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Sur Alpine : « Sa renaissance récente ("Alpine is back") a été un succès… en demi-teinte : 70 % des Alpines ont été vendues uniquement en France et, pour 70 %, à des acheteurs de plus de soixante-cinq ans (ceux qui avaient de l'affect, avaient connu la marque et ayant aussi les moyens de les acheter, Alpine se situant au niveau de Porsche pour les tarifs). Le plein (de cette clientèle) ayant été fait, Alpine peine désormais à vendre ses modèles (production réduite de moitié de l'ordre de cinq à sept voitures par jour en 2020). En faire demain une gamme 100 % électrique (la limitation à 80… grammes de CO2 est passée par là) revient à se couper totalement de sa base de clientèle actuelle et de ses racines. Par contre, quand à s'agir d'en trouver de nouvelles, ex nihilo, sans capital affectif sur lequel se baser, le pari est loin d'être gagné. »
Et sur l'essentiel, « l'idée étant de faire de la valeur au lieu du volume » : « L'affaire est loin d'être jouée. C'est probablement pour cette raison que le prédécesseur du P-DG actuel, plus qu'au fait qu'il n'avait pas compris la translation de B vers C ou D, n'avait pas actionné cette stratégie. Et aussi très certainement l'échec cuisant de cette même stratégie opérée il y dix ans au sein de l'Alliance n'avait pas plaidé pour la généralisation de cette approche. En effet, l'introduction d'Infiniti en Europe, une marque pourtant parfaite, absolument parfaite à tous égards y compris et surtout sur les plans de la qualité et de la fiabilité, a été un flop retentissant après plusieurs milliards investis. Pourquoi ? Précisément parce qu'Infiniti manquait d'image dans des segments où c'est une des clefs, sinon la clef, face aux sempiternels panzers germaniques. »
Et sur l'essentiel, « l'idée étant de faire de la valeur au lieu du volume » : « L'affaire est loin d'être jouée. C'est probablement pour cette raison que le prédécesseur du P-DG actuel, plus qu'au fait qu'il n'avait pas compris la translation de B vers C ou D, n'avait pas actionné cette stratégie. Et aussi très certainement l'échec cuisant de cette même stratégie opérée il y dix ans au sein de l'Alliance n'avait pas plaidé pour la généralisation de cette approche. En effet, l'introduction d'Infiniti en Europe, une marque pourtant parfaite, absolument parfaite à tous égards y compris et surtout sur les plans de la qualité et de la fiabilité, a été un flop retentissant après plusieurs milliards investis. Pourquoi ? Précisément parce qu'Infiniti manquait d'image dans des segments où c'est une des clefs, sinon la clef, face aux sempiternels panzers germaniques. »
Le réchauffement climatique, prétexte à l'exploitation optimale du « potentiel fiscal » des Lyonnais
« Une dette maîtrisée n'est pas dangereuse », soutient Audrey Hénocque, adjointe aux Finances ; et d'affirmer « qu'il existe un risque plus grave qu'un endettement de dix ou onze ans pour une ville de cinq cent mille habitants avec un bon potentiel fiscal » ; « je veux parler du dérèglement climatique », précise-t-elle. Dont acte.
C'est ce que propose Ecomatelas. « Aujourd'hui, l'enseigne revend près de vingt mille lits par an et entend fournir prochainement l'ensemble du territoire national avec de nouvelles implantations. »
Principal défi technique : la désinfection. "On a fait deux ans de recherche et développement. On est parti de l'existant dans le domaine de l'hospitalier où on opère avec de la désinfection de surface sur les matelas et le mobilier. Et on a poussé ces normes de désinfection à l'extrême. […] La machine va créer de la chaleur pour atteindre minimum 105 degrés et pénétrer partout à l'intérieur de la mousse. Il n'y a pas de produit chimique, que de la chaleur…", explique Jérémie Adjedj. Pour concevoir cette machine, plusieurs partenariats ont été réalisés avec des laboratoires microbiologiques spécialisés dans les tests en bactériologie, avec des acteurs de la fabrication de literies pour mieux connaître les caractéristiques des différents matériaux qui composent les matelas, puis avec la région Occitanie, l'Ademe et des fabricants spécialisés en étuve industrielle. »
Principal défi technique : la désinfection. "On a fait deux ans de recherche et développement. On est parti de l'existant dans le domaine de l'hospitalier où on opère avec de la désinfection de surface sur les matelas et le mobilier. Et on a poussé ces normes de désinfection à l'extrême. […] La machine va créer de la chaleur pour atteindre minimum 105 degrés et pénétrer partout à l'intérieur de la mousse. Il n'y a pas de produit chimique, que de la chaleur…", explique Jérémie Adjedj. Pour concevoir cette machine, plusieurs partenariats ont été réalisés avec des laboratoires microbiologiques spécialisés dans les tests en bactériologie, avec des acteurs de la fabrication de literies pour mieux connaître les caractéristiques des différents matériaux qui composent les matelas, puis avec la région Occitanie, l'Ademe et des fabricants spécialisés en étuve industrielle. »
« On connaissait Yes Yes pour ses smartphones reconditionnés, et voilà que le groupe se lance aussi dans le jeu vidéo. […] Ainsi, via le site Web YesYes, il est possible en quelques clics de revendre, ou d'acheter une PS4. Les consoles sont […] vendues avec une garantie d'un an. […] Concrètement, si vous souhaitez revendre une PS4 Pro avec une manette d'origine, le tout en bon état (et fonctionnel bien sûr), Yes Yes vous proposera 180 euros. Pour la PS4 Slim 500 Go, le prix s'élèvera à 140 euros. Côté revente, la PS4 Pro reconditionnée est affichée à 299 euros, quand la PS4 Slim est proposée à 249 euros. »
« France Soir est-il toujours un site de presse comme les autres ? La question se pose officiellement depuis ce vendredi et un tweet de la ministre de la Culture Roselyne Bachelot, dans lequel celle-ci annonce qu'à sa demande, "le certificat d'IPG (information politique et générale) délivré au service de presse en ligne 'France Soir'" va être réexaminé "afin de vérifier dès maintenant que ses conditions d'octroi sont bien toujours respectées". Le terme de ce certificat est actuellement fixé à septembre 2022. »
Il s'agirait donc de changer le statut de ce site d'information controversé, vraisemblablement pour lui retirer des subventions. Preuve est ainsi faite que pour protéger la liberté de la presse, le mieux à faire reste encore d'en finir avec les aides publiques !
Il s'agirait donc de changer le statut de ce site d'information controversé, vraisemblablement pour lui retirer des subventions. Preuve est ainsi faite que pour protéger la liberté de la presse, le mieux à faire reste encore d'en finir avec les aides publiques !
Cinquante policiers déployés à Lyon dans le quartier de la Part-Dieu, en début de soirée, le 29 janvier 2021. On traque les citoyens sans histoire qui se montrent à visage découvert ou ne sont pas encore rentrés chez eux, passée l'heure du couvre-feu. Vingt-huit amendes sont distribuées à ce titre. « De plus, cinq personnes ont été interpellées : deux pour recel de vol, une pour port d'arme, une autre pour des violences sur un agent et un pickpocket. » Et cela… en une heure seulement, visiblement !
En cause, peut-être : la sécheresse oculaire. Une étude aurait « montré que le port du masque – coronavirus oblige – tend à l'accentuer : l'air expiré se répand sur la surface de l'œil et accélère l'évaporation du film lacrymal ».
« Le double de cire de Donald Trump a été déboulonné pour rejoindre les réserves de l'institution parisienne, un entrepôt dans un lieu secret en région parisienne. […] "Nous allons garder quelques temps la statue de Donald Trump. Peut-être aurons nous l'occasion de l'utiliser comme monstre pour fêter Halloween !", a confié à l'AFP Yves Delhommeau, directeur du musée Grévin fermé depuis octobre en raison de la crise sanitaire. Temple du "vrai-semblant", Grévin est soulagé sur un plan technique de se débarrasser du double du président américain battu : "c'était l'enfer! Chaque semaine, on devait retoucher ses narines car les visiteurs se prenaient en photo en lui mettant un doigt dans le nez", a précisé l'un des membres de l'atelier du musée. »
Extrait d'un entretien avec Uday Senapati, directeur de la stratégie et des produits chez Lotus :
« Nous collaborons sur plusieurs aspects, le principal étant un châssis de voiture de sport tout électrique. Il sera mis au point par les ingénieurs de Lotus et donnera lieu pour nous à une ligne de voitures de sport. Nous espérons lancer ces nouvelles voitures de sport électriques au milieu de la décennie. Alpine développera ses propres voitures de sport avec nous, à partir du même châssis. Ensuite, nous aurons une collaboration technique. Nous avons une formidable expertise en voitures de sport, eux dans les moteurs et notamment dans l'électrification des voitures de course. La Formule 1 est un autre domaine de collaboration que nous étudions mais pas le principal. »
« Nous n'avons pas perçu d'effet massif du Brexit. Nous nous étions bien préparés, nous avions assez de stocks de matériel et, là aussi, le partenariat avec Renault, qui dispose d'une vaste chaîne d'approvisionnement, va nous aider. Nous aurons aussi accès à leur réseau industriel si besoin mais nous produisons pour l'instant toutes nos voitures au Royaume-Uni. »
« Nous collaborons sur plusieurs aspects, le principal étant un châssis de voiture de sport tout électrique. Il sera mis au point par les ingénieurs de Lotus et donnera lieu pour nous à une ligne de voitures de sport. Nous espérons lancer ces nouvelles voitures de sport électriques au milieu de la décennie. Alpine développera ses propres voitures de sport avec nous, à partir du même châssis. Ensuite, nous aurons une collaboration technique. Nous avons une formidable expertise en voitures de sport, eux dans les moteurs et notamment dans l'électrification des voitures de course. La Formule 1 est un autre domaine de collaboration que nous étudions mais pas le principal. »
« Nous n'avons pas perçu d'effet massif du Brexit. Nous nous étions bien préparés, nous avions assez de stocks de matériel et, là aussi, le partenariat avec Renault, qui dispose d'une vaste chaîne d'approvisionnement, va nous aider. Nous aurons aussi accès à leur réseau industriel si besoin mais nous produisons pour l'instant toutes nos voitures au Royaume-Uni. »
« Sur Twitter, de nombreux militants et militantes LGBTI se plaignent de la censure de certains de leurs tweets qui utilisent les termes "gouine" ou "pédé". Employés dans une réappropriation du stigmate par les personnes concernées depuis des décennies, ces mots valent pourtant à plusieurs comptes d’activistes d’être suspendus aujourd’hui. Les "gouines" et les "pédés" n’auraient donc plus droit de cité sur le réseau social ? »
« Si les carburants traditionnels ont peu ou prou le même coût sur tout le territoire, ce n'est pas du tout le cas de l'électricité destinée aux voitures. La charge à domicile (privilégiée par la majorité des utilisateurs), ne correspond pas à tous les cas de figure, loin de là. […] Par conséquent, il semble impossible de résumer le coût aux cent kilomètres d'une voiture électrique, bien plus aléatoire que celui d'une voiture thermique. Cet étiquetage affiché en station-service ressemble à une propagande, qui plus est à court terme. Car à l'avenir, on imagine mal comment l'électricité destinée aux voitures ne pourrait pas être fortement taxée, pour compenser les rentrées fiscales en baisse des taxes sur le pétrole, si les modèles thermiques venaient à se raréfier. »
On reproche souvent aux appareils électroniques leur fragilité et la difficulté qu'il y a à changer leur batterie. Aussi n'est-il pas inutile de rappeler, de temps en temps, que certains produits se distinguent en la matière, à l'image des tablettes "durcies", et notamment de ce modèle Samsung Samsung Tab Active 3 repéré par Good Ereader. Revers de la médaille : c'est vraisemblablement un peu plus lourd, un plus gros, un peu plus cher qu'un modèle standard… si bien que la plupart des consommateurs n'en veulent pas.
« À la moindre publication de photo de voiture, une palanquée de "procureurs" sortent du bois pour traquer la moindre entorse à un quelconque règlement. »
« Déjà, depuis des années, lorsque l'on publie une vidéo d'une voiture qui "attaque" un peu, il faut préciser (rien de légal…) "tourné sur route fermée", ou "réalisé sur autoroute allemande" ou autres niaiseries. »
« Fin 2019, le constructeur Kia s'attirait déjà les foudres du Parc nationale des Calanques de Marseille en publiant des photos officielles du X-Ceed en balade dans la nature. La voiture avait parfaitement le droit d'être là et les journalistes qui ont fait l'essai de la Kia XCeed n'ont pas été inquiétés pour cela. Non, ici, ce qui péchait est que le Parc national a décidé de contrôler totalement son image. Désormais, il est interdit de faire des photos à but commercial, mais aussi toute une liste à la Prévert : "reportage d'actualité, journal télévisé ou magazine, documentaire, didactique, pédagogique, illustration presse" ou même "acquisition de données, protocole scientifique, action de gestion". Ouf ! Et le parc a demandé alors le retrait à tout le monde, Kia comme les médias qui auraient eu l'outrecuidance de prendre la voiture avec les calanques en arrière-plan. Pour pouvoir publier quelque chose, il faut un accord (payant) du Parc. L'excuse du parc derrière tout cela ? Cela donne une image dégradé de la nature et une "mise en scène surannée de l'homme tout-puissant dans sa machine qui domine la nature" selon François Bland, directeur du parc. »
« Il y a quelques jours, Vincent Salimon, président du directoire de BMW France, a provoqué l'ire de zélés internautes. En effet, il a eu l'outrecuidance de relayer une photo du concessionnaire BMW de Nice où une BMW Série 4 pose (sans doute durant à peine 5 minutes) devant l'oeuvre géante de la Promenade des Anglais "#ILoveNice". […] Le tort de cette photo ? L'endroit où est arrêtée […] la voiture est un trottoir. Certes, il est large comme un parking, mais c'est un trottoir. »
« Un peu plus tôt ce mois, Peugeot est mis à l'index pour une publicité très officielle réalisée à Marseille. […] Ceux qui connaissent ont reconnu une partie piétonnisée de la Canebière. Et de dénoncer aux élus de la ville. La Maire du premier secteur de la ville, Sophie Camard, a même repris à son compte cette interpellation "sociale" et a demandé avec ironie à quelle adresse envoyer l'amende. Et de parler de "gros SUV" (pour un 3008 ?). Visiblement un tort de plus. Sauf que…selon France Bleu, Peugeot affirme avoir toutes les autorisations de tournage, dûment signées par…la mairie. On imagine mal un constructeur réaliser un tournage et des prises de vues sans autorisation. Pour autant, la Maire déclare ne pas se souvenir avoir autorisé une telle chose. »
« Déjà, depuis des années, lorsque l'on publie une vidéo d'une voiture qui "attaque" un peu, il faut préciser (rien de légal…) "tourné sur route fermée", ou "réalisé sur autoroute allemande" ou autres niaiseries. »
« Fin 2019, le constructeur Kia s'attirait déjà les foudres du Parc nationale des Calanques de Marseille en publiant des photos officielles du X-Ceed en balade dans la nature. La voiture avait parfaitement le droit d'être là et les journalistes qui ont fait l'essai de la Kia XCeed n'ont pas été inquiétés pour cela. Non, ici, ce qui péchait est que le Parc national a décidé de contrôler totalement son image. Désormais, il est interdit de faire des photos à but commercial, mais aussi toute une liste à la Prévert : "reportage d'actualité, journal télévisé ou magazine, documentaire, didactique, pédagogique, illustration presse" ou même "acquisition de données, protocole scientifique, action de gestion". Ouf ! Et le parc a demandé alors le retrait à tout le monde, Kia comme les médias qui auraient eu l'outrecuidance de prendre la voiture avec les calanques en arrière-plan. Pour pouvoir publier quelque chose, il faut un accord (payant) du Parc. L'excuse du parc derrière tout cela ? Cela donne une image dégradé de la nature et une "mise en scène surannée de l'homme tout-puissant dans sa machine qui domine la nature" selon François Bland, directeur du parc. »
« Il y a quelques jours, Vincent Salimon, président du directoire de BMW France, a provoqué l'ire de zélés internautes. En effet, il a eu l'outrecuidance de relayer une photo du concessionnaire BMW de Nice où une BMW Série 4 pose (sans doute durant à peine 5 minutes) devant l'oeuvre géante de la Promenade des Anglais "#ILoveNice". […] Le tort de cette photo ? L'endroit où est arrêtée […] la voiture est un trottoir. Certes, il est large comme un parking, mais c'est un trottoir. »
« Un peu plus tôt ce mois, Peugeot est mis à l'index pour une publicité très officielle réalisée à Marseille. […] Ceux qui connaissent ont reconnu une partie piétonnisée de la Canebière. Et de dénoncer aux élus de la ville. La Maire du premier secteur de la ville, Sophie Camard, a même repris à son compte cette interpellation "sociale" et a demandé avec ironie à quelle adresse envoyer l'amende. Et de parler de "gros SUV" (pour un 3008 ?). Visiblement un tort de plus. Sauf que…selon France Bleu, Peugeot affirme avoir toutes les autorisations de tournage, dûment signées par…la mairie. On imagine mal un constructeur réaliser un tournage et des prises de vues sans autorisation. Pour autant, la Maire déclare ne pas se souvenir avoir autorisé une telle chose. »
« Pour l'Electronic Frontier Foundation (EFF), si l'exploitation sexuelle sous toutes ses formes doit être combattue, nos sociétés doivent se donner les moyens de le faire par la loi, et non dépendre de décisions émises par des acteurs privés comme Mastercard et Visa qui n'ont pas à décider ce qui relève ou non de la libre expression en ligne. "Ils n'ont pas été élus ou choisis par les citoyens d'aucun pays" précise l'association, qui rappelle que ce n'est pas la première fois qu'elles agissent de la sorte, renvoyant au sort qui avait été réservé en son temps à Wikileaks. Ainsi, pour l'EFF, le débat n'est pas ici de savoir si PornHub est un service "prédateur" ou non. Mais ce que l'on accepte comme censure opérée par des acteurs privés sans que cela ne relève d'une décision légale, simplement de ce qu'elles ont décidé d'autoriser ou non. »
« L'ambassade de Chine à Washington a publié ce mois-ci sur son compte un message disant que les femmes de la communauté musulmane des Ouïghours n'étaient plus des "machines à fabriquer des bébés", citant une étude publiée par un journal adossé au parti au pouvoir à Pékin. Le message a été supprimé par Twitter et remplacé par un avertissement indiquant que le tweet n'était plus disponible. Aucun nouveau message n'a été publié sur le compte de l'ambassade depuis le 9 janvier. »
« Vinted facture aux acheteurs 5 % du prix d'achat plus 70 centimes de commission. Cette dernière apparaît sous le nom de "protection acheteurs" lors de la transaction. Un terme tendancieux selon l'UFC-Que Choisir, car elle ne concerne que "les services basiques d'un site de vente en ligne" et en aucun cas "une protection en cas de litige". […] Par ailleurs, Vinted annonce que cette commission est optionnelle. Ce qui est faux, car à aucun moment, il n'est possible de la refuser ni sur le site ni sur l'application. Il s'agit donc en réalité de frais d'utilisation, avance l'association de consommateurs, qui vient de mettre en demeure Vinted, lui demandant de faire preuve de transparence. »
« L'UFC-Que Choisir demande à Vinted de clairement indiquer "qu'il prélève une commission en contrepartie de l'utilisation du service de paiement et d'envoi intégrés", mais également préciser que cette commission "est obligatoire". L'association demande également à ce que le montant de ces frais apparaisse "bien avant le paiement final". »
« La plate-forme Vinted conteste toute ambiguïté et confirme qu'une partie de ses services comportent des frais, pour lesquels l'acheteur bénéficie d'une "protection acheteurs", incluant un système de paiement et d'expédition sécurisé. "Le champ d'application et les frais liés à la protection acheteurs sont décrits dans plusieurs sections de notre site, disponible sur chaque page de notre site et contient des informations claires, transparentes et faciles à comprendre", indique le sixième site marchand en terme de trafic en France. »
« L'UFC-Que Choisir demande à Vinted de clairement indiquer "qu'il prélève une commission en contrepartie de l'utilisation du service de paiement et d'envoi intégrés", mais également préciser que cette commission "est obligatoire". L'association demande également à ce que le montant de ces frais apparaisse "bien avant le paiement final". »
« La plate-forme Vinted conteste toute ambiguïté et confirme qu'une partie de ses services comportent des frais, pour lesquels l'acheteur bénéficie d'une "protection acheteurs", incluant un système de paiement et d'expédition sécurisé. "Le champ d'application et les frais liés à la protection acheteurs sont décrits dans plusieurs sections de notre site, disponible sur chaque page de notre site et contient des informations claires, transparentes et faciles à comprendre", indique le sixième site marchand en terme de trafic en France. »
« Enseigne-phare du paysage belge de l'électroménager, Vanden Borre y a vu une opportunité. La filiale belge du groupe Fnac-Darty vient de lancer une formule d'abonnement proposant au client une réparation illimitée du gros électroménager à domicile. Seule limite: la durée de disponibilité des pièces détachées. »
Pour 12,99 euros par mois, le contrat Vanden Borre Life couvre tout le gros électroménager – sauf les hottes – âgé de moins de sept ans. […] Les appareils achetés ailleurs peuvent aussi être réparés aux mêmes conditions, moyennant paiement, à la première intervention, d'un supplément unique de 79 euros.[…] "Sous réserve de disponibilité des pièces de rechange, le contrat Vanden Borre Life est à durée indéterminée. Si la réparation est trop chère par rapport à la valeur intrinsèque du produit, nous proposons au client un bon d'achat correspondant au prix de la machine à l'état neuf", précise Charles-Henri de Maleissye-Melun, directeur général de Fnac Vanden Borre. »
« Inspiré du service Darty Max, lancé par la société sœur française Darty, ce système d'abonnement est une première en Belgique. L'enseigne low-cost française Electro Dépôt (neuf magasins en Belgique) a lancé une initiative comparable en proposant à ses clients de réparer eux-mêmes leurs appareils en panne. »
« "Nous travaillons avec des marques comme Liebherr ou Electrolux, qui prennent des engagements de disponibilité de pièces détachées allant jusqu'à dix ou douze ans. Et nous allons challenger les marques pour qu'elles nous fournissent des produits à durée de vie plus longue", souligne Charles-Henri de Maleissye. »
« Vanden Borre, qui assure elle-même le service après-vente avec une équipe de quatre-vingts techniciens, prévoit d'en recruter cinquante de plus pour accompagner ce nouveau service. Ce ne sera pas une sinécure. "Nous avons déjà noué des contacts avec des écoles, mais cette main-d'œuvre est aujourd'hui très difficile à trouver." »
Pour 12,99 euros par mois, le contrat Vanden Borre Life couvre tout le gros électroménager – sauf les hottes – âgé de moins de sept ans. […] Les appareils achetés ailleurs peuvent aussi être réparés aux mêmes conditions, moyennant paiement, à la première intervention, d'un supplément unique de 79 euros.[…] "Sous réserve de disponibilité des pièces de rechange, le contrat Vanden Borre Life est à durée indéterminée. Si la réparation est trop chère par rapport à la valeur intrinsèque du produit, nous proposons au client un bon d'achat correspondant au prix de la machine à l'état neuf", précise Charles-Henri de Maleissye-Melun, directeur général de Fnac Vanden Borre. »
« Inspiré du service Darty Max, lancé par la société sœur française Darty, ce système d'abonnement est une première en Belgique. L'enseigne low-cost française Electro Dépôt (neuf magasins en Belgique) a lancé une initiative comparable en proposant à ses clients de réparer eux-mêmes leurs appareils en panne. »
« "Nous travaillons avec des marques comme Liebherr ou Electrolux, qui prennent des engagements de disponibilité de pièces détachées allant jusqu'à dix ou douze ans. Et nous allons challenger les marques pour qu'elles nous fournissent des produits à durée de vie plus longue", souligne Charles-Henri de Maleissye. »
« Vanden Borre, qui assure elle-même le service après-vente avec une équipe de quatre-vingts techniciens, prévoit d'en recruter cinquante de plus pour accompagner ce nouveau service. Ce ne sera pas une sinécure. "Nous avons déjà noué des contacts avec des écoles, mais cette main-d'œuvre est aujourd'hui très difficile à trouver." »
« Il n'y a pas d'obsolescence programmée chez Apple », clame Jean-Baptiste Leheup, dans le titre d'un article réservé aux abonnés du site Internet Mac Génération. « En voilà, un titre provocateur », écrit-il en introduction ; « j'imagine d'ici le nombre de nos lecteurs qui ont manqué de s'étouffer en le lisant, tant le grand public assimile aujourd'hui la marque à ce type de pratique ». « Et pourtant », poursuit-il, « non, il n'y a pas d'obsolescence programmée chez Apple – même si tout n'est pas rose (ou vert) pour autant ». Force est effectivement de le constater, dès lors qu'on étudie sérieusement la question, et qu'on s'attache à éviter les confusions.
« Première librairie exclusivement consacrée aux livres destinés aux malvoyants, la Librairie des Grands Caractères ouvrira ses portes, à Paris, rue Laplace, à deux pas du Panthéon, mercredi 20 janvier. Selon la Fédération des aveugles et des amblyopes, il existe, en France, 207 000 aveugles et 932 000 malvoyants. C'est donc à ces derniers ainsi qu'aux lecteurs confrontés à des troubles d'apprentissage ou à des difficultés cognitives que s'adresse cette nouvelle librairie, dirigée par Agnès Binsztok, la directrice éditoriale de deux maisons d'édition spécialisées dans ce secteur, À vue d'œil et Voir de près. »
« La mise en page des ouvrages présentés obéit à une fabrication très spécifique, avec des polices de caractères sobres – sans pleins, déliés ni empattements –, en corps importants (16 ou 20), un interlignage de huit millimètres au minimum et un contraste très défini sur un papier opaque. Le prix des ouvrages s'en ressent et reste plus élevé que le tarif ordinaire. »
« Dans un premier temps, seuls les catalogues des deux maisons d'édition de Mme Binsztok seront proposés à la vente. Soit six cents titres, enrichis de cent cinquante nouveautés par an. […] Jusqu'à présent, les deux maisons d'édition À vue d'œil et Voir de près vendaient majoritairement à des bibliothèques et à des médiathèques. Ses principales consœurs, Feryane, Libra Diffusio et les Editions de La Loupe, ont elles aussi recours à la vente par correspondance. Mme Binsztok les accueillera dans les rayonnages de la librairie à condition qu'elles adoptent sa charte typographique. Son souhait serait d'arriver un jour à ouvrir un lieu encore plus grand. »
« La mise en page des ouvrages présentés obéit à une fabrication très spécifique, avec des polices de caractères sobres – sans pleins, déliés ni empattements –, en corps importants (16 ou 20), un interlignage de huit millimètres au minimum et un contraste très défini sur un papier opaque. Le prix des ouvrages s'en ressent et reste plus élevé que le tarif ordinaire. »
« Dans un premier temps, seuls les catalogues des deux maisons d'édition de Mme Binsztok seront proposés à la vente. Soit six cents titres, enrichis de cent cinquante nouveautés par an. […] Jusqu'à présent, les deux maisons d'édition À vue d'œil et Voir de près vendaient majoritairement à des bibliothèques et à des médiathèques. Ses principales consœurs, Feryane, Libra Diffusio et les Editions de La Loupe, ont elles aussi recours à la vente par correspondance. Mme Binsztok les accueillera dans les rayonnages de la librairie à condition qu'elles adoptent sa charte typographique. Son souhait serait d'arriver un jour à ouvrir un lieu encore plus grand. »
« Consciente de la menace que représente la diffusion de variants plus contagieux dans la population, l'Académie nationale de médecine recommande de ne pas modifier les gestes barrière tels qu'ils ont été définis et améliorés depuis plusieurs mois, mais de répéter qu'ils sont plus que jamais nécessaires et de rappeler les bons comportements »… parmi lesquels elle mentionne « « le port obligatoire du masque dans les transports en commun, où la distanciation physique ne peut être respectée, doit s'accompagner d'une précaution très simple : éviter de parler et de téléphoner ».
Sans commentaire
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Le partenariat entre Loop et Carrefour s'est concrétisé dernièrement dans quelques magasins. Olivier Dauvers a visité l'un d'entre eux : on y trouve vingt-cinq produits différents vendus dans des emballages consignés. Le prix affiché comprend à chaque fois le montant de la consigne. À savoir : 10 centimes pour une petite bouteille de Coca-Cola, 1 euro pour un pot de Nutella, 4 euros pour une boîte de Nesquik. Le retour des emballages peut se faire via l'usage d'un smartphone et d'un automate, ou bien en caisse. Actuellement, leur nettoyage se fait en Angleterre, mais cette opération devrait bientôt être rapatriée en région parisienne. Affaire à suivre.
« Fabrice Brion a créé I-Care en 2004. Il explique comment l'entreprise prend soin des machines industrielles avec de la maintenance prédictive et la fiabilisation de machine. […] Lorsqu'on parle d'obsolescence programmée à Fabrice Brion, il revient sur la conception des machines industrielles. En tant qu'ingénieur mécanicien à la base, il explique que dans un cahier des charges de conception d'une machine, il faut se demander quelle est la durée de vie que l'on souhaite. "Donc par définition, pour concevoir une machine, il faut définir la durée de vie visée. Ce n'est pas programmé, c'est intrinsèque à chaque conception de machine, qu'elle va casser un jour." Le but d'I-Care est donc d'atteindre cette durée de vie de la machine, voire de la dépasser. "Aujourd'hui, il y a moins de 5% des machines industrielles qui atteignent leur durée de vie de conception", selon Fabrice Brion. »
Ce produit tiendra-t-il ses promesses ? Sur le papier, en tout cas, cela semble séduisant.
« Le studio japonais Nendo a dévoilé un ballon de football qui ne ressemble à aucun autre. Livré en kit, ce ballon se monte soi-même et ne nécessite pas d'air. Il est donc increvable pour ne pas dire quasi-indestructible et c'est là toute l'idée. […] Avec My Football Kit, les enfants pourront donc monter à la main leur ballon en imbriquant un à un les cinquante-quatre modules l'un sur l'autre, comme une tresse de bambou dans l'artisanat japonais. Le ballon garde sa forme à l'aide de sa structure résistante et ne nécessite ainsi pas d'air. Si une pièce se casse, elle peut être changée rapidement en prenant les pièces d'un autre kit. […] Le projet a été développé pour la société japonaise de fabrication d'équipement sportif Molten. »
« Le studio japonais Nendo a dévoilé un ballon de football qui ne ressemble à aucun autre. Livré en kit, ce ballon se monte soi-même et ne nécessite pas d'air. Il est donc increvable pour ne pas dire quasi-indestructible et c'est là toute l'idée. […] Avec My Football Kit, les enfants pourront donc monter à la main leur ballon en imbriquant un à un les cinquante-quatre modules l'un sur l'autre, comme une tresse de bambou dans l'artisanat japonais. Le ballon garde sa forme à l'aide de sa structure résistante et ne nécessite ainsi pas d'air. Si une pièce se casse, elle peut être changée rapidement en prenant les pièces d'un autre kit. […] Le projet a été développé pour la société japonaise de fabrication d'équipement sportif Molten. »
« Auvergne-Rhône-Alpes a levé 20 millions d'euros sur dix ans, au taux de – 0,005 %. Un taux négatif ! Une première pour une collectivité française, pour un endettement à long terme. […] Auvergne-Rhône-Alpes avait déjà émis en 2019 un emprunt avec un taux d'intérêt négatif, mais c'était sur une maturité beaucoup plus courte de dix-huit mois. »
« En raison de l'abondance des liquidités mises à disposition par les banques centrales, nombre de grands pays développés peuvent depuis quelques années se financer à des taux négatifs. La région présidée par Laurent Wauquiez (LR) peut faire de même grâce à sa forte capacité de désendettement, attestée par la note "AA" (la troisième meilleure possible) accordée par l'agence de rating Standard & Poor's. »
« Auvergne-Rhône-Alpes pourrait disposer d'une note meilleure encore si elle n'était pas bridée par une disposition interdisant à une collectivité de bénéficier d'une note supérieure à celle de l'État. »
« En raison de l'abondance des liquidités mises à disposition par les banques centrales, nombre de grands pays développés peuvent depuis quelques années se financer à des taux négatifs. La région présidée par Laurent Wauquiez (LR) peut faire de même grâce à sa forte capacité de désendettement, attestée par la note "AA" (la troisième meilleure possible) accordée par l'agence de rating Standard & Poor's. »
« Auvergne-Rhône-Alpes pourrait disposer d'une note meilleure encore si elle n'était pas bridée par une disposition interdisant à une collectivité de bénéficier d'une note supérieure à celle de l'État. »
« "Le parquet a fait preuve de pragmatisme en réexaminant les dossiers constituant les audiences annulées, en réorientant les procédures ou en les classant dès lors que les faits paraissaient trop anciens ou que le préjudice en résultant n'était pas important", a expliqué Catherine Denis. Plus de 480 affaires ont ainsi été classées, soit 46 % des procédures fixées lors des audiences annulées. »
« "Nous avons pris nos responsabilités", appuie la procureure, toutefois bien consciente que cet apurement des stocks n'est pas toujours bien compris par la population. "Nos concitoyens ont toujours du mal à admettre qu'il n'y ait pas de réponse pénale à chaque acte de délinquance, reconnaît-elle. Cette impunité liée tant à l'écoulement du temps qu'aux classements en opportunité suscite des interrogations et des incompréhensions." [….] Dans ce contexte, Catherine Denis dit être animée par le sentiment ambivalent que la Justice a fait "de son mieux" sans pour autant rendre "le service attendu par les justiciables". »
« "Nous avons pris nos responsabilités", appuie la procureure, toutefois bien consciente que cet apurement des stocks n'est pas toujours bien compris par la population. "Nos concitoyens ont toujours du mal à admettre qu'il n'y ait pas de réponse pénale à chaque acte de délinquance, reconnaît-elle. Cette impunité liée tant à l'écoulement du temps qu'aux classements en opportunité suscite des interrogations et des incompréhensions." [….] Dans ce contexte, Catherine Denis dit être animée par le sentiment ambivalent que la Justice a fait "de son mieux" sans pour autant rendre "le service attendu par les justiciables". »
« Le 20 décembre 1966, la Lotus Europe est présentée à la presse, elle rejoindra les marchés continentaux (elle n'est pour le moment pas vendue en Grande-Bretagne) à partir de Février 1967. […] Le moteur est un Cléon Alu, emprunté à la Renault 16 TL ! Sa cylindrée de 1470 cm3 est conservée, par contre les techniciens de Lotus, en plus de l'inverser pour qu'il convienne à une propulsion, le dopent. Il atteint désormais 82 chevaux ! »
C'est la promesse de son fabricant, Bolid'ster, qui le décline en quinze modèles, dont le moins cher est vendu près de 180 euros. Des produits bénéficiant d'une garantie de dix ans. « En cas de défaut lié à la matière ou à la fabrication, ils sont réparés ou remplacés » ; « Bolid'ster propose même à ses clients d'arranger leur jean abîmé si celui-ci n'est plus sous garantie ». Le fabricant assure, par ailleurs, que « la quasi-totalité des pièces qui composent le jean (rivets, puces, fil…) provient de France » ; en outre, souligne-t-il, il « a rapatrié sa production dans les Landes, à l'exception de deux modèles conçus au Portugal ».
« J'avais […] évoqué ici-même l'affaire de cet enseignant, Matthieu Faucher, suspendu et muté de l'école du village de Malicornay dans l'Indre pour faute professionnelle. Il était accusé d'avoir fait étudier par ses élèves des extraits de la Bible accompagnés de scènes de films, notamment L'Évangile selon saint Matthieu de Pasolini. Non croyant, Matthieu Faucher n'avait nulle intention prosélyte, mais il voulait simplement entretenir les élèves dont il avait la charge d'éléments de culture religieuse. »
« Ayant fait appel de sa sanction devant la Justice, l'enseignant avait été, une première fois, justifié en grande partie par le tribunal de Limoges, exigeant sa réintégration dans l'école dont il avait été exclu. Mais l'administration […] avait fait appel, soutenue en l'espèce par le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer. Mal lui en a pris, puisque la cour d'appel de Bordeaux a totalement blanchi Matthieu Faucher, qui n'a, selon le jugement, commis aucune faute professionnelle. »
« On peut espérer que cette affaire aura valeur d'exemple, en permettant d'opérer les distinctions nécessaires à propos de ce qui concerne la laïcité. Si elle signifie bien la distinction des domaines, elle ne saurait se traduire en interdits culturels et rejet du domaine religieux. »
« Ayant fait appel de sa sanction devant la Justice, l'enseignant avait été, une première fois, justifié en grande partie par le tribunal de Limoges, exigeant sa réintégration dans l'école dont il avait été exclu. Mais l'administration […] avait fait appel, soutenue en l'espèce par le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer. Mal lui en a pris, puisque la cour d'appel de Bordeaux a totalement blanchi Matthieu Faucher, qui n'a, selon le jugement, commis aucune faute professionnelle. »
« On peut espérer que cette affaire aura valeur d'exemple, en permettant d'opérer les distinctions nécessaires à propos de ce qui concerne la laïcité. Si elle signifie bien la distinction des domaines, elle ne saurait se traduire en interdits culturels et rejet du domaine religieux. »
« Il y a des considérations personnelles en jeu. J'ai créé cette société en 1999, mais j'ai aujourd'hui soixante-cinq ans. Il me faut songer à la suite. […] Trois types de solutions me sont apparus acceptables. »
« Faire reprendre Asteelflash par une société d'investissement de long terme, capable de s'impliquer dans l'aspect industriel du projet. Mais ce type de société n'a pas de véhicule capable de prendre en charge des problèmes industriels. En outre, l'électronique au sens large pourrait les intéresser, mais pas ce qui est proche du hardware. Enfin je souhaite ne plus être impliqué, du moins autant, dans la société d'ici à trois ans. Or pour eux, une société sans dirigeant est un épouvantail. Ils ont peur des incertitudes, comme tous les financiers d'ailleurs. »
« La deuxième solution aurait été de faire un LBO. Mais les sociétés spécialisées achètent des sociétés pour les revendre au bout de trois à cinq ans en faisant des plus-values. Ce n'est pas satisfaisant pour des clients tels que les nôtres, en particulier si l'on veut que leur confiance s'installe durablement avec nous. Notre culture d'entreprise ne peut pas changer du jour au lendemain. En outre, même problème que précédemment, le hardware électronique ne les intéresse guère. »
« Force a donc été de constater qu'il n'y avait pas d'"outils" en France pour assurer des continuités industrielles pour une société comme la nôtre. Restait donc la troisième solution : trouver un industriel ou une holding industrielle qui nous reprenne avec une vision à au moins dix ans. Nous n'en avons pas trouvé en Europe. Nous n'avons pas cherché aux États-Unis car les sociétés américaines n'ont pas besoin d'une implantation européenne comme la nôtre : les plus intéressés y sont déjà. Par contre, nous avons trouvé un groupe de sous-traitance taïwanais, ni trop gros ni trop petit (cinq fois notre taille), dynamique, qui aimerait passer à une échelle supérieure en Europe, zone qu'il connaît peu. […] USI, comme tous les grands sous-traitants, a des règles strictes en matière de confidentialité, et nous aurons les mêmes. Moi-même, lorsque je me rends dans une usine chinoise, je n'ai pas accès à certaines parties de l'usine. »
« Faire reprendre Asteelflash par une société d'investissement de long terme, capable de s'impliquer dans l'aspect industriel du projet. Mais ce type de société n'a pas de véhicule capable de prendre en charge des problèmes industriels. En outre, l'électronique au sens large pourrait les intéresser, mais pas ce qui est proche du hardware. Enfin je souhaite ne plus être impliqué, du moins autant, dans la société d'ici à trois ans. Or pour eux, une société sans dirigeant est un épouvantail. Ils ont peur des incertitudes, comme tous les financiers d'ailleurs. »
« La deuxième solution aurait été de faire un LBO. Mais les sociétés spécialisées achètent des sociétés pour les revendre au bout de trois à cinq ans en faisant des plus-values. Ce n'est pas satisfaisant pour des clients tels que les nôtres, en particulier si l'on veut que leur confiance s'installe durablement avec nous. Notre culture d'entreprise ne peut pas changer du jour au lendemain. En outre, même problème que précédemment, le hardware électronique ne les intéresse guère. »
« Force a donc été de constater qu'il n'y avait pas d'"outils" en France pour assurer des continuités industrielles pour une société comme la nôtre. Restait donc la troisième solution : trouver un industriel ou une holding industrielle qui nous reprenne avec une vision à au moins dix ans. Nous n'en avons pas trouvé en Europe. Nous n'avons pas cherché aux États-Unis car les sociétés américaines n'ont pas besoin d'une implantation européenne comme la nôtre : les plus intéressés y sont déjà. Par contre, nous avons trouvé un groupe de sous-traitance taïwanais, ni trop gros ni trop petit (cinq fois notre taille), dynamique, qui aimerait passer à une échelle supérieure en Europe, zone qu'il connaît peu. […] USI, comme tous les grands sous-traitants, a des règles strictes en matière de confidentialité, et nous aurons les mêmes. Moi-même, lorsque je me rends dans une usine chinoise, je n'ai pas accès à certaines parties de l'usine. »
C'est ce que vous propose de faire Inpact Hardware…. dans un article toutefois réservé à ses abonnés. Au passage, David Legrand rappelle que « ce connecteur est en place depuis une bonne trentaine d'années » et qu'il « tient le choc, bien que les débits aient été multipliés par 1 000 ». En fait, précise-t-il, « c'est surtout la composition du câble qui a changé passant de deux à quatre paires torsadées exploitées ».
« Un Land Cruiser type 70 va être débarrassé de sa motorisation diesel, remplacée par une architecture électrique. Une opération qui va permettre à l'engin d'évoluer dans les galeries souterraines d'une mine de nickel. […] Aucun détail technique ni date de livraison n'ont été communiqués par les partenaires. Mais Toyota Australie assure diffuser dans les mois à venir des informations plus précises. […] En Australie, l'entreprise Voltra propose depuis 2018 son eCruiser développé sur exactement la même base, c'est-à-dire un Land Cruiser type 70. BHP le sait très bien puisqu'il exploite déjà (ou a déjà exploité) dans ses mines plusieurs exemplaires de ce véhicule rétrofité. Qu'est-ce que la solution mise en avant par Toyota il y a quelques jours apporte de plus ? La filiale australienne du constructeur nippon aurait-elle absorbé Voltra ? Nous aimerions bien le savoir ! »
« C'était il y a presque un an. Le 21 décembre 2019, alors que la contestation sociale sur la réforme des retraites battait son plein, l'annonce était destinée à frapper les esprits. Le président de la République révélait au Parisien qu'il renonçait à la "pension forfaitaire" des ex-chefs d'État et montrait ainsi aux Français qu'aucun régime spécial de retraite n'avait vocation à échapper au big-bang des retraites à points. Pas même le sien. "Macron met fin au privilège présidentiel", titrait la une du quotidien. Depuis, une pandémie mondiale est passée par là. Le déficit et la dette ont explosé, la réforme des retraites a été suspendue et… le régime spécial du président est intact. »
« Alors qu'est devenue la promesse d'Emmanuel Macron? Christine Pirès-Beaune, députée PS de la commission des Finances, a voulu en avoir le cœur net. Le 21 septembre, elle a adressé un courrier au chef de l'État pour savoir où en était son projet de supprimer cette "dotation", qu'il pourrait toucher dès ses quarante-quatre ans s'il n'était pas réélu en 2022. »
« Dans une lettre du 2 novembre, Emmanuel Macron confirme d'abord son "intention de renoncer au bénéfice de la dotation forfaitaire annuelle attribuée aux anciens présidents de la République", mais il conditionne ensuite ce renoncement au vote de la réforme des retraites à points par les députés et sénateurs. "La mise en œuvre de cette décision est liée à l'adoption de cette réforme par le Parlement, souligne le chef de l'État. Dès lors que la réforme des retraites aura été votée, un décret procédera à l'affiliation du président de la République au régime général de Sécurité sociale au titre de l'assurance vieillesse: les nouvelles règles de droit commun du système universel de retraite lui seront donc appliquées lorsque ce système entrera en vigueur. Concomitamment, les dispositions de l'article 19 de la loi du 3 avril 1955 seront abrogées." »
« Alors qu'est devenue la promesse d'Emmanuel Macron? Christine Pirès-Beaune, députée PS de la commission des Finances, a voulu en avoir le cœur net. Le 21 septembre, elle a adressé un courrier au chef de l'État pour savoir où en était son projet de supprimer cette "dotation", qu'il pourrait toucher dès ses quarante-quatre ans s'il n'était pas réélu en 2022. »
« Dans une lettre du 2 novembre, Emmanuel Macron confirme d'abord son "intention de renoncer au bénéfice de la dotation forfaitaire annuelle attribuée aux anciens présidents de la République", mais il conditionne ensuite ce renoncement au vote de la réforme des retraites à points par les députés et sénateurs. "La mise en œuvre de cette décision est liée à l'adoption de cette réforme par le Parlement, souligne le chef de l'État. Dès lors que la réforme des retraites aura été votée, un décret procédera à l'affiliation du président de la République au régime général de Sécurité sociale au titre de l'assurance vieillesse: les nouvelles règles de droit commun du système universel de retraite lui seront donc appliquées lorsque ce système entrera en vigueur. Concomitamment, les dispositions de l'article 19 de la loi du 3 avril 1955 seront abrogées." »
« À l'occasion de la nouvelle année, Élie Semoun a présenté ses vœux à ses abonnés sur les réseaux sociaux. "Je voulais m'excuser auprès de la communauté portugaise, je voulais m'excuser aussi auprès de la communauté noire, musulmane et juive. J'ai dérapé, je n'ai pas fait attention à ce que j'ai écrit, je n'ai pas voulu manquer de respect, rien du tout, mais vraiment, je suis désolé. Là mon humour... C'est parti trop loin !", débute l'acteur, face caméra. Et d'ajouter : "Voilà, comme ça si je dérape en 2021, ben au moins je suis blindé, je suis sécurisé, il n'y a pas de problèmes, je me suis déjà excusé à l'avance. Voilà. Allez, salut les PD... Oh pardon, je m'excuse auprès de la communauté homosexuelle". »
« Une vidéo postée sur Instagram qui a très vite été supprimée par le réseau social. […] "Publication supprimée pour cause de discours ou symboles haineux", précise Instagram. […] Elie Semoun a alors décidé de la reposter sur son compte, mais celle-ci a une nouvelle fois été retirée. »
« "C'est bien la première fois […] qu'on me censure pour une vidéo où justement je me moque du ridicule et du pathétique de devoir m'excuser pour ça", déclare-t-il […] en rappelant qu'il a fait de nombreux sketchs sur "les homos, les handicapés, la mort, les vieux, les juifs...". "Je ne comprends plus rien à cette époque de coincés et de psychorigides et de crétins qui prennent tout au premier degré. La tyrannie de la bêtise nous envahit. Je vais continuer à faire ce que j'ai toujours fait : de l'humour non formaté", continue-t-il dans son message. »
« Une vidéo postée sur Instagram qui a très vite été supprimée par le réseau social. […] "Publication supprimée pour cause de discours ou symboles haineux", précise Instagram. […] Elie Semoun a alors décidé de la reposter sur son compte, mais celle-ci a une nouvelle fois été retirée. »
« "C'est bien la première fois […] qu'on me censure pour une vidéo où justement je me moque du ridicule et du pathétique de devoir m'excuser pour ça", déclare-t-il […] en rappelant qu'il a fait de nombreux sketchs sur "les homos, les handicapés, la mort, les vieux, les juifs...". "Je ne comprends plus rien à cette époque de coincés et de psychorigides et de crétins qui prennent tout au premier degré. La tyrannie de la bêtise nous envahit. Je vais continuer à faire ce que j'ai toujours fait : de l'humour non formaté", continue-t-il dans son message. »
« L'Agence norvégienne du médicament a établi un lien entre treize décès et les effets secondaires du vaccin de Pfizer-Biontech contre le Covid-19. […] Les personnes décédées avaient deux choses en commun : elles étaient âgées (au moins quatre-vingts ans) et fragiles. "Les rapports pourraient indiquer que les effets secondaires courants des vaccins à ARNm, tels que la fièvre et les nausées, ont pu entraîner la mort de certains patients fragiles", a relevé Sigurd Hortemo, le médecin en chef de l'Agence norvégienne du médicament. »
« L'Institut national de la santé publique (FHI) […] a ainsi mis à jour le guide de vaccination contre le Covid-19, avec de nouvelles recommandations pour les personnes âgées fragiles. "Pour les personnes les plus fragiles, même les effets secondaires relativement légers du vaccin peuvent avoir des conséquences graves", a expliqué l'Institut norvégien de la santé publique. "Pour ceux qui ont de toute façon une durée de vie restante très courte, le bénéfice du vaccin peut être marginal ou sans importance." "Si vous êtes très frêle, vous ne devriez probablement pas être vacciné", a ainsi noté le docteur Steinar Madsen, de l'Agence norvégienne des médicaments. »
« L'Institut national de la santé publique (FHI) […] a ainsi mis à jour le guide de vaccination contre le Covid-19, avec de nouvelles recommandations pour les personnes âgées fragiles. "Pour les personnes les plus fragiles, même les effets secondaires relativement légers du vaccin peuvent avoir des conséquences graves", a expliqué l'Institut norvégien de la santé publique. "Pour ceux qui ont de toute façon une durée de vie restante très courte, le bénéfice du vaccin peut être marginal ou sans importance." "Si vous êtes très frêle, vous ne devriez probablement pas être vacciné", a ainsi noté le docteur Steinar Madsen, de l'Agence norvégienne des médicaments. »
« Depuis mi-décembre, la commune de Saint-Genis-Laval, près de Lyon dans le Rhône, a mis en place un "Chaucidou", pour "chaussée à circulation douce. […] Comprendre une route sur laquelle les cyclistes disposent de deux voies, une de chaque côté de la chaussée, et les automobilistes d'une seule, au centre, sur laquelle ils circulent… dans les deux sens. Et sans aucun marquage central, avec une limitation de vitesse à 30 km/h. Les voitures sont donc invitées à se "déporter" sur les voies des cyclistes… qui gardent la priorité. »
« "Le but, c'est d'apaiser les circulations. Plus les voiries sont larges et plus elles favorisent la vitesse", explique Marylène Millet, la maire de Saint-Genis-Laval, à BFM TV, concédant au passage que "c'est un aménagement qui peut-être déconcertant parce que ce ne sont pas des signalétiques qu'on a apprises". »
« Mais ce "Chaucidou" est un vrai casse-tête pour les automobilistes. […] Les cyclistes sont également en colère contre un aménagement jugé dangereux pour eux. "Spoiler : ça ne marche pas. Les véhicules restent sur la bande cyclable et se déportent pour doubler les cyclistes. La seule façon de faire respecter cet aménagement est de mettre un poteau tous les 50 ou 100 mètres sur la bande de séparation", répond un internaute à la mairie de Saint-Genis-Laval sur Twitter. »
« Selon actu.fr, une évaluation du "Chaucidou" est prévue en 2021 : si celle-ci est concluante, cet essai pourrait être étendu à d'autres voies de Saint-Genis-Laval. »
« "Le but, c'est d'apaiser les circulations. Plus les voiries sont larges et plus elles favorisent la vitesse", explique Marylène Millet, la maire de Saint-Genis-Laval, à BFM TV, concédant au passage que "c'est un aménagement qui peut-être déconcertant parce que ce ne sont pas des signalétiques qu'on a apprises". »
« Mais ce "Chaucidou" est un vrai casse-tête pour les automobilistes. […] Les cyclistes sont également en colère contre un aménagement jugé dangereux pour eux. "Spoiler : ça ne marche pas. Les véhicules restent sur la bande cyclable et se déportent pour doubler les cyclistes. La seule façon de faire respecter cet aménagement est de mettre un poteau tous les 50 ou 100 mètres sur la bande de séparation", répond un internaute à la mairie de Saint-Genis-Laval sur Twitter. »
« Selon actu.fr, une évaluation du "Chaucidou" est prévue en 2021 : si celle-ci est concluante, cet essai pourrait être étendu à d'autres voies de Saint-Genis-Laval. »
« Lors d'une conférence de presse lundi 28 décembre 2020, Josiane Chevalier, la préfète de la région Grand Est, a invité les habitants à signaler les fêtes sauvages du 31 décembre où il y a trop de participants. "J'encourage les personnes à appeler le 17 si elles constatent des nombres anormaux de personnes réunies ce soir-là !", a-t-elle dit lors de cette conférence de presse consacrée aux mesures de sécurité lors de la Saint-Sylvestre dans le département du Bas-Rhin. »
« Un site dédié […] et vingt-cinq corners ouverts en magasin, en France, Italie, Espagne et Belgique : Kiabi , après des tests menés l'été dernier, accélère sur la seconde main. »
Fin novembre, l'association Hop a publié un "livre blanc" « pour mettre fin à l'obsolescence programmée en Europe ». En effet, elle entend inscrire son action à l'échelle du continent, le Parlement européen ayant lui-même adopté, le 23 novembre 2020, « un rapport d'initiative ambitieux sur la durabilité des produits » ; « mené par David Cormand, ce rapport salué par Hop appelle à un affichage obligatoire de la réparabilité à une définition légale de l'obsolescence programmée ». Affaire à suivre.
« Tous les jours au moment de la récréation, les enfants de l'école primaire de Laval (Isère) s'amusent dans la cour, comme partout en France. Mais dans la leur, une statue le long du mur d'enceinte côtoie la marelle : celle de la Vierge, priant debout dans une alcôve. Pourtant installée là bien avant l'ouverture de l'école, dans les années 1990, sa présence discrète est régulièrement mise en question. »
« La Vierge avait déjà ému un professeur en 1995 et fut tournée d'un quart de tour pour qu'elle ne fasse plus face aux enfants. La municipalité de Laval a ensuite joué l'Arlésienne pour complètement se conformer à la loi de 1905. Mais un événement accélère aujourd'hui les choses. "C'est lors d'un rassemblement en la mémoire de Samuel Paty que la nouvelle directrice de l'école s'est rendue compte que l'emplacement de la sculpture religieuse ne respectait pas le principe de laïcité", raconte Mireille Stissi, l'édile du village. "Il a donc été décidé, fin décembre, que nous la ferions pivoter encore un peu, afin qu'elle tourne le dos à la cour. Et pour la mettre hors du périmètre de l'école, nous avons subtilement décalé la clôture derrière la statue." La Vierge ne verra alors plus les enfants jouer, seulement les voitures défiler. »
« La Vierge avait déjà ému un professeur en 1995 et fut tournée d'un quart de tour pour qu'elle ne fasse plus face aux enfants. La municipalité de Laval a ensuite joué l'Arlésienne pour complètement se conformer à la loi de 1905. Mais un événement accélère aujourd'hui les choses. "C'est lors d'un rassemblement en la mémoire de Samuel Paty que la nouvelle directrice de l'école s'est rendue compte que l'emplacement de la sculpture religieuse ne respectait pas le principe de laïcité", raconte Mireille Stissi, l'édile du village. "Il a donc été décidé, fin décembre, que nous la ferions pivoter encore un peu, afin qu'elle tourne le dos à la cour. Et pour la mettre hors du périmètre de l'école, nous avons subtilement décalé la clôture derrière la statue." La Vierge ne verra alors plus les enfants jouer, seulement les voitures défiler. »
« Les avantages de ce type d'éclairage sont nombreux puisqu'il serait moins énergivore et surtout sa durée de vie serait équivalente à celle de la voiture. […] Des avantages que ne [confirme] pas l'ADAC, l'automobile-club allemand qui […] démontre qu'une quinzaine d'années serait suffisante pour arriver à bout de ces projecteurs. […] En réalité, cela dépendrait […] beaucoup des modèles. En effet, certaines optiques seraient plus fragiles face à l'humidité et d'éventuels soucis électroniques. De la même manière, un compartiment moteur mal conçu, ou encore des ajustements de carrosserie mal réalisés, peuvent entraîner des défaillances prématurées, les diodes étant plus sensibles face à la chaleur par exemple. »
« Jusqu'ici, il n'y a rien de vraiment différent avec les halogènes, ceux-ci étant aussi parfois fragiles, à ceci près que leur remplacement n'était pas aussi coûteux par rapport à un phare à LED. S'il était encore possible, il y a quelques années, de changer son ampoule défaillante, c'est désormais quasiment mission impossible avec des feux à LED, ceux-ci étant "scellés". Il est aussi impossible de remplacer une diode ou un segment de diodes défaillant. Cela entraîne donc, purement et simplement, un remplacement complet du bloc optique. »
« L'ADAC précise que l'optique qui doit être changée coûte environ 700 euros pour un modèle basique, mais peut atteindre 4 800 euros si le phare comprend, par exemple, des projecteurs Matrix LED avec des faisceaux dynamiques. Pour les feux arrière, il faudra compter, en moyenne, environ 600 euros d'après l'ADAC. Un prix plus contenu, mais toujours plus élevé que les 15 euros réclamés auparavant pour changer une simple ampoule. La complexité de cette technologie joue aussi sur le prix des assurances, puisque les compagnies répercutent le renchérissement des réparations engendré en cas d'accident. »
« L'ADAC milite donc pour que les constructeurs trouvent un moyen de réduire la facture, tout en saluant les progrès, notamment concernant la sécurité. […] L'association allemande préconise, entre autres, d'installer des composants facilement remplaçables et éviter leur changement intégral à chaque dysfonctionnement. »
« Jusqu'ici, il n'y a rien de vraiment différent avec les halogènes, ceux-ci étant aussi parfois fragiles, à ceci près que leur remplacement n'était pas aussi coûteux par rapport à un phare à LED. S'il était encore possible, il y a quelques années, de changer son ampoule défaillante, c'est désormais quasiment mission impossible avec des feux à LED, ceux-ci étant "scellés". Il est aussi impossible de remplacer une diode ou un segment de diodes défaillant. Cela entraîne donc, purement et simplement, un remplacement complet du bloc optique. »
« L'ADAC précise que l'optique qui doit être changée coûte environ 700 euros pour un modèle basique, mais peut atteindre 4 800 euros si le phare comprend, par exemple, des projecteurs Matrix LED avec des faisceaux dynamiques. Pour les feux arrière, il faudra compter, en moyenne, environ 600 euros d'après l'ADAC. Un prix plus contenu, mais toujours plus élevé que les 15 euros réclamés auparavant pour changer une simple ampoule. La complexité de cette technologie joue aussi sur le prix des assurances, puisque les compagnies répercutent le renchérissement des réparations engendré en cas d'accident. »
« L'ADAC milite donc pour que les constructeurs trouvent un moyen de réduire la facture, tout en saluant les progrès, notamment concernant la sécurité. […] L'association allemande préconise, entre autres, d'installer des composants facilement remplaçables et éviter leur changement intégral à chaque dysfonctionnement. »
« Très attendu, l'indice de réparabilité était annoncé pour le 1er janvier 2021 dans la loi anti gaspillage de février 2020. Un décret et cinq arrêtés précisent désormais ses rouages, en élaborant des barèmes pour des appareils spécifiques. »
« Bercy a de nouveau tapé du poing sur la table. Bruno Le Maire […] a rappelé le 11 janvier que "le groupe Volkswagen est tenu au titre des engagements qu'il a pris de maintenir sur le territoire national les activités de défense et les capacités industrielles qui sont associées". Une déclaration qui fait suite à la menace de la filiale du groupe allemand Man Energy Solutions de cesser la production des moteurs de secours pour les sous-marins nucléaires. Cette décision inquiète la Direction générale de l'armement, qui pointe désormais cinq manquements aux engagements pris depuis 2011, date à laquelle Volkswagen est devenu l'actionnaire principal de MAN SE avec 53,7 % des parts. […] Man Energy Solutions avait annoncé début août un plan de restructuration prévoyant la suppression de plus de 2 600 postes dans le monde et une "rationalisation" de ses sites notamment en France. […] Or à Saint-Nazaire, site français de la production, la filiale de Volkswagen produit des moteurs PA4-200 qui équipent les sous-marins nucléaires de la marine nationale française, y compris ceux du Suffren, du programme Barracuda. En l'absence de réponse, Bercy envisage de mettre en demeure le groupe allemand, voire la mise en vente, partielle ou totale du groupe. »
L'élection des « rôles modèles LGBT+ et allié·e·s », organisée par L'Autre Cercle, s'est tenue en octobre 2020 'sous le haut patronage d'Emmanuel Macron, président de la République ». Deux lauréats ont été désignés au sein du Groupe Renault, qui a tenu à communiquer sur le sujet.
En France, où il fut convenu, quatre ans durant, d'afficher sa haine de Donald Trump, on accueille fraîchement les intuitives visant à lui couper le sifflet. Par exemple, sur France Info, Fabrice Epelboin tient les propos suivants, en réponse au « risque d'incitation à la violence » invoqué par Twitter et Cie :
« C'est exactement le même argument utilisé par les autorités chinoises vis-à-vis de ce qui se passe à Hong-Kong. C'est le même argument utilisé par tout un tas de régimes autoritaires vis-à-vis des réseaux sociaux. Donc, si on accepte cet argument, il va falloir se regarder en face quand on critiquera demain l'argument des Chinois vis-à-vis des Ouïghours ou tout un tas de choses du même ordre. […] De toute façon, Twitter et ses dirigeants ont toujours été contre Donald Trump et ont fait ce qu'ils ont pu jusqu'ici pour pondérer l'impact de Donald Trump sur la population à travers leurs plateformes. »
« C'est exactement le même argument utilisé par les autorités chinoises vis-à-vis de ce qui se passe à Hong-Kong. C'est le même argument utilisé par tout un tas de régimes autoritaires vis-à-vis des réseaux sociaux. Donc, si on accepte cet argument, il va falloir se regarder en face quand on critiquera demain l'argument des Chinois vis-à-vis des Ouïghours ou tout un tas de choses du même ordre. […] De toute façon, Twitter et ses dirigeants ont toujours été contre Donald Trump et ont fait ce qu'ils ont pu jusqu'ici pour pondérer l'impact de Donald Trump sur la population à travers leurs plateformes. »
« Samsung a donné deux exemples. Le premier est de transformer le téléphone en moniteur de bébé qu'on place dans une chambre pour prévenir ses parents si leur enfant se met à pleurer. […] Dans l'autre exemple, le téléphone sert de capteur de luminosité pour éclairer le foyer lorsque la lumière devient trop basse et qu'un animal est seul à la maison. […] La démarche de Samsung est intéressante dans le sens où c'est l'entreprise elle-même qui va proposer des usages pour ses anciens téléphones et le faire de manière tout à fait officielle. Le Sud-Coréen n'a pas donné plus de détails sur les gammes de smartphones concernées et sur la façon dont va fonctionner cette nouveauté système. La manière dont cela est présenté donne à penser que cette mise à jour apportera plusieurs scénarios types parmi lesquels on pourra choisir. »
Les controverses sur le racisme, le féminisme, etc. n'épargnent pas la saga Star Wars. Cet ouvrage signé Rebecca Harrison (The Empire Strikes Back, BFI Publishing, octobre 2020), en apporte une nouvelle illustration.
L'auteur annonce la couleur, puisque son livre est « dédié aux fans transgenres, binaires, gays, lesbiennes, bisexuels, de couleur, handicapés, travailleuses du sexe, indigènes, survivants, ouvriers et femmes » ! Comme le rapporte Star Wars Universe, Rebecca Harrison précise, par ailleurs, « qu'elle est blanche, féministe, gauchère, lesbienne, et grande fan de Star Wars ».
Cela étant, selon la critique publiée sur ce site francophone le 15 janvier 2021, « au fur et à mesure des pages, on se demande ce que Rebecca Harrison veut bien nous raconter ». Il lui est reproché, en outre, de « toujours vouloir voir le verre à moitié vide » : « on part sur le fait qu'on a une Leia forte et leader dans ce film, et pendant ce temps-là, on n'a toujours pas de femmes qui vont dans l'espace » ; « on a Lando, oui mais où sont les femmes noires ».
Dans cette critique, on retient malgré tout quelques faits intéressants. D'une part, « peu de femmes sont créditées au générique » de L'Empire contre-attaque, « comme les assistantes caméra par exemple, alors qu'elles faisaient les boulots les plus pénibles ; autrement dit, « les femmes étaient présentes à tous les niveaux de la production, mais elles sont restées dans l'ombre ». D'autre part, « les premiers fanzines Star Wars ont été édités par des femmes » ; et « les tous débuts du fandom ont été gérés par des filles ».
Mais visiblement, l'auteur « part aussi dans des délires ». Exemples : « Leia n'est jamais vue comme dominante, une femme qui contrôle la situation. Pour preuve, quand elle donne ses directives pour l'évacuation de Hoth avec les pilotes autour d'elle, il y en a un qui lui demande "seulement deux chasseurs pour escorter" (un truc dans le genre) et bien en fait, il met à mal son autorité. […] Vador et l'Empereur sont probablement des "queers" car ils ne s'intéressent pas à Leia, seulement à Luke. […] Vador est effrayant car son armure évoque un monde dans lequel les Noirs possèdent le pouvoir sur les Blancs. » Convaincu ?
Quoi qu'il en soit, un autre ouvrage du même auteur est d'ores et déjà annoncé sous le titre Decoding Star Wars – Gender, race and power of code in a galaxy far, far away ; cela promet !
L'auteur annonce la couleur, puisque son livre est « dédié aux fans transgenres, binaires, gays, lesbiennes, bisexuels, de couleur, handicapés, travailleuses du sexe, indigènes, survivants, ouvriers et femmes » ! Comme le rapporte Star Wars Universe, Rebecca Harrison précise, par ailleurs, « qu'elle est blanche, féministe, gauchère, lesbienne, et grande fan de Star Wars ».
Cela étant, selon la critique publiée sur ce site francophone le 15 janvier 2021, « au fur et à mesure des pages, on se demande ce que Rebecca Harrison veut bien nous raconter ». Il lui est reproché, en outre, de « toujours vouloir voir le verre à moitié vide » : « on part sur le fait qu'on a une Leia forte et leader dans ce film, et pendant ce temps-là, on n'a toujours pas de femmes qui vont dans l'espace » ; « on a Lando, oui mais où sont les femmes noires ».
Dans cette critique, on retient malgré tout quelques faits intéressants. D'une part, « peu de femmes sont créditées au générique » de L'Empire contre-attaque, « comme les assistantes caméra par exemple, alors qu'elles faisaient les boulots les plus pénibles ; autrement dit, « les femmes étaient présentes à tous les niveaux de la production, mais elles sont restées dans l'ombre ». D'autre part, « les premiers fanzines Star Wars ont été édités par des femmes » ; et « les tous débuts du fandom ont été gérés par des filles ».
Mais visiblement, l'auteur « part aussi dans des délires ». Exemples : « Leia n'est jamais vue comme dominante, une femme qui contrôle la situation. Pour preuve, quand elle donne ses directives pour l'évacuation de Hoth avec les pilotes autour d'elle, il y en a un qui lui demande "seulement deux chasseurs pour escorter" (un truc dans le genre) et bien en fait, il met à mal son autorité. […] Vador et l'Empereur sont probablement des "queers" car ils ne s'intéressent pas à Leia, seulement à Luke. […] Vador est effrayant car son armure évoque un monde dans lequel les Noirs possèdent le pouvoir sur les Blancs. » Convaincu ?
Quoi qu'il en soit, un autre ouvrage du même auteur est d'ores et déjà annoncé sous le titre Decoding Star Wars – Gender, race and power of code in a galaxy far, far away ; cela promet !
« Vingt-sept personnes qui célébraient le passage à la nouvelle année en tenues "coquines" […] ont été verbalisées par les forces de l'ordre. Chacune d'elles a écopé d'une amende de 135 euros pour non-respect du couvre-feu tandis que le président de l'association a été placé en garde à vue. L'un des policiers a déploré avec humour, que "certes, ils avaient du gel, mais il n'était pas hydroalcoolique, et ils avaient des masques, mais ils étaient portés sur les yeux". »
On comprend qu'il est fier de sa blague, et surtout du devoir accompli.
On comprend qu'il est fier de sa blague, et surtout du devoir accompli.
« Meufcocotte n'est pas n'importe quelle institutrice. Sur son compte Instagram, elle jouit d'une certaine popularité. […] Ses élèves ont "quatre ou cinq ans", précise-t-elle. Mais ce n'est pas une raison pour ne pas les mettre à la page. "Par défaut, la langue française prévoit que le masculin l'emporte sur le féminin, or dans ma classe, je m'efforce de toujours utiliser les deux en même temps lorsque je m'adresse à toute ma classe". Pour illustrer son propos, elle donne un exemple : "Voyons qui sont les absentes et les absents aujourd'hui." »
« Anne, qui se présente sur son compte comme "enseignante qui dénonce les discriminations à l'école", fait son "petit pas inclusif" en classe. Pour sa part, c'est en écrivant au tableau "les listes d'adjectifs à apprendre avec le point de séparation : content·e ; intelligent·e.". […] Alison, maîtresse en moyenne section, explique de son côté simplement rebondir sur leurs "remarques" pour œuvrer en faveur d'une "société plus inclusive". Même si, "comme ils sont encore petits", il est "difficile de parler de non-binaire, de transgenre". »
« Rencontrée sur un groupe Facebook de profs, Agnès, trente-deux ans, enseignante d'une classe de CE2 dans le Val d'Oise, tente elle aussi de faire "avancer les mœurs et les esprits" en distillant des petites touches "d'inclusion". "Il n'y a pas d'âge pour prendre conscience du principal défi de notre génération et des générations futures, l'égalité", nous précise-t-elle, par téléphone. […] "Tous les cycles sont bons pour les amener à réfléchir à certains relents conservateurs de la société", explique-t-elle. Déconstruire certains clichés, ça peut se faire à tout âge. Par exemple en disant que le rose n'est pas forcément une couleur de fille, ou en expliquant que tout le monde a le droit d'être cité dans une phrase censée s'adresser à tous. Femmes, hommes, et même les autres. Et là, c'est le moment d'expliquer qui sont les non-binaires et pourquoi ils ont le droit d'être respectés". »
« Clarissa et Juliette, vingt-neuf et ttrente-quatre ans, elles aussi enseignantes […], sont du même avis. "Il n'est jamais assez tôt pour former des citoyens éclairés", scande la première, enseignante d'une classe double niveau CM1-CM2 dans les Hauts-de-Seine. "Il y a quelque chose de ludique dans cette nouvelle langue française qui se dessine", sourit la seconde, qui exerce dans une école primaire bordelaise, à l'évocation de cette écriture inclusive qu'elle amène parfois à portée de regard de ses élèves. »
« Est-ce vraiment rendre service à ces jeunes enfants que de les initier à ce langage dès l'école ? Dans une tribune publiée sur le site The Conversation, trois spécialistes du domaine s'interrogent (Anne Dister, linguiste, Dominique Lafontaine, professeur en sciences de l'éducation, et Marie-Louise Moreau, professeur de sociolinguistique) et concluent : "L'adoption de ces nouvelles normes se traduit par un plus grand écart entre l'oral et l'écrit. Cela engendre aussi une complexification évidente des règles orthographiques, alors que les modifications proposées sont loin d'être stabilisées et qu'elles entrent en conflit avec les normes ordinaires". Et d'ajouter : "Si on sait qu'une proportion importante d'enfants […] maîtrisent mal les accords orthographiques en genre et nombre à l'entrée dans le secondaire, on peut pressentir que les nouvelles formes seront moins libératrices que génératrices de difficultés accrues, et donc d'exclusion". »
« Anne, qui se présente sur son compte comme "enseignante qui dénonce les discriminations à l'école", fait son "petit pas inclusif" en classe. Pour sa part, c'est en écrivant au tableau "les listes d'adjectifs à apprendre avec le point de séparation : content·e ; intelligent·e.". […] Alison, maîtresse en moyenne section, explique de son côté simplement rebondir sur leurs "remarques" pour œuvrer en faveur d'une "société plus inclusive". Même si, "comme ils sont encore petits", il est "difficile de parler de non-binaire, de transgenre". »
« Rencontrée sur un groupe Facebook de profs, Agnès, trente-deux ans, enseignante d'une classe de CE2 dans le Val d'Oise, tente elle aussi de faire "avancer les mœurs et les esprits" en distillant des petites touches "d'inclusion". "Il n'y a pas d'âge pour prendre conscience du principal défi de notre génération et des générations futures, l'égalité", nous précise-t-elle, par téléphone. […] "Tous les cycles sont bons pour les amener à réfléchir à certains relents conservateurs de la société", explique-t-elle. Déconstruire certains clichés, ça peut se faire à tout âge. Par exemple en disant que le rose n'est pas forcément une couleur de fille, ou en expliquant que tout le monde a le droit d'être cité dans une phrase censée s'adresser à tous. Femmes, hommes, et même les autres. Et là, c'est le moment d'expliquer qui sont les non-binaires et pourquoi ils ont le droit d'être respectés". »
« Clarissa et Juliette, vingt-neuf et ttrente-quatre ans, elles aussi enseignantes […], sont du même avis. "Il n'est jamais assez tôt pour former des citoyens éclairés", scande la première, enseignante d'une classe double niveau CM1-CM2 dans les Hauts-de-Seine. "Il y a quelque chose de ludique dans cette nouvelle langue française qui se dessine", sourit la seconde, qui exerce dans une école primaire bordelaise, à l'évocation de cette écriture inclusive qu'elle amène parfois à portée de regard de ses élèves. »
« Est-ce vraiment rendre service à ces jeunes enfants que de les initier à ce langage dès l'école ? Dans une tribune publiée sur le site The Conversation, trois spécialistes du domaine s'interrogent (Anne Dister, linguiste, Dominique Lafontaine, professeur en sciences de l'éducation, et Marie-Louise Moreau, professeur de sociolinguistique) et concluent : "L'adoption de ces nouvelles normes se traduit par un plus grand écart entre l'oral et l'écrit. Cela engendre aussi une complexification évidente des règles orthographiques, alors que les modifications proposées sont loin d'être stabilisées et qu'elles entrent en conflit avec les normes ordinaires". Et d'ajouter : "Si on sait qu'une proportion importante d'enfants […] maîtrisent mal les accords orthographiques en genre et nombre à l'entrée dans le secondaire, on peut pressentir que les nouvelles formes seront moins libératrices que génératrices de difficultés accrues, et donc d'exclusion". »
« Cdiscount vient de lancer sa plateforme de vente d'articles d'occasion. […] Ll'e-commerçant français a noué un partenariat avec la start-up Place 2 Swap. "Toutes les catégories de produits seront représentées : high-tech, jeux vidéo, jouets, mode, bricolage, livres, décoration... Tout, sauf les gros produits tels que les meubles", explique le P-DG Emmanuel Grenier. Plus concrètement, cette plate-forme s'est clairement inspirée de Vinted. "Le commerce se fait de façon fluide et sécurisée grâce à un porte-monnaie virtuel et la livraison en points relais", poursuit le patron de Cdiscount. Tout comme sur l'application dédiée à la mode, les frais sont à la charge de l'acheteur : 0,70 euro par article et une commission de 5 % du prix. Pour les dépôts et la livraison des colis, tout transite par le réseau Mondial Relay. »
« Belkin procède au rappel d'un chargeur dont le bloc d'alimentation peut entraîner un dysfonctionnement et une surchauffe, ce qui peut présenter des risques d'incendie et d'électrocution. […] Belkin propose le remboursement du produit. Un formulaire est disponible à cette adresse (il faudra aussi fournir la photo du produit montrant son numéro de série). »
Un exemple parmi d'autres de tous les rappels auxquels l'industrie procède régulièrement.
Un exemple parmi d'autres de tous les rappels auxquels l'industrie procède régulièrement.