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« Ils sont voleurs, ils sont assassins, ils sont violeurs » : tel est le portrait des mineurs étrangers isolés brossé par Éric Zemmour. Cela n'a pas été du goût du CSA, qui vient de prononcer, en conséquence, une sanction à l'encontre de C-News.
« Cette décision nous permet de rappeler que ce type de propos […] sont inadmissibles et servent d'autres intérêts que ceux de la vérité et du respect des citoyens », a réagi Valérie Beausert-Leick, présidente (PS) du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle. La « vérité », pourtant, la voici : un mineur isolé sur dix commet des délits, selon un rapport parlementaire présenté le 10 mars 2021 ; et dans l'agglomération parisienne, « la moitié des personnes interpellées pour cambriolages sont des mineurs isolés », selon un constat fait à la Préfecture de Police (Le Parisien, 29 septembre 2020). On peut donc reprocher à Zemmour sa virulence, voire ses approximations. Mais dans cette affaire, ce sont assurément ses détracteurs qui « servent d'autres intérêts que ceux de la vérité et du respect des citoyens ».
« Cette décision nous permet de rappeler que ce type de propos […] sont inadmissibles et servent d'autres intérêts que ceux de la vérité et du respect des citoyens », a réagi Valérie Beausert-Leick, présidente (PS) du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle. La « vérité », pourtant, la voici : un mineur isolé sur dix commet des délits, selon un rapport parlementaire présenté le 10 mars 2021 ; et dans l'agglomération parisienne, « la moitié des personnes interpellées pour cambriolages sont des mineurs isolés », selon un constat fait à la Préfecture de Police (Le Parisien, 29 septembre 2020). On peut donc reprocher à Zemmour sa virulence, voire ses approximations. Mais dans cette affaire, ce sont assurément ses détracteurs qui « servent d'autres intérêts que ceux de la vérité et du respect des citoyens ».
« Emprisonné depuis l'automne, le militant d'extrême droite était jugé en appel à Paris, ce 18 mars, pour négationnisme et antisémitisme. Il a minimisé les faits et répété ses antiennes. » Est-il possible de défendre la liberté d'expression, tout en récusant l'usage qui en est fait ? C'est difficile, tout particulièrement en pareille circonstance.
« En Espagne, un projet de loi vise à autoriser l'autodétermination du genre sur les documents officiels par simple déclaration sur l'honneur. »
« L'Église catholique va-t-elle pouvoir continuer à proclamer sa doctrine ? C'est la question que pose la mise en examen, le 24 février dernier, de Jean-Pierre Maugendre, le directeur de publication du site internet Renaissance Catholique, pour "provocation à la discrimination à l'égard d'un groupe de personnes à raison de leur orientation sexuelle". Cette mise en examen fait suite à une plainte, avec constitution de partie civile, déposée par l'association Stop Homophobie le 30 juillet 2020. »
Le texte suivant, signé par des cardinaux et des évêques, serait en cause : « Les autorités civiles ne doivent pas établir d'unions civiles ou légales entre deux personnes du même sexe, qui clairement imitent l'union du mariage, même si de telles unions ne reçoivent pas le nom de mariage, puisque de telles unions encourageraient le péché grave pour les personnes concernées et seraient cause d'un grave scandale pour d'autres (cf. Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Considérations à propos des projets de reconnaissance juridique des unions entre personnes homosexuelles, 3 juin 2003). »
« L'affaire Renaissance catholique n'est pas une première en France puisque l'abbé Pagès est déjà poursuivi par l'association Mousse pour avoir rappelé la doctrine catholique sur l'homosexualité (audience fixée en octobre 2022). S'il rappelle que la cour de cassation avait annulé en 2018 la condamnation pour "provocation à la haine ou à la violence" de Christine Boutin qui avait affirmé que "l'homosexualité est une abomination" ou la cassation en 2008 de la condamnation des propos de Christian Vanneste jugeant l'homosexualité inférieure à l'hétérosexualité au regard de la survie de l'espèce humaine, maître Triomphe juge ces offensives "extrêmement inquiétantes". "Il y a un recul de la liberté d'expression dans notre pays. »
Le texte suivant, signé par des cardinaux et des évêques, serait en cause : « Les autorités civiles ne doivent pas établir d'unions civiles ou légales entre deux personnes du même sexe, qui clairement imitent l'union du mariage, même si de telles unions ne reçoivent pas le nom de mariage, puisque de telles unions encourageraient le péché grave pour les personnes concernées et seraient cause d'un grave scandale pour d'autres (cf. Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Considérations à propos des projets de reconnaissance juridique des unions entre personnes homosexuelles, 3 juin 2003). »
« L'affaire Renaissance catholique n'est pas une première en France puisque l'abbé Pagès est déjà poursuivi par l'association Mousse pour avoir rappelé la doctrine catholique sur l'homosexualité (audience fixée en octobre 2022). S'il rappelle que la cour de cassation avait annulé en 2018 la condamnation pour "provocation à la haine ou à la violence" de Christine Boutin qui avait affirmé que "l'homosexualité est une abomination" ou la cassation en 2008 de la condamnation des propos de Christian Vanneste jugeant l'homosexualité inférieure à l'hétérosexualité au regard de la survie de l'espèce humaine, maître Triomphe juge ces offensives "extrêmement inquiétantes". "Il y a un recul de la liberté d'expression dans notre pays. »
« Mercredi soir, Yann Barthès a reçu dans Quotidien sur TMC l'historienne et psychanalyste Élisabeth Roudinesco, auteure de Soi-même comme un roi – Essai sur les dérives identitaires, publié aux éditions Seuil. Lors de son intervention, l'invitée a provoqué la colère de certains internautes après des propos sur les personnes transgenres. "Il n'y a pas un troisième sexe. Il y a une bisexualité. Il y a un genre. Le transgenre a été invité à partir de personnes qui avaient des problèmes avec l'identité. Ce qu'on a appelé le transexualisme. Il ne faut pas les discriminer. Ça existe. Mais je trouve qu'il y a un peu une épidémie de transgenres. Il y en a beaucoup trop", a déclaré Élisabeth Roudinesco, installant un malaise sur le plateau. Elle s'est alors expliquée : "Il y a des gens qui se sentent dans une identité qui n'est pas la leur depuis l'enfance. C'est appelé le transexualisme. Quand un enfant de huit ans dit qu'il est de l'autre sexe, en quoi est-il habilité ?" »
« Après cette séquence, plusieurs comptes Twitter ont fait part de leur colère, dont notamment des députés de La République en marche. Hier soir, les élus de la majorité Raphaël Gérard, Laurence Vanceunebrock et Valérie Petit ont publié sur leurs réseaux sociaux la lettre dans laquelle ils saisissent le Conseil supérieur de l'audiovisuel. […] "La loi prévoit que les diffuseurs doivent s'assurer que les programmes ne contiennent pas d'incitation à la haine à raison de l'identité de genre", débutent les trois parlementaires. Et d'ajouter : "Ces propos portent atteinte à la dignité des personnes transgenres en renouant avec une longue tradition de pathologisation des corps et des identités transgenres et appellent, de manière détournée, à leur effacement". Le trio de députés estime que Yann Barthès, "en dépit des obligations de modération des propos haineux qui pèsent sur les chaînes de télévision, est resté silencieux". »
Rappelons toutefois que selon la Justice, il est tout à fait légal d'affirmer, à tort ou à raison, que les trans sont des « malades qui relèvent de la psychiatrie » ; ainsi en avait décidé la Cour de cassation le 7 janvier 2020.
Par ailleurs, ces jours-ci, c'est un véritable déluge de propagande qui s'abat sur les téléspectateurs. Les chaînes TMC et Arte ont ouvert la voie… aussitôt suivies par TF1, France 2, RMC Découverte, France 24 : toutes cherchent à vous convaincre qu'il est tout à fait normal de changer de sexe à sept ou huit ans !
« Après cette séquence, plusieurs comptes Twitter ont fait part de leur colère, dont notamment des députés de La République en marche. Hier soir, les élus de la majorité Raphaël Gérard, Laurence Vanceunebrock et Valérie Petit ont publié sur leurs réseaux sociaux la lettre dans laquelle ils saisissent le Conseil supérieur de l'audiovisuel. […] "La loi prévoit que les diffuseurs doivent s'assurer que les programmes ne contiennent pas d'incitation à la haine à raison de l'identité de genre", débutent les trois parlementaires. Et d'ajouter : "Ces propos portent atteinte à la dignité des personnes transgenres en renouant avec une longue tradition de pathologisation des corps et des identités transgenres et appellent, de manière détournée, à leur effacement". Le trio de députés estime que Yann Barthès, "en dépit des obligations de modération des propos haineux qui pèsent sur les chaînes de télévision, est resté silencieux". »
Rappelons toutefois que selon la Justice, il est tout à fait légal d'affirmer, à tort ou à raison, que les trans sont des « malades qui relèvent de la psychiatrie » ; ainsi en avait décidé la Cour de cassation le 7 janvier 2020.
Par ailleurs, ces jours-ci, c'est un véritable déluge de propagande qui s'abat sur les téléspectateurs. Les chaînes TMC et Arte ont ouvert la voie… aussitôt suivies par TF1, France 2, RMC Découverte, France 24 : toutes cherchent à vous convaincre qu'il est tout à fait normal de changer de sexe à sept ou huit ans !
« Dans les services de dépannage ou chez les artisans réparateurs, les mêmes pannes sont constatées régulièrement sur l'électroménager », rapporte Alternativi. Et selon et article, « pour un appareil sur deux, il s'agit principalement d'un problème d'entretien ». Autrement dit, « les machines ne sont pas défectueuses, ni en fin de vie, et la plupart des réparations ne demanderont même pas de pièces de rechange ».
Exemples : « les systèmes de circulation d'eau à l'intérieur de la machine à laver ou du lave-vaisselle sont totalement obstrués par le tartre » ; « les grilles de ventilation du sèche-linge ou du réfrigérateur sont chargées de poussière » ; « trop de calcaire accumulé dans le fer à repasser » ; « trop de poussière compactée dans le filtre de l'aspirateur » ; etc.
Exemples : « les systèmes de circulation d'eau à l'intérieur de la machine à laver ou du lave-vaisselle sont totalement obstrués par le tartre » ; « les grilles de ventilation du sèche-linge ou du réfrigérateur sont chargées de poussière » ; « trop de calcaire accumulé dans le fer à repasser » ; « trop de poussière compactée dans le filtre de l'aspirateur » ; etc.
Comme l'explique Anne Dister, linguiste, enseignante à l'université Saint-Louis à Bruxelles : « L'écriture inclusive se base sur des présupposés qui sont faux, à savoir que le masculin invisibilise. C'est faux. Qui pense, quand on dit "un passage pour piétons", que les femmes ne peuvent pas traverser ? C'est l'économie de la langue. »
« Maman de Lilie, un enfant transgenre qui fêtera ses neuf ans samedi, Chrystelle Vincent a annoncé ce lundi que le procureur de la République de Carpentras (Vaucluse) avait refusé le changement d'état civil demandé par la famille. Les papiers officiels de l'enfant qui a annoncé à ses parents qu'« elle » se sentait petite fille il y a deux ans porteront encore son prénom masculin de naissance. Le parquet motive son refus par le fait qu'une procédure de « changement irréversible » n'a pas été entamée. »
« "Pourtant, nous ne demandons que l'application de la loi de 2016", clame la maman. "C'est contraire à la procédure du cheminement de la transition chez un enfant. Lilie ne comprend pas pourquoi des adultes peuvent refuser son prénom. C'est un ascenseur émotionnel pour elle, elle va d'espoir en désillusion." »
« La "petite fille" est suivie par une équipe pluridisciplinaire de l'hôpital Robert Debré à Paris. "Après avoir médiatisé son cas à la rentrée, nous avons obtenu que la maîtresse d'école l'appelle Lilie et ça se passe très bien." En témoignant dans de nombreux médias, Lilie est devenue un symbole du combat pour l'acceptation des enfants transgenres. "C'est presque elle qui en est à l'initiative", assure Chrystelle Vincent, "elle voulait même organiser une manifestation dans l'école pour revendiquer le droit d'être différente. En disant ce qu'elle est, estime la maman, elle sait qu'elle aide d'autres enfants dans son cas." »
Presque ? Voilà un mot qui en dit long. Surtout qu'à cet âge-là, on n'a pas forcément de carte d'identité, ni l'obligation de remplir des formulaires administratifs à son nom à longueur de journée…
« "Pourtant, nous ne demandons que l'application de la loi de 2016", clame la maman. "C'est contraire à la procédure du cheminement de la transition chez un enfant. Lilie ne comprend pas pourquoi des adultes peuvent refuser son prénom. C'est un ascenseur émotionnel pour elle, elle va d'espoir en désillusion." »
« La "petite fille" est suivie par une équipe pluridisciplinaire de l'hôpital Robert Debré à Paris. "Après avoir médiatisé son cas à la rentrée, nous avons obtenu que la maîtresse d'école l'appelle Lilie et ça se passe très bien." En témoignant dans de nombreux médias, Lilie est devenue un symbole du combat pour l'acceptation des enfants transgenres. "C'est presque elle qui en est à l'initiative", assure Chrystelle Vincent, "elle voulait même organiser une manifestation dans l'école pour revendiquer le droit d'être différente. En disant ce qu'elle est, estime la maman, elle sait qu'elle aide d'autres enfants dans son cas." »
Presque ? Voilà un mot qui en dit long. Surtout qu'à cet âge-là, on n'a pas forcément de carte d'identité, ni l'obligation de remplir des formulaires administratifs à son nom à longueur de journée…
« Ils sont des centaines, le chiffre exact est impossible à déterminer, de vrais mineurs, cette fois, pour la plupart marocains, à vivre de cambriolages et de vols à l'arraché en Île-de-France. Les policiers appellent ces jeunes délinquants des "mijeurs" (car ils se présentent toujours comme mineurs pour échapper aux poursuites). Et même les tests osseux sont sujets à controverse. Un magistrat le reconnaît : "C'est vrai qu'il y a une marge d'erreur de plus ou moins deux ans." »
« C'est un casse-tête pour la Justice et l'exaspération monte chez les victimes. S'ils ne s'emparent que de quelques centaines d'euros la plupart du temps, "le plus gros préjudice consiste surtout dans la réparation des dégâts causés", confie Alain Marcillac, référant sûreté de l'ordre national des pharmaciens. En moyenne, une facture de 3 500 euros. »
« Une razzia qui se traduit dans les chiffres. "Depuis trois ans, leur nombre a augmenté avec une succession de vagues migratoires", précise la préfecture de police de Paris. En 2018, on recensait 7 603 interpellations de mineurs isolés dans l'agglomération parisienne (Paris, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et Hauts-de-Seine). En 2019, c'était 9 134 interpellations, soit une hausse de 20 %. Et pour les huit premiers mois de 2020, on dénombre déjà l'interpellation de 6 309 mineurs étrangers, soit 300 de plus qu'en 2019 sur la même période. Une nouvelle augmentation de 42 %, qui atteint même 51 % à Paris ! »
« À la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP), on précise que "la moitié des personnes interpellées pour cambriolages sont des mineurs isolés maghrébins". "Parfois, on va avoir une réponse pénale digne de ce nom parce que le vol s'accompagne de violences, et là, la qualification juridique permet au parquet de pouvoir requérir l'enfermement des mineurs", souffle un haut gradé. Autrement, ils sont placés en foyer, "et deux minutes après, ils fuguent". »
« C'est un casse-tête pour la Justice et l'exaspération monte chez les victimes. S'ils ne s'emparent que de quelques centaines d'euros la plupart du temps, "le plus gros préjudice consiste surtout dans la réparation des dégâts causés", confie Alain Marcillac, référant sûreté de l'ordre national des pharmaciens. En moyenne, une facture de 3 500 euros. »
« Une razzia qui se traduit dans les chiffres. "Depuis trois ans, leur nombre a augmenté avec une succession de vagues migratoires", précise la préfecture de police de Paris. En 2018, on recensait 7 603 interpellations de mineurs isolés dans l'agglomération parisienne (Paris, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et Hauts-de-Seine). En 2019, c'était 9 134 interpellations, soit une hausse de 20 %. Et pour les huit premiers mois de 2020, on dénombre déjà l'interpellation de 6 309 mineurs étrangers, soit 300 de plus qu'en 2019 sur la même période. Une nouvelle augmentation de 42 %, qui atteint même 51 % à Paris ! »
« À la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP), on précise que "la moitié des personnes interpellées pour cambriolages sont des mineurs isolés maghrébins". "Parfois, on va avoir une réponse pénale digne de ce nom parce que le vol s'accompagne de violences, et là, la qualification juridique permet au parquet de pouvoir requérir l'enfermement des mineurs", souffle un haut gradé. Autrement, ils sont placés en foyer, "et deux minutes après, ils fuguent". »
« Environ 10 % des mineurs isolés étrangers ont commis des actes de délinquance, en hausse "tant dans leur fréquence que dans leur violence", met en évidence un rapport parlementaire présenté ce mercredi 10 mars. »
« La mission d'information menée par les députés Jean-François Eliaou (LREM) et Antoine Savignat (LR) sur "les problématiques de sécurité associées à la présence sur le territoire de mineurs non accompagnés" (MNA), a permis de "dresser le profile "type" des MNA délinquants". »
« "Le portrait type, c'est un Maghrébin, seize, dix-sept ans, en rupture totale avec son pays et sa famille, fracassé par son parcours migratoire, polytoxicomane, qui est dans une délinquance de subsistance, qui vole au sein d'une bande pas très bien organisée", résume pour l'AFP le député de l'Hérault Jean-François Eliaou. Ils commettent surtout des vols de rue, dans les transports en commun, parfois avec violences, ou des vols par effraction, en premier lieu dans les pharmacies. »
« La mission d'information menée par les députés Jean-François Eliaou (LREM) et Antoine Savignat (LR) sur "les problématiques de sécurité associées à la présence sur le territoire de mineurs non accompagnés" (MNA), a permis de "dresser le profile "type" des MNA délinquants". »
« "Le portrait type, c'est un Maghrébin, seize, dix-sept ans, en rupture totale avec son pays et sa famille, fracassé par son parcours migratoire, polytoxicomane, qui est dans une délinquance de subsistance, qui vole au sein d'une bande pas très bien organisée", résume pour l'AFP le député de l'Hérault Jean-François Eliaou. Ils commettent surtout des vols de rue, dans les transports en commun, parfois avec violences, ou des vols par effraction, en premier lieu dans les pharmacies. »
« Il y a des limites, surtout si les véhicules sont très proches esthétiquement des originaux ! La Clio va notamment être fort sollicitée. Car Nissan devrait aussi reprendre ce modèle comme base de sa future petite Micra pour l'Europe. Nissan "doit suivre Renault", expliquait ainsi récemment à Challenges Ashwani Gupta, numéro 2 de Nissan. "Faut-il différencier le modèle Nissan avec une simple face avant, ou plus ?", s'interrogeait le dirigeant. Trop tôt pour le dire. Mais "il faut que les portières par exemple soient les mêmes, sinon on fait des doublons", soulignait l'ancien responsable des véhicules utilitaires de l'Alliance, qui avait déjà mis en avant cette standardisation des produits d'une marque à l'autre. […] Le problème, c'est que si l'ajout de tels modèles peut faire vivre un réseau, cela pose un gros problème d'identité. Et les copies ne rencontrent généralement que peu d'intérêt face à l'original. Le petit Nissan NV 250, clone du Kangoo de Renault, n'a ainsi été produit qu'à… 3 500 unités l'an dernier (contre plus de 130 000 exemplaires du Français). »
Pierre Stemmelin est enthousiasmé par cet ampli hifi d'origine hongroise. Un point retient plus particulièrement notre attention dans sa critique du Heed Audio Elixir (un appareil au compact, vendu 1350 euros) : il souligne que « tous les composants sont de valeurs standardisées, facilement accessibles et remplaçables en cas de panne ». Un exemple à suivre !
« Un célèbre présentateur britannique, Piers Morgan, va quitter son émission matinale, Good Morning Britain, après avoir vertement critiqué Meghan Markle dans une émission qui a provoqué une vague de plaintes, a annoncé mardi son employeur, ITV. »
« Lundi, après avoir diffusé un extrait de l'interview donnée par Meghan à Oprah Winfrey, dans laquelle l'épouse du prince Harry évoquait ses idées suicidaires et se plaignait de n'avoir reçu aucune aide, le présentateur s'en est violemment pris à la duchesse de Sussex, mettant en doute ses propos. "Je suis désolé, je ne crois pas un mot de ce qu'elle dit", a-t-il déclaré. "Je ne la croirais pas si elle me lisait un bulletin météo", a-t-il ajouté. »
« L'Ofcom, le régulateur britannique, a annoncé mardi avoir ouvert une enquête sur ces propos. L'organisation a expliqué avoir reçu plus de 41 000 plaintes concernant l'émission. Les propos de Piers Morgan ont aussi été critiqués par l'association de défense de la santé mentale, Mind. "Il est essentiel que, lorsque les gens demandent du soutien ou partagent leurs problèmes de santé mentale, ils soient considérés avec dignité, respect et empathie", a réagi Mind sur Twitter. Lors de l'émission de mardi, le présentateur est revenu sur ses déclarations de la veille, expliquant avoir "toujours de sérieuses inquiétudes quant à la véracité de beaucoup de choses qu'elle a dites" tout en reconnaissant que la santé mentale et le suicide étaient "des choses extrêmement graves qui devraient être prises très au sérieux". »
« Lundi, après avoir diffusé un extrait de l'interview donnée par Meghan à Oprah Winfrey, dans laquelle l'épouse du prince Harry évoquait ses idées suicidaires et se plaignait de n'avoir reçu aucune aide, le présentateur s'en est violemment pris à la duchesse de Sussex, mettant en doute ses propos. "Je suis désolé, je ne crois pas un mot de ce qu'elle dit", a-t-il déclaré. "Je ne la croirais pas si elle me lisait un bulletin météo", a-t-il ajouté. »
« L'Ofcom, le régulateur britannique, a annoncé mardi avoir ouvert une enquête sur ces propos. L'organisation a expliqué avoir reçu plus de 41 000 plaintes concernant l'émission. Les propos de Piers Morgan ont aussi été critiqués par l'association de défense de la santé mentale, Mind. "Il est essentiel que, lorsque les gens demandent du soutien ou partagent leurs problèmes de santé mentale, ils soient considérés avec dignité, respect et empathie", a réagi Mind sur Twitter. Lors de l'émission de mardi, le présentateur est revenu sur ses déclarations de la veille, expliquant avoir "toujours de sérieuses inquiétudes quant à la véracité de beaucoup de choses qu'elle a dites" tout en reconnaissant que la santé mentale et le suicide étaient "des choses extrêmement graves qui devraient être prises très au sérieux". »
On trouve désormais des appareils neufs chez Back Market. En l'occurrence, des Fairphone. De quoi donner un peu plus de visibilité à ces produits, tout en confortant l'image plus ou moins écologique que la plate-forme cherche à se donner.
« Partant du fait que seul un tiers des soignants sont actuellement vaccinés dans notre pays, l'opprobre est soudainement jetée sur eux. Seront-ils insultés demain du haut de nos balcons ? […] C'est vraiment injuste de les traiter de la sorte, presque comme des salauds, alors qu'ils se dévouent toujours autant malgré leur grande fatigue. Alors aussi que des informations contradictoires ont circulé sur le vaccin qui leur est destiné et sur ses effets secondaires. Du calme, s'il vous plaît ! Et surtout, un peu plus de psychologie et de pédagogie. »
Dimanche dernier, 7 mars, « un important déploiement de gendarmes a eu lieu à Collonges-au-Mont-d'Or ». Les voitures garées aux abords d'un restaurant auront sans doute attiré l'attention. Une trentaine de personnes étaient effectivement rassemblée à l'intérieur. Mais « selon Lyon People », le couple propriétaire de l'établissement « avait pourtant prévenu la gendarmerie depuis une semaine qu'il fêterait un anniversaire entre amis », obtenant même son « son accord, avec comme consigne que tout le monde parte avant le début du couvre-feu à 18 heures ». D'après Lyon Mag, cependant, « la demande faite aux gendarmes n'était pas précise ». Quoi qu'il en soit, « au final, aucune verbalisation n'a été dressée », mais « les gendarmes ont […] mis fin à la petite sauterie et prié les invités de rentrer chez eux ». Pour quel motif ? Une fois de plus, il n'est pas du tout certain que celui-ci soit légal.
« Le rover Perseverance embarque de nombreux instruments sophistiqués pour observer, écouter, forer et stocker sur Mars. Néanmoins, tous ses composants ne sont pas forcément extrêmement récents : le "cerveau" de l'astromobile de la Nasa embarque le même processeur que celui qui se trouvait à l'intérieur de l'I-Mac G3 en 1998. »
« Il suffit de faire un tour sur le site de la Nasa consacré à la mission Mars 2020 pour s'en assurer : il est précisé que le module informatique de Perseverance, composé de deux RCE (pour "Rover Compute Element") intègre le processeur central Power PC 750. Ce composant, répondant au nom de code Arthur, a été utilisé dans les I-Mac jusqu'en 2001. »
« Ce processeur n'a pas une rapidité exceptionnelle, comparée aux technologies plus récentes. […] L'agence spatiale paraît surtout attachée à utiliser des composants qui ont fait preuve de leur robustesse par le passé. Or, le Power PC 750 a démontré sa fiabilité sur ce point. »
« Pour les applications militaires et spatiales, la Nasa choisit souvent d'utiliser le RAD 750, un ordinateur fondé sur le processeur Power PC 750, capable de résister à des conditions extrêmes. […] Actuellement, le RAD750 équipe environ cent satellites en orbite autour de la Terre, où il est toujours fonctionnel, selon Engadget. Le rover Curiosity, l'autre astromobile martien actif de la Nasa, est aussi équipé d'un RAD750 et du processeur Power PC 750. »
« Il suffit de faire un tour sur le site de la Nasa consacré à la mission Mars 2020 pour s'en assurer : il est précisé que le module informatique de Perseverance, composé de deux RCE (pour "Rover Compute Element") intègre le processeur central Power PC 750. Ce composant, répondant au nom de code Arthur, a été utilisé dans les I-Mac jusqu'en 2001. »
« Ce processeur n'a pas une rapidité exceptionnelle, comparée aux technologies plus récentes. […] L'agence spatiale paraît surtout attachée à utiliser des composants qui ont fait preuve de leur robustesse par le passé. Or, le Power PC 750 a démontré sa fiabilité sur ce point. »
« Pour les applications militaires et spatiales, la Nasa choisit souvent d'utiliser le RAD 750, un ordinateur fondé sur le processeur Power PC 750, capable de résister à des conditions extrêmes. […] Actuellement, le RAD750 équipe environ cent satellites en orbite autour de la Terre, où il est toujours fonctionnel, selon Engadget. Le rover Curiosity, l'autre astromobile martien actif de la Nasa, est aussi équipé d'un RAD750 et du processeur Power PC 750. »
« Ces édifices de béton sont parfois impopulaires et certaines communautés ont refusé d'être coupées de la mer, quels que soient les risques. Le village de pêcheurs de Mone (département de Miyagi) – où le tsunami de 2011 a fait quatre morts et détruit quarante-deux des cinquante-cinq maisons "– a ainsi préféré déménager plus loin, à quarante mètres au-dessus du niveau de la mer. »
« "La seule manière de sauver nos vies quand un tsunami frappe est d'évacuer en hauteur. Qu'il y ait un mur ou non n'a pas d'importance", pense Makoto Hatakeyama, un ostréiculteur de Mone. Il y a dix ans, comme d'autres pêcheurs, il s'est précipité vers la mer pour tenter de sauver son bateau et a survécu en gagnant une île voisine à la nage. "On ne peut rien faire contre" les tsunamis et les séismes qui se produisent régulièrement, estime cet homme de quarante-deux ans. »
« Il n'est pas prêt en revanche à renoncer à son lien avec la mer. "Cette vue, cette brise, cette atmosphère… Il ne reste presque plus d'endroits comme ça au Japon." La mer : "C'est mon identité. Elle m'apaise. C'est chez moi." »
Cela rappelle, à certains égards, le dilemme auquel nous confronte le coronavirus.
« "La seule manière de sauver nos vies quand un tsunami frappe est d'évacuer en hauteur. Qu'il y ait un mur ou non n'a pas d'importance", pense Makoto Hatakeyama, un ostréiculteur de Mone. Il y a dix ans, comme d'autres pêcheurs, il s'est précipité vers la mer pour tenter de sauver son bateau et a survécu en gagnant une île voisine à la nage. "On ne peut rien faire contre" les tsunamis et les séismes qui se produisent régulièrement, estime cet homme de quarante-deux ans. »
« Il n'est pas prêt en revanche à renoncer à son lien avec la mer. "Cette vue, cette brise, cette atmosphère… Il ne reste presque plus d'endroits comme ça au Japon." La mer : "C'est mon identité. Elle m'apaise. C'est chez moi." »
Cela rappelle, à certains égards, le dilemme auquel nous confronte le coronavirus.
« Le bureau de tabac installé […] à Brignais a été fermé administrativement pour non-respect du port du masque. Le buraliste avait déjà reçu une mise en demeure au début du mois de février pour les mêmes raisons. »
Autopsie d'un sophisme par Jean Szlamowicz :
« Certains linguistes ont été jusqu'à transformer leur interprétation des faits de langue pour considérer que "aller chez le coiffeur" est une locution sexiste au regard de "aller aux putes" : le coupable serait la préposition "chez" qui marquerait le respect du coiffeur et alors que "aux" serait méprisant pour les péripatéticiennes. Pour imposer une telle projection délirante, cela implique – outre une profonde mauvaise foi – un remaniement intégral des normes d'interprétation de la langue. Cela illustre bien que les divers postulats, plus ou moins implicites, qui fondent l'inclusivisme linguistique sont en vérité anti-scientifiques. »
« L'égarement inclusiviste, friand d'injustices à dénoncer, part du principe que tout est patriarcat et que tout doit être "déconstruit". La langue serait donc sexiste et favoriserait une vision du monde "androcentrée". Réfutons immédiatement cette proposition faisant de la grammaire le fondement de l'organisation sociale : si l'on appliquait littéralement cette idée que la langue exprime une vision de la société, alors les locuteurs des langues dénuées de genre seraient aveugles à la différence sexuelle… Il faudrait alors penser que les locuteurs arméniens, basques, cantonnais, comanches, finnois, géorgiens, igbos, perses, khmers, turcs, vietnamiens, yorubas partagent une conception du genre qui ne parviendrait pas à distinguer les hommes des femmes ! Si un discours peut être sexiste, la langue comme structure n'est que ce que les locuteurs en font. »
« La comparaison entre coiffeur et putes constitue un rapprochement sélectif provenant d'un biais parfaitement arbitraire. Quel peut bien être le lien entre deux expressions dans une langue ? Comment expliquer une locution en allant chercher une autre qui n'a pas grand-chose en commun ? Bref, que viennent faire les putes là-dedans ? Absurdité supplémentaire, le postulat idéologique de ces remarques qui échouent si catastrophiquement à établir un lien entre grammaire et société consiste à arguer que la péjoration sémantico-grammaticale pèserait sur la femme au bénéfice de l'homme. Faut-il vraiment leur faire remarquer que, dans les faits, coiffeur est une profession radicalement féminisée ? »
« Décidément, l'état de crétinisme avancé de telles grandiloquences vertueuses constitue une offense envers l'université, la science et le bon sens. C'est donc à des analyses de ce niveau qu'on se fierait pour réformer la langue sur un socle moral ? »
« Certains linguistes ont été jusqu'à transformer leur interprétation des faits de langue pour considérer que "aller chez le coiffeur" est une locution sexiste au regard de "aller aux putes" : le coupable serait la préposition "chez" qui marquerait le respect du coiffeur et alors que "aux" serait méprisant pour les péripatéticiennes. Pour imposer une telle projection délirante, cela implique – outre une profonde mauvaise foi – un remaniement intégral des normes d'interprétation de la langue. Cela illustre bien que les divers postulats, plus ou moins implicites, qui fondent l'inclusivisme linguistique sont en vérité anti-scientifiques. »
« L'égarement inclusiviste, friand d'injustices à dénoncer, part du principe que tout est patriarcat et que tout doit être "déconstruit". La langue serait donc sexiste et favoriserait une vision du monde "androcentrée". Réfutons immédiatement cette proposition faisant de la grammaire le fondement de l'organisation sociale : si l'on appliquait littéralement cette idée que la langue exprime une vision de la société, alors les locuteurs des langues dénuées de genre seraient aveugles à la différence sexuelle… Il faudrait alors penser que les locuteurs arméniens, basques, cantonnais, comanches, finnois, géorgiens, igbos, perses, khmers, turcs, vietnamiens, yorubas partagent une conception du genre qui ne parviendrait pas à distinguer les hommes des femmes ! Si un discours peut être sexiste, la langue comme structure n'est que ce que les locuteurs en font. »
« La comparaison entre coiffeur et putes constitue un rapprochement sélectif provenant d'un biais parfaitement arbitraire. Quel peut bien être le lien entre deux expressions dans une langue ? Comment expliquer une locution en allant chercher une autre qui n'a pas grand-chose en commun ? Bref, que viennent faire les putes là-dedans ? Absurdité supplémentaire, le postulat idéologique de ces remarques qui échouent si catastrophiquement à établir un lien entre grammaire et société consiste à arguer que la péjoration sémantico-grammaticale pèserait sur la femme au bénéfice de l'homme. Faut-il vraiment leur faire remarquer que, dans les faits, coiffeur est une profession radicalement féminisée ? »
« Décidément, l'état de crétinisme avancé de telles grandiloquences vertueuses constitue une offense envers l'université, la science et le bon sens. C'est donc à des analyses de ce niveau qu'on se fierait pour réformer la langue sur un socle moral ? »
C'est à craindre, alors qu'un référendum vient de se tenir pour la proscrire. « Tout cela pour une burqa qui ne serait portée que par trente à quarante personnes de l'autre côté des Alpes. » Ce sera certainement davantage demain, du moins si les choses se passent comme en France, où son interdiction a directement contribué à sa prolifération (voir à ce sujet les travaux de la sociologue Agnès de Féo).
Extraits d'un appel signé par soixante-seize universitaires, publié le 13 janvier 2021 :
« Nous faisons face aujourd'hui à une vague identitaire sans précédent au sein de l'enseignement supérieur et de la recherche. […] Le nouveau credo du décolonialisme et des idéologies identitaires se répand sur les réseaux sociaux qui l'amplifient, et ses adeptes visent quiconque refuse la conversion : des phénomènes de censure, d'intimidation, de discrimination politique ont instauré des clivages inédits et conduisent de jeunes doctorants à s'aligner sur les nouveaux mandarins sous peine de ne jamais obtenir de postes. […] De plus la conquête méthodique d'une hégémonie culturelle se traduit par une emprise croissante sur les médias. »
« Ces nouveaux militantismes fanatiques procèdent à de curieuses inversions. Au nom de l'"antiracisme politique", on revendique des identités raciales et on assigne les individus à leur "blanchité" ou à leur non "blanchité". »
« En lançant l'Observatoire du décolonialisme et des autres idéologies identitaires qui se présentent comme savantes, nous appelons à mettre un terme à l'embrigadement de la recherche et de la transmission des savoirs. […] Pour résister fermement aux intimidations idéologiques qui alimentent l'obscurantisme, il faut défendre le pluralisme et le goût de la discussion sur des bases rationnelles. »
« Nous faisons face aujourd'hui à une vague identitaire sans précédent au sein de l'enseignement supérieur et de la recherche. […] Le nouveau credo du décolonialisme et des idéologies identitaires se répand sur les réseaux sociaux qui l'amplifient, et ses adeptes visent quiconque refuse la conversion : des phénomènes de censure, d'intimidation, de discrimination politique ont instauré des clivages inédits et conduisent de jeunes doctorants à s'aligner sur les nouveaux mandarins sous peine de ne jamais obtenir de postes. […] De plus la conquête méthodique d'une hégémonie culturelle se traduit par une emprise croissante sur les médias. »
« Ces nouveaux militantismes fanatiques procèdent à de curieuses inversions. Au nom de l'"antiracisme politique", on revendique des identités raciales et on assigne les individus à leur "blanchité" ou à leur non "blanchité". »
« En lançant l'Observatoire du décolonialisme et des autres idéologies identitaires qui se présentent comme savantes, nous appelons à mettre un terme à l'embrigadement de la recherche et de la transmission des savoirs. […] Pour résister fermement aux intimidations idéologiques qui alimentent l'obscurantisme, il faut défendre le pluralisme et le goût de la discussion sur des bases rationnelles. »
Les joueuses de l'équipe de France ? « Elles n'ont aucun match perdu », constate Noël Le Graët, président de la Fédération française de football ; « donc elles peuvent se tirer les cheveux, ça m'est égal », a-t-il poursuivi. De quoi susciter des accusations de « sexisme ordinaires », proférées, entre autres, par deux membres du Gouvernement, Marlène Schiappa et Élisabeth Moreno. Une fois n'est pas coutume, le "coupable" refuse de présenter ses excuses : « aucun regret », leur a-t-il rétorqué. C'est assez rare pour être souligné.
« Il avait été lancé […] en octobre 2020 par trois journalistes bordelais. Rodéo, un mensuel gratuit spécialisé dans le relais d’actualités liées aux violences urbaines et à l’insécurité à Bordeaux – et tiré à 12 000 exemplaires – semble toutefois victime de censure ces derniers temps, comme le rapporte la revue Front populaire. […] Kiss Kiss Bank Bank a retiré la demande de fonds de Rodéo jeudi 4 mars. La cause : la ligne éditoriale du mensuel ne "concorde pas, par son caractère et son positionnement, avec les valeurs" que l’entreprise française "défend au quotidien", a cité Rodéo sur son compte Twitter. Le lendemain, le réseau social à l’oiseau bleu a lui aussi décidé de supprimer le compte du mensuel. […] Il y a plusieurs semaines, la direction de la communication de la police de Bordeaux avait réclamé le retrait des exemplaires de Rodéo disponibles dans les commissariats de la ville girondine. »
« La garderie de la commune de Moreuil dans la Somme veut mettre en place un système d'amendes allant de cinq à cinquante euros pour les parents venant chercher leurs enfants en retard. En réalité, cette idée n'est pas si novatrice. […] Un petit détour par des expériences empiriques menées à plusieurs milliers de kilomètres de la France, dans le petit État d'Israël, nous rappellent que ce système fiscal d'amende est une très mauvaise idée, surtout pour le personnel de la garderie de Moreuil. »
« Les économistes Uri Gneezy et Aldo Rustichini (1998) mènent une expérience de terrain dans des crèches de la ville de Haïfa en Israël. Les parents sont supposés récupérer leurs enfants à 17 heures mais il y a beaucoup de retards, ce qui pénalise l'équipe éducative et son personnel. Pour mener à bien leur expérience, les deux économistes mettent en place un système d'amende pour les parents retardataires dans six crèches sur dix. […] De manière inattendue, les retards avaient doublé dans les crèches mettant les parents retardataires à l'amende : ils payaient les amendes et se pointaient vers 20 heures ! »
« En l'absence de pénalité monétaire, les parents en retard violent une norme sociale, celle de la ponctualité. Ils passent pour de mauvais parents et sont dans l'embarras. En revanche, le système d'amende fixe un prix sur le fait d'arriver en retard et procure le sentiment de bénéficier d'un service marchand en payant pour récupérer ses enfants plus tard. Aussi, on a l'impression de dédommager le personnel de la garderie pour le désagrément causé. »
« Cette expérience souligne qu'un programme fiscal ne doit pas avoir un objectif moral. En effet, comme le note à juste titre l'économiste Jean-Marc Daniel, professeur émérite à l'ESCP : "Fonder son raisonnement fiscal presque exclusivement sur des considérations morales ou politiques peut conduire au résultat inverse de celui recherché. Pour les économistes, ce qui illustre le mieux le fait que les bonnes intentions peuvent être déçues ou que les résultats d'une action fiscale ne sont pas toujours à la hauteur des attentes est ce que l'on appelle la parabole de la crèche d'Haïfa." »
« Les économistes Uri Gneezy et Aldo Rustichini (1998) mènent une expérience de terrain dans des crèches de la ville de Haïfa en Israël. Les parents sont supposés récupérer leurs enfants à 17 heures mais il y a beaucoup de retards, ce qui pénalise l'équipe éducative et son personnel. Pour mener à bien leur expérience, les deux économistes mettent en place un système d'amende pour les parents retardataires dans six crèches sur dix. […] De manière inattendue, les retards avaient doublé dans les crèches mettant les parents retardataires à l'amende : ils payaient les amendes et se pointaient vers 20 heures ! »
« En l'absence de pénalité monétaire, les parents en retard violent une norme sociale, celle de la ponctualité. Ils passent pour de mauvais parents et sont dans l'embarras. En revanche, le système d'amende fixe un prix sur le fait d'arriver en retard et procure le sentiment de bénéficier d'un service marchand en payant pour récupérer ses enfants plus tard. Aussi, on a l'impression de dédommager le personnel de la garderie pour le désagrément causé. »
« Cette expérience souligne qu'un programme fiscal ne doit pas avoir un objectif moral. En effet, comme le note à juste titre l'économiste Jean-Marc Daniel, professeur émérite à l'ESCP : "Fonder son raisonnement fiscal presque exclusivement sur des considérations morales ou politiques peut conduire au résultat inverse de celui recherché. Pour les économistes, ce qui illustre le mieux le fait que les bonnes intentions peuvent être déçues ou que les résultats d'une action fiscale ne sont pas toujours à la hauteur des attentes est ce que l'on appelle la parabole de la crèche d'Haïfa." »
« La "guerre de l'information" entre Moscou et Kiev a fait trois nouvelles victimes : les chaînes 112 Ukraine, Newsone et Zik, considérées comme pro-Kremlin par le gouvernement ukrainien, sont interdites de diffusion pour cinq ans depuis le 2 février 2020, sur ordre du président ukrainien Volodymyr Zelensky. »
« "Nous déplorons cette escalade de la guerre de l'information", déclare la responsable du bureau Europe de l'Est et Asie centrale, Jeanne Cavelier. "Même si la volonté de lutter contre la propagande est légitime, cela ne justifie pas l'usage de la censure, et la mise au ban de ces chaînes risque d'attiser les violences commises envers les journalistes. Cette atteinte à la liberté d'expression est en contradiction avec les engagements internationaux de l'Ukraine. RSF appelle les autorités à trouver d'autres moyens pour préserver l'indépendance et le pluralisme de l'information." »
« "Nous déplorons cette escalade de la guerre de l'information", déclare la responsable du bureau Europe de l'Est et Asie centrale, Jeanne Cavelier. "Même si la volonté de lutter contre la propagande est légitime, cela ne justifie pas l'usage de la censure, et la mise au ban de ces chaînes risque d'attiser les violences commises envers les journalistes. Cette atteinte à la liberté d'expression est en contradiction avec les engagements internationaux de l'Ukraine. RSF appelle les autorités à trouver d'autres moyens pour préserver l'indépendance et le pluralisme de l'information." »
Surpris, nous dit-on, par une patrouille de la Brigade anti-criminalité (BAC), un quinquagénaire s'est jeté à l'eau pour échapper aux forces de l'ordre. Quel crime avait-il à se reprocher ? Un simple footing au bord de l'eau.
Sa fuite traduit-elle un accès de folie ? Assurément. Mais la folie la plus préoccupante n'est pas celle du fuyard. Elle affecte la société tout entière, et particulièrement ses élites politiques, qui dramatisent la situation au point de traiter des promeneurs sans histoire comme des criminels. On déploie carrément des hélicoptères pour les traquer ! Et dans le cas présent, c'est bien la BAC qui est intervenue…
Selon le récit d'un témoin, cité par France 3 : « On voyait le joggeur courir sur le remblai, quand une voiture de la BAC est passée dans l'autre sens ; elle a fait brutalement demi-tour, façon cowboys, et elle est revenue à grande vitesse vers le joggeur qui continuait sa course. Visiblement, il n'avait pas compris que les gyrophares étaient pour lui. Un policier a tenté de le rejoindre, le joggeur est descendu sur le sable, le policier l'a suivi, le sportif est entré dans les vagues ; comme le policier restait sur place et qu'un autre agent était venu le rejoindre, le joggeur s'est mis à l'eau et à nagé vers le large." »
Et comme l'explique Capital : « L'eau est alors à 9 degrés et les autorités s'inquiètent pour la santé du nageur. Le service départemental d'incendie et de secours (SDIS) et la SNSM (les Sauveteurs en mer) sont mobilisés pour retrouver le sportif qui se serait éloigné jusqu'à plus de 200 mètres. "Pour nous il était mort", reconnaît le commandant de police, interrogé par Ouest-France. Les recherches se poursuivent jusqu'à 21 h 45. Entre-temps, l'homme, adepte du triathlon, était bien rentré à son domicile. Retrouvé par la police, il s'est vu infliger une amende de 135 euros pour avoir violé le couvre-feu. Il va aussi être convoqué au commissariat. »
Sa fuite traduit-elle un accès de folie ? Assurément. Mais la folie la plus préoccupante n'est pas celle du fuyard. Elle affecte la société tout entière, et particulièrement ses élites politiques, qui dramatisent la situation au point de traiter des promeneurs sans histoire comme des criminels. On déploie carrément des hélicoptères pour les traquer ! Et dans le cas présent, c'est bien la BAC qui est intervenue…
Selon le récit d'un témoin, cité par France 3 : « On voyait le joggeur courir sur le remblai, quand une voiture de la BAC est passée dans l'autre sens ; elle a fait brutalement demi-tour, façon cowboys, et elle est revenue à grande vitesse vers le joggeur qui continuait sa course. Visiblement, il n'avait pas compris que les gyrophares étaient pour lui. Un policier a tenté de le rejoindre, le joggeur est descendu sur le sable, le policier l'a suivi, le sportif est entré dans les vagues ; comme le policier restait sur place et qu'un autre agent était venu le rejoindre, le joggeur s'est mis à l'eau et à nagé vers le large." »
Et comme l'explique Capital : « L'eau est alors à 9 degrés et les autorités s'inquiètent pour la santé du nageur. Le service départemental d'incendie et de secours (SDIS) et la SNSM (les Sauveteurs en mer) sont mobilisés pour retrouver le sportif qui se serait éloigné jusqu'à plus de 200 mètres. "Pour nous il était mort", reconnaît le commandant de police, interrogé par Ouest-France. Les recherches se poursuivent jusqu'à 21 h 45. Entre-temps, l'homme, adepte du triathlon, était bien rentré à son domicile. Retrouvé par la police, il s'est vu infliger une amende de 135 euros pour avoir violé le couvre-feu. Il va aussi être convoqué au commissariat. »
« C'est une proposition qui n'a pas du tout plu aux gendarmes de Rosporden, dans le Finistère. Comme le rapporte Ouest-France, un automobiliste a été contrôlé, samedi 20 janvier, sous l'emprise d'un état alcoolique sur la commune de Scaër. Le contrevenant a dû laisser sa voiture sur place pour rentrer chez lui à pied et a été convoqué, le 22 février au matin, dans les locaux de la gendarmerie de Rosporden. »
« Arrivé sur place, l'homme a fait une drôle de proposition aux forces de l'ordre : leur donner de l'argent pour annuler la procédure en cours. Il a ainsi sorti 4 000 euros en liquide et en petites coupures pour tenter de soudoyer les gendarmes. Une plaisanterie que ces derniers n'ont pas du tout appréciée. L'automobiliste a été placé en garde à vue pour tentative de corruption et a comparu, mardi 23 février devant le tribunal de Quimper. »
« L'homme a été condamné à six mois de prison avec sursis, deux ans de mise à l'épreuve, 100 euros d'amende, et a vu son permis de conduire annulé. Par ailleurs, les 4 000 euros proposés pour annuler le contrôle lui ont été confisqués et saisis. La somme est en effet considérée comme un avoir criminel par la Justice puisque objet du délit. »
« Arrivé sur place, l'homme a fait une drôle de proposition aux forces de l'ordre : leur donner de l'argent pour annuler la procédure en cours. Il a ainsi sorti 4 000 euros en liquide et en petites coupures pour tenter de soudoyer les gendarmes. Une plaisanterie que ces derniers n'ont pas du tout appréciée. L'automobiliste a été placé en garde à vue pour tentative de corruption et a comparu, mardi 23 février devant le tribunal de Quimper. »
« L'homme a été condamné à six mois de prison avec sursis, deux ans de mise à l'épreuve, 100 euros d'amende, et a vu son permis de conduire annulé. Par ailleurs, les 4 000 euros proposés pour annuler le contrôle lui ont été confisqués et saisis. La somme est en effet considérée comme un avoir criminel par la Justice puisque objet du délit. »
La Gendarmerie de la Haute-Garonne le raconte elle-même : « Mardi soir, une heure après le couvre-feu, les gendarmes en patrouille contrôlent des jeunes et apprennent qu'ils se rendent en bus à une fête clandestine dans un domicile à L'Union. Il s'avère qu'une centaine de personnes participent… Un dispositif de bouclage est immédiatement mis en place, tous les participants sont contrôlés et verbalisés pour le non respect des consignes sanitaires, l'organisateur mineur et ses parents seront entendus dès mercredi pour les faits de mise en danger de la vie d'autrui. » Et cela, vraisemblablement, sans aucun fondement légal. Une fois de plus.
« La start-up espagnole Wallapop, spécialisée dans les petites annonces entre particuliers, a annoncé ce jeudi 25 février avoir bouclé un tour de table de 191 millions de dollars, soit environ 157 millions d'euros. Mené par Korelya Capital, le fonds de capital-risque français créé par Fleur Pellerin et soutenu par le groupe coréen Naver, il fait également participer les partenaires historiques de Wallapop – Accel, Insight Partners, 14W, GP Bullhound et Northzone. Cette levée de fonds, qui valorise Wallapop à 690 millions d'euros, doit permettre à la pépite barcelonaise de poursuivre son développement, notamment en matière d'infrastructure, et de se lancer dans d'autres pays, dont l'Italie. »
« Née à Barcelone en 2013, Wallapop […] se concentre sur le marché des produits de seconde main tout en laissant une place essentielle aux petits producteurs et artisans. Elle a également récemment mis en place Envios, un service d'expédition de colis disponible dans toute l'Espagne, et qui recouvre désormais 20 % des marchandises transitant sur le site. »
« Née à Barcelone en 2013, Wallapop […] se concentre sur le marché des produits de seconde main tout en laissant une place essentielle aux petits producteurs et artisans. Elle a également récemment mis en place Envios, un service d'expédition de colis disponible dans toute l'Espagne, et qui recouvre désormais 20 % des marchandises transitant sur le site. »
On se croirait dans un film ! L'affaire est impossible à résumer. Elle met en scène un réseau maçonnique, mais aussi d'anciens agents de la DGSE ou de la DGSI, dont certains s'imaginaient visiblement toujours travailler pour les services secrets français.
« L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a ouvert la voie jeudi à la poursuite de la vie des plus vieux réacteurs en France de quarante à cinquante ans, enjoignant EDF de réaliser des travaux pour améliorer leur sûreté. […] Ce passage marque une étape significative pour les réacteurs français. Ils avaient été autorisés à l'origine sans limitation de durée de fonctionnement mais EDF avait initialement envisagé une durée de vie de quarante ans. Les centrales concernées sont les plus anciennes: Bugey (Ain), Blayais (Gironde), Chinon (Indre-et-Loire), Cruas (Ardèche), Dampierre (Loiret), Gravelines (Nord), Saint-Laurent (Loir-et-Cher) et Tricastin (Drôme). »
« Un haut responsable de la compagnie MNG Jet […] et deux pilotes ont été condamnés à quatre ans et deux mois de prison pour "trafic de migrants". […] Les trois hommes, qui risquaient jusqu'à douze ans de prison, resteront libres le temps de la procédure en appel. La cour a par ailleurs acquitté deux autres pilotes et deux hôtesses de l'air qui étaient jugés à leurs côtés. »
« Les deux pilotes […] ont rejeté les accusations, soutenant qu'ils n'étaient pas au courant de la présence de M. Ghosn à bord de l'appareil. "Dans quel monde demande-t-on aux pilotes de vérifier ce qu'il y a dans les bagages ? […] On nous a demandé de piloter et c'est ce que nous avons fait", s'est ainsi défendu M. Pasin mercredi. "Nous sommes des boucs émissaires. Personne ne demande comment ce bagage (dans lequel M. Ghosn était dissimulé) a pu passer les contrôles de la police et de la douane au Japon", a-t-il ajouté. »
« Les deux pilotes […] ont rejeté les accusations, soutenant qu'ils n'étaient pas au courant de la présence de M. Ghosn à bord de l'appareil. "Dans quel monde demande-t-on aux pilotes de vérifier ce qu'il y a dans les bagages ? […] On nous a demandé de piloter et c'est ce que nous avons fait", s'est ainsi défendu M. Pasin mercredi. "Nous sommes des boucs émissaires. Personne ne demande comment ce bagage (dans lequel M. Ghosn était dissimulé) a pu passer les contrôles de la police et de la douane au Japon", a-t-il ajouté. »
« Il faut garder à l'esprit l'origine chinoise de la pandémie, afin de comprendre la réaction politique en Occident. Si elle avait commencé à n'importe quel autre endroit sur Terre, les politiques occidentales auraient probablement été bien plus respectueuses des libertés individuelles. »
« La nocivité de la Covid-19 pour l'ensemble de la population a été fortement exagérée, même si son impact sur les systèmes de santé est réel. La volonté des gouvernements occidentaux d'aller jusqu'à détruire des secteurs entiers de l'économie et mettre en péril la santé (sic) physique et psychique de millions de citoyens, afin de sauver des patients de la Covid dont l'âge moyen de décès est de quatre-vingt-deux ans, est absurde. La seule manière d'expliquer ce zèle est de considérer ces actions comme des moyens pour le gouvernement de se couvrir, aux dépens de la société dans son ensemble. Il s'agit pour la classe dirigeante d'éviter la retombée politique de l'incapacité des systèmes de santé occidentaux, essentiellement publics, à gérer une grave pandémie de grippe. »
« La nocivité de la Covid-19 pour l'ensemble de la population a été fortement exagérée, même si son impact sur les systèmes de santé est réel. La volonté des gouvernements occidentaux d'aller jusqu'à détruire des secteurs entiers de l'économie et mettre en péril la santé (sic) physique et psychique de millions de citoyens, afin de sauver des patients de la Covid dont l'âge moyen de décès est de quatre-vingt-deux ans, est absurde. La seule manière d'expliquer ce zèle est de considérer ces actions comme des moyens pour le gouvernement de se couvrir, aux dépens de la société dans son ensemble. Il s'agit pour la classe dirigeante d'éviter la retombée politique de l'incapacité des systèmes de santé occidentaux, essentiellement publics, à gérer une grave pandémie de grippe. »
« Sur les 18 368 points de vente alimentaires recensés par GTR Suite (et pour lesquels existent des fiches Google My Business), près de trois sur quatre sont ouverts le dimanche, généralement le matin. Et, ce, hors période exceptionnelle comme le mois de décembre. »
« Sans surprise, ce sont les magasins de proximité qui sont le plus majoritairement ouverts. […] Mais le mouvement le plus marquant ces dernières années a été l'ouverture des hypers, des drives et même des discounters (un quart des Lidl sont ouverts et trois Aldi sur dix, selon GTR Suite).
« Parmi les hypers, Auchan a été la première enseigne à lancer le mouvement. Probablement car […] Auchan était à la traîne en termes de chiffre d'affaires. […] Reste que dès lors que le mouvement devient localement significatif, tous les concurrents se doivent de suivre. Voilà ce qui a entraîné ce phénomène d'ouverture quasi généralisé. »
« Une exception néanmoins : les hypers des indépendants ! Guère plus d'un Leclerc sur trois et un Hyper U sur quatre sont ouverts. Une minorité donc mais qui se développe (il y a trois ans, moins de 20 % des Leclerc étaient ouverts) car il est plus que jamais difficile de demeurer fermés lorsque tous les magasins de la zone sont accessibles. »
« Pour autant, le dimanche demeure une journée de modeste affluence. Il compte pour environ 5 % des ventes hebdomadaires selon Nielsen mais avec d'importants écarts selon les circuits : 2 % pour le drive, 3 % pour les hypers, 6 % pour les supermarchés et 10 % pour la proximité. »
« Sans surprise, ce sont les magasins de proximité qui sont le plus majoritairement ouverts. […] Mais le mouvement le plus marquant ces dernières années a été l'ouverture des hypers, des drives et même des discounters (un quart des Lidl sont ouverts et trois Aldi sur dix, selon GTR Suite).
« Parmi les hypers, Auchan a été la première enseigne à lancer le mouvement. Probablement car […] Auchan était à la traîne en termes de chiffre d'affaires. […] Reste que dès lors que le mouvement devient localement significatif, tous les concurrents se doivent de suivre. Voilà ce qui a entraîné ce phénomène d'ouverture quasi généralisé. »
« Une exception néanmoins : les hypers des indépendants ! Guère plus d'un Leclerc sur trois et un Hyper U sur quatre sont ouverts. Une minorité donc mais qui se développe (il y a trois ans, moins de 20 % des Leclerc étaient ouverts) car il est plus que jamais difficile de demeurer fermés lorsque tous les magasins de la zone sont accessibles. »
« Pour autant, le dimanche demeure une journée de modeste affluence. Il compte pour environ 5 % des ventes hebdomadaires selon Nielsen mais avec d'importants écarts selon les circuits : 2 % pour le drive, 3 % pour les hypers, 6 % pour les supermarchés et 10 % pour la proximité. »
« Le streaming en qualité lossless apparaît comme un gage de qualité, mais également comme un élément marketing, un argument qui en pratique ne concerne qu'une petite partie de la population. Rappelons que l'encodage Spotify en qualité premium se base déjà sur de l'OGG Vorbis, codec bien plus avancé que le MP3 ou l'AAC (même s'il l'est moins que le codec OPUS), en qualité 320 kbs qui plus est. Une qualité infiniment proche de celle du CD et que pratiquement aucun utilisateur ne pourrait différencier du Flac, par exemple. »
« Depuis quelques jours enfle une rumeur selon laquelle les SSD des Mac (et particulièrement des M1) pourraient présenter une usure excessive. […] De quoi rapidement soulever des questions, et angoisses, quant à la longévité de ces machines dont les SSD sont soudés à la carte mère. »
« À ses dires engagée dans une relation consentie avec PPDA, elle aurait pris conscience, quelque quinze ans plus tard, qu’elle n’était pas si consentante que cela. Ou pas toujours. […] À bien y regarder, le néo-féminisme actuel se révèle profondément régressif : il fait des femmes d’éternelles petites filles, enfants inconscientes de ce qui leur arrive et incapables de se défendre face au mâle prédateur exerçant sur elles une fascination mortifère. »
Cet article, publié sur un site du "service public", est censé présenter « l'enjeu » d'une proposition de loi interdisant l'écriture dite inclusive dans les documents administratifs, défendue par François Jolivet, député de l'Indre. « De quoi parle-t-on, au juste ? », se demande ici Patrick Ferret. « Pour le député de l'Indre, il s'agit de l'usage récent du point médian, ainsi que des raccourcis (ielles pour ils et elles, par exemple) », assure le journaliste, tout en rappelant, à juste tire, que « l'écriture inclusive prend bien d'autres formes ». A-t-il lu la proposition de loi en question, vers laquelle un lien figure pourtant en marge de son propre article ? Visiblement, la réponse est non, car contrairement à ce qu'il laisse entendre, ce texte n'entend pas proscrire seulement les points médians et autres pronoms exotiques, mais toutes « les pratiques rédactionnelles et typographiques visant à substituer à l'emploi du masculin, lorsqu'il est utilisé dans un sens générique, une graphie faisant ressortir l’existence d'une forme féminine ».
« Dans un premier communiqué publié sur son site internet jeudi, Hasbro indiquait vouloir désormais "s'assurer que tout le monde se sente le bienvenu dans le monde des têtes de patates en abandonnant officiellement la marque et le logo de Monsieur Tête de Patate. Avec l'intention de "promouvoir égalité des genres et inclusion". Mais un autre communiqué, plus bref, l'a ensuite remplacé, indiquant que "les personnages emblématiques de M. et Mme Patate ne disparaîtraient pas", sans préciser pour autant sous quelle forme ils seraient maintenus. Le nouveau texte retirait aussi toute mention d'inclusion ou d'égalité des genres, indiquant simplement qu'il s'agissait de "célébrer les différents visages des familles". »
« Refuser de se faire vacciner en Galice, cinquième région la plus peuplée d'Espagne, peut coûter cher. Le gouvernement provincial a en effet décidé, mercredi 24 février, de sanctionner d'une amende pouvant aller de 1 000 à 60 000 euros toute personne refusant de recevoir la piqûre contre le Covid-19, rapporte Ouest-France. Cette décision prise dans la région, dirigée depuis 2009 par le parti de droite Partido Popular, va à l'encontre de la volonté du gouvernement central. [….] Reste désormais à savoir si la mesure sera validée par la justice du pays et si d'autres régions pourraient emboîter le pas de la Galice. »
« Ma famille était très ouverte à la culture française. Mes parents adoptaient petit à petit un mode de vie à la française. C'est-à-dire qu'ils regardaient les programmes de télévision français, qu'ils parlaient petit à petit le français. On fêtait l'épiphanie, on fêtait Pâques, on allait à l'église allumer des cierges. »
« Tout a basculé avec l'arrivée de l'antenne parabolique. Il y a eu un arrêt net de leur apprentissage de la langue française et de la culture du pays d'accueil. Cette antenne parabolique représentait un lien continu avec le pays d'origine. Mes parents étaient beaucoup plus ou courant de ce qui se passait en Turquie plutôt qu'en France. »
« Les associations d'aide aux immigrés auxquelles ils ont fait appel pour leurs démarches administratives commençaient à leur tenir des discours de non-intégration. J'appelle ça la "non-assistance à personnes voulant s'intégrer". Ils leur disaient : si on vous demande de faire des efforts, c'est que vous avez affaire à des racistes ; les symboles de la France, ce sont des symboles xénophobes ; attention, ne changez pas, restez comme vous êtes ; on vous a mal accueillis, qu'est-ce qu'on vous a mal accueillis ! À force d'entendre cela, mes parents ont commencé à se sentir victimes… »
« Et puis, les commerces du quartier ont commencé à changer. Les anciens commerces étaient remplacés par des commerces turcs. Notre coiffeur, notre épicier, notre boulanger étaient turcs. […] Il n'y avait plus de produits français dans ces commerces. […] Et en plus il y avait le poids de cette communauté qui influait sur le comportement de mes parents – en plus de ce que leur disaient les associations d'aide aux immigrés. »
« Dans un quartier, une fille issue de l'immigration, c'est tellement compliqué, c'est tellement dur… […] On m'épiait ; je n'avais pas le droit de m'habiller de telle ou telle manière ; je devais faire attention à ceux à qui je parlais, aux lieux où je me promenais. Il fallait que mes parents montrent qu'ils avaient un contrôle sur moi, qu'ils maîtrisaient leur fille. Il ne fallait pas qu'ils aient honte de mon comportement. »
« On m'a interdit d'être française. […] Les Français n'ont pas d'honneur ; les femmes françaises n'ont pas d'honneur : voilà le genre de phrases qu'on entendait à la maison sur les Français. […] J'ai fait ma demande de naturalisation en 2006 ; je suis rentré deux ans plus tard, en 2008, chez mes parents, en brandissant ma carte d'identité et en disant, ça y est, je l'ai, et en en plus j'ai changé de prénom, j'ai choisi le prénom Claire ! Mes parents ont eu une réaction très violente. […] J'étais tellement fière ! […] J'appelle cela mon "coming out identitaire". […] Claire, c'était le point final de ma quête d'identité. Ce qui me manquait, c'était un pays ; c'était l'amour d'un pays. »
« On peut tous faire nation. […] J'ai plein de témoignages de jeunes issus de l'immigration […] qui me remercient d'avoir écrit ce livre. Et ils me disent : j'ai été confronté aux mêmes problèmes, mais je n'ai jamais osé en parler, et surtout, je pensais que j'étais seul. Il y en a beaucoup, mais ils sont silencieux. »
« Tout a basculé avec l'arrivée de l'antenne parabolique. Il y a eu un arrêt net de leur apprentissage de la langue française et de la culture du pays d'accueil. Cette antenne parabolique représentait un lien continu avec le pays d'origine. Mes parents étaient beaucoup plus ou courant de ce qui se passait en Turquie plutôt qu'en France. »
« Les associations d'aide aux immigrés auxquelles ils ont fait appel pour leurs démarches administratives commençaient à leur tenir des discours de non-intégration. J'appelle ça la "non-assistance à personnes voulant s'intégrer". Ils leur disaient : si on vous demande de faire des efforts, c'est que vous avez affaire à des racistes ; les symboles de la France, ce sont des symboles xénophobes ; attention, ne changez pas, restez comme vous êtes ; on vous a mal accueillis, qu'est-ce qu'on vous a mal accueillis ! À force d'entendre cela, mes parents ont commencé à se sentir victimes… »
« Et puis, les commerces du quartier ont commencé à changer. Les anciens commerces étaient remplacés par des commerces turcs. Notre coiffeur, notre épicier, notre boulanger étaient turcs. […] Il n'y avait plus de produits français dans ces commerces. […] Et en plus il y avait le poids de cette communauté qui influait sur le comportement de mes parents – en plus de ce que leur disaient les associations d'aide aux immigrés. »
« Dans un quartier, une fille issue de l'immigration, c'est tellement compliqué, c'est tellement dur… […] On m'épiait ; je n'avais pas le droit de m'habiller de telle ou telle manière ; je devais faire attention à ceux à qui je parlais, aux lieux où je me promenais. Il fallait que mes parents montrent qu'ils avaient un contrôle sur moi, qu'ils maîtrisaient leur fille. Il ne fallait pas qu'ils aient honte de mon comportement. »
« On m'a interdit d'être française. […] Les Français n'ont pas d'honneur ; les femmes françaises n'ont pas d'honneur : voilà le genre de phrases qu'on entendait à la maison sur les Français. […] J'ai fait ma demande de naturalisation en 2006 ; je suis rentré deux ans plus tard, en 2008, chez mes parents, en brandissant ma carte d'identité et en disant, ça y est, je l'ai, et en en plus j'ai changé de prénom, j'ai choisi le prénom Claire ! Mes parents ont eu une réaction très violente. […] J'étais tellement fière ! […] J'appelle cela mon "coming out identitaire". […] Claire, c'était le point final de ma quête d'identité. Ce qui me manquait, c'était un pays ; c'était l'amour d'un pays. »
« On peut tous faire nation. […] J'ai plein de témoignages de jeunes issus de l'immigration […] qui me remercient d'avoir écrit ce livre. Et ils me disent : j'ai été confronté aux mêmes problèmes, mais je n'ai jamais osé en parler, et surtout, je pensais que j'étais seul. Il y en a beaucoup, mais ils sont silencieux. »
« Dimanche dernier, le politologue Ryan T. Anderson recevait un message d'un potentiel acheteur. Celui-ci lui indiquait que son ouvrage When Harry Became Sally : Responding to the Transgender Moment, n'était plus disponible sur Amazon. Publié en 2018 par Encounter Books, l'œuvre n'avait jusque là présenté aucun problème à la plate-forme. Connu pour son opposition au mariage homosexuel, Anderson est populaire dans le milieu conservateur. […] "Tous les vendeurs prennent des décisions sur la sélection qu'ils choisissent de proposer et nous ne prenons pas les décisions de sélection à la légère", a indiqué […] Amazon dans un communiqué. »
« Être supprimé du site d'Amazon n'est pas anodin pour un auteur. Comme le rappelle le Washington Post, l'entreprise représente 53 % des livres physiques aux États-Unis et 80 % de tous les livres électroniques. Cependant dans le cas Ryan T. Anderson la situation ne semble pas si catastrophique. L'affaire, abondamment médiatisée, a permis au livre de connaître une seconde jeunesse. »
« Être supprimé du site d'Amazon n'est pas anodin pour un auteur. Comme le rappelle le Washington Post, l'entreprise représente 53 % des livres physiques aux États-Unis et 80 % de tous les livres électroniques. Cependant dans le cas Ryan T. Anderson la situation ne semble pas si catastrophique. L'affaire, abondamment médiatisée, a permis au livre de connaître une seconde jeunesse. »
« Confiner une bande littorale est un non-sens. […] On nous demande, lorsqu'on est chez nous, d'aérer nos pièces, et d'un autre côté on n'arrive pas à reconnaître que les lieux extérieurs ne sont pas des lieux de transmission, c'est illogique. […] Les plages, même quand il y a du monde, ne sont pas une zone à risque, car l'air y est constamment renouvelé. Donc si les personnes se contaminent à l'intérieur, la logique voudrait qu'on les incite à être davantage à l'extérieur. Laissons les gens profiter, ils en ont besoin pour leur santé physique, respiratoire, et psychologique… »
« Il n'y a aucune étude qui prouve qu'il y a un intérêt à porter un masque en plein air. Le masque en plein air – bord de plage, campagne et montagne – ne sert à rien. On peut être libre de le porter, pourquoi pas, mais je ne comprends pas que l'on continue à obliger quelque chose d'irrationnel scientifiquement. On pourrait, à la limite, se poser la question pour certaines rues ultra-fréquentées, même si je n'ai jamais entendu parler d'un cluster rue Sainte-Catherine à Bordeaux... On se contamine dans un espace fermé où il y a au moins une personne infectée, et quand on n'ouvre pas les fenêtres, alors la charge virale augmente dans la pièce. Il faut arrêter de croire que l'on se contamine en respirant une bouffée d'air où il y aurait un coronavirus dedans. Cela ne suffit pas pour s'infecter. »
« Moi, cela me rassure davantage de voir des jeunes organiser un apéro sur la Côte des Basques, que de savoir qu'ils font des soirées en milieu confiné. Pourquoi est-ce que les épidémies s'effondrent dès que les beaux jours reviennent ? Il y a des conditions environnementales, mais c'est aussi lié à nos attitudes : dès qu'il fait beau nous sommes davantage dehors, et les chaînes de transmission se cassent d'elles-mêmes. Pour sortir durablement de cette épidémie, il faut entrer dans une logique d'aération des populations. »
« Il n'y a aucune étude qui prouve qu'il y a un intérêt à porter un masque en plein air. Le masque en plein air – bord de plage, campagne et montagne – ne sert à rien. On peut être libre de le porter, pourquoi pas, mais je ne comprends pas que l'on continue à obliger quelque chose d'irrationnel scientifiquement. On pourrait, à la limite, se poser la question pour certaines rues ultra-fréquentées, même si je n'ai jamais entendu parler d'un cluster rue Sainte-Catherine à Bordeaux... On se contamine dans un espace fermé où il y a au moins une personne infectée, et quand on n'ouvre pas les fenêtres, alors la charge virale augmente dans la pièce. Il faut arrêter de croire que l'on se contamine en respirant une bouffée d'air où il y aurait un coronavirus dedans. Cela ne suffit pas pour s'infecter. »
« Moi, cela me rassure davantage de voir des jeunes organiser un apéro sur la Côte des Basques, que de savoir qu'ils font des soirées en milieu confiné. Pourquoi est-ce que les épidémies s'effondrent dès que les beaux jours reviennent ? Il y a des conditions environnementales, mais c'est aussi lié à nos attitudes : dès qu'il fait beau nous sommes davantage dehors, et les chaînes de transmission se cassent d'elles-mêmes. Pour sortir durablement de cette épidémie, il faut entrer dans une logique d'aération des populations. »
« À Sciences Po Paris, des étudiants ont bien été poussés à utiliser l'écriture inclusive au cours d'un partiel. Et ce, lors des deux dernières années universitaires. Le Figaro a pu se procurer une copie de cet examen qui concerne un cours de sociologie. […] Le document précise dans ses consignes que l'écriture inclusive "est encouragée" mais que "son non-usage ne sera pas pénalisé, les étudiant.e.s étrangers.ères pouvant avoir davantage de difficultés à la mettre en œuvre". "Toutefois, un demi-point bonus sera attribué à celles et ceux qui tenteront de l'utiliser", indique le document. »
« Selon plusieurs élèves, EB, l'enseignant en charge de ce cours magistral sur "les grandes questions de la sociologie au prisme du genre" a incité à plusieurs reprises ses élèves à employer cette graphie. […] Ce que confirme également un enseignant historique de l'école. "Il y a quelques jours, quand la polémique a éclaté, je pensais que c'était totalement faux. Puis j'ai creusé et je vous confirme que des étudiants ayant utilisé l'écriture inclusive ont bel et bien été favorisés dans cet enseignement", assure-t-il. […] L'administration précise qu'elle n'a pas encore pu vérifier les faits "sur ce cas précis". Elle assure toutefois qu'"au niveau de la scolarité, aucune consigne en ce sens n'a jamais été adressée ni aux enseignants ni aux étudiants". »
« Selon plusieurs élèves, EB, l'enseignant en charge de ce cours magistral sur "les grandes questions de la sociologie au prisme du genre" a incité à plusieurs reprises ses élèves à employer cette graphie. […] Ce que confirme également un enseignant historique de l'école. "Il y a quelques jours, quand la polémique a éclaté, je pensais que c'était totalement faux. Puis j'ai creusé et je vous confirme que des étudiants ayant utilisé l'écriture inclusive ont bel et bien été favorisés dans cet enseignement", assure-t-il. […] L'administration précise qu'elle n'a pas encore pu vérifier les faits "sur ce cas précis". Elle assure toutefois qu'"au niveau de la scolarité, aucune consigne en ce sens n'a jamais été adressée ni aux enseignants ni aux étudiants". »
« Si McLaren a déjà évoqué la solution, c'est au tour de Porsche de s'exprimer sur le sujet. […] Le Dr. Frank Walliser, le patron de la division Motorsport et GT, estime que les moteurs thermiques carburant à l'E-Fuel se montreront aussi propres, si ce n'est plus, que les alternatives électriques : "Le carburant synthétique est plus propre. Nous nous attendons à une réduction de CO2 de 85 %. […] Vous devez prendre en compte l'ensemble de la chaîne pour tous les véhicules, il s'agira du même niveau de CO2 produit dans la fabrication et l'utilisation d'un véhicule électrique." »
« Le Dr. Frank Wallisser de continuer : "L'idée générale derrière ces carburants synthétiques est qu'il n'y a pas de changements mécaniques nécessaires, contrairement à ce que nous avons vu avec l'éthanol E10 ou E20. Donc vraiment, tout le monde peut l'utiliser. Cela n'a aucun impact sur les performances, il y a même quelques chevaux en plus, mais les émissions sont bien meilleures, nous voyons moins de particules, moins de NOx." »
« Porsche et ses partenaires (Siemens Energy, AME, Enel et la société chilienne ENAP) mettront sur pied une usine afin de produire du e-Fuel dès 2022 et atteindre un volume de production de 550 millions de litres en 2026. »
« Le Dr. Frank Wallisser de continuer : "L'idée générale derrière ces carburants synthétiques est qu'il n'y a pas de changements mécaniques nécessaires, contrairement à ce que nous avons vu avec l'éthanol E10 ou E20. Donc vraiment, tout le monde peut l'utiliser. Cela n'a aucun impact sur les performances, il y a même quelques chevaux en plus, mais les émissions sont bien meilleures, nous voyons moins de particules, moins de NOx." »
« Porsche et ses partenaires (Siemens Energy, AME, Enel et la société chilienne ENAP) mettront sur pied une usine afin de produire du e-Fuel dès 2022 et atteindre un volume de production de 550 millions de litres en 2026. »
Une fois de plus, nous souscrivons volontiers aux propos d'Ingrid Riocreux !
« N'est-il pas étonnant que personne n'ose tenir une petite chronique des aberrations qu'on nous impose sous prétexte de protocole sanitaire ? Devons-nous tout accepter sans broncher ou, du moins, sans rire ? »
« Il faudrait pourtant les recenser, ces prescriptions contestables qui ont pour seul effet de donner à des gens, soudain investis d'un pouvoir de surveillance, la jouissance jubilatoire de rappeler à l'ordre les récalcitrants. […] Les plus scrupuleux sont les "bons citoyens", ceux qui appliquent la règle sans se poser de questions et veillent à ce que les autres fassent de même. Le masque est obligatoire alors on le porte, et c'est tout. »
« Voyez cette dame qui marche dans la rue, tôt le matin, toute seule, absolument seule, sur son large trottoir; elle porte le masque. Elle ne protège rien ni personne mais elle applique la règle. Si la visière Covid était également obligatoire, même là, toute seule sur son trottoir, avec son arrogance pincée, elle porterait fièrement sa visière Covid. Cette femme n'a aucune dignité. »
« Le plus grave est que nos règles sanitaires dispensent, semble-t-il, de toute empathie et de la plus simple réaction humaine : il est vrai que la gentillesse ne fait pas partie du protocole sanitaire. Voyez cette scène maintenant : un vieux monsieur qui monte dans l'ascenseur du parking souterrain ; il est dans un état de panique, il a les larmes aux yeux, il bredouille des excuses parce qu'il n'a pas son masque, on voit bien qu'il a des ennuis. "Remontez votre col, Monsieur", dit une petite dame à la voix sèche, "puisque vous n'avez pas de masque." Il explique qu'il ne sait plus où il a garé sa voiture dans ce grand parking. […] Elle le coupe : "En fait, vous ne devriez pas parler, Monsieur, vous allez nous contaminer." Ce monsieur âgé est cependant plus "à risque" qu'elle et moi. Elle est méchante mais elle a bonne conscience : elle fait respecter la règle. »
« Souvenons-nous aussi (et ce souvenir commun devrait saupoudrer d'humour tous les rappels à l'ordre) qu'initialement, le masque était "inutile". »
Et pour finir, ce fait très significatif :
« Je crois qu'au sortir de cette crise sanitaire, nous aurons tous une belle collection d'anecdotes de ce genre à raconter pendant des années. […] Et parmi mes souvenirs les plus marquants, il y aura ceci : dans un coin de vestiaire, près du radiateur, la chaise sur laquelle on a préféré coller soigneusement un scotch rouge pour en interdire l'usage, plutôt que de l'enlever tout bonnement. Ce qui importe n'est pas seulement que vous ne vous asseyiez pas ; c'est que vous voyiez qu'on vous l'interdit. »
« N'est-il pas étonnant que personne n'ose tenir une petite chronique des aberrations qu'on nous impose sous prétexte de protocole sanitaire ? Devons-nous tout accepter sans broncher ou, du moins, sans rire ? »
« Il faudrait pourtant les recenser, ces prescriptions contestables qui ont pour seul effet de donner à des gens, soudain investis d'un pouvoir de surveillance, la jouissance jubilatoire de rappeler à l'ordre les récalcitrants. […] Les plus scrupuleux sont les "bons citoyens", ceux qui appliquent la règle sans se poser de questions et veillent à ce que les autres fassent de même. Le masque est obligatoire alors on le porte, et c'est tout. »
« Voyez cette dame qui marche dans la rue, tôt le matin, toute seule, absolument seule, sur son large trottoir; elle porte le masque. Elle ne protège rien ni personne mais elle applique la règle. Si la visière Covid était également obligatoire, même là, toute seule sur son trottoir, avec son arrogance pincée, elle porterait fièrement sa visière Covid. Cette femme n'a aucune dignité. »
« Le plus grave est que nos règles sanitaires dispensent, semble-t-il, de toute empathie et de la plus simple réaction humaine : il est vrai que la gentillesse ne fait pas partie du protocole sanitaire. Voyez cette scène maintenant : un vieux monsieur qui monte dans l'ascenseur du parking souterrain ; il est dans un état de panique, il a les larmes aux yeux, il bredouille des excuses parce qu'il n'a pas son masque, on voit bien qu'il a des ennuis. "Remontez votre col, Monsieur", dit une petite dame à la voix sèche, "puisque vous n'avez pas de masque." Il explique qu'il ne sait plus où il a garé sa voiture dans ce grand parking. […] Elle le coupe : "En fait, vous ne devriez pas parler, Monsieur, vous allez nous contaminer." Ce monsieur âgé est cependant plus "à risque" qu'elle et moi. Elle est méchante mais elle a bonne conscience : elle fait respecter la règle. »
« Souvenons-nous aussi (et ce souvenir commun devrait saupoudrer d'humour tous les rappels à l'ordre) qu'initialement, le masque était "inutile". »
Et pour finir, ce fait très significatif :
« Je crois qu'au sortir de cette crise sanitaire, nous aurons tous une belle collection d'anecdotes de ce genre à raconter pendant des années. […] Et parmi mes souvenirs les plus marquants, il y aura ceci : dans un coin de vestiaire, près du radiateur, la chaise sur laquelle on a préféré coller soigneusement un scotch rouge pour en interdire l'usage, plutôt que de l'enlever tout bonnement. Ce qui importe n'est pas seulement que vous ne vous asseyiez pas ; c'est que vous voyiez qu'on vous l'interdit. »
C'est Conspiracy News qui l'affirme, reprenant une expression utilisée en introduction d'un article de Décideurs Magazine : Florian Philippot chercherait à flatter « l'électorat complotiste ». Comme si les platistes, les détracteurs des vaccins empoisonnées et ceux de l'obsolescence programmée (par exemple) formaient un « électorat » spécifique et homogène… C'est grotesque, mais pas tellement étonnant, tant la critique du complotisme se trouve instrumentalisée à des fins… politiques, précisément.
« La sortie d'Yseult aux Victoires de la musique […] mérite […] qu'on s'y attarde. Notamment compte tenu de ses états de service : ancienne finaliste de la Nouvelle Star signée chez Universal, fondatrice de son propre label après le four de son premier album, compositrice pour Jenifer et Chimène Badi, première partie d'Angèle et, finalement, lauréate à vingt-six ans d'une première Victoire de la musique. On a vu pire chemin de croix. Si bien que, sans minimiser les difficultés qu'elle a pu rencontrer, il n'est pas interdit de demander d'où parle la camarade Yseult. Ni de souligner que son militantisme dans l'ère du temps, communautaire et fondé sur la sacro-sainte subjectivité, tolère des angles morts assez fâcheux eu égard aux principes de la "déconstruction". »
« Force est de constater qu'il existe une disjonction entre le discours victimaire qui jalonne la carrière d'Yseult d'une part, et son succès au sein de l'industrie musicale d'autre part. Industrie à ce point oppressive et raciste qu'elle a nommé – peut-être pour se donner bonne conscience – trois femmes noires aux Victoires de la musique : Aya Nakamura, Lous and the Yakuza et Yseult. On nous rétorquera que Nakamura et Lous sont les exceptions, qu'Yseult a raison de s'engager en faveur de ceux que le racisme et le sexisme priveraient de carrière. Certes, mais à l'heure où le récit de soi et la mise en scène de sa singularité sont devenus des dimensions incontournables de la communication d'un artiste, c'est bien de sa personne dont parle constamment Yseult. »
« Dès 2015, cette dernière imputait sa défaite en finale du télé-crochet Nouvelle Star à la société, plutôt qu'au talent de son adversaire ou à ses propres défauts : "On n'accepte pas encore les différences des gens. Malheureusement, je suis noire, malheureusement, je suis très forte corporellement", expliquait-elle. Cinq ans plus tard, ces questions identitaires agitaient toujours Yseult. Interrogée dans l'émission de France 5 6 à la maison, elle expliquait : "Je pense que quand on est unique - parce que je n'ai plus envie de dire qu'on est différent -, ça gêne, ça intrigue, ça provoque, ça excite. C'est vrai que si je dois parler en tant que femme noire, en tant que femme grosse, c'est difficile de faire abstraction de tout ça, parce qu'on est noire et on est grosse et on est unique du lundi au lundi." »
« Mais est-ce encore la société qui impose ce regard sur elle-même à Yseult, ou est-ce Yseult qui se présente au monde à travers ce prisme ? […] Le décalage entre le parcours d'Yseult et le discours "woke" qu'elle porte maladroitement se révèle cruellement : alors qu'il n'y a de vérité que celle du "je" aux yeux de certains militants, la jeune femme, bien qu'elle se décrive en "oubliée de la culture", n'a pas vraiment de quoi se plaindre personnellement en terme d'intégration sociale. Ce qui ne l'empêche pas de le faire. »
« Au-delà de ces belles envolées, il y a bien sûr une forme de marketing communautaire, venant d'une artiste pour qui chanter ne suffit plus : comme Beyoncé, il faut devenir une icône. "I'm fucking black, fat, beautiful, and I'm confident, and I'm proud of it, bitch !", lançait-elle ainsi le 5 février dernier dans la "boîte à questions" de Canal +. A Gala, elle déclarait : "Mon objectif, en toute humilité, est de tenter de créer de nouvelles références pour ma communauté. Dans l’art, comme dans tout le milieu culturel d’ailleurs, les noirs sont toujours représentés de la même manière." […] Loin d'envisager qu'elle ait pu bénéficier d'un effet pervers de rattrapage dans l'industrie audiovisuelle et musicale, Yseult brandit sans cesse son CV d'opprimée (et fière de l'être, donc). »
Un papier signé Louis Nadau.
« Force est de constater qu'il existe une disjonction entre le discours victimaire qui jalonne la carrière d'Yseult d'une part, et son succès au sein de l'industrie musicale d'autre part. Industrie à ce point oppressive et raciste qu'elle a nommé – peut-être pour se donner bonne conscience – trois femmes noires aux Victoires de la musique : Aya Nakamura, Lous and the Yakuza et Yseult. On nous rétorquera que Nakamura et Lous sont les exceptions, qu'Yseult a raison de s'engager en faveur de ceux que le racisme et le sexisme priveraient de carrière. Certes, mais à l'heure où le récit de soi et la mise en scène de sa singularité sont devenus des dimensions incontournables de la communication d'un artiste, c'est bien de sa personne dont parle constamment Yseult. »
« Dès 2015, cette dernière imputait sa défaite en finale du télé-crochet Nouvelle Star à la société, plutôt qu'au talent de son adversaire ou à ses propres défauts : "On n'accepte pas encore les différences des gens. Malheureusement, je suis noire, malheureusement, je suis très forte corporellement", expliquait-elle. Cinq ans plus tard, ces questions identitaires agitaient toujours Yseult. Interrogée dans l'émission de France 5 6 à la maison, elle expliquait : "Je pense que quand on est unique - parce que je n'ai plus envie de dire qu'on est différent -, ça gêne, ça intrigue, ça provoque, ça excite. C'est vrai que si je dois parler en tant que femme noire, en tant que femme grosse, c'est difficile de faire abstraction de tout ça, parce qu'on est noire et on est grosse et on est unique du lundi au lundi." »
« Mais est-ce encore la société qui impose ce regard sur elle-même à Yseult, ou est-ce Yseult qui se présente au monde à travers ce prisme ? […] Le décalage entre le parcours d'Yseult et le discours "woke" qu'elle porte maladroitement se révèle cruellement : alors qu'il n'y a de vérité que celle du "je" aux yeux de certains militants, la jeune femme, bien qu'elle se décrive en "oubliée de la culture", n'a pas vraiment de quoi se plaindre personnellement en terme d'intégration sociale. Ce qui ne l'empêche pas de le faire. »
« Au-delà de ces belles envolées, il y a bien sûr une forme de marketing communautaire, venant d'une artiste pour qui chanter ne suffit plus : comme Beyoncé, il faut devenir une icône. "I'm fucking black, fat, beautiful, and I'm confident, and I'm proud of it, bitch !", lançait-elle ainsi le 5 février dernier dans la "boîte à questions" de Canal +. A Gala, elle déclarait : "Mon objectif, en toute humilité, est de tenter de créer de nouvelles références pour ma communauté. Dans l’art, comme dans tout le milieu culturel d’ailleurs, les noirs sont toujours représentés de la même manière." […] Loin d'envisager qu'elle ait pu bénéficier d'un effet pervers de rattrapage dans l'industrie audiovisuelle et musicale, Yseult brandit sans cesse son CV d'opprimée (et fière de l'être, donc). »
Un papier signé Louis Nadau.
« "Les animaux ont bien compris que notre activité s'arrêtait à 18 heures. Ils viennent donc en fin d'après-midi autour des maisons pour fouiller dans les poubelles", déplore un élu. Dimanche dernier, à La Croix-Valmer, près de Saint-Tropez, des enfants qui jouaient dehors ont vu surgir un animal à quelques mètres d'eux au beau milieu du village ! C'était en pleine journée et le sanglier a pris la fuite tranquillement. […] "Cela est devenu fréquent depuis le couvre-feu qui est respecté à la lettre dans les villages", complète le cabinet du maire. À Fréjus, sur le bord de mer, les policiers ont même assisté médusés à la promenade d'un spécimen sur le bord d'une route très fréquentée. Ils ont eu le plus grand mal à l'éloigner. »
« Dans l'arrière-pays, les agriculteurs tirent la sonnette d'alarme. Cultures grignotées, vignes rongées et champs retournés : ils ont alerté la préfecture du Var contre ces "intrus qui n'ont plus de limites de territoire depuis le confinement et le couvre-feu." La commission départementale de la chasse et de la faune sauvage s'est réunie et a validé à l'unanimité le classement du sanglier en espèce nuisible. […] Pour les chasseurs, "les sangliers sont naturellement poussés vers les zones périurbaines car, à la campagne, la présence du loup les fait fuir, analyse Marc Meissel à la tête de la fédération des chasseurs du Var. Résultat : on retrouve une surpopulation de sangliers aux abords des villes et jusque sur les plages. Inquiétant." »
« Dans l'arrière-pays, les agriculteurs tirent la sonnette d'alarme. Cultures grignotées, vignes rongées et champs retournés : ils ont alerté la préfecture du Var contre ces "intrus qui n'ont plus de limites de territoire depuis le confinement et le couvre-feu." La commission départementale de la chasse et de la faune sauvage s'est réunie et a validé à l'unanimité le classement du sanglier en espèce nuisible. […] Pour les chasseurs, "les sangliers sont naturellement poussés vers les zones périurbaines car, à la campagne, la présence du loup les fait fuir, analyse Marc Meissel à la tête de la fédération des chasseurs du Var. Résultat : on retrouve une surpopulation de sangliers aux abords des villes et jusque sur les plages. Inquiétant." »