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La Tribune donne un aperçu des propositions de l'égérie populiste.
Cet article souligne l'influence de la Cour de Luxembourg, mais il pointe également l'inconséquence d'un gouvernement rechignant à mettre en œuvre des engagements qu'il a lui-même souscrits.
Jacques Delpla esquisse un scénario dont seul le risque populiste menacerait vraiment le déroulement.
La "règle d'or" apparaît indispensable à la France pour « demeurer une puissance européenne de premier plan », affirme Jacques Delpla. Puisse l'opposition faire preuve d'un peu de responsabilité !
Alain Madelin plaide pour un "impôt négatif" : une allocation dégressive versée à tous les citoyens dont les revenus sont nuls ou faibles. Une proposition chère à certains... libéraux, n'en déplaise aux adeptes de la caricature !
Syndicats et organisations patronales ont voté contre le projet de "prime dividences" au sein du Conseil de l'assurance-maladie, saisi pour avis.
D'autant que les stocks d'eau contribuent à la production hydraulique, mais aussi au refroidissement des centrales nucléaires.
La rhétorique française évolue subtilement... En définitive, beaucoup de bruit pour rien.
Une synthèse à l'intention du gogo abusé par le numéro d'esbroufe de Nicolas Sarkozy et Silvio Berlusconi.
Ainsi en a décidé l'assemblée de Strasbourg, qui répondait à une demande formulée par la France.
Le commissaire européen en charge du Marché intérieur voudrait fusionner les présidences du Conseil européen et de la Commission. Quoique cela soit juridiquement envisageable, on imagine mal les responsables nationaux y consentir.
Une majorité de la population souhaite conserver la monnaie unique mais 60% des Français associent l'UE au chômage, selon un sondage publié le 9 mai.
Roland Ries a fait voter une résolution au Sénat visant à maintenir les sessions plénières dans la capitale alsacienne. Il souhaiterait, à terme, que l'ensemble des réunions se tiennent dans sa ville.
La Cour européenne des droits de l'homme demande des explications à la France sur la condamnation à une amende avec sursis de l'auteur de la banderole "Casse-toi, pov'con", destinée à Nicolas Sarkozy, en 2008.
Le commissaire européen a annoncé le nom des deux premières sociétés signataires de la déclaration d'engagement "Davantage de femmes dans les conseils d'administration, une promesse pour l'Europe".
En dépit de la solidité relative de leurs banques, les Français demeurent parmi les plus méfiants à leur égard. Le symptôme d'un mal national ?
C'est, en tout cas, l'avis de Massimo Prandi , journaliste aux Échos.
Un "Que sais-je ?" apparemment « bien ficelé ».
Sans doute convient-il de rapporter le poids de la dette aux perspectives démographiques. Et d'établir des distinctions entre les dépenses relevant ou non de l'investissement. Jusqu'à "tricher" avec le Pacte de stabilité ? Prudence...
La France manque d'entreprises de taille intermédiaire, aptes à conquérir des marchés d'export. Olivier Kempf déplore « l'effort collectif » tourné, à leurs dépens, « vers "la France du rang et de la grandeur" version Wall Street ».