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Dès lors que des images ont été diffusées sur une chaîne de télévision, Youtube croit pouvoir en attribuer les droits à celle-ci. Illustration avec des extraits du jeu vidéo Tekken 7, qui se sont retrouvés censurés au nom du groupe Canal Plus – lequel n'avait pourtant rien demandé.
L'immixtion des personnages "non genrés" dans l'Univers étendu : un cas d'école.
Les études de genre se prêtent à de multiples déclinaisons. Exemple : « Le discours sur la traduction a souvent été dominé par des métaphores de genre ou des métaphores liées au genre et aux relations entre les genres (fidélité, loyauté, etc.). Il est donc pertinent d'étudier le rôle que ces métaphores ont joué dans la théorie et la pratique de la traduction, la façon dont elles ont contribué à façonner les textes traduits, et dont elles ont influencé la réception des originaux. La figuration de la relation entre texte source et langue cible n'échappe pas non plus à la logique hiérarchisante qui commande le discours sur le genre et contribue à l'établissement d'un ordre du genre. Ainsi la représentation de la traduction comme une copie imparfaite de l'original, "tirée d'une côte" de l'original qui reste la seule et unique autorité informe-t-elle la conception de la traduction comme "secondaire". »
Sur son site Internet, le conseil départemental d'Ille-et-Vilaine utilise dores et déjà l'écriture inclusive, y compris dans sa forme la plus caricaturale (recours au point médian). « Il apparaît regrettable que les règles grammaticales "invisibilisent" le féminin et consacrent la supériorité du masculin dont on dit qu'il l'emporte sur le féminin », explique-t-il dans un rapport cité par Ouest-France. Selon cette institution, présidée par Jean-Luc Chenut, « les usages courants de la langue se transforment de manière hétérogène, à la recherche de règles plus justes » ; « c'est la raison pour laquelle la collectivité a réuni un groupe de travail pour harmoniser ses écrits mais aussi de promouvoir une communication qui évite de véhiculer des stéréotypes de genre ».
On n'a pas tout compris, mais c'est malgré tout ce qui fait l'intérêt des articles de Challenges : « En son temps, le V8 type N63 fut le premier huit-cylindres à inverser l'orientation des culasses pour concentrer les tubulures d'échappement et les turbocompresseurs au centre du V formé par les deux bancs de cylindres. Avantage de cette disposition baptisée "hot-vee" en anglais : profiter de la pleine vitesse des gaz d'échappement pour entraîner sans délai la turbine des compresseurs d'air et supprimer tout un réseau de conduites devenues inutiles. C'est autant de place et de masse gagnée. Placé au cœur du V, le catalyseur profite lui aussi du surcroît de chaleur pour traiter sans délai les gaz brûlés au démarrage. Raccourcir les veines de gaz brûlants qui alimentent les turbocompresseurs permet de surcroît de limiter les effets de pulsation néfastes qui entament le rendement et allongent le temps de réponse à l'accélérateur. »
Légiférer contre l'obsolescence programmée ? Selon nous, c'est une mauvaise idée. Mais la France risque de faire des émules. Peut-être au Luxembourg, où une pétition lancée à cet effet vient d'être jugée recevable par la Chambre des députés. En conséquence, des signatures seront recueillies jusqu'au 31 janvier 2019. Affaire à suivre.
Outre la connectique, l'évolutivité est en cause également. « Je suis toujours sidéré de voir à quel point les constructeurs ont décidé de restreindre les possibilités techniques des modèles grand public. Moins de connectique signifie moins d'usages ou l'obligation de se trimbaler avec un tas d'accessoires et d'adaptateurs. Sacrifier l'usage pour la forme, à savoir récupérer quatre millimètres d'épaisseur qui n'ont finalement que peu d'impact sur le poids de l'engin mais permettent juste d'en mettre plein la vue à l'achat. »
La question mérite d'être posée. Mais au lieu d'y répondre de façon sérieuse et nuancée, et malgré les relances de son interlocuteur, Sylvie Tissot se vautre dans un parti-pris grotesque : de son point de vue, un lobby serait forcément pervers ; or, à ses yeux, la cause LGBT est noble ; donc, il n'y a pas de lobby LGBT. Affligeant ! Cela n'honore pas les sociologues.
« Premier avantage, des délais d'approvisionnement raccourcis. Ainsi, produire en Europe prend quatre à cinq semaines, contre neuf à dix en Asie. […] L'après-vente constitue aussi un enjeu important. […] Dans le cas d'une production en Asie, le renvoi, le traitement et le retour du bijou, pour mise à taille, malfaçon ou nettoyage, peut durer trois mois. Un délai inacceptable. Avec une production en Europe, le délai est ramené à trois semaines. La stratégie de Mauboussin permet également de gérer au plus près les stocks, tout en amortissant les à-coups des ventes. »
Selon Marie-Laurence Flahaux, démographe, « l'éventualité d'un retour est toujours présente et fait partie de la stratégie de mobilité de tout migrant ». Dans le cas des Sénégalais et des Congolais arrivés en Europe entre 1960 et 2009, précise-t-elle, « les retours effectifs vers l'Afrique ont été nombreux ». Mais « seuls 11 % des Sénégalais et 3 % des Congolais ayant effectué un retour l'imputent à l'absence de titre de séjour régulier en Europe ». De toute façon, « les retours peuvent donner lieu à de nouvelles migrations si l'installation n'a été ni voulue ni préparée ». D'ailleurs, « la part des Sénégalais de retour qui repartent en Europe est impressionnante » ! Paradoxalement, « les politiques restreignant l'accès des migrants à l'Europe […] ont un effet négatif sur les retours ». En résumé : « plus il est difficile de migrer vers l'Europe, moins les migrants retournent dans leur pays d'origine ».
Il s'agit du prince Akishino. Selon lui, l'État ne devrait pas directement financer le rituel shinto qui accompagnera prochainement l'intronisation de son frère aîné, le prince Naruhito, appelé à devenir empereur en novembre 2019. Il prétend ainsi s'ériger en défenseur de la Constitution… tout en prenant le risque de la bafouer en s'exprimant à ce sujet.
D'accord avec Alain-Gabriel Verdevoye : « on peut se poser des questions sur la vertu écologique d’un engin de 2,5 tonnes qui trimballe en permanence 700 kilos de batteries » – lequel n'en bénéficie pas moins d'un bonus de 6 000 euros. Pour le reste, cette voiture se montre « avare de sensations » ; elle « préfigure un monde totalement aseptisé sans la moindre aspérité ». C'était mieux avant !
C'est en tout cas ce qu'exige la justice administrative. La loi est mal faite. Son application s'avère regrettable. Mais il faut s'indigner aussi du dévoiement de ce symbole à des fins politique. Triste !
« Si on excepte la Bulgarie, tous sont issus (peu ou prou) du démembrement de l'Empire austro-hongrois. […] Ce sont souvent des pays qui ont dû faire face à une vague à laquelle ils n'étaient pas préparés politiquement ou historiquement. Des pays où les contours du territoire, voire l'indépendance de l'État même, sont récents, et qui ont alors un besoin viscéral d'affirmer à la fois le contrôle de leurs frontières et leur capacité de diriger. On n'est pas uniquement dans de la politique pure, mais dans de la psychologie collective, qu'entretiennent ces gouvernements… ou qu'ils reflètent. »
Il y a une double actualité pour Saint Seiya : tandis que Netflix lève le voile sur sa version 3D, où Shun est émasculé, une série d'animation débute sa diffusion. Ici, ce sont des femmes, et seulement des femmes, qui jouent les premiers rôles. Peut-être que cela jure, là aussi, avec la série d'origine, mais sans vraiment la dénaturer cette fois-ci, puisqu'il s'agit d'un spin-off et non d'un remake.
Une retranscription plus complète des explications données par le scénariste du remake : « Il y a trente ans, qu'un groupe d'hommes se batte pour sauver le monde, sans femmes à leurs côtés, n'était pas un problème. Mais désormais c'en est un. Notre monde a changé. Le public est désormais habitué à voir des hommes et des femmes traités d'égal à égal, et mettre en scène des personnages exclusivement masculins aurait pu être interprété comme un message que nous chercherions à envoyer. Si vous trouvez ce changement de sexe bizarre, je comprends tout à fait. Même lors de nos échanges avec la Toei, nous nous sommes demandé si nous avions pris la bonne décision. »
En cause : la présence au capital du gouvernement du pays de Galles. Cela « fait passer le petit constructeur dans la catégorie des entreprises soumises à obligation d'effectuer des appels d'offre à l'échelon européen ». C'est pourquoi l'édification de son usine va prendre quelques mois de retard, le temps de boucler la procédure.
Cette pétition rend compte de situations kafkaïennes, où des gens se retrouvent à devoir rembourser des prêts qu'ils n'ont jamais souscrits, où ils sont affublés d'un casier judiciaire bien rempli sans avoir jamais commis aucun délit… Un vrai cauchemar !
Les clients de Volkswagen et de ses filiales, comme le suggère la possibilité qui leur est offerte de porter plainte ? On voit mal en quoi ils ont vraiment été lésés : ce n'est pas quand on circule à bord d'une voiture qu'on est le plus exposé à ses gaz d'échappement.
Cela rejoint notre partage précédent : « La principale avancée concernant l'ISF se situe au niveau des entreprises familiales qui n'auront plus à jongler avec l'exonération de biens professionnels ou le Pacte Dutreil . Avant, si une famille actionnaire devait passer en dessous de 25 % du capital pour permettre à son entreprise de se développer, elle ne le pouvait pas à cause de l'ISF. On voyait des sociétés qui imposaient un membre de la famille comme directeur général pour respecter les conditions du Pacte Dutreil. […] L'efficacité de la fin de l'ISF, vous ne pouvez pas la démontrer par de la macroéconomie mais par des études de cas. »