4243 shaares
« Nous avons été alertés […] par un phénomène nouveau, déferlant dans les sociétés occidentales, aux conséquences irréversibles, et qui touche une population jusqu'ici très peu concernée par la question. Nous nous fondons sur des données scientifiques récentes ou connues de longue date, sur nos connaissances des troubles de l'identité liés à l'enfance et à l'adolescence, sur la contagion sociale liée à la propension très humaine à copier ce que nous pensons enviable chez le voisin (symptôme fréquent d'une manière collective et encore davantage chez les adolescents : ainsi, les réseaux sociaux sont le pire des vecteurs pour cette catégorie de sujets). »
« Notre inquiétude est étayée par des études scientifiques, relayée dans le monde entier par de nombreuses associations et des chercheurs reconnus, et certains points s'avèrent indiscutables : depuis dix ans, l'augmentation des consultations pour dysphorie de genre est de 2000 à 4000 % ; les hommes adultes étaient largement majoritaires, maintenant il s'agit à 80 % de jeunes femmes, le plus souvent mineures, qui souhaitent changer de sexe ; beaucoup des effets des traitements hormonaux et chirurgicaux sont irréversibles : couplés aux bloqueurs de puberté, ils entraînent systématiquement la stérilité ; il existe des inquiétudes fortes sur l'impact de ces traitements sur le développement neurologique, les effets associés sur le plan psycho-affectif ainsi que sur la santé globale sur le long terme car ces traitements doivent être pris à vie ; la réduction du risque de suicide et l'amélioration de la qualité de vie, soi-disant apportée par ces traitements, ne sont pas avérées ; les thérapies qui prennent leur temps (wait and see) permettent à une très large majorité (75 % à 90 %) des enfants et adolescents de se réconcilier avec leur sexe biologique à la sortie de l'adolescence (belle découverte que celle-ci, à croire que l'adolescence est une période à risque psychique, qui l'eut cru ?) ; les thérapies dites affirmatives, qui promeuvent une immédiate transition sociale (changement de prénom), sont suivies par un traitement par bloqueurs de puberté, puis hormones croisées dans l'immense majorité des cas (près de 90 %). »
« Notre démarche, consistant uniquement à promouvoir un accompagnement psychologique prudent, ne peut pas faire autant de mal que celui qui prône l'utilisation d'hormones chez les mineurs, promettant à des jeunes filles de seize ans une vie entière à se raser la barbe et à être prise pour un homme chaque fois qu'elles parlent (à cause de la voix devenue grave), quand bien même elles auraient changé d'avis à dix-huit ans. C'est le cas d'un nombre croissant de "détransitionneurs", jeunes gens découvrant qu'ils sont toujours aussi malheureux, qu'ils ont été soignés de leur mal-être en dépit du bon sens (bon nombre se découvrent simplement homosexuels), qu'ils étaient atteints de troubles psychiatriques bien plus lourds que ce symptôme si intéressant (autisme, psychose, traumatismes, etc.). »
« Nous pourrions nous satisfaire de la certitude d'avoir alerté avant le scandale sanitaire qui ne manquera pas d'advenir, quand tous les autres s'extasiaient, fascinés par ces portraits de jeunes androgynes. Si nous persistons à avertir le public de ces dérives malgré les procès d'intention qui nous sont faits, c'est parce que nous sommes quotidiennement contactés par des parents catastrophés, que nous rencontrons des jeunes gens qui ne peuvent que ressasser les messages appris par cœur sur les réseaux sociaux, sans accéder à la singularité de leur vie psychique, que nous découvrons de jeunes adultes effrayés par ce qu'ils ont fait à leur corps… Aujourd'hui nous souhaitons simplement que des jeunes ne se préparent pas à mutiler leur corps dès l'adolescence. »
« Notre inquiétude est étayée par des études scientifiques, relayée dans le monde entier par de nombreuses associations et des chercheurs reconnus, et certains points s'avèrent indiscutables : depuis dix ans, l'augmentation des consultations pour dysphorie de genre est de 2000 à 4000 % ; les hommes adultes étaient largement majoritaires, maintenant il s'agit à 80 % de jeunes femmes, le plus souvent mineures, qui souhaitent changer de sexe ; beaucoup des effets des traitements hormonaux et chirurgicaux sont irréversibles : couplés aux bloqueurs de puberté, ils entraînent systématiquement la stérilité ; il existe des inquiétudes fortes sur l'impact de ces traitements sur le développement neurologique, les effets associés sur le plan psycho-affectif ainsi que sur la santé globale sur le long terme car ces traitements doivent être pris à vie ; la réduction du risque de suicide et l'amélioration de la qualité de vie, soi-disant apportée par ces traitements, ne sont pas avérées ; les thérapies qui prennent leur temps (wait and see) permettent à une très large majorité (75 % à 90 %) des enfants et adolescents de se réconcilier avec leur sexe biologique à la sortie de l'adolescence (belle découverte que celle-ci, à croire que l'adolescence est une période à risque psychique, qui l'eut cru ?) ; les thérapies dites affirmatives, qui promeuvent une immédiate transition sociale (changement de prénom), sont suivies par un traitement par bloqueurs de puberté, puis hormones croisées dans l'immense majorité des cas (près de 90 %). »
« Notre démarche, consistant uniquement à promouvoir un accompagnement psychologique prudent, ne peut pas faire autant de mal que celui qui prône l'utilisation d'hormones chez les mineurs, promettant à des jeunes filles de seize ans une vie entière à se raser la barbe et à être prise pour un homme chaque fois qu'elles parlent (à cause de la voix devenue grave), quand bien même elles auraient changé d'avis à dix-huit ans. C'est le cas d'un nombre croissant de "détransitionneurs", jeunes gens découvrant qu'ils sont toujours aussi malheureux, qu'ils ont été soignés de leur mal-être en dépit du bon sens (bon nombre se découvrent simplement homosexuels), qu'ils étaient atteints de troubles psychiatriques bien plus lourds que ce symptôme si intéressant (autisme, psychose, traumatismes, etc.). »
« Nous pourrions nous satisfaire de la certitude d'avoir alerté avant le scandale sanitaire qui ne manquera pas d'advenir, quand tous les autres s'extasiaient, fascinés par ces portraits de jeunes androgynes. Si nous persistons à avertir le public de ces dérives malgré les procès d'intention qui nous sont faits, c'est parce que nous sommes quotidiennement contactés par des parents catastrophés, que nous rencontrons des jeunes gens qui ne peuvent que ressasser les messages appris par cœur sur les réseaux sociaux, sans accéder à la singularité de leur vie psychique, que nous découvrons de jeunes adultes effrayés par ce qu'ils ont fait à leur corps… Aujourd'hui nous souhaitons simplement que des jeunes ne se préparent pas à mutiler leur corps dès l'adolescence. »
« L'opérateur a annoncé ce vendredi [4 février 2022] le lancement de son service Réparation express. […] Ce service […] sera encore une fois mené en partenariat avec Wefix. […] Bouygues Telecom prend un engagement sur le temps de réparation : celui-ci sera compris entre un et cinq jours ouvrés. […] Bouygues Telecom rejoint ainsi Orange, qui propose depuis peu un service de réparation "en moins de vingt-quatre heures en moyenne". SFR propose pour sa part un système de réparation qui nécessite d'abord de prendre contact avec son SAV. Free Mobile, de son côté, ne dispose pas de son propre service de réparation. Mais, un peu comme Bouygues Telecom auparavant, l'opérateur de Xavier Niel travaille avec un réseau partenaire. »
En dépit d'une orientation idéologique très marquée (sa rédaction se voulant particulièrement "éveillée"), Numerama publie généralement des articles de qualité. Celui-ci, censé présenter « les meilleures liseuses en 2022 », fait manifestement exception. Certains conseils n'ont pas beaucoup de sens : pourquoi la taille de l'écran d'une liseuse devrait-elle être indexée sur la fréquence de lecture ? Cela dépend plutôt de l’acuité ou des priorités de chacun (confort de lecture vs encombrement). Surtout, le risque de s'enfermer dans un environnement "propriétaire" avec certains modèles est insuffisamment souligné, tandis que sont carrément passés sous silence les bénéfices d'une solution Android ouverte à l'installation de diverses applications. Navrant.
« Vous nous interrogez sur la suppression par YouTube d'une vidéo postée par le député La France insoumise (LFI) de Seine-Saint-Denis Bastien Lachaud, et intitulée "Non au pass vaccinal !" Un contenu mis en ligne le 3 janvier [2022], jour d'ouverture des débats à l'Assemblée nationale du dernier projet de loi sur la gestion de la crise sanitaire qui prévoit l'instauration du pass vaccinal. »
« Cette vidéo présente les deux minutes d'intervention de Bastien Lachaud dans l'hémicycle ce jour-là, au cours desquelles il s'est fermement opposé au pass vaccinal et à la politique sanitaire du Gouvernement. Disponible sur ses comptes Facebook et Twitter, elle a également été publiée sur le site qu'il tient en tant que député, où elle est hébergée via Youtube, la plate-forme de vidéos appartenant à Google. Or, samedi, l'élu LFI a reçu un message de l'équipe de modération de l'entreprise l'informant de la suppression de sa vidéo. »
« Finalement, le contenu est revenu en ligne dimanche. […] Contactée, l'équipe de Youtube France explique qu'"il arrive malheureusement de faire parfois des erreurs" et insiste sur le "défi technologique immense" que représente la modération "avec plus de cinq cents heures de vidéos mises en ligne chaque minute". "Les titulaires d'une chaîne Youtube ont la possibilité de faire appel de la décision de nos équipes de modération. Si un contenu a été supprimé par erreur, il est immédiatement remis en ligne." »
« Invité à donner plus de précisions sur le cas de Bastien Lachaud, Youtube répond que les cas individuels ne sont pas commentés, et renvoie à deux règlements : celui concernant les informations médicales incorrectes sur le Covid-19, qui bannit les contenus contredisant les informations "des autorités sanitaires locales ou de l'Organisation mondiale de la Santé", ainsi que le règlement complet de la communauté Youtube, qui détaille les principes de base à respecter sur la plateforme. "C'est sur cette base que nous supprimons les contenus qui enfreignent nos règlements", indique l'équipe française de l'entreprise. »
Ci-dessous, la retranscription de l'intervention (temporairement) censurée :
« Le pass sanitaire est une passoire sanitaire. Le pass vaccinal ne sera pas plus efficace. Malgré l'instauration de ce pass, on enregistre des centaines de milliers de contaminations quotidiennes. La preuve de l'inefficacité de cette mesure sur le contrôle de l'épidémie est établie par les faits. La réduction des libertés publiques ne permettra pas de contrôler l'épidémie, elle permettra seulement de renforcer encore un peu plus l'autoritarisme, la société du contrôle permanent. Et comme toujours, la restriction des libertés risque de perdurer. Vous avez été incapables d'organiser la société pour faire face à l'épidémie, vous avez fermé des lits d'hôpitaux, vous n'avez pas su organiser ni les masques, ni les tests, ni les vaccins, ni des protocoles sanitaires cohérents, notamment à l'école. Vous avez passé votre temps soit à mentir de façon éhontée aux Français soit à dénigrer et stigmatiser ceux qui vous le faisaient remarquer comme vous venez de le faire à l'instant. Vous voulez rendre les personnes responsables de leur maladie pour mieux vous dédouaner de votre écrasante responsabilité. Vous voulez contraindre les gens à se faire vacciner, au lieu de vous demander pourquoi, après avoir autant menti, vous n'êtes plus convaincants. Vous voulez instaurer une obligation vaccinale sans le dire. Alors oui, bien sûr, le vaccin est utile pour lutter contre la pandémie, pour protéger et prévenir les formes graves de la maladie. Cependant, le vaccin n'empêche pas la transmission et la circulation du virus. Malgré cela, vous misez tout sur le vaccin alors que celui-ci doit être un élément parmi d'autres dans une stratégie globale de réponse à l'épidémie. Sauf que, à partir du moment où il existe, vous estimez qu'il n'est plus nécessaire de rien faire : ni soutenir l'hôpital public et ses personnels exténués par deux ans de pandémie ni engager la constitution d'un pôle public du médicament, encore moins agir pour lever les brevets sur les vaccins, et surtout pas lutter contre les causes de l'apparition des pandémies. Votre pass vaccinal n'apporte aucune réponse à ces questions, et c'est pourquoi nous demandons sa suppression. »
« Cette vidéo présente les deux minutes d'intervention de Bastien Lachaud dans l'hémicycle ce jour-là, au cours desquelles il s'est fermement opposé au pass vaccinal et à la politique sanitaire du Gouvernement. Disponible sur ses comptes Facebook et Twitter, elle a également été publiée sur le site qu'il tient en tant que député, où elle est hébergée via Youtube, la plate-forme de vidéos appartenant à Google. Or, samedi, l'élu LFI a reçu un message de l'équipe de modération de l'entreprise l'informant de la suppression de sa vidéo. »
« Finalement, le contenu est revenu en ligne dimanche. […] Contactée, l'équipe de Youtube France explique qu'"il arrive malheureusement de faire parfois des erreurs" et insiste sur le "défi technologique immense" que représente la modération "avec plus de cinq cents heures de vidéos mises en ligne chaque minute". "Les titulaires d'une chaîne Youtube ont la possibilité de faire appel de la décision de nos équipes de modération. Si un contenu a été supprimé par erreur, il est immédiatement remis en ligne." »
« Invité à donner plus de précisions sur le cas de Bastien Lachaud, Youtube répond que les cas individuels ne sont pas commentés, et renvoie à deux règlements : celui concernant les informations médicales incorrectes sur le Covid-19, qui bannit les contenus contredisant les informations "des autorités sanitaires locales ou de l'Organisation mondiale de la Santé", ainsi que le règlement complet de la communauté Youtube, qui détaille les principes de base à respecter sur la plateforme. "C'est sur cette base que nous supprimons les contenus qui enfreignent nos règlements", indique l'équipe française de l'entreprise. »
Ci-dessous, la retranscription de l'intervention (temporairement) censurée :
« Le pass sanitaire est une passoire sanitaire. Le pass vaccinal ne sera pas plus efficace. Malgré l'instauration de ce pass, on enregistre des centaines de milliers de contaminations quotidiennes. La preuve de l'inefficacité de cette mesure sur le contrôle de l'épidémie est établie par les faits. La réduction des libertés publiques ne permettra pas de contrôler l'épidémie, elle permettra seulement de renforcer encore un peu plus l'autoritarisme, la société du contrôle permanent. Et comme toujours, la restriction des libertés risque de perdurer. Vous avez été incapables d'organiser la société pour faire face à l'épidémie, vous avez fermé des lits d'hôpitaux, vous n'avez pas su organiser ni les masques, ni les tests, ni les vaccins, ni des protocoles sanitaires cohérents, notamment à l'école. Vous avez passé votre temps soit à mentir de façon éhontée aux Français soit à dénigrer et stigmatiser ceux qui vous le faisaient remarquer comme vous venez de le faire à l'instant. Vous voulez rendre les personnes responsables de leur maladie pour mieux vous dédouaner de votre écrasante responsabilité. Vous voulez contraindre les gens à se faire vacciner, au lieu de vous demander pourquoi, après avoir autant menti, vous n'êtes plus convaincants. Vous voulez instaurer une obligation vaccinale sans le dire. Alors oui, bien sûr, le vaccin est utile pour lutter contre la pandémie, pour protéger et prévenir les formes graves de la maladie. Cependant, le vaccin n'empêche pas la transmission et la circulation du virus. Malgré cela, vous misez tout sur le vaccin alors que celui-ci doit être un élément parmi d'autres dans une stratégie globale de réponse à l'épidémie. Sauf que, à partir du moment où il existe, vous estimez qu'il n'est plus nécessaire de rien faire : ni soutenir l'hôpital public et ses personnels exténués par deux ans de pandémie ni engager la constitution d'un pôle public du médicament, encore moins agir pour lever les brevets sur les vaccins, et surtout pas lutter contre les causes de l'apparition des pandémies. Votre pass vaccinal n'apporte aucune réponse à ces questions, et c'est pourquoi nous demandons sa suppression. »
« Le coût d'utilisation réduit d'une voiture électrique semble […] être un solide argument : peu ou prou de révisions grâce à une mécanique simple, pas de vidange, pas de remplacement de courroies, moins d'entretien sur les freins grâce au freinage régénératif fourni par le moteur, et surtout un coût de l'énergie jusque-là très avantageux par rapport à celui des hydrocarbures. »
« Cette dernière donnée, si elle est toujours d'actualité, a tellement évoluée ces derniers mois que l'on peut se demander si elle constituera encore un argument valable dans un avenir proche. »
« Comme je l'ai déjà mentionné ici récemment, j'ai eu l'occasion d'en faire l'expérience (volontaire) dans le cadre d'un essai au volant du MG Marvel R, excellente voiture au demeurant, mais à l'autonomie quelque peu limitée par temps très froid – soit 250 kilomètres – avec lequel un trajet Mantes-la-Jolie Lyon en passant par Paris m'a coûté trois charges Ionity pour un total de près de 90 euros. Le même trajet dans les mêmes conditions avec une SUV de taille et de puissance équivalente (Audi Q5 2.0 TFSI e par exemple) m'aurait probablement coûté le même prix, soit une moyenne sur autoroute de 10 L / 100 km x 500 km x 1,80 € / L. Et nous parlons d'une situation où le prix de l'essence n'a jamais été aussi élevé. Il se peut aussi que cette dernière consomme moins de 10 L / 100 à 130… »
« Alors certes, il s'agit d'un cas extrême, mais il se pourrait que nombre d'électromobilistes débutants, non rompus aux nombreuses subtilités de l'écoconduite, des planificateurs d'itinéraires, des abonnements les plus avantageux et de la géographie des stations de recharge les moins chères, se retrouvent fréquemment dans ce genre de situation. »
« La comparaison avec le prix de l'essence vaut ce qu'elle vaut, mais il est certain que cela reste l'étalon pour la plupart des automobilistes. Selon les chiffres de l'Ademe, en 2020 la consommation moyenne d'un véhicule essence était de 6,8 litres aux 100 kilomètres. Si l'on prend un prix moyen du litre d'essence (SP 98) à 1,80 euro, le coût aux 100 kilomètres est de 12,24 euros. »
« Si l'on fait une moyenne à la truelle entre les trois principaux opérateurs présents en France, soit Tesla, Fastned et Ionity sans abonnement, on obtient un prix au kWh de 0,65 euro. Avec une consommation moyenne de 20 kWh / 100 km (ce qui est assez optimiste avec certains modèles, surtout sur autoroute si l'on taquine régulièrement le 130 km/h), cela donne un coût aux 100 kilomètres de 13 euros. »
« Il reste […] la charge à domicile, qui devrait constituer la majorité des cas d'usage, puisque qu'avec une moyenne de 0,136 euro en heures creuses par kWh selon le tarif réglementé EDF, on sera plutôt à 2,75 euros pour 100 kilomètres. De quoi voir venir. Sauf pour les millions de français résidant en habitat collectif et en zone urbaine, évidemment… Mais c'est un détail qui n'a pas l'air de gêner ni de mobiliser grand monde pour le moment. »
« Et nous n'avons pas tout vu. Attendez que la part de marché de l'électrique surpasse celle du thermique. Vous le voyez venir, l'état, avec ses gros doigts crochus et avides et son gros gourdin en embuscade dans son dos ? »
« Cette dernière donnée, si elle est toujours d'actualité, a tellement évoluée ces derniers mois que l'on peut se demander si elle constituera encore un argument valable dans un avenir proche. »
« Comme je l'ai déjà mentionné ici récemment, j'ai eu l'occasion d'en faire l'expérience (volontaire) dans le cadre d'un essai au volant du MG Marvel R, excellente voiture au demeurant, mais à l'autonomie quelque peu limitée par temps très froid – soit 250 kilomètres – avec lequel un trajet Mantes-la-Jolie Lyon en passant par Paris m'a coûté trois charges Ionity pour un total de près de 90 euros. Le même trajet dans les mêmes conditions avec une SUV de taille et de puissance équivalente (Audi Q5 2.0 TFSI e par exemple) m'aurait probablement coûté le même prix, soit une moyenne sur autoroute de 10 L / 100 km x 500 km x 1,80 € / L. Et nous parlons d'une situation où le prix de l'essence n'a jamais été aussi élevé. Il se peut aussi que cette dernière consomme moins de 10 L / 100 à 130… »
« Alors certes, il s'agit d'un cas extrême, mais il se pourrait que nombre d'électromobilistes débutants, non rompus aux nombreuses subtilités de l'écoconduite, des planificateurs d'itinéraires, des abonnements les plus avantageux et de la géographie des stations de recharge les moins chères, se retrouvent fréquemment dans ce genre de situation. »
« La comparaison avec le prix de l'essence vaut ce qu'elle vaut, mais il est certain que cela reste l'étalon pour la plupart des automobilistes. Selon les chiffres de l'Ademe, en 2020 la consommation moyenne d'un véhicule essence était de 6,8 litres aux 100 kilomètres. Si l'on prend un prix moyen du litre d'essence (SP 98) à 1,80 euro, le coût aux 100 kilomètres est de 12,24 euros. »
« Si l'on fait une moyenne à la truelle entre les trois principaux opérateurs présents en France, soit Tesla, Fastned et Ionity sans abonnement, on obtient un prix au kWh de 0,65 euro. Avec une consommation moyenne de 20 kWh / 100 km (ce qui est assez optimiste avec certains modèles, surtout sur autoroute si l'on taquine régulièrement le 130 km/h), cela donne un coût aux 100 kilomètres de 13 euros. »
« Il reste […] la charge à domicile, qui devrait constituer la majorité des cas d'usage, puisque qu'avec une moyenne de 0,136 euro en heures creuses par kWh selon le tarif réglementé EDF, on sera plutôt à 2,75 euros pour 100 kilomètres. De quoi voir venir. Sauf pour les millions de français résidant en habitat collectif et en zone urbaine, évidemment… Mais c'est un détail qui n'a pas l'air de gêner ni de mobiliser grand monde pour le moment. »
« Et nous n'avons pas tout vu. Attendez que la part de marché de l'électrique surpasse celle du thermique. Vous le voyez venir, l'état, avec ses gros doigts crochus et avides et son gros gourdin en embuscade dans son dos ? »
Confession édifiante de Céline Pigalle directrice de la rédaction de BFM TV (intervention à l'invitation de Sciences et Médias le 25 janvier 2022 sur le thème "Raconter la science en temps de crise") :
« Quand d'un seul coup la science est un enjeu dans le débat politique, finalement si on reprend un enjeu très basique, très prosaïque, quand Sibeth Ndiaye dit "on ne va pas avoir besoin de masques parce que de toute façon on ne saurait pas comment les porter", on est sur quelque chose de très… mais dans un moment aussi où on vous dit que on est sommes en guerre , et où avec toute la notion de cohésion générale de la société, vous êtes rappelé au fait qu'il ne faut pas trop troubler les gens et finalement même si on a tenté au maximum de s'extraire de tout ça, pas trop aller à rebours de la parole officielle puisque ce serait fragiliser un consensus social. »
« Quand d'un seul coup la science est un enjeu dans le débat politique, finalement si on reprend un enjeu très basique, très prosaïque, quand Sibeth Ndiaye dit "on ne va pas avoir besoin de masques parce que de toute façon on ne saurait pas comment les porter", on est sur quelque chose de très… mais dans un moment aussi où on vous dit que on est sommes en guerre , et où avec toute la notion de cohésion générale de la société, vous êtes rappelé au fait qu'il ne faut pas trop troubler les gens et finalement même si on a tenté au maximum de s'extraire de tout ça, pas trop aller à rebours de la parole officielle puisque ce serait fragiliser un consensus social. »
Drame des Juifs sous l'Occupation : Jacques Chirac a dit la vérité une fois pour toutes selon l'UEJF
« Ce n'est pas un débat historique. Ce débat a été réglé, notamment par la déclaration de Jacques Chirac au Vel d'hiv qui a reconnu la responsabilité de la France dans la déportation des Juifs. Ce n'est pas un débat d'historiens. Ce n'est pas parce qu'il y a eu ou ou deux historien extrêmement controversés qui ont remis en cause des centaines de travaux qu'on entre tout d'un coup dans un débat historique. »
Selon Samuel Lejoyeux, président de l'Union des étudiants juifs de France, interrogé par Jean-Marc Morandini le 31 janvier 2022, c'est donc à des hommes politiques qu'il appartiendrait d'écrire l'histoire !
Dans ce cas, pourquoi un autre locataire de l'Élysée ne pourrait-il pas la changer ? D'ailleurs, sur cette question, Jacques Chirac n'avait-il pas lui-même pris le contrepied de ses prédécesseurs ? Cela n'a aucun sens…
En niant la nature de cette controverse, au moins ce militant reconnaît-il incidemment qu'il l'instrumentalise (comme tout le monde) à des fins clairement politiques.
Selon Samuel Lejoyeux, président de l'Union des étudiants juifs de France, interrogé par Jean-Marc Morandini le 31 janvier 2022, c'est donc à des hommes politiques qu'il appartiendrait d'écrire l'histoire !
Dans ce cas, pourquoi un autre locataire de l'Élysée ne pourrait-il pas la changer ? D'ailleurs, sur cette question, Jacques Chirac n'avait-il pas lui-même pris le contrepied de ses prédécesseurs ? Cela n'a aucun sens…
En niant la nature de cette controverse, au moins ce militant reconnaît-il incidemment qu'il l'instrumentalise (comme tout le monde) à des fins clairement politiques.
« L'Observatoire des inégalités […] vient de commercialiser ce 10 janvier une "boîte à outils" dans laquelle […] on trouve le guide et les règles du "Monopoly des inégalités". […] L'objectif de cette activité selon l'observatoire est : "d'aider les jeunes à prendre conscience des inégalités et discriminations qui persistent en France" puis de "susciter une discussion encadrée sur le sujet." »
« En début de partie, l'argent est distribué selon la catégorie sociale à laquelle votre personnage appartient, soit A (les riches), B ou C (les pauvres). Question héritage, si vous êtes A ou B, vous démarrez la partie avec des terrains à disposition, si vous êtes C, avec rien du tout. Si vous avez le malheur d'être une femme, vous débutez avec moins d'argent et percevrez moins d'argent qu'un homme en passant par la case départ. »
« C'est bien évidemment à l'homme blanc, jugé le plus riche, de commencer. Les personnes handicapées doivent obligatoirement soustraire deux à chaque lancer de dés. Afin d'enfoncer le clou, les cases "gares" servent maintenant à passer de l'une à l'autre, règle exclusivement valable pour les personnes valides. »
« La fameuse case "prison" devient elle aussi une source de frustration supplémentaire. Si vous jouez Mohamed ou Lucas, vos personnages sont respectivement d'origine maghrébine et africaine, vous subissez donc obligatoirement un contrôle au faciès. Vous devez vous arrêter sur la case prison si vous y passez et attendre le prochain tour avant de rejouer. À l'inverse, la règle du "faites trois fois un double avec vos dés, vous allez en prison", a été légèrement modifiée, puisqu'elle ne concerne pas les riches de catégorie A. »
« Les cartes événements ont également été toilettées. Ménage de printemps : "si vous êtes une femme, passez le prochain tour pour le consacrer aux tâches ménagères." Transphobie : "vous refusez d'embaucher une femme transgenre. Elle porte plainte pour discrimination. Allez directement en prison et payez cent euros à la banque." Nationalité : "on vous refuse un emploi car vous n'avez pas à la nationalité française et vous êtes né hors de l'UE. Vous ne jouez pas au prochain tour." Racisme : "si vous êtes noir ou maghrébin, vous ne pouvez plus acheter de maison jusqu'à ce que vous repassiez par la case Départ. Si vous êtes blanc, rien ne se passe." »
« "Travailler sur les représentations et s'interroger sur nos propres stéréotypes" ou encore "faire comprendre ce qu'implique l'appartenance à certains groupes sociaux ou minorités et leurs conséquences." Voici ce qu'on peut lire en feuilletant les premières pages du guide d'animation qui détaille les "objectifs de la séance". »
« Partir d'inégalités réelles pour finalement en arriver à assigner les personnages à leur appartenance sociale, raciale ou sexuelle, est-ce réellement une bonne idée ? […] il existe un risque évident que le jeune public visé se sente enfermé dans l'identité qu'on lui assigne. […] Les créateurs devancent d'ailleurs la critique. Selon eux, il revient à l'animateur du jeu d'assurer un "environnement sûr" à la séquence car "le jeu comporte le risque d'enfermer les joueurs dans le constat qu'il n'est pas possible d'y échapper et de les amener ainsi à une forme de découragement." Perspicace. »
« En début de partie, l'argent est distribué selon la catégorie sociale à laquelle votre personnage appartient, soit A (les riches), B ou C (les pauvres). Question héritage, si vous êtes A ou B, vous démarrez la partie avec des terrains à disposition, si vous êtes C, avec rien du tout. Si vous avez le malheur d'être une femme, vous débutez avec moins d'argent et percevrez moins d'argent qu'un homme en passant par la case départ. »
« C'est bien évidemment à l'homme blanc, jugé le plus riche, de commencer. Les personnes handicapées doivent obligatoirement soustraire deux à chaque lancer de dés. Afin d'enfoncer le clou, les cases "gares" servent maintenant à passer de l'une à l'autre, règle exclusivement valable pour les personnes valides. »
« La fameuse case "prison" devient elle aussi une source de frustration supplémentaire. Si vous jouez Mohamed ou Lucas, vos personnages sont respectivement d'origine maghrébine et africaine, vous subissez donc obligatoirement un contrôle au faciès. Vous devez vous arrêter sur la case prison si vous y passez et attendre le prochain tour avant de rejouer. À l'inverse, la règle du "faites trois fois un double avec vos dés, vous allez en prison", a été légèrement modifiée, puisqu'elle ne concerne pas les riches de catégorie A. »
« Les cartes événements ont également été toilettées. Ménage de printemps : "si vous êtes une femme, passez le prochain tour pour le consacrer aux tâches ménagères." Transphobie : "vous refusez d'embaucher une femme transgenre. Elle porte plainte pour discrimination. Allez directement en prison et payez cent euros à la banque." Nationalité : "on vous refuse un emploi car vous n'avez pas à la nationalité française et vous êtes né hors de l'UE. Vous ne jouez pas au prochain tour." Racisme : "si vous êtes noir ou maghrébin, vous ne pouvez plus acheter de maison jusqu'à ce que vous repassiez par la case Départ. Si vous êtes blanc, rien ne se passe." »
« "Travailler sur les représentations et s'interroger sur nos propres stéréotypes" ou encore "faire comprendre ce qu'implique l'appartenance à certains groupes sociaux ou minorités et leurs conséquences." Voici ce qu'on peut lire en feuilletant les premières pages du guide d'animation qui détaille les "objectifs de la séance". »
« Partir d'inégalités réelles pour finalement en arriver à assigner les personnages à leur appartenance sociale, raciale ou sexuelle, est-ce réellement une bonne idée ? […] il existe un risque évident que le jeune public visé se sente enfermé dans l'identité qu'on lui assigne. […] Les créateurs devancent d'ailleurs la critique. Selon eux, il revient à l'animateur du jeu d'assurer un "environnement sûr" à la séquence car "le jeu comporte le risque d'enfermer les joueurs dans le constat qu'il n'est pas possible d'y échapper et de les amener ainsi à une forme de découragement." Perspicace. »
L'occasion, c'est tendance ! « Le distributeur déploie la reprise de smartphones, tablettes, consoles dans cent quinze hypermarchés en s'appuyant sur Comprecyle », rapporte LSA (12 janvier 2022) ; « en échange de la reprise, les clients bénéficient d'un avoir ou d'un crédit sur leur carte de fidélité ».
« "Ce doit être l'occasion de parler encore plus de l'Europe !" Au téléphone, au ministère de l'Éducation nationale, on ne cache pas son enthousiasme à propos de la présidence française de l'Union européenne (PFUE). Depuis plusieurs mois, la Rue de Grenelle s'y est préparée, avec la ferme intention de "mettre l'année scolaire 2021–2022 aux couleurs de l'Europe". "[Une] occasion [de] contribuer à faire avancer l'Europe et continuer à illustrer la pertinence de l'échelon européen […], en particulier auprès des futurs citoyens européens que sont les élèves" claironne le site internet du ministère à destination des enseignants. »
« Un "Guide des possibles" pour "former les citoyens européens de demain" a même été mis en ligne. On y préconise de "mener des actions éducatives valorisant l'Europe" : le document invite notamment à "ne pas sous-estimer la portée des actions symboliques" parmi lesquelles le "pavoisement des bâtiments aux couleurs de l'Europe" ou le "chant de l'hymne européen". »
« Un "Guide des possibles" pour "former les citoyens européens de demain" a même été mis en ligne. On y préconise de "mener des actions éducatives valorisant l'Europe" : le document invite notamment à "ne pas sous-estimer la portée des actions symboliques" parmi lesquelles le "pavoisement des bâtiments aux couleurs de l'Europe" ou le "chant de l'hymne européen". »
« C'est Catherine Deneuve la plus sensée : autrefois quand on était importunées, disait-elle dans une interview, on envoyait bouler, voilà tout. Elle précisait qu'elle ne parlait évidemment pas de viol ou d'agressions graves. Juste de pesante insistance. On s'offusquait, on rigolait, on se moquait, on giflait, on hurlait, on fuyait, on ridiculisait, chacune selon son tempérament. »
« Il est bien entendu excellent que les hormones mâles soient rappelées à plus de tenue chez ceux qui n'en ont aucune, fût-ce par la contrainte. Mais les femmes se complairaient-elles dans le statut de victimes ? Un geste tenté et pas même achevé suffirait donc pour les faire "crever" de peur ? Les féministes n'auraient donc mené leurs valeureux combats que pour les voir aller chouiner devant un juge… des années après ? »
« Il est bien entendu excellent que les hormones mâles soient rappelées à plus de tenue chez ceux qui n'en ont aucune, fût-ce par la contrainte. Mais les femmes se complairaient-elles dans le statut de victimes ? Un geste tenté et pas même achevé suffirait donc pour les faire "crever" de peur ? Les féministes n'auraient donc mené leurs valeureux combats que pour les voir aller chouiner devant un juge… des années après ? »
La question est posée, incidemment, par Notebookcheck (20 janvier 2022), qui regrette l'usage confidentiel du module PCI Express mobile (MXM), un « connecteur normalisé […] qui existe depuis plus de dix ans ».
Affirmant le 28 novembre 2021 que son téléviseur « doit être changé après cinq ans », un internaute (zaou36 ) demande sur un forum hébergé par Sony Belgique si cela est bien « normal » et s'il ne s'agit ps d'un cas « d'obsolescence programmée ». D'autant que sa déconvenue serait survenue « un mois après la fin de la garantie prise en magasin ».
Il s'exprime toutefois sans préciser la nature du dysfonctionnement rencontré… L'affichage « sautille », précise-t-il par la suite. Peut-être cela peut-il être corrigé ? Il semblerait qu'il ne se soit pas posé la question.
En tout cas, il faut saluer la réponse qui lui est apporté le même jour par un autre utilisateur de ce forum (BlackLotus7) : « Alors tout d'abord, il faut arrêter avec cette expression "obsolescence programmée". Vous pouvez très bien avoir du matériel high-tech, hifi qui va vous durer dix ans et un autre qui par manque de chance ou défaut de production va lâcher au bout de sept mois… Le fait que cela arrive juste après la période de garantie de votre magasin n'est qu'une coïncidence. »
Coïncidence d'autant plus fortuite que la garantie en question a été souscrite auprès du vendeur et non du fabricant, et que le téléviseur a donc été produit sans connaître la durée ni la date d'échéance de cette garantie.
Autre raison d'« arrêter avec cette expression "obsolescence programmée" » : le client se croyant lésé dans cette affaire explique lui-même que « du coup », il « hésite à racheter ce type de téléviseur Sony ». Incidemment, il fait la preuve que le fabricant japonais vraisemblablement aucun intérêt à saboter ses propres produits puisque, manifestement, cela ferait le jeu de ses concurrents…
Il s'exprime toutefois sans préciser la nature du dysfonctionnement rencontré… L'affichage « sautille », précise-t-il par la suite. Peut-être cela peut-il être corrigé ? Il semblerait qu'il ne se soit pas posé la question.
En tout cas, il faut saluer la réponse qui lui est apporté le même jour par un autre utilisateur de ce forum (BlackLotus7) : « Alors tout d'abord, il faut arrêter avec cette expression "obsolescence programmée". Vous pouvez très bien avoir du matériel high-tech, hifi qui va vous durer dix ans et un autre qui par manque de chance ou défaut de production va lâcher au bout de sept mois… Le fait que cela arrive juste après la période de garantie de votre magasin n'est qu'une coïncidence. »
Coïncidence d'autant plus fortuite que la garantie en question a été souscrite auprès du vendeur et non du fabricant, et que le téléviseur a donc été produit sans connaître la durée ni la date d'échéance de cette garantie.
Autre raison d'« arrêter avec cette expression "obsolescence programmée" » : le client se croyant lésé dans cette affaire explique lui-même que « du coup », il « hésite à racheter ce type de téléviseur Sony ». Incidemment, il fait la preuve que le fabricant japonais vraisemblablement aucun intérêt à saboter ses propres produits puisque, manifestement, cela ferait le jeu de ses concurrents…
Un « plan fédéral pour l'économie circulaire » a été annoncé en Belgique. Comme l'explique RTL (13 janvier 2022), il est question, entre autres, de « favoriser la réparabilité via l'affichage d'un indice de réparabilité » et de « fournir de l'information sur le maintien de la compatibilité logicielle » ; à ce titre, « le consommateur sera informé de la durée pendant laquelle son appareil supportera les mises à jour successives ».
« À Montpellier, le projet de déploiement de bus à hydrogène a été mis en suspens. L'annonce a été officialisée en début d'année [2022] par le président de la Métropole, Michaël Delafosse. Lancé il y a un peu de plus de deux ans par la précédente équipe métropolitaine, le projet "Montpellier Horizon Hydrogène (MH2)" visait à investir dans le déploiement de cinquante et un bus hydrogène destinés à équiper quatre lignes BHNS du territoire. À l'origine du projet, vingt et un bus devaient être mis en service en 2023 puis trente à partir de 2025. Filiale du groupe EDF, Hynamics avait même été sélectionnée pour construire et exploiter un électrolyseur de 2 MW dédié à l'approvisionnement en hydrogène vert de la flotte. Estimé à 29 millions d'euros, le projet devait être en partie financé par l'Ademe, la Région et l'Europe. »
« Outre le prix à l'achat des bus, ce sont surtout les coûts d'exploitation qui sont pointés du doigt. "Le fonctionnement de bus-tram tout hydrogène se situerait à 3 millions d'euros par an contre 500 000 euros avec des bus électriques. Soit 0,15 euros du km en électrique contre 0,95 euros sur l'hydrogène" explique Julie Frêche, vice-présidente de la Métropole de Montpellier déléguée au Transport et aux Mobilités actives, au quotidien La Tribune. […] "La technologie hydrogène est prometteuse. Mais nous étions aidés sur l'investissement mais pas sur le fonctionnement. Donc, pour le moment, nous renonçons aux bus à hydrogène, on verra en 2030 si l'hydrogène est moins cher" a expliqué le président de la Métropole. […] Si le déploiement des bus à hydrogène est remis à horizon 2030, l'installation avec Hynamics d'une station de production d'hydrogène reste "un sujet en discussion" a confirmé Julie Frêche. »
« Outre le prix à l'achat des bus, ce sont surtout les coûts d'exploitation qui sont pointés du doigt. "Le fonctionnement de bus-tram tout hydrogène se situerait à 3 millions d'euros par an contre 500 000 euros avec des bus électriques. Soit 0,15 euros du km en électrique contre 0,95 euros sur l'hydrogène" explique Julie Frêche, vice-présidente de la Métropole de Montpellier déléguée au Transport et aux Mobilités actives, au quotidien La Tribune. […] "La technologie hydrogène est prometteuse. Mais nous étions aidés sur l'investissement mais pas sur le fonctionnement. Donc, pour le moment, nous renonçons aux bus à hydrogène, on verra en 2030 si l'hydrogène est moins cher" a expliqué le président de la Métropole. […] Si le déploiement des bus à hydrogène est remis à horizon 2030, l'installation avec Hynamics d'une station de production d'hydrogène reste "un sujet en discussion" a confirmé Julie Frêche. »
« J'ai tout de même un fâcheux arrière-goût de mensonge, par exemple lorsqu'Anne-Claire Coudray, hier soir sur TF1, objecte à Marine Le Pen que le gouvernement, jamais, au grand jamais, n'a prétendu que le vaccin empêchait "totalement" les contaminations. Mais si ! C'est bien ce qu'assurait Jean Castex le 21 juillet dernier, sur la même chaîne (et croyez bien que je ne cite pas de gaité de cœur un tweet du RN). »
« Mensonge ou erreur ? La question se subdivise en deux. À l'heure où il répond au "13 Heures" de TF1, le 21 juillet 2021, Castex sait-il que ce qu'il dit est faux ? En tous cas, d'autres le savent. […] Supposons que Jean Castex n'ait pas eu connaissance, le 21 juillet, de cette lettre du HCSP du 13 juillet. C'est un homme occupé. Devant une situation sanitaire évolutive de jour en jour, je suis tout prêt à lui accorder, sur le moment, le bénéfice du doute. Mais alors, pourquoi ne pas reconnaître ouvertement, franchement, six mois plus tard, ses erreurs, ses approximations, et ses mensonges ? Comme le Gouvernement y gagnerait en crédibilité. À l'infini, c'est le coup de la dissimulation de la pénurie de masques qui recommence, ou comment un mensonge initial interdit de fonder une politique sanitaire sur la confiance »
« Mensonge ou erreur ? La question se subdivise en deux. À l'heure où il répond au "13 Heures" de TF1, le 21 juillet 2021, Castex sait-il que ce qu'il dit est faux ? En tous cas, d'autres le savent. […] Supposons que Jean Castex n'ait pas eu connaissance, le 21 juillet, de cette lettre du HCSP du 13 juillet. C'est un homme occupé. Devant une situation sanitaire évolutive de jour en jour, je suis tout prêt à lui accorder, sur le moment, le bénéfice du doute. Mais alors, pourquoi ne pas reconnaître ouvertement, franchement, six mois plus tard, ses erreurs, ses approximations, et ses mensonges ? Comme le Gouvernement y gagnerait en crédibilité. À l'infini, c'est le coup de la dissimulation de la pénurie de masques qui recommence, ou comment un mensonge initial interdit de fonder une politique sanitaire sur la confiance »
« Nous aurions beaucoup moins de problèmes si l'État se contentait d'être un employeur responsable et, accessoirement, un régulateur avisé en matière de retraites. »
« Un des travers de la réforme des retraites abandonnée était de proposer une démarche de table rase tout en occultant le sujet de fond, à savoir comment financer les retraites des fonctionnaires. Génératrice de craintes, cette réforme supprimait malencontreusement tout ce qui fonctionne bien en France, des caisses paritaires ou professionnelles bien gérées (Agirc-Arrco, CAVP…) aux capitalisations collectives (ERAFP, Banque de France, Sénat…). »
« Nous avons la particularité d'avoir un État qui a renoncé à penser le financement efficace des retraites du public depuis un siècle et demi. […] Dès 1853, l'État a démantelé les caisses de retraite des fonctionnaires, organisées ministère par ministère, au motif que certaines d'entre elles étaient déficitaires. À l'opposé de toute prévoyance, il a récupéré leurs capitaux et pris la mauvaise habitude de payer les pensions par le budget, sans mettre de l'argent de côté. »
« Ce fut bien avant la mise en place de la répartition, initiée en 1941 et généralisée à la Libération. Depuis, notre État a continué à ne pas faire de réserves, alors qu'il était évident que la démographie allait faire exploser ses dépenses retraites. À l'inverse, tous les régimes par répartition responsable de droit privé, tels l'Agirc-Arrco ou la CAVP des pharmaciens, se sont mis à placer des capitaux en vue des changements prévisibles. Les États responsables, tels le Québec, ont fait de même. Le gouvernement québécois s'est mis à placer les cotisations retraites de ses employés dans les années 1990, pour les faire fructifier et pouvoir s'acquitter des retraites sans faire exploser les prélèvements obligatoires. À ce stade, l'État au Québec a mis de côté de quoi honorer 85 % des sommes dues aux retraités actuels et futurs dans son Fonds d'amortissement des régimes de retraite (FARR), tout en soutenant le développement économique de la province. En France, l'État n'a quasiment rien fait et les avoirs du Fonds de réserve des retraites (FRR) représentent à peine 2 % des promesses faites par l'État à ses personnels. Bilan; les pensions d'État mobilisaient l'an passé 58 milliards, soit quasiment autant que les salaires nets des fonctionnaires (62 milliards). L'argent mobilisé de façon imprévoyante dans les retraites manque ailleurs. »
« Le bon sens serait que l'État mette de l'ordre dans ses affaires, au lieu de chercher à régenter les retraites du privé, bien mieux gérées. La priorité n'est pas de remettre à plat les retraites des salariés ou celles des professions libérales. […] Le chantier de fond concerne les retraites que l'État distribue en tant qu'employeur. Elles sont la source de dérapages financiers, conséquence du manque de rigueur d'un État jusqu'à présent incapable de gérer le long terme. »
« Le bon sens milite pour que l'État se mette à provisionner les retraites qu'il promet aux personnels qu'il recrute. […] S'agissant des salariés, le bon sens serait de consolider l'existant autour de l'Agirc-Arrco, en lui confiant la gestion d'une capitalisation collective. »
« Le rôle de l'État n'est pas de faire du mécano entre les régimes. Il est, en tant qu'employeur, de gérer ses retraites d'une façon économe pour les contribuables et, en tant que régulateur, de s'assurer que les autres acteurs font de même. »
« Un des travers de la réforme des retraites abandonnée était de proposer une démarche de table rase tout en occultant le sujet de fond, à savoir comment financer les retraites des fonctionnaires. Génératrice de craintes, cette réforme supprimait malencontreusement tout ce qui fonctionne bien en France, des caisses paritaires ou professionnelles bien gérées (Agirc-Arrco, CAVP…) aux capitalisations collectives (ERAFP, Banque de France, Sénat…). »
« Nous avons la particularité d'avoir un État qui a renoncé à penser le financement efficace des retraites du public depuis un siècle et demi. […] Dès 1853, l'État a démantelé les caisses de retraite des fonctionnaires, organisées ministère par ministère, au motif que certaines d'entre elles étaient déficitaires. À l'opposé de toute prévoyance, il a récupéré leurs capitaux et pris la mauvaise habitude de payer les pensions par le budget, sans mettre de l'argent de côté. »
« Ce fut bien avant la mise en place de la répartition, initiée en 1941 et généralisée à la Libération. Depuis, notre État a continué à ne pas faire de réserves, alors qu'il était évident que la démographie allait faire exploser ses dépenses retraites. À l'inverse, tous les régimes par répartition responsable de droit privé, tels l'Agirc-Arrco ou la CAVP des pharmaciens, se sont mis à placer des capitaux en vue des changements prévisibles. Les États responsables, tels le Québec, ont fait de même. Le gouvernement québécois s'est mis à placer les cotisations retraites de ses employés dans les années 1990, pour les faire fructifier et pouvoir s'acquitter des retraites sans faire exploser les prélèvements obligatoires. À ce stade, l'État au Québec a mis de côté de quoi honorer 85 % des sommes dues aux retraités actuels et futurs dans son Fonds d'amortissement des régimes de retraite (FARR), tout en soutenant le développement économique de la province. En France, l'État n'a quasiment rien fait et les avoirs du Fonds de réserve des retraites (FRR) représentent à peine 2 % des promesses faites par l'État à ses personnels. Bilan; les pensions d'État mobilisaient l'an passé 58 milliards, soit quasiment autant que les salaires nets des fonctionnaires (62 milliards). L'argent mobilisé de façon imprévoyante dans les retraites manque ailleurs. »
« Le bon sens serait que l'État mette de l'ordre dans ses affaires, au lieu de chercher à régenter les retraites du privé, bien mieux gérées. La priorité n'est pas de remettre à plat les retraites des salariés ou celles des professions libérales. […] Le chantier de fond concerne les retraites que l'État distribue en tant qu'employeur. Elles sont la source de dérapages financiers, conséquence du manque de rigueur d'un État jusqu'à présent incapable de gérer le long terme. »
« Le bon sens milite pour que l'État se mette à provisionner les retraites qu'il promet aux personnels qu'il recrute. […] S'agissant des salariés, le bon sens serait de consolider l'existant autour de l'Agirc-Arrco, en lui confiant la gestion d'une capitalisation collective. »
« Le rôle de l'État n'est pas de faire du mécano entre les régimes. Il est, en tant qu'employeur, de gérer ses retraites d'une façon économe pour les contribuables et, en tant que régulateur, de s'assurer que les autres acteurs font de même. »
« Nous avons oublié nos devoirs envers les mineurs : veiller à leur santé et leurs apprentissages. Ce chaos scolaire a dégradé les deux. Une société qui désorganise l'école pour une maladie qui ne touche pas gravement les enfants est une société malade. La grippe et la bronchiolite ne nous ont jamais fait fermer de classe, un peu de tenue tout de même. On enseigne aux enfants qu'au moindre risque on doit se cloîtrer chez soi. Quelles valeurs ! »
« Il est […] urgent de sortir définitivement de cette inversion des valeurs où les enfants subissent les angoisses des adultes quand c'est aux adultes d'élever (au sens étymologique) les enfants. On peut rassurer les enseignants, les équiper et les respecter sans utiliser les mineurs comme une variable d'ajustement qu'on déplace en fonction du risque de mouvement social. […] Les dégâts physiologiques et psychologiques sur les élèves sont criminels. »
« L'école censée être un lieu d'apprentissage et d'interactions sociales ne doit pas se transformer en lieu de peur et de panique pour les enfants. Chacun sa place : un enfant est sous la responsabilité d'adultes qui doivent garder leur sang-froid. […] Le virus ne doit pas être un prétexte pour des maltraitances insensées telles que mauvais points attribués, humiliations si le masque est sous le nez dans la cour, comme en témoignent les dizaines de messages que je reçois de parents ou d'enseignants alarmés par ces conduites. »
« Le masque pour les enfants est d'une rare violence. C'est une maltraitance physique et psychique, avec des malaises quand les élèves le gardent pour l'escalade en milieu fermé ou pendant le judo à sept ans. L'OMS l'a rappelé. Et j'ai expliqué à de nombreuses reprises tous les éléments pédiatriques, dentaires, psychologiques, ophtalmologiques, cognitifs, émotionnels et psychologiques qui montrent, chiffres à l'appui, les dégâts causés par le masque. […] Les difficultés de concentration sont majeures, ce qui rajoute du travail aux enseignants. Dès le plus jeune âge, on observe des retards de parole en maternelle liés au port du masque chez les adultes. Aussi je pense que chaque enseignant doit porter le masque s'il le souhaite uniquement, car un grand nombre d'entre-eux, conscients de la perte que cela représente pour la relation avec l'élève, et de l'inconfort (migraine, fatigue) que cela leur inflige, souhaiteraient le retirer. »
« Orthophonistes et psychologues sont débordés par ces dégâts. L'urgence sanitaire a changé. C'est la santé des mineurs qui est en péril. »
« Le harcèlement, la peur, l'obsession du virus, l'idée que les enfants sont dangereux, que l'autre est un danger, que le toucher est mauvais, tout cela dessine une société qui ne peut être un tout. Cela engendre méfiance, paranoïa, climat de délation. Les enfants commencent à se dénoncer quand l'un d'entre eux porte mal le masque ! Nous les conditionnons à être la pire version d'un être humain: malade et mauvais. »
« Les phobies scolaires, les troubles d'apprentissage, le chaos lié à l'éviction des élèves ou à la fermeture de classes, la symptomatologie que l'on voit aussi bien en cabinet de ville qu'en pédopsychiatrie sont terrifiants, et je pèse mes mots. Des enfants tristes, apeurés, anxieux, qui dorment mal, font des crises de colère, développent des troubles alimentaires, se désocialisent, sont addicts aux écrans, et se mettent à penser des choses terribles telles que "je vais tuer ma grand-mère", "je n'embrasse pas maman pour ne pas la toucher", "je ne veux pas toucher mon cartable si maman ne l'a pas nettoyé avant". »
« J'ai parfois la douloureuse impression que le pays est devenu une famille maltraitante à l'égard de ses mineurs, où le délire hypocondriaque d'un parent et l'hystérie de l'autre contribueraient à sacrifier l'enfance. On leur transmet la peur, la culpabilité, et la déshumanisation : voir le visage et se toucher sont des éléments essentiels de la survie en société. Nous ne pouvons survivre isolés. Les aires cérébrales liées aux compétences sociales s'atrophient à mesure que le port du masque s'allonge. »
« Les chiffres parlent d'eux-mêmes : les enfants sont absents des services liés au Covid-19, mais les consultations psy et les hospitalisations en pédopsychiatrie ont explosé. (25 % des hospitalisations en pédiatrie sont aujourd'hui en pédopsychiatrie, les tentatives de suicide chez les moins de 15 ans ont considérablement augmenté, certains services de pédopsychiatrie ont vu les admissions multipliées par trois ou quatre l'année dernière). La vague pédopsychiatrique ne baisse pas, elle n'a de cesse d'augmenter depuis un an. […] Il est temps de mettre fin à des décisions qui montent chacun les uns contre les autres et terrorisent nos petits, qui prennent sur eux mais craquent. »
« Il est […] urgent de sortir définitivement de cette inversion des valeurs où les enfants subissent les angoisses des adultes quand c'est aux adultes d'élever (au sens étymologique) les enfants. On peut rassurer les enseignants, les équiper et les respecter sans utiliser les mineurs comme une variable d'ajustement qu'on déplace en fonction du risque de mouvement social. […] Les dégâts physiologiques et psychologiques sur les élèves sont criminels. »
« L'école censée être un lieu d'apprentissage et d'interactions sociales ne doit pas se transformer en lieu de peur et de panique pour les enfants. Chacun sa place : un enfant est sous la responsabilité d'adultes qui doivent garder leur sang-froid. […] Le virus ne doit pas être un prétexte pour des maltraitances insensées telles que mauvais points attribués, humiliations si le masque est sous le nez dans la cour, comme en témoignent les dizaines de messages que je reçois de parents ou d'enseignants alarmés par ces conduites. »
« Le masque pour les enfants est d'une rare violence. C'est une maltraitance physique et psychique, avec des malaises quand les élèves le gardent pour l'escalade en milieu fermé ou pendant le judo à sept ans. L'OMS l'a rappelé. Et j'ai expliqué à de nombreuses reprises tous les éléments pédiatriques, dentaires, psychologiques, ophtalmologiques, cognitifs, émotionnels et psychologiques qui montrent, chiffres à l'appui, les dégâts causés par le masque. […] Les difficultés de concentration sont majeures, ce qui rajoute du travail aux enseignants. Dès le plus jeune âge, on observe des retards de parole en maternelle liés au port du masque chez les adultes. Aussi je pense que chaque enseignant doit porter le masque s'il le souhaite uniquement, car un grand nombre d'entre-eux, conscients de la perte que cela représente pour la relation avec l'élève, et de l'inconfort (migraine, fatigue) que cela leur inflige, souhaiteraient le retirer. »
« Orthophonistes et psychologues sont débordés par ces dégâts. L'urgence sanitaire a changé. C'est la santé des mineurs qui est en péril. »
« Le harcèlement, la peur, l'obsession du virus, l'idée que les enfants sont dangereux, que l'autre est un danger, que le toucher est mauvais, tout cela dessine une société qui ne peut être un tout. Cela engendre méfiance, paranoïa, climat de délation. Les enfants commencent à se dénoncer quand l'un d'entre eux porte mal le masque ! Nous les conditionnons à être la pire version d'un être humain: malade et mauvais. »
« Les phobies scolaires, les troubles d'apprentissage, le chaos lié à l'éviction des élèves ou à la fermeture de classes, la symptomatologie que l'on voit aussi bien en cabinet de ville qu'en pédopsychiatrie sont terrifiants, et je pèse mes mots. Des enfants tristes, apeurés, anxieux, qui dorment mal, font des crises de colère, développent des troubles alimentaires, se désocialisent, sont addicts aux écrans, et se mettent à penser des choses terribles telles que "je vais tuer ma grand-mère", "je n'embrasse pas maman pour ne pas la toucher", "je ne veux pas toucher mon cartable si maman ne l'a pas nettoyé avant". »
« J'ai parfois la douloureuse impression que le pays est devenu une famille maltraitante à l'égard de ses mineurs, où le délire hypocondriaque d'un parent et l'hystérie de l'autre contribueraient à sacrifier l'enfance. On leur transmet la peur, la culpabilité, et la déshumanisation : voir le visage et se toucher sont des éléments essentiels de la survie en société. Nous ne pouvons survivre isolés. Les aires cérébrales liées aux compétences sociales s'atrophient à mesure que le port du masque s'allonge. »
« Les chiffres parlent d'eux-mêmes : les enfants sont absents des services liés au Covid-19, mais les consultations psy et les hospitalisations en pédopsychiatrie ont explosé. (25 % des hospitalisations en pédiatrie sont aujourd'hui en pédopsychiatrie, les tentatives de suicide chez les moins de 15 ans ont considérablement augmenté, certains services de pédopsychiatrie ont vu les admissions multipliées par trois ou quatre l'année dernière). La vague pédopsychiatrique ne baisse pas, elle n'a de cesse d'augmenter depuis un an. […] Il est temps de mettre fin à des décisions qui montent chacun les uns contre les autres et terrorisent nos petits, qui prennent sur eux mais craquent. »
« Comme le révèle Actu Lyon, ce mardi [28 décembre 2021] aux alentours de 10 heures, deux agents de la police municipale ont procédé à plusieurs contrôles de port du masque et de pass sanitaire de clients dans des magasins des 1er et 2e arrondissements de Lyon. »
« Pour rappel, la police municipale n'a le droit d'effectuer ces contrôles que dans des établissements de restauration. De plus, les commerces non alimentaires ne sont pas concernés par le pass sanitaire. »
« L'adjoint au maire de Lyon [chargé] de la Sécurité, Mohamed Chihi, a confirmé les faits à nos confrères d'Actu.fr. Il a, par ailleurs, révélé que d'autres contrôles abusifs avaient été réalisés un peu plus tard. Les deux policiers municipaux ont dû présenter leurs excuses aux commerçants dans l'après-midi. »
« Pour rappel, la police municipale n'a le droit d'effectuer ces contrôles que dans des établissements de restauration. De plus, les commerces non alimentaires ne sont pas concernés par le pass sanitaire. »
« L'adjoint au maire de Lyon [chargé] de la Sécurité, Mohamed Chihi, a confirmé les faits à nos confrères d'Actu.fr. Il a, par ailleurs, révélé que d'autres contrôles abusifs avaient été réalisés un peu plus tard. Les deux policiers municipaux ont dû présenter leurs excuses aux commerçants dans l'après-midi. »
« C'est une situation ubuesque que vit une société de La Séguinière, près de Cholet, dans le Maine-et-Loire. L'entreprise s'était mobilisée, lors du premier confinement, pour produire des masques en tissu. […] Une décision qui, comme le rapporte France 3, la rend désormais non éligible au fonds de solidarité mis en place par l'État, alors que l'entreprise, dépendante du secteur de l'événementiel, a perdu la moitié de son chiffre d'affaires depuis le début de la pandémie. »
« Spécialisée dans le flocage de vêtements, l'entreprise avait adapté son activité pour subvenir aux besoins en masque. Mais la vente de ces accessoires – 400 000 au total aux entreprises locales et pharmacies, le tout presque sans bénéfices – a gonflé artificiellement son chiffre d'affaires l'empêchant aujourd'hui de recevoir les aides de l'État, alors qu'elle risque la faillite. Pire, elle se retrouve avec 25 000 masques invendus, le Gouvernement ayant par la suite privilégié les masques jetables. »
« Du côté du patron, la situation est alarmante : il a dû licencier vingt-deux de ses trente salariés pour tenter de survivre. […] "On a fait un chiffre d'affaires important en 2020, 500 000 euros, mais sans gagner un centime dessus, explique le patron. Par contre, c'est ce qui nous pénalise et qui nous a sortis du fonds de solidarité. C'est ce qui fait que j'ai eu zéro aide, alors que j'aurais pu avoir 350 000 euros". »
« Spécialisée dans le flocage de vêtements, l'entreprise avait adapté son activité pour subvenir aux besoins en masque. Mais la vente de ces accessoires – 400 000 au total aux entreprises locales et pharmacies, le tout presque sans bénéfices – a gonflé artificiellement son chiffre d'affaires l'empêchant aujourd'hui de recevoir les aides de l'État, alors qu'elle risque la faillite. Pire, elle se retrouve avec 25 000 masques invendus, le Gouvernement ayant par la suite privilégié les masques jetables. »
« Du côté du patron, la situation est alarmante : il a dû licencier vingt-deux de ses trente salariés pour tenter de survivre. […] "On a fait un chiffre d'affaires important en 2020, 500 000 euros, mais sans gagner un centime dessus, explique le patron. Par contre, c'est ce qui nous pénalise et qui nous a sortis du fonds de solidarité. C'est ce qui fait que j'ai eu zéro aide, alors que j'aurais pu avoir 350 000 euros". »