4242 shaares
« Un couple d'hommes parents d'un enfant né par GPA aux États-Unis s'était vu refuser la prime de naissance par la CAF, ne pouvant présenter de certificat de grossesse. Ils avaient ainsi porté l'affaire devant la Justice du Haut-Rhin en septembre dernier, s'estimant discriminés. Cette dernière n'a cependant pas été sensible aux arguments du couple, qui a été débouté ce 15 novembre par le tribunal de Mulhouse. »
« Le livre, c'est un objet qui n'a pas d'obsolescence programmée », est-il annoncé dans ce lien. Est-ce que c'est vraiment le cas ?
D'abord, les livres s'abîment ; surtout les livres de poche, parfois assimilés pour cette raison à des produits jetables, ce qui renvoie ) une acception large (et très discutable) de l’obsolescence programmée.
Ensuite, selon les sujets qu(ils traitent, ils peuvent bel et bien devenir obsolète, dépassés.
Enfin, dans le cas des livres scolaires, cette obsolescence est carrément planifiée par les pouvoirs publics. N'est-ce pas, précisément, ce que préconisait Benrard London, auquel on attribue couramment (certes à tort) la paternité de de l'obsolescence programmée ?
D'abord, les livres s'abîment ; surtout les livres de poche, parfois assimilés pour cette raison à des produits jetables, ce qui renvoie ) une acception large (et très discutable) de l’obsolescence programmée.
Ensuite, selon les sujets qu(ils traitent, ils peuvent bel et bien devenir obsolète, dépassés.
Enfin, dans le cas des livres scolaires, cette obsolescence est carrément planifiée par les pouvoirs publics. N'est-ce pas, précisément, ce que préconisait Benrard London, auquel on attribue couramment (certes à tort) la paternité de de l'obsolescence programmée ?
« La ville de Bordeaux vient d'interdire la cigarette aux abords des écoles, une "mesure de protection" que le maire écologiste Pierre Hurmic souhaite étendre autour des crèches, collèges et lycées dans un deuxième temps. […] L'arrêté municipal signé mercredi prévoit l'interdiction de la cigarette dans un périmètre de 50 mètres autour de l'entrée des écoles de la ville, de 7 heures à 19 heures. […] Dans un deuxième temps, la municipalité souhaite étendre la mesure aux crêches et aux établissements de petite enfance, puis aux collèges et lycées, en concertation avec le Département et la Région. […] Pour les parents et autres adultes contrevenants, il leur en coûtera théoriquement 11 euros, mais dans un premier temps, le maire "espère éviter les amendes". "C'est une mesure à visée surtout pédagogique", a-t-il ajouté. » Un mesure « pédagogique » ? On ne compte plus les fois o ce terme est galvaudé.
« Pour l'heure, Leroy Merlin et Boulanger utilisent Circular X. Le premier pour le petit outillage, le second teste dans son magasin d'Englos, dans le Nord, une offre de seconde vie autour des lave-linge, robots cuiseurs, consoles de jeux, smartphones... […] Cette nouvelle activité devrait fournir aussi de nouveaux revenus à Recommerce, le modèle économique étant fondé sur une commission sur le montant des transactions réalisées. »
« Il existe, depuis le XXe siècle, certaines méthodes afin de forcer à la surconsommation », affirme Valentine Costantini, le 29 octobre 2021, sur le site Actualitté, manifestement inspirée par la lecture d'un ouvrage intitulé Pour une écologie du 99% – 20 mythes à déboulonner sur le capitalisme.
Parmi ces méthodes, poursuit-elle, il y a « ce que Theurillat-Cloutier décrit comme le "sabotage" des produits, avec une notion connue de beaucoup : celle de l'obsolescence programmée ». Au moins en propose-t-elle une définition sans ambiguïté.
« Cette technique n'a […] rien de nouveau, et existe dans tous les secteurs », affirme-t-elle ensuite.
Cette conviction n'a jamais été étayée, mais cet article en illustre tout l'intérêt : laisser penser que « le problème de la surconsommation ne dépend que très peu des choix des consommateurs eux-mêmes ».
Le message est effectivement très clair : selon Valentine Costantini et, vraisemblablement, selon les auteurs du livre cité, « la culpabilité environnementale doit changer de camp : ce sont les entreprises capitalistes qui prennent les grandes décisions économiques, pas les consommateurs ». Dont acte.
Parmi ces méthodes, poursuit-elle, il y a « ce que Theurillat-Cloutier décrit comme le "sabotage" des produits, avec une notion connue de beaucoup : celle de l'obsolescence programmée ». Au moins en propose-t-elle une définition sans ambiguïté.
« Cette technique n'a […] rien de nouveau, et existe dans tous les secteurs », affirme-t-elle ensuite.
Cette conviction n'a jamais été étayée, mais cet article en illustre tout l'intérêt : laisser penser que « le problème de la surconsommation ne dépend que très peu des choix des consommateurs eux-mêmes ».
Le message est effectivement très clair : selon Valentine Costantini et, vraisemblablement, selon les auteurs du livre cité, « la culpabilité environnementale doit changer de camp : ce sont les entreprises capitalistes qui prennent les grandes décisions économiques, pas les consommateurs ». Dont acte.
« Le président mexicain, Andrés Manuel Lopez Obrador, s'est dit opposé lundi [8 novembre 2021] à une régulation des réseaux sociaux. […] "Je crois qu'il faut faire attention à ce qu'il n'y ait pas de régulation, que l'on fasse confiance au citoyen et que l'on s'auto-contrôle", a déclaré le dirigeant de gauche lors de sa conférence de presse quotidienne, interrogé précisément sur le cas de Facebook. […] "Je suis pour qu'il n'y ait pas de censure, pour que personne ne voie sa liberté d'expression limitée, même que les excès soient acceptés, je préfère cela à la censure", a défendu le chef de l'État qui compte 8,2 millions d'abonnés sur Twitter et 7,7 millions d'amis Facebook. "Une entreprise économique, aussi puissante soit-elle […] ne peut faire taire le président d'un pays, cela ne se peut pas, c'est une atteinte, une attaque contre la liberté", a répété le président mexicain. »
« "Tu ne le portes plus ? Vends-le !", martèle à la télévision le slogan de Vinted, l'une des plus grandes plates-formes en ligne qui permet de revendre des vêtements et des accessoires de mode d'occasion. "Si tu ne le portes plus, garde-le !" préconise, au contraire, provocateur, Patrice Duchemin, sociologue de la consommation. Car, selon lui, le développement du marché de la seconde main entraîne de la surconsommation. C'est ce que montre d'ailleurs un sondage exclusif Kantar-CMI-Marianne réalisé en septembre auprès de cinq cents personnes âgées de vingt-cinq à soixante-cinq ans. »
Mais en France, le malus va faire vraiment très mal, condamnant cette voiture à une diffusion confidentielle.
« Le plaisir authentique de conduire devient de plus en plus rare. Ou il est inabordable. Ceux qui adorent la Mazda MX-5 mais mais manque d'espace et de performances apprécieront le GR 86. Une voiture analogique à l'ère numérique. On l'aime malgré, ou peut-être à cause de son caractère sauvage. Merci, Toyota ! »
« Le plaisir authentique de conduire devient de plus en plus rare. Ou il est inabordable. Ceux qui adorent la Mazda MX-5 mais mais manque d'espace et de performances apprécieront le GR 86. Une voiture analogique à l'ère numérique. On l'aime malgré, ou peut-être à cause de son caractère sauvage. Merci, Toyota ! »
« Elle n'a rien d'un SUV et exalte au contraire la sportivité et l'élégance des berlines traditionnelles, son style n'a recours à aucun effet baroque et alambiqué. […] La Tesla Model 3 ne coche aucune case du cahier des charges que continue à s'imposer la majorité des constructeurs dans une surenchère pathétique. […] Alors que tous les créateurs rivalisent d'effets de manche, que les stylistes inventent des guirlandes lumineuses de plus en plus kitsch, tailladent leurs carrosseries de plis et déstructurent les volumes, la Tesla Model 3 affiche des lignes simples, logiques, fluides. Elle n'a pas besoin de calandre donc on ne lui en colle pas une fausse. Ses surfaces sont lisses comme un galet. Les flancs sont joliment sculptés, juste assez pour capter les nuances et les lumières. Pas une balafre, pas une cassure, pas de pli intempestif, pas de scarification comme sur ces réalisations de ces designers qui dupliquent et répètent en oubliant les subtilités. Le profil de la Tesla est élancé, surbaissé, filant naturellement. Autour des projecteurs, point de strass ni de boules à facettes comme c'est devenu la règle chez les concurrents.[…] Par charité, on ne citera pas la multitude des constructeurs qui ont oublié cette toute simple. On ne voudrait pas se fâcher avec Toyota, BMW, DS, Hyundai, Peugeot et beaucoup d'autres. »
« Précurseur avec sa Corolla H2, Toyota s'est associée à d'autres constructeurs pour développer une offre de moteurs à combustion hydrogène. Lancée le 13 novembre dernier, cette nouvelle coalition associe Toyota à quatre autres poids lourds de l'industrie japonaise : Mazda, Subaru, Kawazaki et Yamaha. […] Kawasaki et Yamaha comptent notamment travailler sur le développement de moteurs à hydrogène à destination des motos. "Le carbone est l'ennemi, pas les moteurs à combustion interne. Nous avons besoin de solutions diversifiées, c'est la voie à suivre pour atteindre la neutralité carbone" a récemment déclaré Akio Toyoda, P-DG de Toyota. »
« Dans un tweet, Jim Banks a mégenré Rachel Levine, secrétaire adjointe à la santé de l'administration Biden depuis le mois de mars. […] En début de semaine dernière, Rachel Levine a été nommée au titre "d'amiral" du service de santé publique des États-Unis, dont les membres portent des uniformes sans être militaires. Il s'agit de la plus haute fonction jamais atteinte par une personne transgenre dans l'administration américaine. »
« L'étoile montante de la frange la plus conservatrice du Parti républicain, le député de l'Indiana Jim Banks a réagi à cette nomination en tweetant : "Le titre de première femme officier quatre étoiles est pris par un homme", ce qui a entraîné la suspension de son compte Twitter, qui a depuis été rétabli. »
« Un porte-parole du réseau social a expliqué à USA Today que le compte du député était suspendu "jusqu'à ce qu'il supprime le tweet concerné", qui aurait enfreint les conditions d'utilisations de la plateforme. Ces règles proscrivent "de cibler autrui avec des insultes répétées ou d'autres contenus qui ont l'intention de déshumaniser, de dégrader ou de renforcer les stéréotypes négatifs ou préjudiciables à propos d'une catégorie protégée", ce qui inclut le fait de désigner une personne par un genre qui ne lui correspond pas. »
« "Mon tweet était une déclaration de fait. Les grandes plateformes du numérique n'ont pas à être d'accord avec moi, mais elles ne devraient pas pouvoir me censurer", a réagi Jim Banks, au média IndyStar. De son côté, Rachel Levine s'est félicitée de la suspension de ce compte Twitter, en espérant que ce soit "le premier d'une longue liste pour créer un futur plus divers et plus inclusif". »
« L'étoile montante de la frange la plus conservatrice du Parti républicain, le député de l'Indiana Jim Banks a réagi à cette nomination en tweetant : "Le titre de première femme officier quatre étoiles est pris par un homme", ce qui a entraîné la suspension de son compte Twitter, qui a depuis été rétabli. »
« Un porte-parole du réseau social a expliqué à USA Today que le compte du député était suspendu "jusqu'à ce qu'il supprime le tweet concerné", qui aurait enfreint les conditions d'utilisations de la plateforme. Ces règles proscrivent "de cibler autrui avec des insultes répétées ou d'autres contenus qui ont l'intention de déshumaniser, de dégrader ou de renforcer les stéréotypes négatifs ou préjudiciables à propos d'une catégorie protégée", ce qui inclut le fait de désigner une personne par un genre qui ne lui correspond pas. »
« "Mon tweet était une déclaration de fait. Les grandes plateformes du numérique n'ont pas à être d'accord avec moi, mais elles ne devraient pas pouvoir me censurer", a réagi Jim Banks, au média IndyStar. De son côté, Rachel Levine s'est félicitée de la suspension de ce compte Twitter, en espérant que ce soit "le premier d'une longue liste pour créer un futur plus divers et plus inclusif". »
« Vos appareils électroniques sont-ils obsolètes de plus en plus rapidement ? » La question est intéressante, mais, en dépit de son titre, cet article, publié sur le site The Conversation le 20 octobre 2021, n'y répond absolument pas.
Évoquant l'« obsolescence programmée », Delphine Billouard-Fuentes affirme que celle-ci « peut revêtir de multiples facettes ». À ce titre, ce qui est assez original et aussi très pertinent selon nous, elle mentionne « l'obsolescence écologique, qui a vu le jour ces dernières années » : « certaines entreprises incitent les consommateurs à changer un produit en état de fonctionnement par un nouveau produit qui serait plus économe en énergie ». Certaines entreprises, et surtout les pouvoirs publics, avec les restrictions de circulation imposées à de plus en plus d'automobiles !
« Officiellement », explique-t-elle, « l'obsolescence programmée est apparue suite à la crise économique de 1929 : Bernard London, un courtier new-yorkais, propose, alors de déterminer une durée de vie pour les produits afin d'en faciliter le renouvellement ». « Officiellement » ? On ignorait qu'une autorité était chargée d'établir cette histoire ! Toutefois, nuance-t-elle, « il ne s'agit pas précisément d'obsolescence programmée, mais plutôt d'"obsolescence planifiée" ». Effectivement.
« Bien que cette proposition n'ait pas été mise en œuvre », poursuit-elle, « elle a contribué à l'acceptation de l'obsolescence programmée, démontrant ses atouts économiques et sociaux ». Sur quoi s'appuie-t-elle pour l'affirmer ? Il semblerait, au contraire, que ce livre n'ait reçu aucun écho à l'époque de sa publication. Par ailleurs, en 1850, Frédéric Bastiat rétorquait déjà aux sophistes que « destruction n'est pas profit », signe que London avait très certainement de nombreux prédécesseurs.
Selon Delphine Billouard-Fuentes, « le premier exemple d'obsolescence programmée » remonterait à 1924, quand « les principaux fabricants d'ampoules mondiaux se sont réunis secrètement, créant le premier cartel mondial ». Si l'existence de ce cartel est bien documentée, il semblerait que la mise en œuvre d'une politique d'obsolescence programmée, sous son égide, n'ait, en revanche, jamais été prouvée. Par ailleurs, le fait qu'« une ampoule fonctionne depuis 1901 dans la caserne de pompiers de Livermore en Californie » est, une fois de plus, mal interprété. Aussi rappellerons-nous à nouveau que cette ampoule n'émet qu'une faible lueur au prix d'une consommation électrique très importante. Et que pour cette raison, il n'y aurait aucun intérêt à continuer à fabriquer des pdouits de ce type.
« Depuis cette époque », déplore encore l'auteur de cet article, « l'obsolescence programmée est omniprésente dans le monde économique ». Delphine Billouard-Fuente se montre toutefois incapable d'étayer sa conviction. Certes, souligne-t-elle, « la législation française considère l'obsolescence programmée comme un délit » ; « mais la preuve de ce délit est presque impossible à établir ». On aimerait bien savoir pourquoi ! Régulièrement, des cartels sont démantelés, des lanceurs d'alerte prennent la parole, des scandales éclatent… Pourquoi l'omerta régnerait-elle si particulièrement sur l'obsolescence programmée… dont Delphine Billouard-Fuentes nous assure pourtant qu'elle est « ominpéresente » ?
Évoquant l'« obsolescence programmée », Delphine Billouard-Fuentes affirme que celle-ci « peut revêtir de multiples facettes ». À ce titre, ce qui est assez original et aussi très pertinent selon nous, elle mentionne « l'obsolescence écologique, qui a vu le jour ces dernières années » : « certaines entreprises incitent les consommateurs à changer un produit en état de fonctionnement par un nouveau produit qui serait plus économe en énergie ». Certaines entreprises, et surtout les pouvoirs publics, avec les restrictions de circulation imposées à de plus en plus d'automobiles !
« Officiellement », explique-t-elle, « l'obsolescence programmée est apparue suite à la crise économique de 1929 : Bernard London, un courtier new-yorkais, propose, alors de déterminer une durée de vie pour les produits afin d'en faciliter le renouvellement ». « Officiellement » ? On ignorait qu'une autorité était chargée d'établir cette histoire ! Toutefois, nuance-t-elle, « il ne s'agit pas précisément d'obsolescence programmée, mais plutôt d'"obsolescence planifiée" ». Effectivement.
« Bien que cette proposition n'ait pas été mise en œuvre », poursuit-elle, « elle a contribué à l'acceptation de l'obsolescence programmée, démontrant ses atouts économiques et sociaux ». Sur quoi s'appuie-t-elle pour l'affirmer ? Il semblerait, au contraire, que ce livre n'ait reçu aucun écho à l'époque de sa publication. Par ailleurs, en 1850, Frédéric Bastiat rétorquait déjà aux sophistes que « destruction n'est pas profit », signe que London avait très certainement de nombreux prédécesseurs.
Selon Delphine Billouard-Fuentes, « le premier exemple d'obsolescence programmée » remonterait à 1924, quand « les principaux fabricants d'ampoules mondiaux se sont réunis secrètement, créant le premier cartel mondial ». Si l'existence de ce cartel est bien documentée, il semblerait que la mise en œuvre d'une politique d'obsolescence programmée, sous son égide, n'ait, en revanche, jamais été prouvée. Par ailleurs, le fait qu'« une ampoule fonctionne depuis 1901 dans la caserne de pompiers de Livermore en Californie » est, une fois de plus, mal interprété. Aussi rappellerons-nous à nouveau que cette ampoule n'émet qu'une faible lueur au prix d'une consommation électrique très importante. Et que pour cette raison, il n'y aurait aucun intérêt à continuer à fabriquer des pdouits de ce type.
« Depuis cette époque », déplore encore l'auteur de cet article, « l'obsolescence programmée est omniprésente dans le monde économique ». Delphine Billouard-Fuente se montre toutefois incapable d'étayer sa conviction. Certes, souligne-t-elle, « la législation française considère l'obsolescence programmée comme un délit » ; « mais la preuve de ce délit est presque impossible à établir ». On aimerait bien savoir pourquoi ! Régulièrement, des cartels sont démantelés, des lanceurs d'alerte prennent la parole, des scandales éclatent… Pourquoi l'omerta régnerait-elle si particulièrement sur l'obsolescence programmée… dont Delphine Billouard-Fuentes nous assure pourtant qu'elle est « ominpéresente » ?
« Certains parents d'élèves ne l'ont pas vu d'un bon œil : une école d'Édimbourg a demandé à ses élèves, garçons et filles, de venir en jupe "pour promouvoir l'égalité". L'affaire a été révélée par le Daily Mail, qui a notamment cité des réactions de parents d'élèves choqués. […] 'école s'est quant à elle défendue en affirmant vouloir être une "école inclusive" et "promouvoir l'égalité". "Nous tenons à dire que les vêtements n'ont pas de genre et que nous devrions tous être libres de nous exprimer comme nous l'entendons", ont quant à eux écrit les professeurs aux parents d'élèves. De son côté, le conseil municipal d'Édimbourg a déclaré que les élèves qui ne voulaient pas se soumettre à cette injonction étaient libres de l'ignorer. »
Jacques Bainville ? « C'est un véritable intellectuel de son temps. À sa mort en 1936, un an après son élection à l'Académie française, rares sont les bibliothèques où il ne figure pas. » Cela commence sans malveillance. « Mais quel rapport avec des "prophéties" ? Elles ne viennent finalement que d'une seule œuvre, Les Conséquences politiques de la paix, parue en 1920. » Cette fois, le ton est donné ! « Ce livre lui donne un crédit incroyable encore jusqu'à maintenant. Finalement, ce crédit rejaillit sur toute son œuvre. » Ce que regrettent manifestement Louis Garrande et Frédéric Potier, les collaborateurs de la Fondation Jean Jaurès.
En effet, de leur point de vue : « Le reste de l'œuvre de Jacques Bainville – pour ce qui relève de ses ouvrages sur l'histoire de France, qui sont les plus vendus encore aujourd'hui – est à prendre avec des pincettes. Déjà en 1929, concernant son Histoire de France, Jean-Rémy Palanque écrivait que "les idées historiques de M. Bainville sont des idées politiques." Mais la chose politique travestie en histoire est dangereuse, car seul l'œil de l'initié peut la démasquer. » Incontestablement, Bainville mettait les faits en perspective, et son regard sur l'histoire est indissociable de ses convictions politiques. Implicitement, cependant les auteurs semblent considérer qu'ils existe, à l'opposé, des historiens qui aborderaient leur matière avec une objectivité absolue, comme des mathématiciens maniant des chiffres… Naïveté, mauvaise foi ?
« Bainville n'a pas la réputation d'un personnage particulièrement sulfureux. […] L'école de la droite contemporaine met en avant la singularité de l'intellectuel au sein de l'Action française et le fait qu'il n'était pas antisémite. On peut noter que cette réception contemporaine de Jacques Bainville est passée par quelques filtres. Tout d'abord, la défense de Jacques Bainville quant à son antisémitisme est précaire : rien ne permet de dire qu'il ne l'était pas. » Lire une chose pareille, sur le site d'une institution qui s'honore de lutter contre le conspirationnisme, c'est ahurissant ! Inversion de la charge de la preuve. Procédé typiquement complotiste. Comme s'il était possible de démontrer qu'un individu n'a jamais pensé ceci ou cela….
La preuve de son antisémitisme, susceptible de le rendre infréquentable, on prétend malgré tout nous l'apporter juste après, à la faveur d'un numéro d'équilibriste dont la répétition suffirait à discréditer nombre de personnalités : « En revanche, certains de ses mots nous permettent de penser qu'il pouvait l'être. Dans Le Vieil Utopiste, paru en 1927, Jacques Bainville écrit à propos de l'écrivain allemand Heinrich Heine que son style est teinté par "la grande impureté de son sang, c'est la névrose juive qui fait de Henri Heine un poète malsain, un poète à déconseiller et à éviter". Dans l'absolu de l'antisémitisme (on l'est ou on ne l'est pas), ça n'a pas de sens de dire que Bainville était moins antisémite que Maurras, même si l'on peut dire qu'ils ne l'exprimaient pas avec la même virulence. Certes, ce n'est pas une dominante de son œuvre comme dans celle de Maurras, mais présenter Jacques Bainville comme un non-antisémite avéré est, sauf preuve du contraire, un mensonge. »
La suite cherche à mettre en cohérence des constats épars. Ce qui reflète surtout les préoccupatiosn des auteurs, avec l'importance qu'ils accordent aux propos de Zemmour sur Pétain, et leur volonté d'y déceler une sorte de sens caché. De quoi faire écho, à nouveau, aux mentalités complotistes ? « Il est intéressant de relever un lien entre les thèses politiques défendues par Jacques Bainville et celles défendues par Éric Zemmour. Le royaliste souhaite un retour à la royauté car l'Action française juge que la bonne tenue de la France est liée à un pouvoir fort, continu […], central, incarné par la personne du roi. […] Zemmour partage cette vision des choses. […] Aussi, lorsqu'il défend la mémoire de Pétain, d'une façon ou d'une autre, il défend la figure qui, pour les royalistes de la collaboration, est celle d'un Pétain presque royal. »
Enfin, le dernier point abordé traduit une incompréhension de ce que sont la démocratie et la monarchie aux yeux de l'AF (à tort ou à raison, là n'est pas la question) : « L'Action française sait pertinemment qu'au XXe siècle, un retour à la monarchie d'Ancien Régime serait difficile à instaurer. En revanche, un régime présidentiel autoritaire, non élu et sans contre-pouvoirs serait une forme de monarchie contemporaine. D'un point de vue philosophique et politique, Zemmour partage cette vision puisqu'il refuse la recherche du consensus démocratique et qu'il veut gouverner uniquement pour sa majorité. » Par définition, la démocratie n'est-elle pas censée conférer le pouvoir à la majorité ? De plus, pour ses détracteurs, du moins prou ses détracteurs d'AF, il existe un bien commun qui transcende les intérêts particuliers, et qui ne saurait être identifié à la faveur d'un vote majoritaire ; c'est parce que la monarchie est censée mieux le servir qu'elle est plébiscitée.
Terminons avec la conclusion, sans commentaire, simplement pour mémoire : « Finalement, force est de constater que Zemmour fait référence à Bainville comme à un modèle à suivre. Néanmoins, il semble pertinent de se poser la question : quel modèle ? Celui d'un journaliste mort il y a quatre-vingts ans, historien douteux, antisémite discret. La réception contemporaine de Bainville tend à aseptiser sa mémoire sulfureuse pour n'en garder que cet adage : en 1919, Bainville avait raison. Il a tout prévu, rien n'a été fait (pas même par l'Action française), la guerre a eu lieu et on oublie la collaboration enthousiasmée de Charles Maurras. Zemmour, en s'identifiant à Bainville, fait deux choses : il s'arroge le crédit de celui qui a prédit dans une seule de ses œuvres la Seconde Guerre mondiale, mettant tout le reste de son œuvre sur le même plan ; ensuite, il se présente comme un prophète du déclin de la France, comparant ce déclin supposé au drame humain, réel, dramatique, qu'a été la Seconde Guerre mondiale. »
En effet, de leur point de vue : « Le reste de l'œuvre de Jacques Bainville – pour ce qui relève de ses ouvrages sur l'histoire de France, qui sont les plus vendus encore aujourd'hui – est à prendre avec des pincettes. Déjà en 1929, concernant son Histoire de France, Jean-Rémy Palanque écrivait que "les idées historiques de M. Bainville sont des idées politiques." Mais la chose politique travestie en histoire est dangereuse, car seul l'œil de l'initié peut la démasquer. » Incontestablement, Bainville mettait les faits en perspective, et son regard sur l'histoire est indissociable de ses convictions politiques. Implicitement, cependant les auteurs semblent considérer qu'ils existe, à l'opposé, des historiens qui aborderaient leur matière avec une objectivité absolue, comme des mathématiciens maniant des chiffres… Naïveté, mauvaise foi ?
« Bainville n'a pas la réputation d'un personnage particulièrement sulfureux. […] L'école de la droite contemporaine met en avant la singularité de l'intellectuel au sein de l'Action française et le fait qu'il n'était pas antisémite. On peut noter que cette réception contemporaine de Jacques Bainville est passée par quelques filtres. Tout d'abord, la défense de Jacques Bainville quant à son antisémitisme est précaire : rien ne permet de dire qu'il ne l'était pas. » Lire une chose pareille, sur le site d'une institution qui s'honore de lutter contre le conspirationnisme, c'est ahurissant ! Inversion de la charge de la preuve. Procédé typiquement complotiste. Comme s'il était possible de démontrer qu'un individu n'a jamais pensé ceci ou cela….
La preuve de son antisémitisme, susceptible de le rendre infréquentable, on prétend malgré tout nous l'apporter juste après, à la faveur d'un numéro d'équilibriste dont la répétition suffirait à discréditer nombre de personnalités : « En revanche, certains de ses mots nous permettent de penser qu'il pouvait l'être. Dans Le Vieil Utopiste, paru en 1927, Jacques Bainville écrit à propos de l'écrivain allemand Heinrich Heine que son style est teinté par "la grande impureté de son sang, c'est la névrose juive qui fait de Henri Heine un poète malsain, un poète à déconseiller et à éviter". Dans l'absolu de l'antisémitisme (on l'est ou on ne l'est pas), ça n'a pas de sens de dire que Bainville était moins antisémite que Maurras, même si l'on peut dire qu'ils ne l'exprimaient pas avec la même virulence. Certes, ce n'est pas une dominante de son œuvre comme dans celle de Maurras, mais présenter Jacques Bainville comme un non-antisémite avéré est, sauf preuve du contraire, un mensonge. »
La suite cherche à mettre en cohérence des constats épars. Ce qui reflète surtout les préoccupatiosn des auteurs, avec l'importance qu'ils accordent aux propos de Zemmour sur Pétain, et leur volonté d'y déceler une sorte de sens caché. De quoi faire écho, à nouveau, aux mentalités complotistes ? « Il est intéressant de relever un lien entre les thèses politiques défendues par Jacques Bainville et celles défendues par Éric Zemmour. Le royaliste souhaite un retour à la royauté car l'Action française juge que la bonne tenue de la France est liée à un pouvoir fort, continu […], central, incarné par la personne du roi. […] Zemmour partage cette vision des choses. […] Aussi, lorsqu'il défend la mémoire de Pétain, d'une façon ou d'une autre, il défend la figure qui, pour les royalistes de la collaboration, est celle d'un Pétain presque royal. »
Enfin, le dernier point abordé traduit une incompréhension de ce que sont la démocratie et la monarchie aux yeux de l'AF (à tort ou à raison, là n'est pas la question) : « L'Action française sait pertinemment qu'au XXe siècle, un retour à la monarchie d'Ancien Régime serait difficile à instaurer. En revanche, un régime présidentiel autoritaire, non élu et sans contre-pouvoirs serait une forme de monarchie contemporaine. D'un point de vue philosophique et politique, Zemmour partage cette vision puisqu'il refuse la recherche du consensus démocratique et qu'il veut gouverner uniquement pour sa majorité. » Par définition, la démocratie n'est-elle pas censée conférer le pouvoir à la majorité ? De plus, pour ses détracteurs, du moins prou ses détracteurs d'AF, il existe un bien commun qui transcende les intérêts particuliers, et qui ne saurait être identifié à la faveur d'un vote majoritaire ; c'est parce que la monarchie est censée mieux le servir qu'elle est plébiscitée.
Terminons avec la conclusion, sans commentaire, simplement pour mémoire : « Finalement, force est de constater que Zemmour fait référence à Bainville comme à un modèle à suivre. Néanmoins, il semble pertinent de se poser la question : quel modèle ? Celui d'un journaliste mort il y a quatre-vingts ans, historien douteux, antisémite discret. La réception contemporaine de Bainville tend à aseptiser sa mémoire sulfureuse pour n'en garder que cet adage : en 1919, Bainville avait raison. Il a tout prévu, rien n'a été fait (pas même par l'Action française), la guerre a eu lieu et on oublie la collaboration enthousiasmée de Charles Maurras. Zemmour, en s'identifiant à Bainville, fait deux choses : il s'arroge le crédit de celui qui a prédit dans une seule de ses œuvres la Seconde Guerre mondiale, mettant tout le reste de son œuvre sur le même plan ; ensuite, il se présente comme un prophète du déclin de la France, comparant ce déclin supposé au drame humain, réel, dramatique, qu'a été la Seconde Guerre mondiale. »
« "Nos démocraties sont soumises à des vents mauvais, à une forme de négation de l'histoire et de ses heures les plus sombres, presque pour effacer notre responsabilité", a-t-elle déploré après une visite du mémorial d'Oradour, où 643 personnes furent massacrées le 10 juin 1944 par la division allemande SS Das Reich. "Si nous ne sommes pas vigilants, si on laisse l'histoire faire son travail d'oubli, d'amnésie, alors tout est possible", a-t-elle alerté face à la presse, estimant que "soit par lâcheté, soit par manque de courage", "tout peut se reproduire". […] "Quand un candidat se permet de dire que le maréchal Pétain et le général de Gaulle c'est la même chose: oui, il y a un vrai risque", a-t-elle abondé plus tard lors d'une conférence de presse, visant directement le candidat putatif d'extrême droite Éric Zemmour. »
Reste que dénoncer des « vents mauvais », a fortiori en pareille circonstance, cela fait forcément écho au discours prononcé en 1941 par le maréchal Pétain : « De plusieurs régions de France, je sens se lever depuis quelques semaines, un vent mauvais. » Anne Hidalgo et son équipe n'étant pas suspects, à nos yeux, d'avoir voulu commettre une provocation, la conclusion s'impose : ce discours de Pétain, pourtant très connu, ils ne l'ont vraisemblablement jamais lu, ni entendu. Et sans doute ne sont-ils pas les seuls à méconnaître l'historie qu'ils instrumentalisent à des fins politiciennes. Si tel n'était pas le cas, à vrai dire, on n'attaquerait pas si volontiers Zemmour sur ce point !
Reste que dénoncer des « vents mauvais », a fortiori en pareille circonstance, cela fait forcément écho au discours prononcé en 1941 par le maréchal Pétain : « De plusieurs régions de France, je sens se lever depuis quelques semaines, un vent mauvais. » Anne Hidalgo et son équipe n'étant pas suspects, à nos yeux, d'avoir voulu commettre une provocation, la conclusion s'impose : ce discours de Pétain, pourtant très connu, ils ne l'ont vraisemblablement jamais lu, ni entendu. Et sans doute ne sont-ils pas les seuls à méconnaître l'historie qu'ils instrumentalisent à des fins politiciennes. Si tel n'était pas le cas, à vrai dire, on n'attaquerait pas si volontiers Zemmour sur ce point !
Citation extraite de "Par amour, par pitié", chanson interprétée en 1966 par Sylvie Vartan, avec les paroles de Gilles Thibaut sur une musique de Jean Renard.
« Avec une capacité de résistance à la chaleur pouvant atteindre les 1000 degrés Celsius et une durée dans le temps estimée à plusieurs milliards d'années, ce petit système pourrait servir d'archive pour la survie des créations humaines dans le futur. Certains professionnels pourraient également voir d'un très bon œil ce type de technologie. Pour faire des images miroir de leurs données, figées dans le temps, mais extrêmement robustes. »
Selon Thomas Sowell, « la question la plus fondamentale n'est pas de savoir ce qui est le mieux, mais qui doit décider de ce qui est le mieux ». Et pour y répondre, peut-être faut-il mentionner cette conviction exprimée par Milton Friedman : « Personne ne dépense l'argent d'autrui aussi soigneusement qu'il dépense le sien. Personne n'utilise les ressources de quelqu'un d'autre aussi soigneusement qu'il utilise les siennes. Donc, si vous voulez de l'efficience et de l'efficacité, si vous voulez que les connaissances soient correctement utilisées, vous devez le faire par le biais de la propriété privée. »
« C'est […] une spécificité de la Renault : contrairement à la Volkswagen, à la Kia EV6 ou à la Hyundai Ioniq 5 notamment, elle a choisi d'avoir le moteur à l'avant, et donc d'être une traction. L'explication principale ? Cette position permet d'atteindre l'objectif n° 1 de Renault : que la Mégane soit la voiture la plus légère de sa catégorie. Ce choix permettrait en effet de réduire la quantité de câblage et autres éléments qui traverseraient la plateforme de part en part si le moteur était à l'arrière. À cela s'ajoute une plateforme renforcée qui permet d'alléger le reste du châssis, des panneaux de carrosserie en alu et en composite, et un moteur électrique lui-même plus léger que celui de la Zoé. Et le résultat est là : avec un poids annoncé de 1 624 kg (pour la version à petite batterie vraisemblablement), la Mégane est près de 400 kg plus légère que les Kia et Hyundai. Celles-ci sont certes bien plus imposantes, mais même la Volkswagen ID.3, dont les dimensions sont très proches de celles de la française, s'incline pour 200 kg. Bref, la mission est accomplie, la Mégane E-Tech Electric affichant presque un poids de voiture essence. »
« Sur la route, cette relative légèreté offre un sentiment de "normalité" inhabituel dans une électrique, au point que nous avions souvent l'impression de conduire une voiture essence. Le confort général aussi est très "normal" selon les standards Renault. Comprenez"d'excellent niveau" ! Et cela change de la plupart des compactes électriques, qui cherchent à stabiliser leur imposante masse en virage au moyen de suspensions plutôt dures, voire exagérément dures. »
« Mais toute médaille a son revers. […] Le fait d'avoir à l'avant un moteur électrique qui donne tout son couple tout de suite a mis en évidence de sérieux soucis de motricité. La malchance (pour Renault) a en effet voulu que nous découvrions la voiture sous la pluie, donc sur route glissante. Et même si votre serviteur n'est certes pas le plus patient des conducteurs, avoir une auto qui, au démarrage, cherche son adhérence pendant quelques secondes, cela fait bizarre. Après quoi, l'antipatinage intervient enfin, mais sans grande finesse, ce qui produit de désagréables à-coups. Plus loin, au moment de négocier un rond-point, ce sont les difficultés du train avant lors des changements d'appuis qui se sont manifestés, ce qui a braqué les projecteurs sur un ESP qui, lui aussi, avait grandement besoin d'un meilleur calibrage. Mais les ingénieurs sont heureusement conscients de ces problèmes, et nous assurent y avoir remédié sur leurs derniers véhicules de développement, en travaillant justement sur l'antipatinage et l'ESP. »
À noter, par ailleurs :
« Renault n'offre pas la possibilité de recharge ultra-rapide 800 volts proposée sur les nouvelles Hyundai Ioniq 5 et Kia EV6. Mais la marque française assure qu'au final et vu l'état du réseau de charge actuel, le résultat sur long parcours sera équivalent, notamment grâce au système de refroidissement des batteries, qui serait très performant sur Mégane et permettrait donc de charger rapidement "à chaud", un point trop souvent négligé. »
« Sur la route, cette relative légèreté offre un sentiment de "normalité" inhabituel dans une électrique, au point que nous avions souvent l'impression de conduire une voiture essence. Le confort général aussi est très "normal" selon les standards Renault. Comprenez"d'excellent niveau" ! Et cela change de la plupart des compactes électriques, qui cherchent à stabiliser leur imposante masse en virage au moyen de suspensions plutôt dures, voire exagérément dures. »
« Mais toute médaille a son revers. […] Le fait d'avoir à l'avant un moteur électrique qui donne tout son couple tout de suite a mis en évidence de sérieux soucis de motricité. La malchance (pour Renault) a en effet voulu que nous découvrions la voiture sous la pluie, donc sur route glissante. Et même si votre serviteur n'est certes pas le plus patient des conducteurs, avoir une auto qui, au démarrage, cherche son adhérence pendant quelques secondes, cela fait bizarre. Après quoi, l'antipatinage intervient enfin, mais sans grande finesse, ce qui produit de désagréables à-coups. Plus loin, au moment de négocier un rond-point, ce sont les difficultés du train avant lors des changements d'appuis qui se sont manifestés, ce qui a braqué les projecteurs sur un ESP qui, lui aussi, avait grandement besoin d'un meilleur calibrage. Mais les ingénieurs sont heureusement conscients de ces problèmes, et nous assurent y avoir remédié sur leurs derniers véhicules de développement, en travaillant justement sur l'antipatinage et l'ESP. »
À noter, par ailleurs :
« Renault n'offre pas la possibilité de recharge ultra-rapide 800 volts proposée sur les nouvelles Hyundai Ioniq 5 et Kia EV6. Mais la marque française assure qu'au final et vu l'état du réseau de charge actuel, le résultat sur long parcours sera équivalent, notamment grâce au système de refroidissement des batteries, qui serait très performant sur Mégane et permettrait donc de charger rapidement "à chaud", un point trop souvent négligé. »
« La première version, de 1978, avait été réalisée dans de mauvaises conditions et cela avait entraîné une série d'incompréhensions et de contresens dans le texte. […] Le premier traducteur avait assimilé les "Firstborn" à des humains, alors que le terme désigne des elfes, appelés "Premiers-nés". Ainsi le sens de chapitres entiers pouvait nous échapper à cause de cette inexactitude. Une autre erreur grossière, le "tree" de "Treebeard", avait été traduit par "trois", ce qui a donné "Trois-barbe", au lieu de "Sylvebarbe" ou "Barbebois". La multiplication de ces fautes gênait énormément la lecture. »
« Le Silmarillion représente le monde que l'on aperçoit toujours à l'arrière-plan des histoires du Hobbit et du Seigneur des anneaux, par exemple lorsqu'Elrond raconte la bataille de la Dernière Alliance, ou quand le lecteur perçoit que Galadriel est vraiment très âgée – mais ne sait pas à quel point elle l'est ! Les écrits de Tolkien sont uniques au sens où les aperçus du passé de son monde imaginaire ne sont pas un trompe-l'œil. La plongée dans le Silmarillion représente une manière d'accéder enfin à l'arrière-plan, au décor, d'aller visiter ces montagnes que l'on aperçoit derrière les aventures du Seigneur des anneaux. »
« Le Silmarillion offre une clef de compréhension pour toutes les allusions faites dans les autres œuvres. On prend alors conscience de la profondeur historique du monde créé par J.R.R. Tolkien… Or ce qui frappe, c'est la cohérence de ce monde. Les paysages sont associés à des peuples possédant une histoire et une langue propre. »
« Le Silmarillion représente le monde que l'on aperçoit toujours à l'arrière-plan des histoires du Hobbit et du Seigneur des anneaux, par exemple lorsqu'Elrond raconte la bataille de la Dernière Alliance, ou quand le lecteur perçoit que Galadriel est vraiment très âgée – mais ne sait pas à quel point elle l'est ! Les écrits de Tolkien sont uniques au sens où les aperçus du passé de son monde imaginaire ne sont pas un trompe-l'œil. La plongée dans le Silmarillion représente une manière d'accéder enfin à l'arrière-plan, au décor, d'aller visiter ces montagnes que l'on aperçoit derrière les aventures du Seigneur des anneaux. »
« Le Silmarillion offre une clef de compréhension pour toutes les allusions faites dans les autres œuvres. On prend alors conscience de la profondeur historique du monde créé par J.R.R. Tolkien… Or ce qui frappe, c'est la cohérence de ce monde. Les paysages sont associés à des peuples possédant une histoire et une langue propre. »