
« En résumé, à deux reprises dans l'histoire, un groupe de râles a colonisé une même île et, sous des conditions environnementales locales très proches, a indépendamment évolué vers la même espèce. "Les conditions étaient telles sur Aldabra, la plus importante étant l'absence de prédateurs terrestres et de mammifères concurrents, qu'un râle a évolué indépendamment à chaque fois vers une inaptitude au vol", commente David Martill, l'un des paléontologues. Évidemment, c'est un processus relativement rare, qui comporte son lot de chanceux hasards (l'itération, mathématiquement, se définit comme la résolution d'une équation par des approximations successives). Ce n'est pas le premier exemple d'évolution itérative, mais c'est la première fois que des preuves existent d'un tel processus chez des oiseaux. »
C'est la première Alpine ! Mais toute sa conception n'a pas été dictée par Jean Rédélé : en effet, c'est seulement « le tour de force du cabriolet fabriqué par ses soins lui permettra de reprendre la main sur une auto qui n'était pas de lui » ; « ce que l'on ne peut pas dire des A108 et A110 qui portent bien plus sa marque ». Par ailleurs, « si une légende veut que le numéro 106 soit issu d'un numéro de course de Rédélé, il est en fait issu du type mine des 4CV sportives de l'époque, les 1060, 1062 et 1063 ».
« Sur la voiture, il sera sans doute très compliqué pour les acteurs du rétrofit de parvenir à développer leur business sans aide gouvernementale face à des constructeurs désormais capables de proposer des voitures électriques neuves à moins de 20 000 euros bonus déduit », prévient Michaël Torregrossa. « Sur le scooter, où les prix du neuf deviennent de plus en plus attractifs, le constat est plus ou moins identique » selon lui. En revanche, poursuit-il, « sur l'utilitaire et les véhicules lourds, il y a sans doute davantage de marge de manœuvre » ; en effet, explique-t-il, « sur ces segments, le rétrofit est susceptible de répondre à des besoins non couverts par les grands constructeurs, notamment au niveau des véhicules spéciaux ».
« Si l'objectif d'un actionnaire est de maximiser sa richesse, alors le paiement ou non d'un dividende n'a aucune importance. En effet, le cours de bourse d'un titre baisse, toute chose étant égale par ailleurs, du montant du dividende versé. […] Si aucun dividende n'est versé, la totalité de la richesse de l'actionnaire est concentrée sur la valeur de son action. Si un dividende est versé, sa richesse est répartie entre la nouvelle valeur du titre et le dividende. »
« Il convient également de préciser que dividendes et relance économique ne sont pas contradictoires. Du point de vue de l'économie dans son ensemble, les versements de dividendes ou rachats d'actions par les entreprises permettent de redistribuer de l'argent aux actionnaires qui peut être ensuite réinvesti dans d'autres sociétés qui ont de meilleures perspectives de croissance. Les actionnaires peuvent ainsi réinvestir cet argent dans des sociétés en croissance qui ont besoin de fonds pour se développer, et ainsi permettre le développement de l'économie. Le versement de dividendes fait donc partie des mécanismes de base qui permet aux économies de marché de fonctionner de manière efficace. »
« Il convient également de préciser que dividendes et relance économique ne sont pas contradictoires. Du point de vue de l'économie dans son ensemble, les versements de dividendes ou rachats d'actions par les entreprises permettent de redistribuer de l'argent aux actionnaires qui peut être ensuite réinvesti dans d'autres sociétés qui ont de meilleures perspectives de croissance. Les actionnaires peuvent ainsi réinvestir cet argent dans des sociétés en croissance qui ont besoin de fonds pour se développer, et ainsi permettre le développement de l'économie. Le versement de dividendes fait donc partie des mécanismes de base qui permet aux économies de marché de fonctionner de manière efficace. »
« Il y a une volonté manifeste de faire changer d'appareils », affirme Romuald Priol, de Green IT, cité par le média suisse Bilan. « Batteries non accessibles, composants collés, la liste est longue » selon lui. « En Italie, Samsung et Apple ont été condamnés pour obsolescence programmée pour avoir poussé à des mises à jour du système qui ralentissaient le fonctionnement des appareils plus anciens », poursuit-il. Vraiment ?
Même si ces deux fabricants ont bien été condamnés dans ce pays, il l'ont été surtout pour un défaut d'information, sans que soit démontrée leur volonté d'introduire des dysfonctionnements dans les appareils déjà vendus à leurs clients. De fait, concernant Apple, l'Autorité de la concurrence et du marché italienne (AGCM) rend compte d'une « prise de conscience » progressive au sein de l'entreprise, consécutive à des pannes « imprévues », laissant clairement entendre que rien de tout cela n'avait été "programmé".
Même si ces deux fabricants ont bien été condamnés dans ce pays, il l'ont été surtout pour un défaut d'information, sans que soit démontrée leur volonté d'introduire des dysfonctionnements dans les appareils déjà vendus à leurs clients. De fait, concernant Apple, l'Autorité de la concurrence et du marché italienne (AGCM) rend compte d'une « prise de conscience » progressive au sein de l'entreprise, consécutive à des pannes « imprévues », laissant clairement entendre que rien de tout cela n'avait été "programmé".
« Y a t-il une obsolescence programmée sur les Macbook ? » La question est posée sur le blog Consommatrice. « Sans rentrer dans la parano ou quelconque théorie du complot », écrit Mélanie Mâge, l'auteur de ce billet, « bizarrement mon ancien Macbook Air de 2005 tombe en panne pile au moment de la sortie du nouveau tout comme celui d'une amie Facebook ». Mais suggérer que rien n'est jamais fortuit, n'est-ce pas, précisément, verser dans une démarche conspirationniste ? Quoi qu'il en soit, si c'est bien le disque qui a lâché, réclamer 500 euros pour le changer semble assurément excessif.
Peut-être n'est-il d'ailleurs pas le seul. « Agissons ensemble », lit-on en accroche d'une annonce dans l'un de ses magasins. Commentaire d'Olivier Dauvers, sur son blog consacré à la distribution : « Il y a quelques mois, "agir ensemble", c'était accompagner le client dans une consommation plus responsable. La chasse au plastique par exemple. Désormais, c'est l'inverse. Vive le jetable. Autre temps, autres mœurs ! »
Extrait d'un éditorial signé Pierre-Gabriel Bieri, paru dans une lettre hebdomadaire (15 avril 2020) du Cente patronal, l'équivalent suisse du Medef :
« Il faut éviter que certaines personnes soient tentées de s'habituer à la situation actuelle, voire de se laisser séduire par ses apparences insidieuses : beaucoup moins de circulation sur les routes, un ciel déserté par le trafic aérien, moins de bruit et d'agitation, le retour à une vie simple et à un commerce local, la fin de la société de consommation... Cette perception romantique est trompeuse, car le ralentisse-ment de la vie sociale et économique est en réalité très pénible pour d'innombrables habitants qui n'ont aucune envie de subir plus longtemps cette expérience forcée de décroissance. La plupart des individus ressentent le besoin, mais aussi l'envie et la satisfaction, de travailler, de créer, de produire, d'échanger et de consommer. On peut le faire plus ou moins intelligemment, et on a le droit de tirer quelques leçons de la crise actuelle. Mais il est néanmoins indispensable que l'activité économique reprenne rapidement et pleinement ses droits. »
« Il faut éviter que certaines personnes soient tentées de s'habituer à la situation actuelle, voire de se laisser séduire par ses apparences insidieuses : beaucoup moins de circulation sur les routes, un ciel déserté par le trafic aérien, moins de bruit et d'agitation, le retour à une vie simple et à un commerce local, la fin de la société de consommation... Cette perception romantique est trompeuse, car le ralentisse-ment de la vie sociale et économique est en réalité très pénible pour d'innombrables habitants qui n'ont aucune envie de subir plus longtemps cette expérience forcée de décroissance. La plupart des individus ressentent le besoin, mais aussi l'envie et la satisfaction, de travailler, de créer, de produire, d'échanger et de consommer. On peut le faire plus ou moins intelligemment, et on a le droit de tirer quelques leçons de la crise actuelle. Mais il est néanmoins indispensable que l'activité économique reprenne rapidement et pleinement ses droits. »
« Patriarchy and capitalism continue to reignite in this pandemic in order to continue exploiting women’s bodies.Paying a woman for her reproductive capacity unleashes a new field of exploitation for our bodies. The selfishness of these couples prevails over the interests of the minors, unprotected. They risk that these babies can enter the country of reception, their future, in pursuit of their parenthood wishes and dreams. Femen reaffirms a position against reproductive exploitation from an anti-capitalist and anti-patriarchal perspective. We cannot allow other countries to function as incubators for couples for other countries, as Spain does with Ukraine. These people take advantage of the laws of these countries to avoid the legality in our territory and exploit women in another. Parenthood is not a right ! »
En cause : « des problèmes de "drift" (mouvement fantôme) » ; « le souci viendrait d'un défaut de fabrication du potentiomètre, un composant qui sert à traduire l'inclinaison du joystick en une impulsion électrique » ; « la partie mobile de ce dernier s'userait à force d'utilisation, entraînant parfois un contact électrique qui se traduit à l'écran par un mouvement non souhaité par le joueur, d'après la plainte ». Celle-ci a été déposé le 28 avril dans l'État de Washington.
« En juillet dernier, Nintendo a été visé par une action en justice similaire aux États-Unis concernant les Joy-Con de la Switch » ; « la firme a ensuite proposé des réparations gratuites hors garantie au pays de l'Oncle Sam, avant d'en faire de même dans l'Hexagone ». Reste à savoir si son concurrent réagira de la même façon.
« En juillet dernier, Nintendo a été visé par une action en justice similaire aux États-Unis concernant les Joy-Con de la Switch » ; « la firme a ensuite proposé des réparations gratuites hors garantie au pays de l'Oncle Sam, avant d'en faire de même dans l'Hexagone ». Reste à savoir si son concurrent réagira de la même façon.
Et cela, depuis un peu plus d'un an. En effet, rapporte Cheek Magazine, « le gouvernement du SPD (Parti Social Démocrate Allemand), mené par le maire Michael Müller, a voté en juin dernier une mesure sans précédent en Europe : destiner une partie du budget alloué aux cinémas berlinois à la projection et au soutien du porno éthique ». « Le but », paraît-il : « promouvoir les productions locales et, à plus long terme, les inclure dans les programmes télévisés ». Ce faisant, « les sociaux-démocrates suivent […] le modèle de la Suède, pionnière de la révolution de l'éducation sexuelle à travers le cinéma pour adultes ».
« Nous travaillons sur une base de scénario mais ici personne ne te dit "coupez", personne ne te dit comment faire, ce que nous montrons est du sexe avec une connexion, et véritable », selon le témoignage d'une actrice ; « nous évoluons dans un milieu gender free, queer, bi et trans. Le porno féministe est du porno fait normalement, pour et par des femmes, où est aboli le rôle de l'homme blanc dominant, qui chosifie la femme et où prédomine une vision misogyne ». Tout un programme.
« Nous travaillons sur une base de scénario mais ici personne ne te dit "coupez", personne ne te dit comment faire, ce que nous montrons est du sexe avec une connexion, et véritable », selon le témoignage d'une actrice ; « nous évoluons dans un milieu gender free, queer, bi et trans. Le porno féministe est du porno fait normalement, pour et par des femmes, où est aboli le rôle de l'homme blanc dominant, qui chosifie la femme et où prédomine une vision misogyne ». Tout un programme.
« Le site lancé par la Maison Blanche, baptisé "Tech Biais" (que l'on pourrait traduire par "Parti pris politique de l'industrie tech"), propose ainsi un formulaire dans lequel renseigner ses coordonnées, le réseau social à l'origine de la présupposée censure ainsi que captures écran du contenu supprimé et de la notification émise par le réseau social incriminé. "L'administration Trump se bat pour la libre expression en ligne", peut-on lire dans un tweet de la Maison Blanche. "Quels que soient vos avis, si vous suspectez avoir été censuré ou interdit de parler en raison d'un parti pris politique, dites-le-nous, cela nous intéresse !". Et de préciser que "trop d'Américains ont vu leurs comptes suspendus, interdits ou dénoncés frauduleusement pour d'obscures 'violations' des règles d'utilisation". »
« Un matin, se levant du pied gauche, elle a décidé qu’il fallait "démasculiniser le langage" et créer une "langue féministe", ce à quoi elle réfléchissait "depuise des années". Du coup elle a "inventée la concepte de la féminine universelle", a ajouté des "e" un peu partout, histoire de bien féminiser la langue, et a donc "toute naturellemente" remplacé le "Il était une fois" des contes par "Elle était une fois". »
« La Commission européenne a adopté, le 8 avril 2020, une communication sur le cadre temporaire applicable à l’appréciation des pratiques anticoncurrentielles dans les coopérations mises en place entre des entreprises pour réagir aux situations d’urgence découlant de la pandémie actuelle de Covid-19. Cette communication autorise notamment des entreprises concurrentes à coordonner temporairement leurs actions afin de lutter contre les pénuries en produits essentiels, que ceux-ci soient utilisés directement ou non dans le traitement des patients atteints du coronavirus. […] En outre […], la Commission a réinstauré, a priori de façon temporaire, le mécanisme des lettres de confort, qui étaient délivrées avant 2003 mais ont depuis lors été abandonnées, au profit […] d’un auto-examen par les entreprises de la compatibilité de leurs comportements avec le droit de la concurrence. »
Un lave-linge qui fait rêver ? Presque ! Ce projet avait suscité un certain enthousiasme : on nous promettait une machine facile à réparer. Mais voilà : « les discussions menées avec plusieurs acteurs industriels du secteur de l'électroménager n'ont pas abouti à des pistes de collaboration tangibles », a-t-il été annoncé il y a déjà trois mois, le 13 février 2020.
En cause, selon les promoteurs du projet : « les doutes de nos interlocuteurs quant à notre capacité à vendre suffisamment de machines à laver l'Increvable pour que cela justifie d'y investir du temps, de l'énergie et des financements de leur côté ».
« En attendant un potentiel débouché industriel », précisent-ils, « l'Increvable en tant que projet d'entreprise visant à produire et commercialiser de l'électroménager durable va donc être mis en pause ». Cependant, nous annoncent-ils, « vous continuerez néanmoins à en entendre parler puisqu'il est d'ores et déjà prévu que la machine soit présentée lors de plusieurs expositions à venir ». Affaire toujours à suivre donc.
En cause, selon les promoteurs du projet : « les doutes de nos interlocuteurs quant à notre capacité à vendre suffisamment de machines à laver l'Increvable pour que cela justifie d'y investir du temps, de l'énergie et des financements de leur côté ».
« En attendant un potentiel débouché industriel », précisent-ils, « l'Increvable en tant que projet d'entreprise visant à produire et commercialiser de l'électroménager durable va donc être mis en pause ». Cependant, nous annoncent-ils, « vous continuerez néanmoins à en entendre parler puisqu'il est d'ores et déjà prévu que la machine soit présentée lors de plusieurs expositions à venir ». Affaire toujours à suivre donc.
Le critique de Satr Wars Universe a été enthousiasmé par The Art of Rebels, un livre richement illustré – où le texte viendrait presque à manquer ! – dévoilant quelques-un des coulisses de cette sympathique série d'animation.
« Quand il s'agit de personnages ou d'objet déjà apparu dans les films, les artistes ont procédé à une simplification des détails tout en gardant les caractéristiques majeures », apprend-on notamment au fil de l'ouvrage : « il en est ainsi pour les chasseurs Tie, les AT-AT, les A-Wing, Tarkin, Vador, etc. » ; « d'ailleurs, concernant les vaisseaux, les simplifications ont été aidées en étudiant les jouets vintage Kenner ».
Le monde à l'envers ?
« Quand il s'agit de personnages ou d'objet déjà apparu dans les films, les artistes ont procédé à une simplification des détails tout en gardant les caractéristiques majeures », apprend-on notamment au fil de l'ouvrage : « il en est ainsi pour les chasseurs Tie, les AT-AT, les A-Wing, Tarkin, Vador, etc. » ; « d'ailleurs, concernant les vaisseaux, les simplifications ont été aidées en étudiant les jouets vintage Kenner ».
Le monde à l'envers ?
« Le Conseil d'État a ordonné le 18 mai 2020 la suspension de la surveillance du confinement par drone par la police parisienne. […] Le Conseil d'État estime qu'une surveillance policière par drone ne pourra être envisagée qu'après l'intervention du pouvoir réglementaire et l'avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil). À défaut, les préfectures devront doter les appareils utilisés de "dispositifs techniques de nature à rendre impossible […] l'identification des personnes filmées". »
« Le rôle de l'état-major de la Marine est de mettre à disposition de l'EMA des moyens (bateaux, aéronefs et équipages) à même de remplir leurs missions. Il ne les commande donc pas à la mer. C'est la différence entre l'"organique" et l'"opérationnel". Il existe néanmoins une certaine "ambiguïté" en matière navale, comme le reconnaît un proche du dossier. En effet, un bateau à la mer continue à s'entraîner en permanence – y compris pendant les opérations. C'est par exemple le cas des pilotes du Charles de Gaulle qui poursuivent leur qualification, y compris pendant la participation à Chammal. Cet entraînement reste du ressort de l'état-major de la Marine, via ses commandements comme la Force d'action navale (Alfan) ou de l'aéronautique navale (Alavia). »
« Le plastique végétal produit par Avantium a des qualités de durabilité très intéressantes, assure Tom van Aken, le P-DG de la société », cité par le Courrier international. La preuve : « des essais ont montré que ce nouveau plastique végétal "se décomposerait en un an en utilisant un composteur", et en quelques années de plus "dans des conditions extérieures normales" ». Autrement dit, ce qui est « durable », aujourd'hui, selon la novlangue écologiste, ce n'est pas ce qui résiste à l'épreuve du temps, ce que l'on transmet de génération en génération… C'est, au contraire, l'éphémère, l'effaçable, l'oubliable… C'est un renversement remarquable !
« Plusieurs Hongrois ont été interpellés pour avoir critiqué leur gouvernement sur les réseaux sociaux » ; faut-il y voir le signe de la dérive dictatoriale de ce pays ?
« Mercredi, c'est un membre du parti d'opposition Momentum qui a été détenu quelques heures » ; « il avait publié un message sur une mesure controversée ayant conduit à expulser de nombreux patients des hôpitaux hongrois pour libérer des lits en prévision d'une aggravation de l'épidémie de Covid-19 ». Un sort similaire n'a-t-il pas été réservé, en France, à ceux qui avaient déployé une banderole « Macronavirus » sur la façade de leur habitation ?
« La veille, la police avait annoncé avoir perquisitionné le domicile d'un homme de soixante-quatre ans pour un message posté le mois dernier sur les réseaux sociaux » ; « le message visé critiquait les mesures de confinement avec le commentaire suivant : "vous êtes un tyran sans pitié, mais rappelez-vous, les dictateurs tombent toujours" ». Qu'est-il advenu ? « Le sexagénaire a indiqué à la presse que la police l'avait interrogé sur la personne visée par le mot "dictateur", avant de le relâcher » ; et finalement, « les procureurs ont indiqué mercredi que ce cas avait été classé ». La Hongrie se montrerait-elle moins sévère que la France ? Chez-nous, en février dernier, un homme a été condamné, lui, pour avoir comparé le ministre de l'Intérieur et le président de la République à Oussama ben Laden et Saddam Hussein…
« Mercredi, c'est un membre du parti d'opposition Momentum qui a été détenu quelques heures » ; « il avait publié un message sur une mesure controversée ayant conduit à expulser de nombreux patients des hôpitaux hongrois pour libérer des lits en prévision d'une aggravation de l'épidémie de Covid-19 ». Un sort similaire n'a-t-il pas été réservé, en France, à ceux qui avaient déployé une banderole « Macronavirus » sur la façade de leur habitation ?
« La veille, la police avait annoncé avoir perquisitionné le domicile d'un homme de soixante-quatre ans pour un message posté le mois dernier sur les réseaux sociaux » ; « le message visé critiquait les mesures de confinement avec le commentaire suivant : "vous êtes un tyran sans pitié, mais rappelez-vous, les dictateurs tombent toujours" ». Qu'est-il advenu ? « Le sexagénaire a indiqué à la presse que la police l'avait interrogé sur la personne visée par le mot "dictateur", avant de le relâcher » ; et finalement, « les procureurs ont indiqué mercredi que ce cas avait été classé ». La Hongrie se montrerait-elle moins sévère que la France ? Chez-nous, en février dernier, un homme a été condamné, lui, pour avoir comparé le ministre de l'Intérieur et le président de la République à Oussama ben Laden et Saddam Hussein…
Cet article n'entre pas trop dans les détails techniques. Par exemple, il donne peu d'explications pour comprendre l’origine de cette curiosité propre à la R16, dont l'espacement entre les roues avant et arrière n'était pas le même de chaque côté de la voiture ! Il en recense néanmoins toutes les évolutions esthétiques et mécaniques. Saviez-vous, par exemple, qu'aucun losange n'était présent sur la calandre des premiers modèles ? Ou qu'une version avait été adaptée aux spécificité du marché américain ?
Le recours à l'écriture dite inclusive produit-il « un contenu neutre, débarrassé de toute notion de genre », comme on le lit sur Abondance ? Cette pratique interdit de parler de quoi que ce soit sans distinguer les hommes et les femmes ; c'est donc l'inverse… De cette vidéo, on retiendra surtout que si vous utilisez les formes les moins lisibles de l'écriture inclusives (points médians, tirets, etc.), « il y a assez peu de chance en général que vous soyez trouvé avec des requêtes classiques » effectués sur un moteur de recherche. Par conséquent, du point de vue d'un éditeur soucieux de son référencement, « ce n'est ps une très bonne idée » d'y recourir.
Le New York Times et le Financial Times sont dans le collimateur de Moscou. Ils sont suspectés d'avoir versé dans la « désinformation » après avoir chacun affirmé que les méfaits du coronavirus étaient sous-estimés en Russie. « Nous voyons, avec de plus en plus de preuves, que certaines forces en Occident cherchent à utiliser la crise actuelle pour discréditer les efforts gouvernementaux dans un certain nombre de pays et à déstabiliser la situation », a déclaré Maria Zakharova, porte-parole de la diplomatie russe. Bref, on parle des médias occidentaux en Russie à peu près comme on perle en France des médis russes.
« Devant la panique, les hommes politiques des pays du Sud, notamment français, ont ressorti un de leurs marronniers favoris : des obligations émises par les institutions européennes, sur le modèle des bons du Trésor américain, nommées eurobonds (puis "coronabonds", histoire de culpabiliser les sceptiques). »
De quoi susciter l'enthousiasme des promoteurs les plus fervents de la construction européenne ? Pas forcément, comme en témoigne cette tribune signée Éric Drevon-Mollard, membre des Jeunes Européens.
« Si le concept d'obligation fédérale n'est pas absurde dans une Union qui aurait parachevé sa construction politique, le moment est fort mal choisi : tous les pays européens souffrent économiquement, y compris les moins impactés et ceux qui avaient réformé leurs économies quand c'était le moment (pensons à l'Allemagne et aux Pays Bas). Leur demander de payer (et se persuader qu'ils doivent le faire) n'est pas la solution. Ils souffrent aussi (certes un peu moins que la France et l'Italie), et le sentiment national européen n'a pas commencé à être construit. Le risque est donc de conduire à des blocages politiques et à des rancœurs des deux côtés qui peuvent disloquer l'Union européenne. »
En résumé :
« Les eurobonds ne sont pas la bonne réponse aux enjeux politiques et économiques auxquels l'Union européenne doit faire face. En effet, les importants excédents d'épargne des pays du Nord ne demandent qu'à s'investir dans des projets rentables à long terme en Europe. Aux pouvoirs publics de donner le bon cadre réglementaire pour faire revenir la confiance des épargnants envers les pays du Sud, en favorisant de bons investissements, sources de croissance sur le long terme et de bons emplois pour les citoyens européens. Ce cadre prendrait la forme d'obligations privées qui mobiliseraient efficacement l'épargne des pays du Nord vers la construction de centrales nucléaires et la modernisation du capital des entreprises. »
De quoi susciter l'enthousiasme des promoteurs les plus fervents de la construction européenne ? Pas forcément, comme en témoigne cette tribune signée Éric Drevon-Mollard, membre des Jeunes Européens.
« Si le concept d'obligation fédérale n'est pas absurde dans une Union qui aurait parachevé sa construction politique, le moment est fort mal choisi : tous les pays européens souffrent économiquement, y compris les moins impactés et ceux qui avaient réformé leurs économies quand c'était le moment (pensons à l'Allemagne et aux Pays Bas). Leur demander de payer (et se persuader qu'ils doivent le faire) n'est pas la solution. Ils souffrent aussi (certes un peu moins que la France et l'Italie), et le sentiment national européen n'a pas commencé à être construit. Le risque est donc de conduire à des blocages politiques et à des rancœurs des deux côtés qui peuvent disloquer l'Union européenne. »
En résumé :
« Les eurobonds ne sont pas la bonne réponse aux enjeux politiques et économiques auxquels l'Union européenne doit faire face. En effet, les importants excédents d'épargne des pays du Nord ne demandent qu'à s'investir dans des projets rentables à long terme en Europe. Aux pouvoirs publics de donner le bon cadre réglementaire pour faire revenir la confiance des épargnants envers les pays du Sud, en favorisant de bons investissements, sources de croissance sur le long terme et de bons emplois pour les citoyens européens. Ce cadre prendrait la forme d'obligations privées qui mobiliseraient efficacement l'épargne des pays du Nord vers la construction de centrales nucléaires et la modernisation du capital des entreprises. »
Ces voitures seront destinées en priorité à l'Inde, puis à l'Amérique latine et à l'Afrique du Nord. Le prix : 10 000 euros. C'est « dans la fraction haute du marché indien, où le prix de vente moyen des voitures tourne autour de 5 000 euros », précise Challenges ; « en revanche, ce serait pile dans le créneau des voitures d'entrée de gamme au Brésil ». Qu'en sera-t-il chez nous ? « On pourra utiliser la plate-forme en Europe, mais avec des véhicules différents visuellement », révèle Vincent Cobée, directeur de la marque aux Chevrons. Selon Alain-Gabriel Verdevoye, « la future C3 […] pourrait être a priori développée sur cette plate-forme moins sophistiquée ». Par le passé, Citroën avait déjà annoncé un "retour à l'essentiel", avec le concept Cactus, sans vraiment donner suite, malgré la commercialisation du modèle éponyme. Affaire à suivre.
« Estimant qu'il était "logique" que les célibataires aient eux aussi besoin de contact physique, le RIVM, l'institut de santé publique néerlandais, a publié cette semaine des recommandations à l'usage des célibataires. On y lisait : "Il est très important de maintenir le risque de transmission du coronavirus au plus bas niveau possible, [y compris] dans le cadre de l'intimité et des rapports sexuels. Vous pouvez par exemple vous mettre d'accord avec une seule et même personne pour avoir des rapports physiques ou sexuels, par exemple un partenaire de câlins ou un sexbuddy." En réalité, note le site d'information néerlandais NU.nl, "les réactions dans les médias et sur les réseaux sociaux ont pris une ampleur que le RIVM n'avait pas vu venir." C'est pourquoi le message a été quelque peu atténué le 15 mai. Le passage évoquant les "partenaires de câlin" ou "sexbuddies" a disparu du site, note NU.nl. »
« Pourvue d'un système de calage intégré », cette boîte – « The Box » – proposée par Living Packets « remplace à la fois le carton à usage unique et les mousses de calage », rapporte L'Usine nouvelle. « Grâce à une fermeture aimantée, le produit n'a pas besoin d'adhésif ». De plus, « l'étiquette digitale remplace son équivalent en papier ». Ce produit connecté – ce qui « permet de sécuriser et de suivre la commande » est « garanti pour mille utilisations ». Les premiers exemplaires « seront en circulation cette année ». Reste à savoir comment s'organisera leur collecte après réception des colis.
Apple vient d'accoler l'étiquette "vintage" à six nouveaux produits.
« Cela veut dire que le support technique dépendra des stocks de pièces détachées officielles, disponibles en Genius Bar et chez les réparateurs agréés », explique Phonandroid ; « une fois les stocks épuisés, le produit vintage ou obsolète ne peut plus y être réparé » ; « il faut alors passer par des réparateurs tiers avec des pièces non officielles ».
De là à parler d'obsolescence programmée, il y a un pas que nous ne franchirons pas, contrairement à Sam Azzemou, qui parle également, et plus justement, d'une « politique d'obsolescence graduée ».
En effet, rappelle-t-il, « les étapes de la vie d'un produit Apple sont l'arrêt de sa commercialisation, l'arrêt des mises à jour, l'arrêt partiel de la prise en charge en Genius Bar et le refus systématique des produits en Genius Bar ». « La troisième étape concerne les produits dits "vintages" », considérés comme tels par leur fabricant « cinq à sept ans » après la fin de leur commercialisation, précise-t-il ; et « la dernière concerne les produits dits "obsolètes" » – une appellation à laquelle Apple n'a pas renoncé en dépit des connotations négatives.
La marque à la Pomme se distinguerait-elle surtout par sa transparence ?
« Cela veut dire que le support technique dépendra des stocks de pièces détachées officielles, disponibles en Genius Bar et chez les réparateurs agréés », explique Phonandroid ; « une fois les stocks épuisés, le produit vintage ou obsolète ne peut plus y être réparé » ; « il faut alors passer par des réparateurs tiers avec des pièces non officielles ».
De là à parler d'obsolescence programmée, il y a un pas que nous ne franchirons pas, contrairement à Sam Azzemou, qui parle également, et plus justement, d'une « politique d'obsolescence graduée ».
En effet, rappelle-t-il, « les étapes de la vie d'un produit Apple sont l'arrêt de sa commercialisation, l'arrêt des mises à jour, l'arrêt partiel de la prise en charge en Genius Bar et le refus systématique des produits en Genius Bar ». « La troisième étape concerne les produits dits "vintages" », considérés comme tels par leur fabricant « cinq à sept ans » après la fin de leur commercialisation, précise-t-il ; et « la dernière concerne les produits dits "obsolètes" » – une appellation à laquelle Apple n'a pas renoncé en dépit des connotations négatives.
La marque à la Pomme se distinguerait-elle surtout par sa transparence ?
« Comment retrouver une souveraineté industrielle ? "En cessant d'être naïfs et lâches", s'agace Christian Saint-Étienne, professeur au Conservatoire national des arts et métiers. Pour lui, cette pandémie montre surtout la faiblesse stratégique du Vieux Continent. "Contrairement à la Chine ou aux États-Unis, l'Europe a été le seul acteur mondial à ne pas être stratège, puisque dominé par la règle de la concurrence inscrite dans le traité de Rome de mars 1957." Sa proposition ? Que la France se dote d'une vraie politique industrielle, quitte à croiser le fer avec la Commission. »
« Mais, selon l'économiste, l'erreur serait de croire que la France peut agir seule : "Elle n'a pas la taille suffisante pour retrouver des capacités stratégiques fortes." Sur tout, on aurait tort de chercher à s'allier à tout prix avec l'Allemagne, "qui nous regarde de haut". C'est plutôt avec les pays du Sud qu'il convient de nouer des partenariats. "L'Espagne est plus robotisée que la France ; l'Italie du Nord dispose d'un véritable tissu industriel ; le Portugal, d'une main-d'œuvre compétente…", assure-t-il. Seules ces alliances permettront à l'Hexagone de créer des filières d'avenir solides et modernes. »
« Mais, selon l'économiste, l'erreur serait de croire que la France peut agir seule : "Elle n'a pas la taille suffisante pour retrouver des capacités stratégiques fortes." Sur tout, on aurait tort de chercher à s'allier à tout prix avec l'Allemagne, "qui nous regarde de haut". C'est plutôt avec les pays du Sud qu'il convient de nouer des partenariats. "L'Espagne est plus robotisée que la France ; l'Italie du Nord dispose d'un véritable tissu industriel ; le Portugal, d'une main-d'œuvre compétente…", assure-t-il. Seules ces alliances permettront à l'Hexagone de créer des filières d'avenir solides et modernes. »
L'Argus croit savoir qu'un tel modèle sera vraisemblablement commercialisé d'ici trois ou quatre ans. On verra bien. « La marque française [...] ne peut vivre sur un seul modèle », est-il affirmé en introduction. Dans ce cas, pourquoi une petite sportive basé sur la plate-forme de la Twingo – une propulsion ! – ne pourrait-elle pas voir le jour ? À noter, dans cet article, un rappel bienvenu, selon lequel « la Berlinette n'est pas la seule auto du passé d'Alpine ». Aussi est-il suggéré, illustration à l'appui, que ce futur SUV puisse « s'inspirer d'autres modèles, comme l'A310 ou l'A610 ». Lesquelles mériteraient pourtant une descendance plus glorieuse !
Plusieurs centaines de SUV électriques Aiways U5 rejoindront d'ici l'été la flotte de Filippi Auto, qui représente Hertz sur l'île de Beauté. « Pour la marque chinoise créée en 2017, et qui dépend du groupe SAIC également propriétaire de Maxus et MG, il s'agit là de la première commande reçue pour l'Europe », précise Philippe Schwoerer sur Automobile propre. « Les partenaires envisagent ainsi de faire de la Corse "une plaque tournante de la mobilité électrique" », poursuit-il. Et une tête de point pour conquérir l'Hexagone ?
L'INA revient, vidéos à l'appui, sur l'accueil qui fut réservé en France au premier Star Wars.
« C'est avec Michel Drucker, le 11 septembre 1977, que les téléspectateurs français ont vent pour la première fois du succès phénoménal aux États-Unis d'un film pas comme les autres, Star Wars […] Le film est projeté en clôture du festival de Deauville, environ un mois avant sa sortie commerciale en France. C'est à cette occasion que Michel Drucker demande à Jodie Foster et Claude Lelouch s'ils ont aimé cette "aventure gigantesque qui restera sans doute dans les annales et dans l'histoire du cinéma". Réponse positive des deux personnalités : "Film vraiment extraordinaire, réalisé avec tellement de créativité", s'enthousiasme la jeune Jodie Foster, "film complètement fou, avec un humour formidable", renchérit le réalisateur d' Un homme et une femme, décidément emballé. »
« L'actrice Carrie Fisher, qui prête ses traits à la princesse Leïa, évoque dans une interview donnée en français le 3 octobre les caractéristiques de son personnage et dévoile les éléments centraux de l'histoire. L'actrice prévient que son rôle, "très indépendant, est très éloigné du stéréotype [européen] de la princesse". »
« Le 17 octobre, deux jours avant la sortie tant attendue du film en France, l'émission Aujourd'hui magazine donne la parole au producteur de Star Wars, Gary Kurtz. »
« Sur France Inter, les cinéphiles du Masque et la plume s'interrogent sur un nouveau genre de cinéma. […] Pour Jean-Louis Bory, c'est un film devant lequel "on s'amuse beaucoup", et dans lequel "on trouve des tas de choses". Avec, pour commencer, une adaptation remarquée des romans de chevalerie et de la littérature populaire : "On a pris tous les ingrédients de la littérature chevaleresque, populaire, et on les a transplantés dans le monde de la science fiction". La confrontation entre les "chevaliers noirs et les chevaliers blancs", à l'aide de sabres laser comme autant de "duels fantastiques à l'épée" n'est pas pour lui déplaire, tout au contraire de Georges Charensol, qui moque "de simples néons". […] Nuance importante cependant pour le critique du Masque et la plume : une représentation trop complaisante du fascisme latent au fil de cette confrontation intergalactique entre forces du Bien et forces du Mal. »
« C'est avec Michel Drucker, le 11 septembre 1977, que les téléspectateurs français ont vent pour la première fois du succès phénoménal aux États-Unis d'un film pas comme les autres, Star Wars […] Le film est projeté en clôture du festival de Deauville, environ un mois avant sa sortie commerciale en France. C'est à cette occasion que Michel Drucker demande à Jodie Foster et Claude Lelouch s'ils ont aimé cette "aventure gigantesque qui restera sans doute dans les annales et dans l'histoire du cinéma". Réponse positive des deux personnalités : "Film vraiment extraordinaire, réalisé avec tellement de créativité", s'enthousiasme la jeune Jodie Foster, "film complètement fou, avec un humour formidable", renchérit le réalisateur d' Un homme et une femme, décidément emballé. »
« L'actrice Carrie Fisher, qui prête ses traits à la princesse Leïa, évoque dans une interview donnée en français le 3 octobre les caractéristiques de son personnage et dévoile les éléments centraux de l'histoire. L'actrice prévient que son rôle, "très indépendant, est très éloigné du stéréotype [européen] de la princesse". »
« Le 17 octobre, deux jours avant la sortie tant attendue du film en France, l'émission Aujourd'hui magazine donne la parole au producteur de Star Wars, Gary Kurtz. »
« Sur France Inter, les cinéphiles du Masque et la plume s'interrogent sur un nouveau genre de cinéma. […] Pour Jean-Louis Bory, c'est un film devant lequel "on s'amuse beaucoup", et dans lequel "on trouve des tas de choses". Avec, pour commencer, une adaptation remarquée des romans de chevalerie et de la littérature populaire : "On a pris tous les ingrédients de la littérature chevaleresque, populaire, et on les a transplantés dans le monde de la science fiction". La confrontation entre les "chevaliers noirs et les chevaliers blancs", à l'aide de sabres laser comme autant de "duels fantastiques à l'épée" n'est pas pour lui déplaire, tout au contraire de Georges Charensol, qui moque "de simples néons". […] Nuance importante cependant pour le critique du Masque et la plume : une représentation trop complaisante du fascisme latent au fil de cette confrontation intergalactique entre forces du Bien et forces du Mal. »
« L'ère des voitures qui restent inchangées une fois qu'elles quittent les concessions semble révolue », annonce Numerama. Dans le cas du Ford Mach-E, est-il précisé dans cet article, « les performances évolueront avec le temps, en plus des fonctionnalités à bord » ; « on pense en premier lieu à l'autonomie ».
« Voir un constructeur historique comme Ford mettre fin à l'obsolescence des voitures est une excellente nouvelle », s'enthousiasme Maxime Claudel. C'est oublier que jusqu'à l'immixtion à bord de tablettes numériques, puis l'introduction des vignettes Crit-Air, les voitures n'étaient confrontés à aucune obsolescence, sinon aux ravages de la rouille et à la disparition de l'essence sans plomb.
« Ce changement prouve que le logiciel a de plus en plus d'emprise sur le hardware », souligne l'auteur. Autrement dit, les automobiles seront de plus en plus soumises aux règles qui régissent l'informatique. Et donc, en réalité, les mises à jour ne sont pas une réponse à une obsolescence auparavant inexistante ; elles participent, au contraire, du phénomène qui va l'accélérer.
« Voir un constructeur historique comme Ford mettre fin à l'obsolescence des voitures est une excellente nouvelle », s'enthousiasme Maxime Claudel. C'est oublier que jusqu'à l'immixtion à bord de tablettes numériques, puis l'introduction des vignettes Crit-Air, les voitures n'étaient confrontés à aucune obsolescence, sinon aux ravages de la rouille et à la disparition de l'essence sans plomb.
« Ce changement prouve que le logiciel a de plus en plus d'emprise sur le hardware », souligne l'auteur. Autrement dit, les automobiles seront de plus en plus soumises aux règles qui régissent l'informatique. Et donc, en réalité, les mises à jour ne sont pas une réponse à une obsolescence auparavant inexistante ; elles participent, au contraire, du phénomène qui va l'accélérer.
« À ce stade, le Covid-19 est une épidémie assez peu grave, mesurée à l'aune des grandes épidémies que l'humanité a pu connaître et même simplement à l'aune des causes de mortalité en général. Ce qui a dicté notre réaction extrême, consistant à enfermer chez elles autoritairement et pour une durée indéterminée des dizaines de millions de personnes, n'est pas la dangerosité du Covid-19, mais notre rapport à la maladie et à la médecine. Ce qui a changé, par rapport aux épidémies des siècles précédents, c'est que nous avons perdu l'habitude de mourir des maladies infectieuses. »
« Nous nous sommes affolés lorsque nous nous sommes rendus compte que le nombre de cas graves allait dépasser notre capacité de les traiter. Ce qui nous est apparu comme insupportable, c'est l'idée de mourir alors que la médecine aurait pu nous sauver, c'est la perspective de voir les médecins trier parmi les malades ceux qu'ils essayeraient de soigner. Bref, notre affolement est avant tout le résultat des progrès de la médecine et du fait que ces progrès, pour admirables qu'ils soient, nous désapprennent à mourir et érodent notre courage. Plus précisément, puisque la décision du confinement appartient au Gouvernement, le Gouvernement a pensé qu'il serait tenu pour responsable de tous les décès "évitables", de tous les gens qui seraient morts du Covid-19 parce que les services de réanimation n'auraient pas pu les prendre en charge. »
« Brusquement, toute la vie de la nation s'est mise à tourner autour des services de réanimation de nos hôpitaux, l'objectif suprême et éclipsant tous les autres est devenu d'éviter leur saturation. Ce qui est compréhensible, peut-être, mais pas raisonnable. […] Il est normal, il est bon que les médecins répugnent à l'idée de laisser mourir des gens qu'ils auraient pu sauver "s'il avaient eu plus de moyens". Mais il est anormal que les responsables politiques se mettent à raisonner comme des médecins et se laissent obnubiler par une seule chose : les "vies qui auraient pu être sauvées". Une telle manière de prendre des décisions est d'autant plus absurde qu'il y a et il y aura toujours des gens qui auraient pu être sauvés par la médecine "avec plus de moyens". Il y a et il y aura toujours des gens qui mourront "à cause des choix budgétaires", parce qu'il y aura toujours des choix budgétaires à faire. Les "besoins" (c'est-à-dire en fait les désirs, et en l'occurrence notre désir de vivre) sont illimités et les ressources limitées, telle est la loi d'airain de la condition humaine. En fait, chaque vote du budget de la nation peut être considéré comme une condamnation à mort pour un certain nombre de malades, présents ou futurs, car chaque vote du budget opère des arbitrages entre les différents biens que nous essayons de nous procurer avec nos ressources limitées, parmi lesquels la santé. La vraie différence avec la situation actuelle, c'est que d'habitude ces choix sont implicites. »
« Il est d'autant moins rationnel de se laisser obnubiler par les ressources actuelles des services de santé que, même si nous raisonnons en termes d'espérance de vie, même si nous considérons que la survie est un bien qui devrait avoir priorité sur tous les autres, la médecine n'est pas forcément la chose la plus importante. […] L'économie, c'est aussi "des vies". Le confinement induira une récession, et une récession ce sont des années de vies en moins pour un nombre indéterminé de personnes par la dégradation de leurs conditions de vie. Une récession aujourd'hui ce sont des ressources en moins demain, car même si le gouvernement ouvre actuellement en grand le robinet du déficit et de la dette, l'argent gratuit n'existe pas, tout finit par se payer. Donc ce seront des ressources en moins aussi pour financer toutes sortes d'investissements qui auraient pu "sauver des vies", y compris bien sûr des investissements dans le système de santé. »
« Nous nous sommes affolés lorsque nous nous sommes rendus compte que le nombre de cas graves allait dépasser notre capacité de les traiter. Ce qui nous est apparu comme insupportable, c'est l'idée de mourir alors que la médecine aurait pu nous sauver, c'est la perspective de voir les médecins trier parmi les malades ceux qu'ils essayeraient de soigner. Bref, notre affolement est avant tout le résultat des progrès de la médecine et du fait que ces progrès, pour admirables qu'ils soient, nous désapprennent à mourir et érodent notre courage. Plus précisément, puisque la décision du confinement appartient au Gouvernement, le Gouvernement a pensé qu'il serait tenu pour responsable de tous les décès "évitables", de tous les gens qui seraient morts du Covid-19 parce que les services de réanimation n'auraient pas pu les prendre en charge. »
« Brusquement, toute la vie de la nation s'est mise à tourner autour des services de réanimation de nos hôpitaux, l'objectif suprême et éclipsant tous les autres est devenu d'éviter leur saturation. Ce qui est compréhensible, peut-être, mais pas raisonnable. […] Il est normal, il est bon que les médecins répugnent à l'idée de laisser mourir des gens qu'ils auraient pu sauver "s'il avaient eu plus de moyens". Mais il est anormal que les responsables politiques se mettent à raisonner comme des médecins et se laissent obnubiler par une seule chose : les "vies qui auraient pu être sauvées". Une telle manière de prendre des décisions est d'autant plus absurde qu'il y a et il y aura toujours des gens qui auraient pu être sauvés par la médecine "avec plus de moyens". Il y a et il y aura toujours des gens qui mourront "à cause des choix budgétaires", parce qu'il y aura toujours des choix budgétaires à faire. Les "besoins" (c'est-à-dire en fait les désirs, et en l'occurrence notre désir de vivre) sont illimités et les ressources limitées, telle est la loi d'airain de la condition humaine. En fait, chaque vote du budget de la nation peut être considéré comme une condamnation à mort pour un certain nombre de malades, présents ou futurs, car chaque vote du budget opère des arbitrages entre les différents biens que nous essayons de nous procurer avec nos ressources limitées, parmi lesquels la santé. La vraie différence avec la situation actuelle, c'est que d'habitude ces choix sont implicites. »
« Il est d'autant moins rationnel de se laisser obnubiler par les ressources actuelles des services de santé que, même si nous raisonnons en termes d'espérance de vie, même si nous considérons que la survie est un bien qui devrait avoir priorité sur tous les autres, la médecine n'est pas forcément la chose la plus importante. […] L'économie, c'est aussi "des vies". Le confinement induira une récession, et une récession ce sont des années de vies en moins pour un nombre indéterminé de personnes par la dégradation de leurs conditions de vie. Une récession aujourd'hui ce sont des ressources en moins demain, car même si le gouvernement ouvre actuellement en grand le robinet du déficit et de la dette, l'argent gratuit n'existe pas, tout finit par se payer. Donc ce seront des ressources en moins aussi pour financer toutes sortes d'investissements qui auraient pu "sauver des vies", y compris bien sûr des investissements dans le système de santé. »
Cette bibliothèque, imaginée par le designer William Warren, peut se démonter pour être transformée…. en cercueil. Aussi est-elle jugé « éco-responsable » par le site Creapills. « C'est légèrement glauque mais c'est aussi très créatif, surtout pour souligner la durabilité d'un produit », commente Maxime Delmas. Vraiment ? De notre point de vue, un produit « durable », surtout un meuble, devrait survivre à son propriétaire. Dans l'idéal, il sera transmis d'une génération à l'autre. Dans le cas présent, on a plutôt affaire à un produit typique de la nouvelle économie circulaire, qui donnera bonne conscience à son propriétaire n'ayant pas d'autre horizon que sa propre existence.
L'UX 300e, la première voiture électrique de Lexus (dont on connaissait jusqu'à présent les modèles hybrides) s'appuiera sur un système de refroidissement par air pour limiter la surchauffe de la batterie. Celle-ci tiendra-t-elle le coup à long terme ? Le constructeur japonais promet qu'elle conservera sans problème au moins 70 % de sa capacité d'origine pendant dix ans ou un million de kilomètres, garantie à l'appui.
Un sextape filmée dans un magasin chinois d'Ikea – avec des clients en arrière-plan – circule sur Internet. À cette occasion, on apprend qu' « en 2015, un couple s'était filmé faisant l'amour dans une cabine d'un magasin de vêtements Uniqlo à Pékin ». Or, « diffusée sur internet, la vidéo était également devenue virale et le lieu était même devenu, un temps, une attraction pour certains chinois qui venaient s'y prendre en photo dans des positions suggestives ». Avec une « conséquence inattendue » : « quelques heures après la diffusion de la vidéo, la compagnie avait enregistré une hausse de sa cotation en bourse de 5 % à Hong Kong » !
Tout l'historique des manipulations a été reconstitué… Avec d'autant plus de facilité que les intervenants n'ont pas toujours été très discret : modification de la page via un compte à usage unique, connexion depuis un serveur de l'Assemblée nationale identifiable par son adresse IP… Le comble, c'est peut-être de voir un collaborateur de Lætitia Avia se prévaloir de cette qualité pour tenter d'en brosser un portrait plus élogieux. C'est raté !
Les conducteurs d'une Jaguar produite dans les années soixante-dix, quatre-vingt et quatre-vingt-dix peuvent désormais installer à bord de leur voiture les derniers gadgets à la mode : « les alertes trafic, le micro embarqué, la radio DAB +, le Bluetooth, le streaming musical, la navigation, l'intégration smartphone, l'écran 3,5 pouces et l'amplificateur 4 x 45 watts ». « Il faut compter 1200 livres sterling, soit 1350 euros au taux de change actuel pour équiper votre ancienne », précise Caradisiac. C'est le prix à payer pour une intégration parfaite dans le tableau de bord.
« Nous avons éplucher les notes techniques confidentielles mises à la disposition des concessionnaires », annoncent les journalistes de L'Argus. « À notre grande surprise », poursuivent-ils, « elles sont peu nombreuses ». « Il faut dire que la fabrication à l’usine de Dieppe ressemble davantage à du fait main qu’à de la production en grande série », expliquent-ils en forçant un peu le trait. « De plus », rappellent-ils, « en septembre 2019, le constructeur avait opéré des modifications sur certains véhicules avant leur livraison : changement de la visière de compteur, du cache moteur, du boîtier de connectivité multimédia, du support de refroidisseur d’air ainsi que reprogrammation de la radio ». Résultat : « l’A110 présente un carnet de santé sain même si quelques points sont à surveiller ». Visiblement, on est loin des déboires rencontrés, par exemple, par la Vel Satis peu après son lancement. Tant mieux !
« C'est une autre optique de l'informatique qui est visée ici » : « celle d'un outil totalement réapproprié par son utilisateur », annonce Mini Machines.
« La machine pourra […] être démontée, modifiée et l'ensemble des éléments qui la constitue sont totalement documentés » ; « les schémas de conception et les pilotes sont accessibles, ce qui permettra de se servir de l'engin comme d'une base évolutive vers d'autres composants. Si à l'avenir vous voulez changer la batterie, faire évoluer son stockage ou augmenter ses performances, cela sera donc parfaitement possible ».
La batterie ? Elle est « constituée de huit modules standardisés 18650 que l'on pourra modifier ». « Autre point fort » : « le duo mémoire et processeur sont montés sur un port SO-DIMM deux cents broches totalement documenté » ; « puisque le cœur de la machine n'est pas soudé à sa carte mère, il sera possible de le faire évoluer avec un nouveau module d'extension de son choix ».
En revanche, les performances ne seront pas de premier ordre : « on découvre […] une solution […] identique à ce que l'on peut trouver dans des TV-Box entrée de gamme » ; « des choix qui s'expliquent par la volonté de pouvoir partager les ressources et documentations des composants », « ce qui exclut des solutions plus haut de gamme pour le moment ».
De plus, cet appareil présente « des dimensions et un poids assez élevés pour un 12.5 pouces » ; « mais c'est la première conséquence de l'ouverture du dispositif ».
Quant au prix – 1300 dollars pour un PC quasiment prêt à l'emploi –, même si c'est « un résultat logique au vu de la confidentialité de l'objet et des choix internes », il fera fuir bien des acheteurs potentiels.
Cette initiative n'en est pas moins prometteuse. Selon Mini Mahciens, « Il en faut peu – et il s'agit probablement plus d'une question de financement que de compétences – pour proposer un engin totalement abouti et plus abordable ».
« La machine pourra […] être démontée, modifiée et l'ensemble des éléments qui la constitue sont totalement documentés » ; « les schémas de conception et les pilotes sont accessibles, ce qui permettra de se servir de l'engin comme d'une base évolutive vers d'autres composants. Si à l'avenir vous voulez changer la batterie, faire évoluer son stockage ou augmenter ses performances, cela sera donc parfaitement possible ».
La batterie ? Elle est « constituée de huit modules standardisés 18650 que l'on pourra modifier ». « Autre point fort » : « le duo mémoire et processeur sont montés sur un port SO-DIMM deux cents broches totalement documenté » ; « puisque le cœur de la machine n'est pas soudé à sa carte mère, il sera possible de le faire évoluer avec un nouveau module d'extension de son choix ».
En revanche, les performances ne seront pas de premier ordre : « on découvre […] une solution […] identique à ce que l'on peut trouver dans des TV-Box entrée de gamme » ; « des choix qui s'expliquent par la volonté de pouvoir partager les ressources et documentations des composants », « ce qui exclut des solutions plus haut de gamme pour le moment ».
De plus, cet appareil présente « des dimensions et un poids assez élevés pour un 12.5 pouces » ; « mais c'est la première conséquence de l'ouverture du dispositif ».
Quant au prix – 1300 dollars pour un PC quasiment prêt à l'emploi –, même si c'est « un résultat logique au vu de la confidentialité de l'objet et des choix internes », il fera fuir bien des acheteurs potentiels.
Cette initiative n'en est pas moins prometteuse. Selon Mini Mahciens, « Il en faut peu – et il s'agit probablement plus d'une question de financement que de compétences – pour proposer un engin totalement abouti et plus abordable ».
La gamme Mmydlink comprend des caméras, des capteurs de mouvement, des alarmes et d'autres appareils avec lesquels il était possible d'interagir jusqu'à présent via le service IFTTT. Ce qui ne sera plus la cas à partir du 1er décembre 2020. « La sanction est visiblement sans appel », constate Next Inpact. Le fabricant a publié la liste des produits affectés sans donner d'autre explication. Sans doute l'Internet des objets nous réservera-t-il régulièrement de telles déconvenues.
Twitter a été assigné en justice par quatre associations – l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), J'accuse, SOS-Racisme et SOS-Homophobie – qui lui reprochent son « inaction massive » face aux discours qu'elles réprouvent, notamment racistes. C'est-à-dire « anti-asiatiques, anti-arabes, anti-musulmans, anti-chrétiens, anti-roms, anti-noirs ». Y compris « anti-chrétiens » donc.
« En raison de la pandémie de coronavirus, les parents étrangers ont besoin d'une autorisation spéciale pour entrer en Ukraine, délivrée par Kiev sur demande de leur pays d'origine. Mais certaines de leurs ambassades ont "refusé" d'intervenir et "cette question n'est toujours pas réglée", a fait valoir la responsable. Il s'agit notamment de la France, où la GPA est interdite. L'Ukraine est une destination de plus en plus populaire pour des parents voulant pratiquer la GPA, notamment en raison de prix relativement bas, 28 000 euros en moyenne. Selon la loi ukrainienne, seuls les couples hétérosexuels mariés et reconnus comme infertiles peuvent en bénéficier. »
« Moritz Kütt et Alexander Glaser, spécialisés dans ces sujets du contrôle des armements, ont conçu un prototype basé sur un vénérable Apple IIe tout à fait standard mais équipé tout de même de deux cartes d'extension (en open source). »
« Pourquoi un tel retour en arrière ? Tout simplement pour limiter sinon éviter tout risque de manipulations, malheureuses ou intentionnées. Un matériel plus contemporain pourrait receler un logiciel espion pour obtenir plus d'informations que nécessaire. En face, chez le contrôlé, on pourrait vouloir trafiquer les données envoyées en s'appuyant sur des failles du matériel informatique de mesure. »
« Mais avec un Apple IIe, et plus spécialement son processeur 6502, les capacités de triche sont considérablement réduites voire inexistantes. L'architecture et le fonctionnement de la puce sont archi-connus et, à la date de sa conception, il n'est guère plausible qu'elle ait été pourvue de portes dérobées, de mécanismes cachés, et a fortiori dans l'optique d'être utilisés dans ce contexte de contrôles de démilitarisation. »
« En outre, ce processeur ne contient que 3 500 transistors (moins que n'en contient une ogive nucléaire) et ses capacités de traitement (1 MHz) n'en font pas un foudre de guerre s'il s'agit de se lancer dans des calculs complexes et cachés. »
« Moritz Kütt et Alexander Glaser ont constaté que cette plateforme était tout à fait apte à conduire ces tests d'une manière fiable, tout en instaurant un climat de confiance entre les parties impliquées. Ils proposent d'aller plus loin en développant un ordinateur dédié à cette seule fonction de contrôle – donc plus dépouillé encore qu'un Apple IIe – et toujours avec le 6502 comme base. »
« Pourquoi un tel retour en arrière ? Tout simplement pour limiter sinon éviter tout risque de manipulations, malheureuses ou intentionnées. Un matériel plus contemporain pourrait receler un logiciel espion pour obtenir plus d'informations que nécessaire. En face, chez le contrôlé, on pourrait vouloir trafiquer les données envoyées en s'appuyant sur des failles du matériel informatique de mesure. »
« Mais avec un Apple IIe, et plus spécialement son processeur 6502, les capacités de triche sont considérablement réduites voire inexistantes. L'architecture et le fonctionnement de la puce sont archi-connus et, à la date de sa conception, il n'est guère plausible qu'elle ait été pourvue de portes dérobées, de mécanismes cachés, et a fortiori dans l'optique d'être utilisés dans ce contexte de contrôles de démilitarisation. »
« En outre, ce processeur ne contient que 3 500 transistors (moins que n'en contient une ogive nucléaire) et ses capacités de traitement (1 MHz) n'en font pas un foudre de guerre s'il s'agit de se lancer dans des calculs complexes et cachés. »
« Moritz Kütt et Alexander Glaser ont constaté que cette plateforme était tout à fait apte à conduire ces tests d'une manière fiable, tout en instaurant un climat de confiance entre les parties impliquées. Ils proposent d'aller plus loin en développant un ordinateur dédié à cette seule fonction de contrôle – donc plus dépouillé encore qu'un Apple IIe – et toujours avec le 6502 comme base. »
« Le 7 mai 2019, un F-35B de l'US Marine Corps (USMC) avait été sérieusement endommagé au niveau de son train d'atterrissage, à la suite d'une collision avec un faucon alors qu'il s'apprêtait à décoller. […] Exactement un an plus tard, l'un des sept avions de transport A400M « Atlas » de la 31e escadre de l'Ejercito del Aire (force aérienne espagnole) a connu un incident similaire alors qu'il venait de décoller de la base aérienne de Saragosse pour un vol d'entraînement. »
« Si cet A400M a pu se poser sans problème, les dégâts causés par cette rencontre fortuite avec un volatile paraissent assez importants. Selon des images publiés sur les réseaux sociaux, on peut voir un trou béant (avec des plumes et des traces de sang) d'environ un mètre de long dans le fuselage de l'avion, au niveau de son train arrière droit. »
« Pour rappel, les matériaux composites (à base de fibres de carbone) – sensibles aux chocs avec des oiseaux – représentent 30% du fuselage d'un A400M. »
« Quant à l'oiseau impliqué dans cette collision, il pourrait s'agir d'une cigogne ou d'un vautour, dans la masse peut atteindre les 6,5 kilos. Ce qui, avec la vitesse de l'impact, est cohérent avec les dégâts observés. »
« Si cet A400M a pu se poser sans problème, les dégâts causés par cette rencontre fortuite avec un volatile paraissent assez importants. Selon des images publiés sur les réseaux sociaux, on peut voir un trou béant (avec des plumes et des traces de sang) d'environ un mètre de long dans le fuselage de l'avion, au niveau de son train arrière droit. »
« Pour rappel, les matériaux composites (à base de fibres de carbone) – sensibles aux chocs avec des oiseaux – représentent 30% du fuselage d'un A400M. »
« Quant à l'oiseau impliqué dans cette collision, il pourrait s'agir d'une cigogne ou d'un vautour, dans la masse peut atteindre les 6,5 kilos. Ce qui, avec la vitesse de l'impact, est cohérent avec les dégâts observés. »
« Avec la version 2004 de Windows 10 […], Microsoft ne fournit plus de nouvelle version 32 bits de son système d'exploitation à ses partenaires », rapporte Clubic. Autrement dit : « les nouveaux ordinateurs lancés par les constructeurs devront obligatoirement embarquer une version 64 bits de Windows 10 ».
En revanche, « pour les utilisateurs tournant encore sur des versions 32 bits de Windows 10, Microsoft confirme qu'ils bénéficieront toujours des mises à jour de sécurité et de fonctionnalités » ; « le support sera assuré durant plusieurs années et une version 32 bits sera également disponible au téléchargement en cas de restauration ».
« Microsoft est le dernier éditeur à faire le grand saut vers le 64 bits », souligne Mathieu Grumiaux ; d'après lui, même « les différentes distributions Linux commencent également à abandonner le support de l'architecture ».
En revanche, « pour les utilisateurs tournant encore sur des versions 32 bits de Windows 10, Microsoft confirme qu'ils bénéficieront toujours des mises à jour de sécurité et de fonctionnalités » ; « le support sera assuré durant plusieurs années et une version 32 bits sera également disponible au téléchargement en cas de restauration ».
« Microsoft est le dernier éditeur à faire le grand saut vers le 64 bits », souligne Mathieu Grumiaux ; d'après lui, même « les différentes distributions Linux commencent également à abandonner le support de l'architecture ».
Une publication de France Stratégie (le laboratoire d'idées du Gouvernement) bouscule certaines idées reçues. De fait, « le patrimoine retraite des femmes est supérieur de près de 7 % en moyenne à celui des hommes », constatent Clément Dherbécourt, Gautier Maigne et MathildeViennot. En effet, expliquent-ils, « leur espérance de vie plus élevée compense un niveau de pension plus faible et leur donne accès beaucoup plus souvent à la réversion ». Cela étant, évidemment, « en équivalent viager, leur retraite est cependant inférieure à celle des hommes : elles reçoivent en moyenne annuellement 18 000 euros jusqu'à leur mort, contre 20 100 pour les hommes ».
On dirait bien. Ce secteur d'activité (chaussures, vêtements, appareils électroménagers, smartphones, vélos, meubles, etc.) concentrerait chez nous 0,47 % des emplois, selon Right to repair. De ce point de vue, notre pays serait « le mieux classé », loin devant la Belgique, par exemple, où cette proportion ne serait que de 0,2 %. L'organisation n'en regrette pas moins que cette activité soit aujourd'hui très marginale, dans l'Hexagone comme ailleurs. Du moins, dans les pays riches, ajouterons-nous, la situation étant vraisemblablement différente là où les salaires sont beaucoup plus faibles, et donc les réparations plus rentables.