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Le président de la République l'a confessé avec humour : la réaction du gouvernement italien dans l'affaire Parmalat-Lactalis ne lui inspire aucun commentaire.
Les souverainistes applaudiront. Mais si le principe du "patriotisme économique" nous semble incontestable, ses modalités de mise en œuvre sont sujettes à caution : définir l'intérêt national à l'heure de la mondialisation n'a rien d'évident.
Une opération originale pour soutenir la numérisation des fonds patrimoniaux de la BNF.
Le prince Jean présidera une conférence sur le thème suivant: « Management des entreprises et vision capétienne ».
Un certain sens de la répartie, une colère maitrisée... Ça promet !
L'analyse synthétique d'Olivier Kempf.
Une fois n'est pas coutume, le spectre de l'Europe des régions est agité ici en marge du conspirationnisme cher à bien des souverainistes.
Critique d'un ouvrage polémique.
Un "appel public à commentaires" a été lancé outre-Atlantique.
La Chambre des représentants s'inquiète des menaces sur la santé des fantassins du XXIe siècle.
Jean-Dominique Merchet livre son regard sur le monde se dessinant après le vote de la résolution 1973 du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Cette décision vise, de fait, surtout les entreprises françaises.
En cause : l'absence de gros contrats.
À l'approche du 50e anniversaire du premier vol spatial habité, le gouvernement communique sur la politique menée dans un secteur « devenu indispensable à la sécurité de la France et à la vie quotidienne des Français ».
Un "mix" d'énergies est toujours un "mix" de risques, souligne Jean-Marc Vittori.
Alors que le divorce y était proscrit jusqu'à présent, Malte pourrait "rentrer dans le rang" en l'autorisant à la faveur d'un référendum organisé le le 28 mai.
Entre autres témoignages rapportés par l'Hôtel de Brienne : celle d'un commissaire ne sachant plus dans quelle classe sont ses filles à son retour d'Opex.
Après une très mauvaise année 2009, les exportations bondissent de nouveau. La France représente à elle seule 58 % des ventes mondiales de champagne.
L'abandon de la monnaie unique aurait de telles conséquences qu'elle apparaît inimaginable aux yeux de Pierre-Yves Cossé, ancien commissaire au Plan. D'autant qu'une dévaluation ne suffirait pas à s'émanciper de la rigueur.
L'intervention internationale en faveur du yen relèverait-elle de la simple solidarité ? Jean-Marc Vittori explique en quoi elle apparaît déconcertante.