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« Mme Hassan s'exprimait dimanche lors d'une cérémonie au palais présidentiel, où elle recevait l'équipe nationale masculine des moins de vingt-trois ans victorieuse de la coupe de la Cecafa, compétition réunissant des sélections nationales d'Afrique de l'Est et Centrale. À cette occasion, elle a plaidé pour un meilleur financement du sport féminin... mais aussi déclenché l'indignation en affirmant que beaucoup de footballeuses ne pourraient jamais se marier. »
« "Celles qui ont la poitrine plate, vous pourriez penser que ce sont des hommes et non des femmes", a-t-elle déclaré. […] "Si vous voulez vous marier, vous voulez quelqu'un qui soit attirant, une femme qui a les qualités que vous voulez", a-t-elle affirmé, en ajoutant que chez les footballeuses, "ces qualités ont disparu". "Aujourd'hui, elles nous rendent fières en tant que nation quand elles ramènent des trophées au pays, mais si vous regardez leur avenir, lorsque leurs jambes sont fatiguées de jouer, lorsqu'elles n'ont pas la santé pour jouer, quelle vie auront-elles ?", a-t-elle également souligné. "Je sais que certaines ont été mariées, mais beaucoup d'entre elles n'ont pas de mariage. La vie de mariage est un rêve pour elles. Même si l'un d'entre vous ici les ramène à la maison en tant qu'épouse, votre mère demandera s'il s'agit d'une femme ou d'un autre homme", a lancé Mme Hassan. »
« Devenue présidente de la Tanzanie en mars, après la mort de John Magafuli, Samia Suluhu Hassan, 61 ans, est la seule femme cheffe d'État en activité en Afrique, avec la présidente éthiopienne Sahle-Work Zewde mais dont le rôle est principalement protocolaire. »
« "Celles qui ont la poitrine plate, vous pourriez penser que ce sont des hommes et non des femmes", a-t-elle déclaré. […] "Si vous voulez vous marier, vous voulez quelqu'un qui soit attirant, une femme qui a les qualités que vous voulez", a-t-elle affirmé, en ajoutant que chez les footballeuses, "ces qualités ont disparu". "Aujourd'hui, elles nous rendent fières en tant que nation quand elles ramènent des trophées au pays, mais si vous regardez leur avenir, lorsque leurs jambes sont fatiguées de jouer, lorsqu'elles n'ont pas la santé pour jouer, quelle vie auront-elles ?", a-t-elle également souligné. "Je sais que certaines ont été mariées, mais beaucoup d'entre elles n'ont pas de mariage. La vie de mariage est un rêve pour elles. Même si l'un d'entre vous ici les ramène à la maison en tant qu'épouse, votre mère demandera s'il s'agit d'une femme ou d'un autre homme", a lancé Mme Hassan. »
« Devenue présidente de la Tanzanie en mars, après la mort de John Magafuli, Samia Suluhu Hassan, 61 ans, est la seule femme cheffe d'État en activité en Afrique, avec la présidente éthiopienne Sahle-Work Zewde mais dont le rôle est principalement protocolaire. »
« Les résultats montrent une baisse de près de 25 %, bien qu'au premier semestre 80 % des expéditeurs habituels continuaient à transférer des fonds, envoyant en moyenne plus de 1 300 euros par an. "La situation sanitaire a ainsi accentué la fragilité d'une partie de ces travailleurs, pris en étau entre la baisse de leurs revenus et les sollicitations fortes de la famille au pays", résume-t-on à l'AFD. Les envois de fonds des diasporas, poursuit-elle, représentent des "sources de revenus essentielles pour de nombreux pays en Afrique", comme au Sénégal où ils représentent 12,8 % du PIB. "Ces montants sont d'ailleurs plus élevés que l'aide publique au développement, même lorsqu'on ne prend pas en compte les transferts informels, eux aussi conséquents." »
« Deux ans de prison avec sursis et dont un an de geôle ferme ! Les juges du tribunal d'instance de Mbour ont fait tonner le maillet. Ils ont suivi les réquisitions du procureur. Les trois pères qui ont encouragé puis poussé la bancale embarcation de leurs enfants, dont le jeune Doudou Faye, au large du Sénégal en direction de l'Espagne, sont ainsi sanctionnés pour "mise en danger de la vie d'autrui". Mise en danger qui a coûté la vie à l'adolescent Doudou, qui s'éteindra sans jamais illuminer son rêve de devenir footballeur international, à l'image d'un Samuel Eto'o ou d'un Sadio Mané. »
Le souvenir de la royauté est sans doute instrumentalisé par le président Pierre Nkurunziza. Mais l'affaire ne se résume pas à sa mégalomanie. Car la monarchie compte visiblement des soutiens durables dans ce pays.
Son nom : l'Eco. Quinze pays prévoient de l'adopter. Pour remplacer le franc CFA et sept autres devises. Affaire à suivre.
Cinq mille véhicules pourraient y être assemblés chaque années (en CKD). Selon Volkswagen, « le Rwanda est un pays jeune, moderne et digital, et, de ce fait, il convient parfaitement aux nouveaux services de mobilité connectés ».
Des ânes offerts à la population avec le soutien de la France ont été mis en quarantaine. Des agitateurs y voient un cadeau insultant – voire un instrument d'espionnage ! En filigrane, les relations entre Paris et Kigali sont en cause.
Cela n'est pas désintéressé : « L'idée de Moscou est d'avoir un accès aux ressources naturelles du pays, dont l'uranium, des contrats de prospection minière ayant été conclus avec Bangui. »
Sa filiale au Gabon vient de passer sous le contrôle de l'État. Cela « afin de préserver la continuité et la qualité de l'approvisionnement public en eau potable et en électricité », selon un communiqué du Gouvernement.
Bujumbura entend en contrôler l'usage. Cela afin de « redorer le blason d'une tradition séculaire et symbole de la royauté au Burundi qui s'est trop banalisée au cours des dernières années », comme le rapporte RFI.
Pas d'indépendance nationale sans un contrôle politique exercé sur la monnaie. Tel est, en substance, le message délivré par ce personnage sulfureux. Les souverainistes français parlent de l'euro à peu près de la même façon.
Selon Bruno Bernard, économiste, « ceux qui poussent à sortir du franc CFA sont des industriels situés hors de la zone euro, que ce soit en Suisse (cacao), en Chine (cuivre) ou dans les pays anglo-saxons ».
Mamadou Diarra (1972) :« C'est précisément dans l'effort à faire pour atteindre les équilibres généraux (en matière de politique de développement d'un pays) que réside l'essence même de l'indépendance. » Bon courage !
Cet article s'avère moins fouillé qu'on pouvait l'espérer, mais peut-être aurons-nous l'occasion de revenir sur la question.
Suffirait-il qu'un navire jette l'ancre au mauvais endroit pour priver tout un pays de son accès au réseau mondial ? C'est apparemment ce qui s'est produit en Somalie, où les habitants sont privés des transferts de fonds des émigrés.
Les vestiges d'Abomey resteront au Quai Branly. Comme le rapporte Libération, « les dons aux collections des musées nationaux sont tout simplement inaliénables ». C'est en tout cas l'argument avancé par le ministère des Affaires étrangères.
Benoît Beucher, docteur en histoire et en sciences politiques : « À chaque moment de crise majeure dans l'histoire du pays, la royauté a joué un rôle, un rôle de médiation. »
La restitution au Bénin des œuvres conservées au musée du Quai Branly serait « une fausse bonne idée », selon cette opinion rapportée par Télérama. Renvoyées en Afrique, elles ne bénéficieraient pas de l'attention nécessaire.
« Il faut prendre dans Lugan ce qu'il y a à y prendre », écrit Olivier Kempf. Or ce livre lui semble excellent : « traiter ensemble Égypte, Libye, Tunisie, Algérie et Maroc, une bonne idée, incontestablement ».
En donnant du travail à des Somaliens, le patron d'un restaurant japonais aurait apporté une contribution significative à la lutte contre la piraterie dans le golfe d'Aden. Qui a parlé d'« approche globale » ?