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« Les enquêteurs ont conclu qu'Erna Solberg avait été la co-organisatrice et avait dépassé le nombre d'invités autorisés. Ils lui ont infligée 20 000 couronnes d'amendes soit un peu plus de 2 000 euros. Dans un communiqué, le commissaire a rappelé que "la loi était la même pour tous" et surtout que la Première ministre avait une image publique à faire respecter : "Madame Solberg est la plus importante élue du pays, et a, à plusieurs occasions, été la figure de proue des décisions du gouvernement sur les mesures visant à enrayer la pandémie. Il est donc jugé justifié de donner une sanction pour maintenir la confiance du public dans les règles sanitaires." Une sanction qu'avait déjà acquiescé la Première ministre puisque après les révélations de ces épisodes de dîners, elle s'était excusée publiquement et s'était dite prête à recevoir une amende. »
C'est l'Académie de Médecine qui le dit : « Si la plupart sont bénins, "désagrément, douleur ou saignement, de graves complications commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines, notamment des brèches de l'étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite", poursuit le collège scientifique, en citant plusieurs études récemment parues.L'Académie préconise donc de réserver la réalisation de ces tests "aux professionnels de santé formés" et leur recommande de s'enquérir d'éventuels antécédents ORL avant d'y procéder. Elle préconise également de privilégier des prélèvements salivaires pour les enfants. »
« Pour le Sell, Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs, il n'y avait pas de doute : le décret révisé le 19 mars autorisait bien la vente de jeux vidéos en supermarché. Pourtant, le ministère de l'Économie avait un discours différent : dans un tableau récapitulatif des rayons ouverts ou non fourni à Capital, on pouvait lire dans la colonne "fermés" les "jouets et jeux vidéo". […] "Je ne vois pas pourquoi les magasins Fnac-Darty pourraient vendre des jeux vidéo quand les autres grandes surfaces ne le pourraient pas", confiait alors le porte-parole de Système U, Thierry Desouches, à Capital. […] En ce qui concerne les consignes gouvernementales, le cadre de la chaîne de magasins ne cachait pas son désarroi : "c’est le grand flou". Des incertitudes maintenant dissipées par le gouvernement. »
« Avec le déploiement de la version 14.5 d'I-OS […], Apple proposera d'effectuer une recalibration des batteries d'I-Phone 11, 11 Pro et 11 Pro Max pour éviter un bug qui peut provoquer "une décharge inhabituelle de la batterie ou, dans de très rares cas, une réduction de la capacité de performance optimale". »
« Si votre I-Phone échoue à recalibrer correctement sa batterie, un message vous invitera à la changer gratuitement auprès d'un réparateur Apple agréé. Et pour celles et ceux qui ont déjà changé leur batterie hors garantie, la marque conseille de contacter l'assistance Apple. »
« Le lancement de cette fonctionnalité s'inscrit dans le sillon des très nombreuses polémiques en 2017, ou Apple était accusé à travers le monde de brider ses I-Phone dans une supposée logique d'obsolescence programmée. Il s'agissait de l'inverse : la démonstration technique montrait que le léger ralentissement du processeur des I-Phone était mis en place pour les faire durer dans le temps et donc moins les changer. En France, l'affaire s'est réglée par des amendes infligées à Apple pour défaut de communication, pas pour obsolescence programmée. »
« Apple tente donc de corriger le tir en étant le plus transparent possible sur l'état des batteries, des performances et sur les mises à jour à venir en plus de dédier une page de leur site au processus et des options très claires sur les I-Phone. »
« Si votre I-Phone échoue à recalibrer correctement sa batterie, un message vous invitera à la changer gratuitement auprès d'un réparateur Apple agréé. Et pour celles et ceux qui ont déjà changé leur batterie hors garantie, la marque conseille de contacter l'assistance Apple. »
« Le lancement de cette fonctionnalité s'inscrit dans le sillon des très nombreuses polémiques en 2017, ou Apple était accusé à travers le monde de brider ses I-Phone dans une supposée logique d'obsolescence programmée. Il s'agissait de l'inverse : la démonstration technique montrait que le léger ralentissement du processeur des I-Phone était mis en place pour les faire durer dans le temps et donc moins les changer. En France, l'affaire s'est réglée par des amendes infligées à Apple pour défaut de communication, pas pour obsolescence programmée. »
« Apple tente donc de corriger le tir en étant le plus transparent possible sur l'état des batteries, des performances et sur les mises à jour à venir en plus de dédier une page de leur site au processus et des options très claires sur les I-Phone. »
« Un dirigeant doit-il s'excuser ? Si on le pense, c'est qu'on confond la politique avec la politesse. En dépit de leur ressemblance, elles n'ont rien à voir : la seconde concerne le "lisse" (politus en latin), puisqu'elle vise à polir les mœurs ; la première désigne la cité (polis en grec) et recherche, pour elle, la paix, la puissance et la prospérité. Sans doute est-il bon que le politique soit poli, mais il n'est certainement pas élu pour l'être. Sans doute la pratique de l'excuse rend-t-elle le gouvernant plus proche, plus accessible, plus humain – ce qui va bien avec l'esprit des temps démocratiques – , mais qu'est-ce qu'un élu qui s'excuse, sinon un élu qui a failli ? Et s'il a failli pourquoi resterait-il en poste ? La seule manière pour lui de s'excuser, c'est de démissionner. »
« Je ne veux pas dire qu'un responsable politique ne doit pas admettre des erreurs ou des mauvais choix : il doit le faire si cela apaise et renforce, bref si c'est un acte de politique et non de contrition – ; mais je veux surtout dire qu'un citoyen a le devoir de comprendre que la décision politique ne se fait jamais entre une bonne et une mauvaise option : elle tranche entre une mauvaise et une pire. C'est pour cela qu'elle déçoit toujours. "Rien ne marque tant le jugement solide d'un homme que de savoir choisir entre les grands inconvénients", écrivait le Cardinal de Retz dans ses Mémoires. Et Churchill ajoutait : "Le plus dur c'est de prendre des décisions quand un tiers des informations dont vous disposez sont incomplètes, un tiers sont contradictoires, un tiers sont fausses". Alors à qui faudrait-il demander pardon ? Au réel ? »
« Je ne veux pas dire qu'un responsable politique ne doit pas admettre des erreurs ou des mauvais choix : il doit le faire si cela apaise et renforce, bref si c'est un acte de politique et non de contrition – ; mais je veux surtout dire qu'un citoyen a le devoir de comprendre que la décision politique ne se fait jamais entre une bonne et une mauvaise option : elle tranche entre une mauvaise et une pire. C'est pour cela qu'elle déçoit toujours. "Rien ne marque tant le jugement solide d'un homme que de savoir choisir entre les grands inconvénients", écrivait le Cardinal de Retz dans ses Mémoires. Et Churchill ajoutait : "Le plus dur c'est de prendre des décisions quand un tiers des informations dont vous disposez sont incomplètes, un tiers sont contradictoires, un tiers sont fausses". Alors à qui faudrait-il demander pardon ? Au réel ? »
Alors que trois cents Lyonnais venaient de se rassembler au bord de la Saône, Xavier Martinage a affirmé dans Capital ( 31/03/2021) que « tous les participants étaient en situation de délit puisque […] ils ne respectaient pas la limite de rassemblement de six personnes, ils consommaient également de l'alcool sur la voie publique et ceux qui sont restés après 19 heures, violaient le couvre-feu ». C'était certes illégal, mais de là à ériger leur action en délit, il y a un pas que le pouvoir n'a pas encore osé franchir ! Du moins au regard du droit, car en pratique, il est vrai que c'est d'ores et déjà une autre affaire. C'est affligeant de constater à quel point les journalistes peuvent être complices de cette confusion.
« En Seine-Saint-Denis, la situation serait très critique : dans un lycée à Drancy, on dénombrerait même pas moins de vingt parents d'élèves morts du Covid-19. C'est, en tout cas, ce que titraient de très nombreux médias, lundi matin [29 mars 2021], la nouvelle dramatique s'étant répandue comme traînée de poudre : "Seine-Saint-Denis : vingt parents d'élèves d'un même lycée sont morts du Covid-19" (Paris Match), "Coronavirus à Drancy : au lycée Eugène-Delacroix où vingt parents d'élèves sont décédés et 22 classes seront fermées dès lundi" (20 Minutes), "Le cas hors normes du lycée de Drancy, où le Covid-19 a tué 20 parents d'élèves, la fermeture demandée" (La Dépêche), etc. […] 1 % des deux mille adolescents qui fréquentent l'établissement auraient perdu leur père ou leur mère, des adultes pourtant sans doute pour la plupart à peine quadragénaires ? Sauve qui peut ! Il y a, en effet, de quoi se claquemurer chez soi. »
« Sauf que la vérité est un peu différente : d'abord parce que, contrairement à ce que laissent supposer les titres lapidaires, il ne s'agit pas du bilan de ces derniers jours mais de celui de l'épidémie depuis l'an dernier. Et ce ne sont pas vingt "parents d'élèves" stricto sensu, comme on le lit dans la lettre ouverte des enseignants – soutenue par le syndicat SNES-FSU, relayée par les ténors de La France insoumise, puis par quasiment toute la presse réunie –, mais de parents au sens large, très large… ce qui, même sans remonter jusqu'à Adam et Ève, peut emmener loin. »
« "Au total, vingt parents ou proches d'élèves sont décédés depuis le début de la pandémie et le premier confinement", précise l'organe de fact-checking de Libération, qui avait aussi relayé l'information sans précaution. Une imprécision curieuse, venant du corps professoral, car quand celui-ci fait une réunion de "parents d'élèves", il n'y a pas l'ombre d'un doute : n'est pas conviée toute la parentèle à la mode de Bretagne. "Comment, et par qui, ce décompte a-t-il été fait ?", s'interroge encore Checknews". "Le rectorat de Créteil et le lycée, qui semble donc être à l'origine du chiffre, se renvoient la balle." »
« Curieusement, Facebook et Twitter, si prompts à griser, barrer d'une mise en garde les titres rassuristes "ambigus" ou "partiellement faux", selon la formule consacrée, font preuve d'une infinie mansuétude envers les contenus alarmistes biaisés qui, sauf erreur de ma part, n'ont pas été invisibilisés. »
Quant à la chaîne BFM TV, dont le patron, Marc-Oivier Fogiel revendique ouvertement la censure des "rassuristes", elle relaie toujours cette infox, sur son site Internet, au moment où nous partageons ce lien, sans avoir jugé nécessaire d'y apporter la moindre nuance.
« Sauf que la vérité est un peu différente : d'abord parce que, contrairement à ce que laissent supposer les titres lapidaires, il ne s'agit pas du bilan de ces derniers jours mais de celui de l'épidémie depuis l'an dernier. Et ce ne sont pas vingt "parents d'élèves" stricto sensu, comme on le lit dans la lettre ouverte des enseignants – soutenue par le syndicat SNES-FSU, relayée par les ténors de La France insoumise, puis par quasiment toute la presse réunie –, mais de parents au sens large, très large… ce qui, même sans remonter jusqu'à Adam et Ève, peut emmener loin. »
« "Au total, vingt parents ou proches d'élèves sont décédés depuis le début de la pandémie et le premier confinement", précise l'organe de fact-checking de Libération, qui avait aussi relayé l'information sans précaution. Une imprécision curieuse, venant du corps professoral, car quand celui-ci fait une réunion de "parents d'élèves", il n'y a pas l'ombre d'un doute : n'est pas conviée toute la parentèle à la mode de Bretagne. "Comment, et par qui, ce décompte a-t-il été fait ?", s'interroge encore Checknews". "Le rectorat de Créteil et le lycée, qui semble donc être à l'origine du chiffre, se renvoient la balle." »
« Curieusement, Facebook et Twitter, si prompts à griser, barrer d'une mise en garde les titres rassuristes "ambigus" ou "partiellement faux", selon la formule consacrée, font preuve d'une infinie mansuétude envers les contenus alarmistes biaisés qui, sauf erreur de ma part, n'ont pas été invisibilisés. »
Quant à la chaîne BFM TV, dont le patron, Marc-Oivier Fogiel revendique ouvertement la censure des "rassuristes", elle relaie toujours cette infox, sur son site Internet, au moment où nous partageons ce lien, sans avoir jugé nécessaire d'y apporter la moindre nuance.
« Depuis le 1er janvier 2017, les professionnels de la réparation automobile sont obligés de proposer à leurs clients des pièces de rechange de seconde main. […] Problème : dans les faits, il est finalement très rare que les particuliers se voient ouvertement proposés des pièces de rechange d'occasion. […] Selon le SRA (Sécurité et réparation automobile), cité par nos confrères de Décisionatelier : "L'an passé, sur un marché de la carrosserie en recul, 3 % des pièces remplacées, réglées par les assureurs, sont des pièces de réemploi. C'était 2,7 % en 2017 et 2018 et 2,9 en 2019." »
« En 1971, 343 femmes affirment avoir avorté illégalement par le manifeste des 343. Cinquante ans plus tard, nous sommes 343 femmes et personnes pouvant vivre une grossesse à déclarer avoir avorté au-delà des délais légaux français. » Parmi les signataires figurent les chanteuses Vanessa Paradis et Yael Naim, les actrices Laure Calamy et Isabelle Carré ou encore l'ancienne ministre Najat Vallaud-Belkacem.
« Le blocage de la page, qui empêche ses administrateurs de poster de nouveaux messages pendant un mois sans pour autant la rendre invisible, a suivi la suppression d'une vidéo de M. Maduro sur le médicament Carvativir, dont l'efficacité n'a pas encore été démontrée par des études médicales, précise Facebook. »
« "La Murcie sera la première région autonome à autoriser le veto éducatif parental", titre le journal de centre-gauche El Pais, samedi 20 mars. Le gouvernement de la région autonome située dans le Sud-Est de l'Espagne veut adopter une mesure qui permette aux parents de censurer les activités éducatives de leurs enfants à l'école, en particulier sur des questions morales ou liées à la sexualité. […] Cette mesure incluant le veto parental "prévoit notamment le consentement tacite (…) des parents, qui devront s'opposer expressément à ce que leurs enfants assistent à tel ou tel débat ou atelier sur le temps scolaire", dévoile le quotidien le plus lu du pays. »
« Le veto parental est "l'une des promesses électorales de Santiago Abascal", le leader de Vox en Espagne. "Vox justifie le veto parental au nom du combat contre ce qu'il appelle l'endoctrinement dans les classes par des collectifs féministes et LGBTI", rapporte le journal. Les deux présidents des régions autonomes de Madrid et de Murcie ont dans un premier temps démenti un quelconque "endoctrinement" dans les classes et avoir reçu des plaintes de parents dans leur territoire respectif, rendant la mise en place d'un veto parental caduque. Cependant, ils se sont finalement dits ouverts à une telle mesure pour conserver le soutien de Vox en vue de leurs scrutins régionaux à venir, souligne El Pais. »
« Le quotidien conclut : "La solution retenue en Murcie, celle du consentement tacite, fera sans doute que peu de parents auront recours à cette possibilité, mais les établissements scolaires devront prévoir d'autres activités pour leurs enfants. D'après les sources que nous avons consultées, cette question sera portée devant les tribunaux, qui auront le dernier mot." »
« Le veto parental est "l'une des promesses électorales de Santiago Abascal", le leader de Vox en Espagne. "Vox justifie le veto parental au nom du combat contre ce qu'il appelle l'endoctrinement dans les classes par des collectifs féministes et LGBTI", rapporte le journal. Les deux présidents des régions autonomes de Madrid et de Murcie ont dans un premier temps démenti un quelconque "endoctrinement" dans les classes et avoir reçu des plaintes de parents dans leur territoire respectif, rendant la mise en place d'un veto parental caduque. Cependant, ils se sont finalement dits ouverts à une telle mesure pour conserver le soutien de Vox en vue de leurs scrutins régionaux à venir, souligne El Pais. »
« Le quotidien conclut : "La solution retenue en Murcie, celle du consentement tacite, fera sans doute que peu de parents auront recours à cette possibilité, mais les établissements scolaires devront prévoir d'autres activités pour leurs enfants. D'après les sources que nous avons consultées, cette question sera portée devant les tribunaux, qui auront le dernier mot." »
« Dans les années 2010, le web changea drastiquement. On se mit à concevoir de véritables logiciels accessibles depuis le navigateur. […] Des plates-formes de plus en plus fragiles par leur taille et critiques par leurs usages. De ces problématiques naquit le micro-service, une architecture logicielle qui n'a rien à envier aux théories libérales. […] Par exemple, un site marchand d'un seul bloc se retrouve découpé en micro plateformes indépendantes. Un micro-service qui gère le catalogue, un qui gère le panier utilisateur, un qui gère le paiement, un qui gère le suivit de la commande, etc. »
« Ce fut déjà une révolution, mais un verrou freinait encore la résilience. Les micro-services envoyaient des ordres aux autres micro-services, créant une chaîne de commandement trop rigide face aux aléas. La solution fut de ne plus envoyer des ordres, mais des événements.é
« Avec un ordre, chaque micro-service doit avoir un plan global de la plate-forme pour savoir qui doit recevoir l'ordre, et savoir que faire si l'ordre n'est pas exécuté correctement. Un événement évite les problèmes, vous le propagez à toute la plate(forme, chaque micro-service décide ce qu'il en fait. […] La nature n'appelle pas les arbres un par un pour ordonner la floraison. Elle fait monter la température et l'ensoleillement. Chaque arbre réagit à ces événements selon ses caractéristiques. Il n'y a que les humains pour affectionner les systèmes hiérarchiques top-bottom… Chaque micro-service devient autonome, il est maître de son domaine et réagit aux signaux externes. […] Les théories libérales appliquées à l'informatique. »
« Ce fut déjà une révolution, mais un verrou freinait encore la résilience. Les micro-services envoyaient des ordres aux autres micro-services, créant une chaîne de commandement trop rigide face aux aléas. La solution fut de ne plus envoyer des ordres, mais des événements.é
« Avec un ordre, chaque micro-service doit avoir un plan global de la plate-forme pour savoir qui doit recevoir l'ordre, et savoir que faire si l'ordre n'est pas exécuté correctement. Un événement évite les problèmes, vous le propagez à toute la plate(forme, chaque micro-service décide ce qu'il en fait. […] La nature n'appelle pas les arbres un par un pour ordonner la floraison. Elle fait monter la température et l'ensoleillement. Chaque arbre réagit à ces événements selon ses caractéristiques. Il n'y a que les humains pour affectionner les systèmes hiérarchiques top-bottom… Chaque micro-service devient autonome, il est maître de son domaine et réagit aux signaux externes. […] Les théories libérales appliquées à l'informatique. »
Quand nous avons lu cet article, il y était question, à plusieurs reprises, de « Louis 14 ». Cela a depuis été rectifié… bien qu'une parenthèse ait été maintenue, avec la traduction en chiffres arabes, à l'intention des "Grand Lyonnais" qui non seulement ne sauraient pas lire les chiffres romains, mais en plus n'auraient jamais entendu parler du Roi-Soleil, ni de la statue à son effigie qui trône place Bellecour. Notez cependant qu'à linstant où nous le partageons, il est toujours question, dans cet article, du « 19e siècle », en dépit des recommandations typographiques.
«La Métropole de Lyon prépare la restauration de la statue équestre de Louis XIV (Louis 14). Première étape : les sculptures qui représentent le Rhône et la Saône ont été retirées. […] Elles seront restaurées par la ville de Lyon au musée des Beaux-Arts. Une fois les restaurations terminées, les deux œuvres seront exposées parmi les collections permanentes du musée. Elles resteront donc accessibles au public mais seront mieux conservées. La statue de Louis XIV sur son cheval n'est pas en meilleur état : fissures, oxydation du cheval, fragilisation de la fixation du socle… La sculpture réalisée par François-Frédéric Lemot au 19e siècle sera rendue à son état d'origine en même temps que le socle. Les abords de la statue seront également réaménagés. De mars à la fin de l'automne 2021, des études complémentaires sur l'état de la statue seront effectuées pour préciser les méthodes de restauration. Retirée en janvier 2022, la statue sera de retour sur la place Bellecour à l'automne 2022. »
«La Métropole de Lyon prépare la restauration de la statue équestre de Louis XIV (Louis 14). Première étape : les sculptures qui représentent le Rhône et la Saône ont été retirées. […] Elles seront restaurées par la ville de Lyon au musée des Beaux-Arts. Une fois les restaurations terminées, les deux œuvres seront exposées parmi les collections permanentes du musée. Elles resteront donc accessibles au public mais seront mieux conservées. La statue de Louis XIV sur son cheval n'est pas en meilleur état : fissures, oxydation du cheval, fragilisation de la fixation du socle… La sculpture réalisée par François-Frédéric Lemot au 19e siècle sera rendue à son état d'origine en même temps que le socle. Les abords de la statue seront également réaménagés. De mars à la fin de l'automne 2021, des études complémentaires sur l'état de la statue seront effectuées pour préciser les méthodes de restauration. Retirée en janvier 2022, la statue sera de retour sur la place Bellecour à l'automne 2022. »
« C'est la polémique dans la polémique autour de Pierre Ménès. Elle concerne cette fois la chroniqueuse Francesca Antoniotti. […] Une séquence diffusée sur les réseaux sociaux montre le journaliste en train d'embrasser de force la chroniqueuse sur le plateau de l'émission. Hier soir, sur le plateau de TPMP, la journaliste a expliqué : "Sur le coup, il y a plein de choses qu'on laisse passer car on a pas la possibilité de dire ce que l'on pense dans le journalisme sportif quand on est une femme et surtout face à quelqu'un qui est une personnalité que je respecte comme c'est le cas de Pierre Ménès. En revanche je veux dire que ce n'est pas une agression sexuelle, ce n'est vraiment pas ça. |…] Alors, sur cette séquence, je veux dire que j'ai été humilié, mais je sais que Pierre est intelligent, il va venir, il va s'excuser et on va passer à autre chose : Basta..." »
« Le Gouvernement a remis au Conseil d'État un mémoire, qui n'a pas été publié mais dont Contexte a eu une copie, dans lequel il lui demande de contourner les arrêts de la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) car ils seraient contraires à "l'identité constitutionnelle française", en particulier à la protection de la sécurité intérieure qui doit prévaloir sur la protection de la vie privée. »
« D'après le mémoire déposé par le Gouvernement, la conservation généralisée est "indispensable" au regard de la sauvegarde des intérêts fondamentaux de la nation et de l'intégrité du territoire, de la prévention des infractions et de la recherche des auteurs d'infractions pénales et de la lutte contre le terrorisme. Le Gouvernement conteste également le fait que l'UE s'arroge le droit de donner son avis sur des questions relatives à la sécurité intérieure française. "L'identité constitutionnelle" de la France serait ainsi bafouée par la cour luxembourgeoise, explique le Gouvernement. Or, comme le souligne Contexte, la notion "d'identité constitutionnelle" est volontairement très floue et n'est définie dans aucun texte. »
« D'après le mémoire déposé par le Gouvernement, la conservation généralisée est "indispensable" au regard de la sauvegarde des intérêts fondamentaux de la nation et de l'intégrité du territoire, de la prévention des infractions et de la recherche des auteurs d'infractions pénales et de la lutte contre le terrorisme. Le Gouvernement conteste également le fait que l'UE s'arroge le droit de donner son avis sur des questions relatives à la sécurité intérieure française. "L'identité constitutionnelle" de la France serait ainsi bafouée par la cour luxembourgeoise, explique le Gouvernement. Or, comme le souligne Contexte, la notion "d'identité constitutionnelle" est volontairement très floue et n'est définie dans aucun texte. »
D'après Luca de Meo, les prochaines Alpine électriques « devraient être une sorte de mélange d'une mini-Ferrari et d'une mini-Tesla ». C'est en tout cas ce qu'il a déclaré au journal allemand Die Welt. Rien à voir avec tout ce qu'on a connu jusqu'à présent dans l'histoire de la marque, dont les modèles étaient plutôt comparables à des Lotus ou à des Porsche, selon les cas.
« Un restaurateur de Neuilly-sur-Seine a été placé en garde à vue pour avoir clandestinement maintenu son commerce ouvert au public en violation des règles sanitaires en vigueur contre l'épidémie de Covid-19, a indiqué le parquet de Nanterre, sollicité par l'AFP. »
« Ce restaurateur et son serveur ont été interpellés en flagrant délit mercredi midi et placés en garde à vue. […] Les deux hommes ont été remis en liberté mais une enquête préliminaire pour mise en danger d'autrui, ouverture irrégulière d'un établissement recevant du public et travail dissimulé a été ouverte. Pour ces faits, le restaurateur encourt jusqu'à trois ans d'emprisonnement et 45 000 euros d'amende. »
« La grille de l'établissement était fermée mais les forces de l'ordre y ont pénétré, alertés par le bruit, et ont découvert une vingtaine de clients attablés, qui ont été contrôlés, selon la police des Hauts-de-Seine. Les vingt-quatre clients ont été verbalisés, a précisé le parquet. Les premiers éléments de l'enquête ont révélé que le commerçant avait maintenu son commerce ouvert depuis novembre, qu'il avait touché 20 000 euros d'aides gouvernementales et réussi à se dégager un salaire de 2 000 euros par mois, a détaillé la police. »
« Ce restaurateur et son serveur ont été interpellés en flagrant délit mercredi midi et placés en garde à vue. […] Les deux hommes ont été remis en liberté mais une enquête préliminaire pour mise en danger d'autrui, ouverture irrégulière d'un établissement recevant du public et travail dissimulé a été ouverte. Pour ces faits, le restaurateur encourt jusqu'à trois ans d'emprisonnement et 45 000 euros d'amende. »
« La grille de l'établissement était fermée mais les forces de l'ordre y ont pénétré, alertés par le bruit, et ont découvert une vingtaine de clients attablés, qui ont été contrôlés, selon la police des Hauts-de-Seine. Les vingt-quatre clients ont été verbalisés, a précisé le parquet. Les premiers éléments de l'enquête ont révélé que le commerçant avait maintenu son commerce ouvert depuis novembre, qu'il avait touché 20 000 euros d'aides gouvernementales et réussi à se dégager un salaire de 2 000 euros par mois, a détaillé la police. »
Témoignage édifiant de Léonidas Kalogeropoulos (Médiations et Arguments), lors d'un entretien avec Stéphane Soumier diffusé le 24 mars 2021 :
« On a créé Entrepreneurs pour la République. C'est une plate-forme, c'est un réseau social. Tout le monde peut poser des problèmes d'intérêt général. [….] Il y a […] les solutions concrètes […] d'entrepreneurs pour y répondre. La priorité, c'était bien sûr le Covid. En moins de quinze jours, on a déjà une quinzaine de solutions très concrètes. […] Ils ont inventé des peintures virucides, ils ont inventé des revêtements que l'on met sur les poignées pour tuer le virus… »
« Qu'est-ce qu'ils demandent, tous ces gens-la ? Ils essaient désespérément d'avoir un interlocuteur dans l'appareil d'État qui audite et valide l'efficacité de leurs produits. Et tu sais ce qu'on nous répond […] du côté de l'État : on ne va pas les valider […] parce qu'il faudrait un appel d'offres. […] Est-ce qu'on a lancé un appel d'offres pour mobiliser les taxis de la Marne ? […] On est en guerre, soit disant. Il y a des solutions […] mais avant de les tester, il faudrait avoir un appel d'offres ? »
« Et il faut attendre la deuxième réponse qui m'a été donnée, parce qu'elle vaut son pensant d'or : de toute manière, on ne les auditera pas et on ne les validera pas, parce que si on devait les tamponner et les expertiser, et dire que c'est efficace, si jamais il y a un malade derrière, on en portera la responsabilité, et la responsabilité de l'État pourra être engagée. »
« Si ne serait-ce que la moitié de la cinquantaine de solutions qu'il y a sur la plate-forme fonctionnent, on sera capable de rouvrir la totalité l'économie française avant l'été. […] On est en train de chercher [..] les laboratoire qui sont capables de les tester, de les valider, et de faire en sorte qu'on les mette en œuvre. On ne peut pas suspendre l'avenir de notre pays au blocage administratif et au blocage que l'État s'est lui-même fabriqué. »
« On a créé Entrepreneurs pour la République. C'est une plate-forme, c'est un réseau social. Tout le monde peut poser des problèmes d'intérêt général. [….] Il y a […] les solutions concrètes […] d'entrepreneurs pour y répondre. La priorité, c'était bien sûr le Covid. En moins de quinze jours, on a déjà une quinzaine de solutions très concrètes. […] Ils ont inventé des peintures virucides, ils ont inventé des revêtements que l'on met sur les poignées pour tuer le virus… »
« Qu'est-ce qu'ils demandent, tous ces gens-la ? Ils essaient désespérément d'avoir un interlocuteur dans l'appareil d'État qui audite et valide l'efficacité de leurs produits. Et tu sais ce qu'on nous répond […] du côté de l'État : on ne va pas les valider […] parce qu'il faudrait un appel d'offres. […] Est-ce qu'on a lancé un appel d'offres pour mobiliser les taxis de la Marne ? […] On est en guerre, soit disant. Il y a des solutions […] mais avant de les tester, il faudrait avoir un appel d'offres ? »
« Et il faut attendre la deuxième réponse qui m'a été donnée, parce qu'elle vaut son pensant d'or : de toute manière, on ne les auditera pas et on ne les validera pas, parce que si on devait les tamponner et les expertiser, et dire que c'est efficace, si jamais il y a un malade derrière, on en portera la responsabilité, et la responsabilité de l'État pourra être engagée. »
« Si ne serait-ce que la moitié de la cinquantaine de solutions qu'il y a sur la plate-forme fonctionnent, on sera capable de rouvrir la totalité l'économie française avant l'été. […] On est en train de chercher [..] les laboratoire qui sont capables de les tester, de les valider, et de faire en sorte qu'on les mette en œuvre. On ne peut pas suspendre l'avenir de notre pays au blocage administratif et au blocage que l'État s'est lui-même fabriqué. »
« À l'intérieur, c'est plus convenu. Puisque l'on retrouve quasiment la planche de bord du Captur. Ce n'est pas une critique. Mais la qualité de finition est… très au-dessus. Dès qu'on roule, c'est la première chose qui frappe. Le haut degré d'insonorisation et de filtration surprend pour une voiture française. Pas de petits bruits, rien. Renault effectue ici un remarquable pas en avant. »
« Il est vrai que la qualité de fabrication coréenne est réputée. Les clients du pays du Matin calme sont "très exigeants sur les accostages et les crissements ou grincements", affirme François Laurent. Et Renault a ajouté des spécifications européennes, comme des insonorisants sur les passages de roues, par exemple, car ceux-ci sont étrangement négligés en Corée. Logique: les chaussées là-bas sont lisses et les vitesses moyennes de circulation faibles. Les plastiques souples en haut de la planche et ceux plus durs en bas font solide. Et fermer une portière avant ou arrière est un plaisir. Bravo. C'est beaucoup mieux qu'un Volkswagen T-Cross, et de loin ! »
« Voilà un engin bien pensé, rigoureusement fabriqué, de qualité! Nous sommes fiers de Renault cette fois en tant que Français. La firme espère repartir à la conquête du segment des compactes avec ce SUV-coupé. On ne voit pas ce qui s'y opposerait. Et, ce qui ne gâche rien, les prix sont compétitifs. »
« Il est vrai que la qualité de fabrication coréenne est réputée. Les clients du pays du Matin calme sont "très exigeants sur les accostages et les crissements ou grincements", affirme François Laurent. Et Renault a ajouté des spécifications européennes, comme des insonorisants sur les passages de roues, par exemple, car ceux-ci sont étrangement négligés en Corée. Logique: les chaussées là-bas sont lisses et les vitesses moyennes de circulation faibles. Les plastiques souples en haut de la planche et ceux plus durs en bas font solide. Et fermer une portière avant ou arrière est un plaisir. Bravo. C'est beaucoup mieux qu'un Volkswagen T-Cross, et de loin ! »
« Voilà un engin bien pensé, rigoureusement fabriqué, de qualité! Nous sommes fiers de Renault cette fois en tant que Français. La firme espère repartir à la conquête du segment des compactes avec ce SUV-coupé. On ne voit pas ce qui s'y opposerait. Et, ce qui ne gâche rien, les prix sont compétitifs. »
« Après cinq mois de hausse ininterrompue, le marché des enveloppes poids lourds neuves a perdu du terrain en janvier 2021, affichant un repli de 7,8 %. Une tendance qui profite aux pneus rechapés. […] Le déclin observée sur ce marché depuis le début des années 2000 s'est certes stabilisé depuis deux ou trois ans, toujours est-il que celui-ci continue de s'éroder lentement. Le voir croître de 3,8 % en janvier est donc un signal très positif. "La bonne santé du rechapé est une excellente nouvelle, confirme Dominique Stempfel, président du SPP [Syndicat des professionnels du pneu]. Au-delà de ses vertus environnementales indéniables, le rechapage contribue à préserver des emplois en régions. Il faut sans cesse rappeler que l’industrie du rechapage n’est pas délocalisable". »
« Mercredi après-midi [le 17 mars], la préfecture de Police de Paris annonçait sur son compte Twitter avoir jugulé à Saint-Ouen, en banlieue Nord de Paris, "un atelier de conditionnement de produits stupéfiants (MDMA, ecstasy) qui alimentait des soirées clandestines" et saisi pour un million d'euros de marchandise. Le message en question était accompagné de deux photos montrant de la poudre rose et des sortes de petites pilules de la même couleur dans des sachets.
« Les analyses toxicologiques réalisées hier soir ont conclu "que la poudre saisie dans l'appartement était une poudre neutre, ne relevant ni de produits stupéfiants ni de substance vénéneuse", a indiqué à l'AFP le parquet de Bobigny. Il s'agissait en fait de... "fraises Tagada concassées", un célèbre bonbon, a précisé une source proche de l'enquête. »
« Les analyses toxicologiques réalisées hier soir ont conclu "que la poudre saisie dans l'appartement était une poudre neutre, ne relevant ni de produits stupéfiants ni de substance vénéneuse", a indiqué à l'AFP le parquet de Bobigny. Il s'agissait en fait de... "fraises Tagada concassées", un célèbre bonbon, a précisé une source proche de l'enquête. »
« Dans ma revue de l'excellent livre Democracy for Realists, j'expliquais que les attentes envers la démocratie sont beaucoup trop élevées. […] Dans le livre 10 % Less Democracy, l'économiste Garett Jones aborde le problème sous un autre angle. L'idée centrale du livre est que dans la plupart des pays développés, la démocratie est allée trop loin. Il défend l'opinion que les politiciens élus et les citoyens qui votent pour eux devraient être tenus un peu plus éloignés des leviers du pouvoir en faveur de technocrates de carrière. Autrement dit, Jones préfère des bureaucrates indépendants et non-élus et souhaite que soit rallongé le mandat des élus. »
« Pour qu'une démocratie fonctionne bien, il faut que les électeurs soient bien informés. Par contre, le vote de ces derniers a le même poids que celui des électeurs les moins informés. Jones souhaiterait faire pencher un petit peu plus la balance du côté des électeurs mieux informés. […] L'autre moyen de donner davantage de poids aux élites dans la gestion du gouvernement est d'avoir une chambre haute au Parlement qui approuve les lois. La House of Lords au Royaume-Uni et le Sénat au Canada permettent d'attribuer davantage de pouvoir et une influence concrète sur le gouvernement à une certaine élite non élue. Selon Jones, ce concept devrait être renforcé. »
« Jones fait remarquer que dans certains pays, le dirigeant de la banque centrale conserve une certaine indépendance du gouvernement, alors que dans d'autres pays l'influence du gouvernement sur la politique monétaire est prépondérante. »
« On peut être en désaccord avec la manière d'opérer de la Federal Reserve ou de la Banque centrale européenne, mais il n'en demeure pas moins que l'inflation a été historiquement beaucoup plus faible dans les pays où la banque centrale est plus indépendante du gouvernement, que dans ceux où le gouvernement a le contrôle de la planche à billets. […]
Jones en conclut que la structure plutôt anti-démocratique de certaines banques centrales favorise de meilleures politiques économiques. »
« Selon Jones, Singapour a moitié moins de démocratie que les pays Occidentaux, ce qui est peut-être un peu trop extrême. Cependant, ce pays présente deux atouts importants lui permettant de bien fonctionner : des citoyens parmi les plus éduqués au monde et un système judiciaire considéré comme très indépendant par des organismes tels que le World Justice Project et la Banque Mondiale (Rule of Law Index). Donc Jones ne recommande pas un système comme Singapour du fait de son déficit de démocratie. Il préconise seulement un petit pas dans cette direction afin d'atteindre le seuil de 10 % de démocratie en moins. »
« Pour qu'une démocratie fonctionne bien, il faut que les électeurs soient bien informés. Par contre, le vote de ces derniers a le même poids que celui des électeurs les moins informés. Jones souhaiterait faire pencher un petit peu plus la balance du côté des électeurs mieux informés. […] L'autre moyen de donner davantage de poids aux élites dans la gestion du gouvernement est d'avoir une chambre haute au Parlement qui approuve les lois. La House of Lords au Royaume-Uni et le Sénat au Canada permettent d'attribuer davantage de pouvoir et une influence concrète sur le gouvernement à une certaine élite non élue. Selon Jones, ce concept devrait être renforcé. »
« Jones fait remarquer que dans certains pays, le dirigeant de la banque centrale conserve une certaine indépendance du gouvernement, alors que dans d'autres pays l'influence du gouvernement sur la politique monétaire est prépondérante. »
« On peut être en désaccord avec la manière d'opérer de la Federal Reserve ou de la Banque centrale européenne, mais il n'en demeure pas moins que l'inflation a été historiquement beaucoup plus faible dans les pays où la banque centrale est plus indépendante du gouvernement, que dans ceux où le gouvernement a le contrôle de la planche à billets. […]
Jones en conclut que la structure plutôt anti-démocratique de certaines banques centrales favorise de meilleures politiques économiques. »
« Selon Jones, Singapour a moitié moins de démocratie que les pays Occidentaux, ce qui est peut-être un peu trop extrême. Cependant, ce pays présente deux atouts importants lui permettant de bien fonctionner : des citoyens parmi les plus éduqués au monde et un système judiciaire considéré comme très indépendant par des organismes tels que le World Justice Project et la Banque Mondiale (Rule of Law Index). Donc Jones ne recommande pas un système comme Singapour du fait de son déficit de démocratie. Il préconise seulement un petit pas dans cette direction afin d'atteindre le seuil de 10 % de démocratie en moins. »
« "Vous ne verrez aucune utilisation d'hydrogène dans les voitures !" Le P-DG de Volkswagen, Herbert Diess, est assez clair quant au positionnement du groupe vis-à-vis de la pile à combustible. Interrogé par le Financial Times, il juge qu'il serait "très optimiste" de penser qu'il y aurait jamais un grand marché pour les véhicules à pile à combustible. "Pas même dans dix ans, parce que la physique derrière tout cela est tellement déraisonnable" a-t-il justifié, pointant notamment du doigt le rendement de la pile et la complexité du système. »
« Volkswagen n'est d'ailleurs pas le seul à lever le pied sur la voiture à hydrogène. L'an dernier, Mercedes a annoncé la fin de son SUV à hydrogène GLC F-Cell tandis que BMW a décidé de réduire ses efforts au strict minimum. […] Le positionnement des constructeurs sera-t-il amené à évoluer ? Peut-être. […] Après-tout, rappelons qu'il y a encore une quinzaine d'années peu de constructeurs croyaient à la voiture électrique… »
« Volkswagen n'est d'ailleurs pas le seul à lever le pied sur la voiture à hydrogène. L'an dernier, Mercedes a annoncé la fin de son SUV à hydrogène GLC F-Cell tandis que BMW a décidé de réduire ses efforts au strict minimum. […] Le positionnement des constructeurs sera-t-il amené à évoluer ? Peut-être. […] Après-tout, rappelons qu'il y a encore une quinzaine d'années peu de constructeurs croyaient à la voiture électrique… »
« Les "Alpins" ne tarissent pas d'éloges sur leurs mulets. Un animal endurant, aimant, parfois adapté aux terrains de montagne. Il peut porter facilement ses 80 kilos de charge (auxquels il faut ajouter les 40 kilos du bât) durant plusieurs heures, sur les terrains les plus pentus. Équipé de pointes en carbone sur les sabots pour ne pas riper sur les plaques de glace, il passe partout, ou presque. Et il peut parcourir cinq-six heures de marche sur 800-1000 mètres de dénivelé durant plusieurs jours. »
« Face à un bruit soudain (artillerie), ou une attaque (d'un rapace par exemple), le cheval va avoir tendance à fuir. Ce qui, en montagne, présente un risque pour l'animal. Le mulet au contraire va se figer. Un réflexe salvateur. Autre avantage par rapport au cheval, il marche les pieds l'un derrière l'autre, et non en parallèle, ce qui sur les chemins étroits de montagne est très utile. »
« Les mulets, après avoir rendu de bons et loyaux services à l'armée française, notamment dans les campagnes d'Afrique du Nord, durant la Première ou la Seconde Guerre mondiale, ont été retirés du service après 1975. Idem dans les troupes alpines italiennes en 2002. Mais outre-Rhin, la brigade allemande d'infanterie de montagne a toujours une cinquantaine de mules, utilisées en Afghanistan ou au Kosovo, pour assurer le transport dans des lieux moins accessibles. Pour les Français, cette réintroduction, très récente, au sein du 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA), a valeur de test. »
« Face à un bruit soudain (artillerie), ou une attaque (d'un rapace par exemple), le cheval va avoir tendance à fuir. Ce qui, en montagne, présente un risque pour l'animal. Le mulet au contraire va se figer. Un réflexe salvateur. Autre avantage par rapport au cheval, il marche les pieds l'un derrière l'autre, et non en parallèle, ce qui sur les chemins étroits de montagne est très utile. »
« Les mulets, après avoir rendu de bons et loyaux services à l'armée française, notamment dans les campagnes d'Afrique du Nord, durant la Première ou la Seconde Guerre mondiale, ont été retirés du service après 1975. Idem dans les troupes alpines italiennes en 2002. Mais outre-Rhin, la brigade allemande d'infanterie de montagne a toujours une cinquantaine de mules, utilisées en Afghanistan ou au Kosovo, pour assurer le transport dans des lieux moins accessibles. Pour les Français, cette réintroduction, très récente, au sein du 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA), a valeur de test. »
« Selon Le Figaro, la journaliste de France Info, Claire Koç, a annoncé […] avoir déposé plainte pour incitation à la haine, harcèlement et menaces de mort contre des militants pro-Erdogan. Elle fait désormais l'objet d'une protection policière. […] "Dès les premiers articles (sur son livre, NDLR), j'ai commencé à recevoir beaucoup d'insultes sur les réseaux sociaux, surtout sur Twitter. Puis des menaces", a-t-elle confié au Figaro. Et d'ajouter : "En alléguant que je serais une terroristes kurde, ces dingues ultranationalistes m'ont collé une cible dans le dos ! Ça fait peur car ça ne s'arrête pas. J'ai comptabilisé plus de 1 500 messages haineux, provenant de Turcs de France, mais aussi d'immigrés maghrébins et africains". "Mes parents, membres de la minorité religieuse des alévis, ont fui cette animosité des ultrareligieux en Turquie. Et moi, je revis ces intimidations ici...", a conclu Claire Koç. »
Extrait d'un reportage signé Thierry Vincent, publié le 23 mars 2021, rendant compte d'une manifestation organisée à Annecy pour contester les règles sanitaires. De la part de Marianne, on ne s'attendait pas à de telles inepties. Jugez par vous-même :
« Derrière cette joie de vivre apparente grenouillent en réalité des complotistes parfois proches de l'extrême droite. Déjà, le nom du collectif organisateur, "le grand rassemblement", peut faire penser au "grand remplacement", la thèse popularisée par l'écrivain d'extrême droite Renaud Camus, selon laquelle les élites mondialistes ont organisé la substitution de la population blanche de notre continent par des extra-européens. Jacques Roura, l'organisateur, ne voit pas le problème. Naïveté feinte ou véritable ignorance, l'homme affirme ne jamais avoir entendu parler du grand remplacement. "C'est un hasard malencontreux", se hasarde cet ancien mélenchoniste. »
« Derrière cette joie de vivre apparente grenouillent en réalité des complotistes parfois proches de l'extrême droite. Déjà, le nom du collectif organisateur, "le grand rassemblement", peut faire penser au "grand remplacement", la thèse popularisée par l'écrivain d'extrême droite Renaud Camus, selon laquelle les élites mondialistes ont organisé la substitution de la population blanche de notre continent par des extra-européens. Jacques Roura, l'organisateur, ne voit pas le problème. Naïveté feinte ou véritable ignorance, l'homme affirme ne jamais avoir entendu parler du grand remplacement. "C'est un hasard malencontreux", se hasarde cet ancien mélenchoniste. »
Elle avait une sacrée gueulle, cette Peugeot présentée en 1988. La ligne de ce prototype était époustouflante ; les performances étaient au rendez-vous ; les innovations high-tech aussi : « à bord, ordinateur de bord avec écran LCD et lecteur de disquette 5"1/4 ! À noter : « Peugeot a produit deux Oxia » ; « l'une d'entre elles est toujours visible au musée de l'Aventure Peugeot » ; « la seconde a été vendue lors d'une vente aux enchères en 2009 » ; « elle est partie vers les États-Unis où il semble qu'elle soit restée depuis ».
« En France, c'est L'Opinion qui est visé, affichant dans son journal du 11 mars deux articles avec en haut de page une inscription en chinois et sa traduction "People's Daily". Sans aucune explication supplémentaire, le lecteur est invité à lire un article glorifiant la capacité de la Chine à "réduire la pauvreté par la préservation écologique". Le second, vante la résilience de l'économie chinoise, et assure qu'une "centaine de nouvelles entreprises à capitaux étrangers sont créées en moyenne chaque jour". »
« En réalité, le People's Daily est l'organe de presse officiel édité par le comité central du Parti Communiste Chinois (PCC). Pour cet encart, l'Opinion aurait touché entre 17 000 et 30 000 euros (comme mentionné sur la grille tarifaire). Mais il n'est pas le seul à faire la publicité de Pékin. En une semaine ces publi-communiqués ont atterri sur tous les continents, constituant une dépense de propagande colossale. »
« En réalité, le People's Daily est l'organe de presse officiel édité par le comité central du Parti Communiste Chinois (PCC). Pour cet encart, l'Opinion aurait touché entre 17 000 et 30 000 euros (comme mentionné sur la grille tarifaire). Mais il n'est pas le seul à faire la publicité de Pékin. En une semaine ces publi-communiqués ont atterri sur tous les continents, constituant une dépense de propagande colossale. »
« Cette mesure est la plus drastique jamais prise à l'encontre des crypto-monnaies puisque même la Chine, qui interdit le trading et les transactions en crypto-monnaie, n'en interdit pas le minage et la possession. »
« Il y a presque deux ans, la rue de la République avait connu un important chantier. L'ensemble des anciens pavés de l'axe piéton du 2e arrondissement de Lyon avaient été enlevés pour laisser la place à des pierres neuves, censées durer dans le temps. »
« Trois mois après avoir fait pleuvoir les coups de pioche en plein centre-ville, les ouvriers s'étaient rendus compte d'une non-conformité dans la pose. […] Les pavés avaient donc été enlevés, puis reposés, avec ce qui devaient être de meilleurs joints. […] Mais […] une nouvelle fois, les joints choisis n'ont pas tenu ! Les pavés commençaient notamment à casser à leurs extrémités. La Métropole de Lyon explique que les travaux initiaux avaient été décalés à cause de la crise sanitaire, puis effectués en période de canicule, "ce qui a entraîné les défauts constatés". […] Les ouvriers devront enlever l'ensemble des briques pour mieux les poser. »
« La Métropole de Lyon indique que l'entreprise qui jongle avec les pavés depuis deux ans prendra en charge le coût de la main-d'œuvre de ce nouveau plantage. Les pierres nécessaires seront néanmoins fournies par la collectivité. »
« Trois mois après avoir fait pleuvoir les coups de pioche en plein centre-ville, les ouvriers s'étaient rendus compte d'une non-conformité dans la pose. […] Les pavés avaient donc été enlevés, puis reposés, avec ce qui devaient être de meilleurs joints. […] Mais […] une nouvelle fois, les joints choisis n'ont pas tenu ! Les pavés commençaient notamment à casser à leurs extrémités. La Métropole de Lyon explique que les travaux initiaux avaient été décalés à cause de la crise sanitaire, puis effectués en période de canicule, "ce qui a entraîné les défauts constatés". […] Les ouvriers devront enlever l'ensemble des briques pour mieux les poser. »
« La Métropole de Lyon indique que l'entreprise qui jongle avec les pavés depuis deux ans prendra en charge le coût de la main-d'œuvre de ce nouveau plantage. Les pierres nécessaires seront néanmoins fournies par la collectivité. »
Était-il bien nécessaire d'impliquer la Justice dans cette affaire ? Après la prestation grotesque de Corinne Masiero lors de la 46e cérémonie des César, une dizaine de parlementaires, avec à leur tête Julien Aubert, député du Vaucluse (LR) ont signalé la scène au procureur de la République (qui n'a pas donné suite). La censure sévit déjà suffisamment à gauche, pas la peine d'en rajouter à droite !
Comparé au TPS-L2, le premier Walkman de Sony, cet appareil proposé par Oriolus présente des dimensions un peu réduites. Pour le reste, le design est fidèlement reproduit, quoi que la technologie n'ait rien à voir : pas question de revenir aux vieilles cassettes, il s'agit d'un baladeur numérique ! Qui embarque apparemment un DAC de bonne qualité. De quoi justifier son prix ? Comptez quand même 1 800 euros.
Extraits d'une tribune signée Céline Masson, Caroline Eliacheff et Anna Cognet, membres de l'Observatoire des discours idéologiques sur l'enfant et l'adolescent :
« L'évolution du diagnostic de "dysphorie de genre" chez des enfants et des adolescents ces dernières années a […] de quoi interpeller : depuis dix ans, les demandes de réassignation de sexe se sont, dans cette catégorie d'âge, accrues de manière exponentielle selon les pays. […] Les traitements médicaux, à savoir les bloqueurs de puberté, les injections d'hormones du sexe revendiqué, les mastectomies ou ablations des testicules, sont réalisées sur des corps sains d'enfants et, comme s'en inquiètent les parents québécois, "l'enfant en bonne santé devient un patient à vie". »
« La "dysphorie de genre" des enfants et des adolescents témoigne à la fois d'une question intime posée par un enfant ou un adolescent mais aussi de la manière dont les enfants et les adolescents se font caisse de résonance, voire instrument du corps social qui valide immédiatement leur demande. »
« Alors que des jeunes posent des questions par rapport à leur image, leur ressenti, leur souffrance, une certaine médecine apporte sans coup férir des réponses accréditant une thèse qui voudrait que ces jeunes soient dans un "mauvais" corps et qu'il faudrait les aider à changer de "genre" pour "soulager leurs souffrances". Le problème n'est pas la demande adressée par ces jeunes – qui est bien sûr à entendre – mais les réponses qui leur sont proposées. […] Il est urgent de retrouver le sens de nos responsabilités en tant qu'adultes et en tant que corps social à l'égard des jeunes pour les préserver de s'engager sans avoir la maturité suffisante dans ces processus qui transforment "l'enfant en bonne santé" en un "patient à vie". »
« L'évolution du diagnostic de "dysphorie de genre" chez des enfants et des adolescents ces dernières années a […] de quoi interpeller : depuis dix ans, les demandes de réassignation de sexe se sont, dans cette catégorie d'âge, accrues de manière exponentielle selon les pays. […] Les traitements médicaux, à savoir les bloqueurs de puberté, les injections d'hormones du sexe revendiqué, les mastectomies ou ablations des testicules, sont réalisées sur des corps sains d'enfants et, comme s'en inquiètent les parents québécois, "l'enfant en bonne santé devient un patient à vie". »
« La "dysphorie de genre" des enfants et des adolescents témoigne à la fois d'une question intime posée par un enfant ou un adolescent mais aussi de la manière dont les enfants et les adolescents se font caisse de résonance, voire instrument du corps social qui valide immédiatement leur demande. »
« Alors que des jeunes posent des questions par rapport à leur image, leur ressenti, leur souffrance, une certaine médecine apporte sans coup férir des réponses accréditant une thèse qui voudrait que ces jeunes soient dans un "mauvais" corps et qu'il faudrait les aider à changer de "genre" pour "soulager leurs souffrances". Le problème n'est pas la demande adressée par ces jeunes – qui est bien sûr à entendre – mais les réponses qui leur sont proposées. […] Il est urgent de retrouver le sens de nos responsabilités en tant qu'adultes et en tant que corps social à l'égard des jeunes pour les préserver de s'engager sans avoir la maturité suffisante dans ces processus qui transforment "l'enfant en bonne santé" en un "patient à vie". »
« Il est probable que le conflit libyen ait été le premier du genre à avoir recours à des Sala. C'est en effet ce que suggère le dernier rapport du groupe d'experts des Nations unies sur la Libye. […] "Les convois de logistique et les unités des forces affiliées à Haftar qui battaient en retraite ont été pourchassés et pris à partie à distance par des drones de combat ou des systèmes d'armes létaux autonomes tels que le Kargu-2 de STM et d'autres munitions rôdeuses", est-il affirmé dans le rapport. »
« Et ses auteurs précisent : "Les systèmes d'armes létaux autonomes avaient été programmés pour attaquer des cibles, sans qu'il soit besoin d'établir une connexion des données entre l'opérateur et la munition, et étaient donc réellement en mode d'autoguidage automatique." Dans le même temps, les drones de l'ANL ainsi que ses moyens de reconnaissance ont été "neutralisés par le brouillage électromagnétique provenant du système de guerre électronique Koral." »
« "La concentration de puissance de feu et la perception de la situation fournies par ces armes de pointe sur le champ de bataille ont été un multiplicateur de force considérable pour les unités terrestres du GNA, dégradant lentement les capacités opérationnelles des forces affiliées à Haftar, dont les unités n'avaient jamais été formées et n'étaient pas motivées pour se défendre contre l'utilisation efficace de cette nouvelle technologie et ont généralement été mises en déroute", souligne le document, pour qui les SALA "se sont avérées d'une efficacité redoutable pour mettre en échec les systèmes de défense antiaérienne Pantsir S-1 fournis par les Émirats arabes unis." »
« Et ses auteurs précisent : "Les systèmes d'armes létaux autonomes avaient été programmés pour attaquer des cibles, sans qu'il soit besoin d'établir une connexion des données entre l'opérateur et la munition, et étaient donc réellement en mode d'autoguidage automatique." Dans le même temps, les drones de l'ANL ainsi que ses moyens de reconnaissance ont été "neutralisés par le brouillage électromagnétique provenant du système de guerre électronique Koral." »
« "La concentration de puissance de feu et la perception de la situation fournies par ces armes de pointe sur le champ de bataille ont été un multiplicateur de force considérable pour les unités terrestres du GNA, dégradant lentement les capacités opérationnelles des forces affiliées à Haftar, dont les unités n'avaient jamais été formées et n'étaient pas motivées pour se défendre contre l'utilisation efficace de cette nouvelle technologie et ont généralement été mises en déroute", souligne le document, pour qui les SALA "se sont avérées d'une efficacité redoutable pour mettre en échec les systèmes de défense antiaérienne Pantsir S-1 fournis par les Émirats arabes unis." »
« Ceux qui nous expliquent sans cesse qu'il faut arrêter de faire porter du rose aux petites filles et de différencier les enfants en raison de leur sexe n'ont aucun mal à prétendre qu'il faut encourager tel garçon à se "dégenrer" parce qu'il lui arrive de porter des robes ou de jouer à la poupée. Il y a là une contradiction difficile à expliquer. Le "féminin" et le "masculin" n'existeraient pas en tant que tels mais ces catégories sans cesse contestées pourraient quand même justifier un changement de "genre" ? En outre, s'il est vrai que l'attirance des garçons pour le football et celle des filles pour le rose sont des constructions sociales, en quoi devrait-on s'étonner et accorder une importance démesurée à de tels penchants ? Il peut y avoir mille autres raisons à cela qu'un "trouble du genre " : l'influence des aînés dans la fratrie, le plaisir du travestissement ou celui d'inventer des histoires, entre autres. »
« La confusion vient aussi de notre conception très péjorative de ce qui n'est pas totalement naturel, à tout le moins dans ce domaine. On reproche au "genre" d'être une construction sociale. C'est évidemment le cas pour une part, mais est-ce que tout ce qui est construit doit nécessairement être totalement déconstruit ? Pour rebâtir quoi ensuite ? N'est-il pas au contraire souhaitable qu'on soutienne un peu artificiellement ce que la nature a fait de nous ? Le regard des parents participe de cette affirmation en partie arbitraire de notre identité ; ce regard qui nous dit qui nous sommes n'en est pas moins essentiel. Chercher à poser un regard "non genré" sur ses enfants, comme certains nous y encouragent, c'est insinuer le doute identitaire dans leur esprit dès le plus jeune âge au risque que ces préoccupations d'adultes aient sur eux des effets délétères. »
« On ne peut nier que certains se posent des questions, que d'autres soient même mal à l'aise dans le "genre" correspondant à leur sexe. Mais faut-il pour autant encourager ce questionnement dès le plus jeune âge ? Quel enfant ne s'est jamais senti différent des autres ? Le fait que 22 % des 18-30 ans se sentent "non-binaires" est-il seulement l'effet d'une plus grande liberté d'affirmer son "genre" ou est-ce en partie un effet de mode ? Là encore, rien de grave si on prend cette tendance pour ce qu'elle est. Mais acter dès l'âge de sept ou huit ans, comme le font certains, que son fils est en réalité une fille sous les applaudissements des progressistes et face aux caméras des chaînes de télé, ne sera pas sans drame. »
« À l'heure où l'on mesure toutes les conséquences d'avoir accordé aux enfants une majorité sexuelle fantasmée, va-t-on valider leurs élans "gender fluid" ? Seraient-ils trop petits pour décider de ce qu'ils peuvent faire avec leurs organes génitaux mais suffisamment mûrs pour en changer à leur guise ? […] Ne créons pas de nouvelles victimes générationnelles qui se demanderont légitimement comment nous avons pu laisser passer ça. Plutôt que d'expier sans arrêt nos fautes du passé pour nous donner bonne conscience, combattons les tares du présent. »
« La confusion vient aussi de notre conception très péjorative de ce qui n'est pas totalement naturel, à tout le moins dans ce domaine. On reproche au "genre" d'être une construction sociale. C'est évidemment le cas pour une part, mais est-ce que tout ce qui est construit doit nécessairement être totalement déconstruit ? Pour rebâtir quoi ensuite ? N'est-il pas au contraire souhaitable qu'on soutienne un peu artificiellement ce que la nature a fait de nous ? Le regard des parents participe de cette affirmation en partie arbitraire de notre identité ; ce regard qui nous dit qui nous sommes n'en est pas moins essentiel. Chercher à poser un regard "non genré" sur ses enfants, comme certains nous y encouragent, c'est insinuer le doute identitaire dans leur esprit dès le plus jeune âge au risque que ces préoccupations d'adultes aient sur eux des effets délétères. »
« On ne peut nier que certains se posent des questions, que d'autres soient même mal à l'aise dans le "genre" correspondant à leur sexe. Mais faut-il pour autant encourager ce questionnement dès le plus jeune âge ? Quel enfant ne s'est jamais senti différent des autres ? Le fait que 22 % des 18-30 ans se sentent "non-binaires" est-il seulement l'effet d'une plus grande liberté d'affirmer son "genre" ou est-ce en partie un effet de mode ? Là encore, rien de grave si on prend cette tendance pour ce qu'elle est. Mais acter dès l'âge de sept ou huit ans, comme le font certains, que son fils est en réalité une fille sous les applaudissements des progressistes et face aux caméras des chaînes de télé, ne sera pas sans drame. »
« À l'heure où l'on mesure toutes les conséquences d'avoir accordé aux enfants une majorité sexuelle fantasmée, va-t-on valider leurs élans "gender fluid" ? Seraient-ils trop petits pour décider de ce qu'ils peuvent faire avec leurs organes génitaux mais suffisamment mûrs pour en changer à leur guise ? […] Ne créons pas de nouvelles victimes générationnelles qui se demanderont légitimement comment nous avons pu laisser passer ça. Plutôt que d'expier sans arrêt nos fautes du passé pour nous donner bonne conscience, combattons les tares du présent. »
« Mon livre recourt à la féminine universelle. […] Cet outil, qui consiste à reféminiser les mots, va beaucoup plus loin que l'écriture inclusive. Un grand nombre d'éléments de langage – si ce n'est tous – qui expriment une généralité ou une neutralité sont au masculin. Ainsi dit-on qu'"il fait beau" et non pas "elle fait belle". Et pourquoi ne dirait-on pas "elle neige" à la place de "il neige" ? »
« Il ressort du compte rendu visé ci-dessus que, au cours de l'émission "Face à l'info" diffusée sur le service de télévision C-News le 29 septembre 2020, un chroniqueur s'est exprimé sur la situation des mineurs étrangers isolés en France et a notamment déclaré à plusieurs reprises qu'ils étaient, pour la "plupart" ou "tous" des "voleurs", des "violeurs" et des "assassins", à tout le moins qu' "il y en a beaucoup qui le deviennent", évoquant une "invasion" à laquelle la France devrait mettre un terme. Ces propos, émanant d'une personne bénéficiant d'une large exposition médiatique, ont été tenus à un horaire de diffusion susceptible d'attirer des audiences significatives. Aucune réaction marquée n'a été apportée à ces déclarations par les personnes présentes en plateau. »
« Le chroniqueur de l'émission a présenté à plusieurs reprises les mineurs étrangers isolés comme des personnes dangereuses se livrant à des activités criminelles, ou à tout le moins particulièrement susceptibles de se livrer à de telles activités. Le caractère violent et répété du vocabulaire employé par le chroniqueur, stigmatisant les mineurs étrangers isolés en insistant sur les dangers qu'ils représenteraient en termes d'actes criminels, traduit l'expression d'un vif sentiment de rejet à leur égard. Ces propos, quand bien même ils ont été tenus dans le cadre d'un débat en lui-même légitime sur la politique d'accueil des mineurs étrangers isolés en France, sont ainsi de nature à inciter à la haine envers cette population, pour des raisons de nationalité. Par ailleurs, ces propos véhiculent de nombreux stéréotypes particulièrement infamants à l'égard des mineurs étrangers isolés dans leur ensemble, de nature à encourager des comportements discriminatoires à leur égard en raison de leur origine ou de leur nationalité. Cette séquence caractérise ainsi un manquement, d'une part, au dernier alinéa de l'article 15 de la loi du 30 septembre 1986 et, d'autre part, aux stipulations de l'article 2-3-2 de la convention du 27 novembre 2019. »
« Ainsi qu'il a été dit, aucune réaction suffisamment marquée n'a été apportée à ces déclarations par les personnes présentes en plateau. La circonstance qu'ait été indiqué à l'antenne que ces propos émanaient non de la chaîne mais du chroniqueur, au demeurant collaborateur de la chaîne et non simple invité, est à cet égard sans incidence. Par ailleurs, alors que l'émission a été diffusée avec un léger différé, il résulte des informations données par la chaîne durant l'audience du 10 mars 2021 que cette séquence a été diffusée sans aucune modification. Dans ces conditions, un manquement aux stipulations de l'article 2-2-1 de la convention du 27 novembre 2019 est également caractérisé. »
« Il résulte de ce qui précède qu'il y a lieu, compte-tenu de la nature et de la gravité des manquements constatés, intervenus au surplus au cours de la même émission que celle ayant donné lieu à la mise en demeure du 27 novembre 2019 […], de prononcer une sanction pécuniaire d'un montant de 200 000 euros à l'encontre de la Société d'exploitation d'un service d'information (SESI) et d'ordonner la publication de celle-ci au Journal officiel de la République française. »
« Le chroniqueur de l'émission a présenté à plusieurs reprises les mineurs étrangers isolés comme des personnes dangereuses se livrant à des activités criminelles, ou à tout le moins particulièrement susceptibles de se livrer à de telles activités. Le caractère violent et répété du vocabulaire employé par le chroniqueur, stigmatisant les mineurs étrangers isolés en insistant sur les dangers qu'ils représenteraient en termes d'actes criminels, traduit l'expression d'un vif sentiment de rejet à leur égard. Ces propos, quand bien même ils ont été tenus dans le cadre d'un débat en lui-même légitime sur la politique d'accueil des mineurs étrangers isolés en France, sont ainsi de nature à inciter à la haine envers cette population, pour des raisons de nationalité. Par ailleurs, ces propos véhiculent de nombreux stéréotypes particulièrement infamants à l'égard des mineurs étrangers isolés dans leur ensemble, de nature à encourager des comportements discriminatoires à leur égard en raison de leur origine ou de leur nationalité. Cette séquence caractérise ainsi un manquement, d'une part, au dernier alinéa de l'article 15 de la loi du 30 septembre 1986 et, d'autre part, aux stipulations de l'article 2-3-2 de la convention du 27 novembre 2019. »
« Ainsi qu'il a été dit, aucune réaction suffisamment marquée n'a été apportée à ces déclarations par les personnes présentes en plateau. La circonstance qu'ait été indiqué à l'antenne que ces propos émanaient non de la chaîne mais du chroniqueur, au demeurant collaborateur de la chaîne et non simple invité, est à cet égard sans incidence. Par ailleurs, alors que l'émission a été diffusée avec un léger différé, il résulte des informations données par la chaîne durant l'audience du 10 mars 2021 que cette séquence a été diffusée sans aucune modification. Dans ces conditions, un manquement aux stipulations de l'article 2-2-1 de la convention du 27 novembre 2019 est également caractérisé. »
« Il résulte de ce qui précède qu'il y a lieu, compte-tenu de la nature et de la gravité des manquements constatés, intervenus au surplus au cours de la même émission que celle ayant donné lieu à la mise en demeure du 27 novembre 2019 […], de prononcer une sanction pécuniaire d'un montant de 200 000 euros à l'encontre de la Société d'exploitation d'un service d'information (SESI) et d'ordonner la publication de celle-ci au Journal officiel de la République française. »
« La pénurie mondiale de composants électroniques, qui paralyse les chaînes de montage un peu partout dans le monde, se double depuis quelques jours d'un manque de plus en plus criant en matières plastiques. »
« La cause ne fait pas mystère : c'est l'arrêt de la distribution d'eau et d'énergie électrique au Texas, durant la vague de froid mémorable du mois de février dernier, qui a contraint les installations pétrochimiques à suspendre leur activité. De quoi entraîner un arrêt rapide de leurs livraisons de ces matières premières employées dans la fabrication d'un nombre incalculable de pièces pour l'automobile. Tous les secteurs de l'industrie sont touchés, depuis la santé et le matériel médical, jusqu'au bâtiment (avec la tuyauterie et l'isolation), en passant par les produits de grande consommation (jouets, électronique grand public, emballage alimentaire et cosmétique, etc.). »
« Près de 60 % de la capacité américaine de production des matières premières entrant dans la composition des plastiques est encore à l'arrêt. On comprend mieux pourquoi la remise en service des usines pétrochimiques du Golfe du Mexique – opération délicate et chronophage – pourrait s'étaler jusqu'à l'été. De quoi soutenir longtemps les cours du PVC (chlorure de polyvinyle), du polyéthylène et du polypropylène américains, qui ont doublé depuis l'été dernier (à 1.625 dollars, d'après ICIS). Une tendance générale constatée aussi sur le bois, le cuivre et l'acier. »
« La cause ne fait pas mystère : c'est l'arrêt de la distribution d'eau et d'énergie électrique au Texas, durant la vague de froid mémorable du mois de février dernier, qui a contraint les installations pétrochimiques à suspendre leur activité. De quoi entraîner un arrêt rapide de leurs livraisons de ces matières premières employées dans la fabrication d'un nombre incalculable de pièces pour l'automobile. Tous les secteurs de l'industrie sont touchés, depuis la santé et le matériel médical, jusqu'au bâtiment (avec la tuyauterie et l'isolation), en passant par les produits de grande consommation (jouets, électronique grand public, emballage alimentaire et cosmétique, etc.). »
« Près de 60 % de la capacité américaine de production des matières premières entrant dans la composition des plastiques est encore à l'arrêt. On comprend mieux pourquoi la remise en service des usines pétrochimiques du Golfe du Mexique – opération délicate et chronophage – pourrait s'étaler jusqu'à l'été. De quoi soutenir longtemps les cours du PVC (chlorure de polyvinyle), du polyéthylène et du polypropylène américains, qui ont doublé depuis l'été dernier (à 1.625 dollars, d'après ICIS). Une tendance générale constatée aussi sur le bois, le cuivre et l'acier. »
« Il semble que dès I-OS 14.5, l'utilisateur pourra décider d'installer la mise à jour complète ou uniquement la mise à jour de sécurité. […] Actuellement, c'est tout ou rien : un appareil avec des nouveautés et des correctifs, ou un appareil sans les nouvelles fonctions et mal sécurisé. »
« À compter du 1er avril, lors de la configuration initiale d'un appareil I-OS en Russie, le système va proposer à l'utilisateur d'installer des applications tierces développées au pays. […] Une boîte de dialogue s'affichera avec une sélection d'apps ; l'utilisateur pourra toutes les choisir, seulement une ou deux, ou rien du tout. »
« La liste des apps présentes dans cette sélection sera établie par le Gouvernement. Le ministère russe du Numérique précise toutefois qu'il ne cherche pas à proposer des applications "qui occupent une place dominante", mais plutôt des apps qui gagnent rapidement en popularité. Celles-ci étant obligatoirement présentes dans l'App Store, Apple les a examinées et donné un feu vert, donc pas de danger du côté de la sécurité, de la confidentialité et du contenu. »
« Le pays a voté en 2019 une nouvelle loi qui force la préinstallation d'apps russes dans les smartphones, tablettes, ordinateurs portables et de bureau, ainsi que sur les télés intelligentes. […] Le nombre d'apps à présenter varie en fonction de l'appareil, il y en a par exemple seize dans des smartphones Android qui n'ont pas attendu pour se mettre en conformité. »
« La liste des apps présentes dans cette sélection sera établie par le Gouvernement. Le ministère russe du Numérique précise toutefois qu'il ne cherche pas à proposer des applications "qui occupent une place dominante", mais plutôt des apps qui gagnent rapidement en popularité. Celles-ci étant obligatoirement présentes dans l'App Store, Apple les a examinées et donné un feu vert, donc pas de danger du côté de la sécurité, de la confidentialité et du contenu. »
« Le pays a voté en 2019 une nouvelle loi qui force la préinstallation d'apps russes dans les smartphones, tablettes, ordinateurs portables et de bureau, ainsi que sur les télés intelligentes. […] Le nombre d'apps à présenter varie en fonction de l'appareil, il y en a par exemple seize dans des smartphones Android qui n'ont pas attendu pour se mettre en conformité. »
« Donnée peu connue, la Marine nationale est dépendante du matériel américain dans le domaine particulier des bouées acoustiques de lutte anti-sous-marine depuis les années 1990. Il s'agit d'une capacité stratégique quand on sait l'importance de la sous-marinade pour la Défense nationale... et quand on sait également que nos côtes sont régulièrement visitées. »
« C'est pourquoi la France, jusque-là dépendante de l'américain Sparton, s'est lancée dans un effort presque inédit de création de filière en s'appuyant sur Thalès et plusieurs PME. Le ministère des Armées a signé avec Thales Group le contrat "Sonoflash" prévoyant la fourniture de bouées acoustiques développées en partenariat avec Telerad, Realmeca, Selha Group, ainsi que Saft (le fabricant de batteries est d'ailleurs souvent impliqué sur les programmes stratégiques). »
« L'émancipation n'est que rarement rentable et l'achat "sur étagère" est souvent préféré à un investissement lourd dont la viabilité fera défaut. […] Or, nous avons avec les bouées acoustiques une formidable exception, et opportunité donc. Le ministère des Armées estime que le marché représente 4 500 à 7 000 bouées par an, seulement pour la Marine nationale. En prenant en compte l'export, sous monopole américain, le potentiel est faramineux, surtout quand on observe le dynamisme autour de la sous-marinade partout sur la planète. »
« C'est pourquoi la France, jusque-là dépendante de l'américain Sparton, s'est lancée dans un effort presque inédit de création de filière en s'appuyant sur Thalès et plusieurs PME. Le ministère des Armées a signé avec Thales Group le contrat "Sonoflash" prévoyant la fourniture de bouées acoustiques développées en partenariat avec Telerad, Realmeca, Selha Group, ainsi que Saft (le fabricant de batteries est d'ailleurs souvent impliqué sur les programmes stratégiques). »
« L'émancipation n'est que rarement rentable et l'achat "sur étagère" est souvent préféré à un investissement lourd dont la viabilité fera défaut. […] Or, nous avons avec les bouées acoustiques une formidable exception, et opportunité donc. Le ministère des Armées estime que le marché représente 4 500 à 7 000 bouées par an, seulement pour la Marine nationale. En prenant en compte l'export, sous monopole américain, le potentiel est faramineux, surtout quand on observe le dynamisme autour de la sous-marinade partout sur la planète. »
« La Boîte Concept et Micromega, ce sont deux entreprises françaises qui ont chacune un savoir-faire audiophile spécifique : les haut-parleurs et les enceintes pour La Boite Concept ; les électroniques pour Micromega. En réunissant ces expertises par le rachat de Micromega, La Boite Concept promet de développer des produits audio tout-en-un encore plus poussés. C'est aussi une manière de conserver de précieuses compétences dans l'Hexagone. » Espérons-le.
« Monoprix a ouvert l'un de ses "dark stores" parisiens à une journaliste du Monde. Fier de partager une organisation au cordeau pour répondre aux commandes qui seront ensuite livrées par Amazon. Mais révélant au passage quelle est désormais sa réelle position par rapport au géant américain de l'e-commerce : sous-traitant. »
« Les économistes évoquent (savamment) un double phénomène de désintermédiation-réintermédiation. Dans le langage plus courant, c'est l'ubérisation : un nouvel acteur […] utilise les capacités existantes d'un vieil acteur pour proposer un service enrichi aux consommateurs. À l'un la relation-client, à l'autre la possession et l'exploitation des actifs. Les années passent et deux évidences finissent généralement par s'imposer : l'un est… le sous-traitant de l'autre ; et, aux yeux des consommateurs, le commerçant (celui auquel ils s'adressent et… payent) est bien celui qui ne possèdent pas ou peu d'actif commercial. Voilà comment Uber est bien perçu comme une compagnie de taxis, sans réellement posséder de véhicules. Voilà comment Amazon (et d'autres) peuvent escompter devenir des supermarchés en ligne… sans supermarché. Encore faut-il… un sous-traitant. Ce que Monoprix a donc accepté. »
« Depuis l'origine – c'était en 2018 – Monoprix présente l'accord avec le géant américain comme équilibré. En réalité, il ne peut l'être. Dès lors que l'un prend la relation client à l'autre, se produit un déséquilibre. Pire : un transfert de valeur. "Tenir" le client, c'est tenir le maillon ultime, le Saint-Graal du commerce. Alors que… "détenir" un magasin, fût-il "dark store" brillamment imaginé, c'est être… substituable par tant d'autres. Répondant au Monde, Fernando Tomarchio, M. E-commerce de Monoprix ne dit pas autre chose : "Ce ne sont pas nos clients, ce sont ceux d'Amazon". […] Or, dans l'économie contemporaine [...], les clients sont rares. Donc chers. C'est la raison pour laquelle Instacart (le "livreur" des enseignes alimentaires aux États-Unis) vaut… 40 milliards de dollars. Car il détient des clients, pas de magasins. Donneur d'ordres. Pas sous-traitant. »
« Les économistes évoquent (savamment) un double phénomène de désintermédiation-réintermédiation. Dans le langage plus courant, c'est l'ubérisation : un nouvel acteur […] utilise les capacités existantes d'un vieil acteur pour proposer un service enrichi aux consommateurs. À l'un la relation-client, à l'autre la possession et l'exploitation des actifs. Les années passent et deux évidences finissent généralement par s'imposer : l'un est… le sous-traitant de l'autre ; et, aux yeux des consommateurs, le commerçant (celui auquel ils s'adressent et… payent) est bien celui qui ne possèdent pas ou peu d'actif commercial. Voilà comment Uber est bien perçu comme une compagnie de taxis, sans réellement posséder de véhicules. Voilà comment Amazon (et d'autres) peuvent escompter devenir des supermarchés en ligne… sans supermarché. Encore faut-il… un sous-traitant. Ce que Monoprix a donc accepté. »
« Depuis l'origine – c'était en 2018 – Monoprix présente l'accord avec le géant américain comme équilibré. En réalité, il ne peut l'être. Dès lors que l'un prend la relation client à l'autre, se produit un déséquilibre. Pire : un transfert de valeur. "Tenir" le client, c'est tenir le maillon ultime, le Saint-Graal du commerce. Alors que… "détenir" un magasin, fût-il "dark store" brillamment imaginé, c'est être… substituable par tant d'autres. Répondant au Monde, Fernando Tomarchio, M. E-commerce de Monoprix ne dit pas autre chose : "Ce ne sont pas nos clients, ce sont ceux d'Amazon". […] Or, dans l'économie contemporaine [...], les clients sont rares. Donc chers. C'est la raison pour laquelle Instacart (le "livreur" des enseignes alimentaires aux États-Unis) vaut… 40 milliards de dollars. Car il détient des clients, pas de magasins. Donneur d'ordres. Pas sous-traitant. »
Régis Schultz (Al Futtaim Retail) : « Walmart a pris le digital, il a mis le moyens. Et aujourd'hui, on voit bien qu'il reste une guerre qui n'a pas été gagnée, qui n'a pas été perdue, c'est l'alimentaire – et Amazon n'y a pas été. Le pari de Walmart, c'est de dire : si je capture l'alimentaire je regagnerai le non-alimentaire. Pourquoi ? Parce qu'on on achète de l'alimentaire toutes les semaines ; et donc je connaîtrai mieux mon client qu'Amazon, et je vais le reprendre. Ce qui se joue aujourd'hui aux États-Unis, c'est cette guerre-là. »
« La blockchain permet de créer une source de vérité collective, transparente et incorruptible. Elle peut être vue comme un registre de transactions distribué qui est collectivement mis à jour par une communauté d'acteurs, sans besoin de l'intervention ou de l'autorisation d'une quelconque autorité centrale. »
« La blockchain est une philosophie de conception. Le terme "technologie" est trop restrictif car on observe avec la blockchain également un changement de paradigme économique et social. […] La blockchain permet aux gens de coopérer sans confiance préalable. […] La blockchain est une façon de concevoir des systèmes à la fois informatiques mais aussi humains qui rendent possible une gouvernance décentralisée. »
« On dit que la valeur du bitcoin ne repose sur rien, mais sur quoi repose aujourd'hui le dollar puisque l'étalon-or puis la convertibilité ont été abandonnés ? Je rappelle que près de 20 % de tous les dollars américains jamais émis ont été créés l'année dernière. C'est bien la preuve que le système est en roue libre et ne repose plus que sur la puissance perçue des États. […] La monnaie a toujours été une illusion sociale. Qu'il s'agisse de dollars, d'euros, ou de bitcoins… ce sont les gens qui attribuent la valeur à la monnaie. »
« Les monnaies virtuelles ne sont qu'une énième évolution de la forme de la monnaie. La vraie révolution c'est que l'on puisse créer une monnaie sans banque centrale ni État et ainsi redonner du pouvoir aux citoyens. […] L'énergie nécessaire à son fonctionnement n'est en aucun cas gaspillée puisque sans le Bitcoin nous n'aurions en 2021 aucune alternative au système monétaire étatique traditionnel. En ce sens, le protocole Bitcoin est un bien commun. »
« La blockchain est une philosophie de conception. Le terme "technologie" est trop restrictif car on observe avec la blockchain également un changement de paradigme économique et social. […] La blockchain permet aux gens de coopérer sans confiance préalable. […] La blockchain est une façon de concevoir des systèmes à la fois informatiques mais aussi humains qui rendent possible une gouvernance décentralisée. »
« On dit que la valeur du bitcoin ne repose sur rien, mais sur quoi repose aujourd'hui le dollar puisque l'étalon-or puis la convertibilité ont été abandonnés ? Je rappelle que près de 20 % de tous les dollars américains jamais émis ont été créés l'année dernière. C'est bien la preuve que le système est en roue libre et ne repose plus que sur la puissance perçue des États. […] La monnaie a toujours été une illusion sociale. Qu'il s'agisse de dollars, d'euros, ou de bitcoins… ce sont les gens qui attribuent la valeur à la monnaie. »
« Les monnaies virtuelles ne sont qu'une énième évolution de la forme de la monnaie. La vraie révolution c'est que l'on puisse créer une monnaie sans banque centrale ni État et ainsi redonner du pouvoir aux citoyens. […] L'énergie nécessaire à son fonctionnement n'est en aucun cas gaspillée puisque sans le Bitcoin nous n'aurions en 2021 aucune alternative au système monétaire étatique traditionnel. En ce sens, le protocole Bitcoin est un bien commun. »
« Un homme soupçonné d'avoir envoyé, début mars par mail, des menaces de mort à quarante-deux députés de tous partis a été placé en détention provisoire par le tribunal correctionnel de Paris en attendant son procès prévu le 15 avril. […] Le tribunal a ordonné son placement en détention provisoire avant son procès "au regard du risque de réitération des faits et de l'insuffisance des garanties de représentation", conformément aux réquisitions du parquet. »
« Condamné en 2018 pour "menaces de mort réitérées", le prévenu, livreur de repas pour des applications mobiles, devra en outre se soumettre à une expertise psychiatrique. […] L'homme, né au Cameroun et arrivé en France à l'âge de cinq ans. […] "Vous allez payer (…), les Français on va vous faire votre fête bande d'arrogants" était-il notamment écrit dans ces mails. Seuls des élus dont les noms commencent par les lettres C ou M ont reçu ces courriels, avait indiqué à l'AFP une source parlementaire, évoquant l'acte "d'un déséquilibré manifestement". »
« Condamné en 2018 pour "menaces de mort réitérées", le prévenu, livreur de repas pour des applications mobiles, devra en outre se soumettre à une expertise psychiatrique. […] L'homme, né au Cameroun et arrivé en France à l'âge de cinq ans. […] "Vous allez payer (…), les Français on va vous faire votre fête bande d'arrogants" était-il notamment écrit dans ces mails. Seuls des élus dont les noms commencent par les lettres C ou M ont reçu ces courriels, avait indiqué à l'AFP une source parlementaire, évoquant l'acte "d'un déséquilibré manifestement". »
« Noémie Giard, cheffe du service des publics au musée Carnavalet - Histoire de Paris, tient à mettre les choses au point : c'est en fait une infime partie des contenus qui sera modifiée. Je confirme que tous les visiteurs qui viendront au musée Carnavalet au moment de la réouverture, pourront bien lire Louis XIV, XV, ou Henri IV en chiffres romains, sur tous les cartels et même pour les enfants, et c'est uniquement, sur 170 textes, sur un ensemble de 3 000 contenus, qui ont été produits pour le nouveau parcours dans le musée, que nous avons choisi d'appliquer cette mesure d'accessibilité universelle. C'est une recommandation européenne, pour une information facile à lire et à comprendre". Pas question de bannissement des chiffres romains, explique donc la responsable, "il y a juste une volonté de s'adresser à tous les publics, à tous les visiteurs étrangers, aux personnes en situation de handicap psychique, qui peuvent être gênés dans leur compréhension." Cette toute petite partie des contenus, est donc "exagérément grossie dans la polémique". » Dont acte.
« Christophe Bertrand constate que certains clients d'OVH Cloud communiquent sur leur intention de faire héberger leurs sites et leurs applications ailleurs. "Mais ils courront exactement le même risque ailleurs ! Tant que les entreprises ne souscriront pas explicitement à des offres de redondance, elles s'exposeront au même danger de voir leurs données partir en fumée avec le reste du datacenter." »
« Les concurrents américains d'OVH Cloud seraient bien plus habitués à vendre de la redondance dans un pays où les entreprises ont souvent besoin d'avoir une présence sur la côte ouest et une autre sur la côte est. Pour autant, si la redondance des données y est plus fréquente, elle est autant une option que chez OVH Cloud. Et, hélas, l'histoire montre que le géant AWS, numéro un mondial du secteur du cloud, n'est pas plus à l'abri d'une catastrophe naturelle : en 2018, c'est son datacenter de Tokyo qui disparaissait dans les flammes. »
« Les concurrents américains d'OVH Cloud seraient bien plus habitués à vendre de la redondance dans un pays où les entreprises ont souvent besoin d'avoir une présence sur la côte ouest et une autre sur la côte est. Pour autant, si la redondance des données y est plus fréquente, elle est autant une option que chez OVH Cloud. Et, hélas, l'histoire montre que le géant AWS, numéro un mondial du secteur du cloud, n'est pas plus à l'abri d'une catastrophe naturelle : en 2018, c'est son datacenter de Tokyo qui disparaissait dans les flammes. »
L'Alpine A310 a été présentée au public en mars 1971, lors du salon de Genève, il y a cinquante ans. À l'occasion de cet anniversaire, Didier Ric mentionne quelques emprunts qu'elle faisait à la production automobile de l'époque.
« L'héritière de l'A110 en a conservé le moteur. Un quatre cylindres de 1 605 cm3 animant l'Alpine A110 1600S, bloc qui n'était autre que celui de la Renault 16 TS mais poussé à 128 ch sur la 310 VE. En 1974, elle passe à l'injection en récupérant le moteur 1645 cm3 de la R17 TS qui développe 125 ch sur la 310 VF. Autre emprunt aux productions hexagonales de grande série, des moyeux de roue et des feux avant de Peugeot 504 qui lui lègue aussi, à son bord, ses poignées de portes, son cendrier et son plafonnier. Question clignotants, c'est la Simca 1301 qui fournit, et pour les feux c'est la Renault 12 qui s'y colle. Le projet de feux arrière sous verrière – proposé sur le prototype – pour faire écho au museau ayant essuyé un refus du service des Mines. »
« L'héritière de l'A110 en a conservé le moteur. Un quatre cylindres de 1 605 cm3 animant l'Alpine A110 1600S, bloc qui n'était autre que celui de la Renault 16 TS mais poussé à 128 ch sur la 310 VE. En 1974, elle passe à l'injection en récupérant le moteur 1645 cm3 de la R17 TS qui développe 125 ch sur la 310 VF. Autre emprunt aux productions hexagonales de grande série, des moyeux de roue et des feux avant de Peugeot 504 qui lui lègue aussi, à son bord, ses poignées de portes, son cendrier et son plafonnier. Question clignotants, c'est la Simca 1301 qui fournit, et pour les feux c'est la Renault 12 qui s'y colle. Le projet de feux arrière sous verrière – proposé sur le prototype – pour faire écho au museau ayant essuyé un refus du service des Mines. »
« Le précieux gaz […] peut être conservé dans des liquides ayant une densité de stockage jusqu'à 5 fois supérieure à l'hydrogène gazeux. Il s'agit des LOHC (Liquid Organic Hydrogen Carrier), des liquides organiques porteurs d'hydrogène. »
« Le stockage s'effectue chez Hydrogenious LOHC Technologies dans un liquide huileux à base de dibenzyltoluène, par le biais d'une réaction catalytique exothermique d'hydrogénation. À pression ambiante, le produit est stable sur une très large plage de température, très largement suffisante pour encaisser les grands froids et les plus fortes chaleurs ambiantes connues sur la planète. »
« Emprisonné de la sorte, l'hydrogène peut être transporté très classiquement comme n'importe quel carburant classique. Ainsi par pétrolier, camion et wagon citerne. Le liquide organique porteur d'hydrogène est très peu inflammable et non explosif. En outre, il n'y a pas de perte d'hydrogène avec ce moyen de stockage, même sur une longue durée. »
« Le stockage s'effectue chez Hydrogenious LOHC Technologies dans un liquide huileux à base de dibenzyltoluène, par le biais d'une réaction catalytique exothermique d'hydrogénation. À pression ambiante, le produit est stable sur une très large plage de température, très largement suffisante pour encaisser les grands froids et les plus fortes chaleurs ambiantes connues sur la planète. »
« Emprisonné de la sorte, l'hydrogène peut être transporté très classiquement comme n'importe quel carburant classique. Ainsi par pétrolier, camion et wagon citerne. Le liquide organique porteur d'hydrogène est très peu inflammable et non explosif. En outre, il n'y a pas de perte d'hydrogène avec ce moyen de stockage, même sur une longue durée. »