4242 shaares
« Le projet de loi "Séparatisme" réserve chaque jour de nouvelles surprises. […] En l'occurrence, la notion d'"identité de genre" s'invite à l'occasion d'une réforme de l'article L212-1 du Code de Sécurité intérieure qui encadre la dissolution en Conseil des ministres de certaines associations. […] L'article 8 du projet de loi "Séparatisme" met à jour et étend les caractéristiques des associations susceptibles d'être dissoutes. »
« Pourront ainsi désormais l'être celles qui "provoquent à des manifestations armées ou à des agissements violents à l'encontre des personnes ou des biens", "qui présentent, par leur forme ou leur organisation militaires, le caractère de groupes de combat ou de milices privées", ou qui "tendent" à porter atteinte ("ont pour but" dans la législation actuelle) à "[par la force] à la forme républicaine du Gouvernement". Pour les associations qui provoquent "à la discrimination, à la haine ou à la violence", il suffira maintenant qu'elles y "contribuent" pour se voir dissoutes. C'est là que s'invite la notion d'"identité de genre". »
« Selon le projet de loi, pourront ainsi être dissoutes en Conseil des ministres les associations qui "soit contribuent par leurs agissements, à la discrimination, à la haine ou à la violence envers les personnes" en raison de "leur sexe, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre", "soit propagent des idées ou théories tendant à justifier ou encourager cette discrimination, cette haine ou cette violence". Le texte ajoute donc "l'orientation sexuelle" et "l'identité de genre" aux autres motifs déjà présents dans la législation : l'origine, l'appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. »
« Pourront ainsi désormais l'être celles qui "provoquent à des manifestations armées ou à des agissements violents à l'encontre des personnes ou des biens", "qui présentent, par leur forme ou leur organisation militaires, le caractère de groupes de combat ou de milices privées", ou qui "tendent" à porter atteinte ("ont pour but" dans la législation actuelle) à "[par la force] à la forme républicaine du Gouvernement". Pour les associations qui provoquent "à la discrimination, à la haine ou à la violence", il suffira maintenant qu'elles y "contribuent" pour se voir dissoutes. C'est là que s'invite la notion d'"identité de genre". »
« Selon le projet de loi, pourront ainsi être dissoutes en Conseil des ministres les associations qui "soit contribuent par leurs agissements, à la discrimination, à la haine ou à la violence envers les personnes" en raison de "leur sexe, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre", "soit propagent des idées ou théories tendant à justifier ou encourager cette discrimination, cette haine ou cette violence". Le texte ajoute donc "l'orientation sexuelle" et "l'identité de genre" aux autres motifs déjà présents dans la législation : l'origine, l'appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. »
« Faut-il remplacer sa chaudière au seul prétexte que des pièces de remplacement ne sont plus disponibles, ou seulement en quantité limitée ? » La question est posée ici par un média suisse.
Et de citer la lettre d'un installateur expliquant à l'un de ses clients « que les automates de combustion, des composants électroniques au cœur du dispositif intégré, ne pourront plus être remplacés en cas de panne ». Cela, une vingtaine d'année après la mise en place du système de chauffage en question. « Le moment est venu de réfléchir concrètement à la modernisation de votre chauffage », annonce l'entreprise, offre commerciale à l'appui.
« Nous sommes liés à nos fournisseurs et la production de cette pièce a été stoppée », se justifie son directeur. « Nous préférons mettre nos clients en garde et leur permettre d'anticiper », précise-t-il, car « sur ce modèle, en cas de panne de l'automate de combustion et si la pièce de rechange n'est plus disponible, il faudra remplacer toute l'installation, ce qui peut impliquer un temps d'attente ». Cependant, conclut-il, « il nous arrive toutefois de réparer des chaudières âgées de plus de trente ans, voire bien au-delà ». Dont acte.
Et de citer la lettre d'un installateur expliquant à l'un de ses clients « que les automates de combustion, des composants électroniques au cœur du dispositif intégré, ne pourront plus être remplacés en cas de panne ». Cela, une vingtaine d'année après la mise en place du système de chauffage en question. « Le moment est venu de réfléchir concrètement à la modernisation de votre chauffage », annonce l'entreprise, offre commerciale à l'appui.
« Nous sommes liés à nos fournisseurs et la production de cette pièce a été stoppée », se justifie son directeur. « Nous préférons mettre nos clients en garde et leur permettre d'anticiper », précise-t-il, car « sur ce modèle, en cas de panne de l'automate de combustion et si la pièce de rechange n'est plus disponible, il faudra remplacer toute l'installation, ce qui peut impliquer un temps d'attente ». Cependant, conclut-il, « il nous arrive toutefois de réparer des chaudières âgées de plus de trente ans, voire bien au-delà ». Dont acte.
« Les collisions entre un sous-marin et un navire de surface ne sont pas aussi rares qu'on pourrait le penser. En vingt ans, on compte au moins six incidents de ce type et une suspicion (naufrage du Bugaled Breizh, en 2004). Et un autre est venu s'ajouter à la liste. En effet, le 8 février, l'un des onze sous-marin japonais appartenant à la classe Sōryū est entré en collision avec un navire commercial, alors qu'il naviguait à vingt-sept nautiques au sud-est du cap Ashizuri, au large de l'île de Shikoku. »
« Selon les autorités nippones, trois sous-mariniers ont été légèrement blessé. Quant au sous-marin, il a apparemment subi des dégâts au niveau de son massif, son aileron tribord ayant été brisé. Ses systèmes de communication ont également été endommagés… Ce qui explique la raison pour laquelle il a fallu plus de trois heures à l'équipage pour alerter les secours. […] L'hypothèse d'une erreur humaine est pour le moment privilégiée. Les investigations devront permettre de vérifier si le commandant du sous-marin a respecté les procédures avant de faire surface. »
« Pour connaître la situation à la surface, un sous-marin pourrait utiliser un sonar actif. Sauf que, dans ce cas, il trahirait sa position, ce qui n'est évidemment pas le but recherché. En revanche, un sonar passif, qui ne fait qu'écouter sans rien émettre, peut permettre de repérer un navire de surface. Mais cette solution n'est pas garantie à 100%. Un autre moyen est de faire une vérification périscopique. C'est sans doute ce qu'a voulu faire le commandant du le JS Sōryū SS 501, selon des sources du ministère japonais de la Défense. Le sous-marin "n'a pas pu détecter le navire avec son sonar et il n'a remarqué le navire que lorsqu'il a sorti son périscope. À ce moment-là, il ne pouvait pas changer de vitesse et a fini par toucher la coque du vraquier," ont-elles expliqué. »
« Quoi qu'il en soit, faire surface est l'une des manœuvres les plus délicates pour un sous-marin. Le nombre de collisions ayant eu lieu ces dernières années tendent à le montrer. C'est d'ailleurs l'une des explications avancées pour expliquer le naufrage de la Minerve, dont l'équipage a été retrouvée en juillet 2019, plus de cinquante ans après sa disparition. »
« Selon les autorités nippones, trois sous-mariniers ont été légèrement blessé. Quant au sous-marin, il a apparemment subi des dégâts au niveau de son massif, son aileron tribord ayant été brisé. Ses systèmes de communication ont également été endommagés… Ce qui explique la raison pour laquelle il a fallu plus de trois heures à l'équipage pour alerter les secours. […] L'hypothèse d'une erreur humaine est pour le moment privilégiée. Les investigations devront permettre de vérifier si le commandant du sous-marin a respecté les procédures avant de faire surface. »
« Pour connaître la situation à la surface, un sous-marin pourrait utiliser un sonar actif. Sauf que, dans ce cas, il trahirait sa position, ce qui n'est évidemment pas le but recherché. En revanche, un sonar passif, qui ne fait qu'écouter sans rien émettre, peut permettre de repérer un navire de surface. Mais cette solution n'est pas garantie à 100%. Un autre moyen est de faire une vérification périscopique. C'est sans doute ce qu'a voulu faire le commandant du le JS Sōryū SS 501, selon des sources du ministère japonais de la Défense. Le sous-marin "n'a pas pu détecter le navire avec son sonar et il n'a remarqué le navire que lorsqu'il a sorti son périscope. À ce moment-là, il ne pouvait pas changer de vitesse et a fini par toucher la coque du vraquier," ont-elles expliqué. »
« Quoi qu'il en soit, faire surface est l'une des manœuvres les plus délicates pour un sous-marin. Le nombre de collisions ayant eu lieu ces dernières années tendent à le montrer. C'est d'ailleurs l'une des explications avancées pour expliquer le naufrage de la Minerve, dont l'équipage a été retrouvée en juillet 2019, plus de cinquante ans après sa disparition. »
« La Formule 1 reconduit en 2021 un moment de recueillement avant les Grands Prix, comme en 2020 contre le racisme, a-t-elle annoncé dans un communiqué mercredi. […] En 2021, par contre, les monoplaces et le paddock ne seront plus ornés de l'arc-en-ciel en hommage aux luttes contre le racisme et le Covid-19. L'instance dirigeante de la catégorie assure tout de même demeurer engagée autour des problématiques environnementales (hybridation des moteurs, biocarburants, usage de plastiques...) et de diversité (stages et bourses à destination des minorités...). »
« C'est avec amertume que les usagers du réseau urbain d'Amiens ont découvert que les bus électriques Irizar Ie-Tram ne circulaient pas hier. La raison de l'arrêt de la quasi-totalité du réseau est la vague de froid qui a gagné le nord de la France. […] En cause, des pompes à chaleur trop peu efficaces et des bouteilles d'air gelées. »
« Si la température à bord des bus électriques peinait à atteindre les 10 °C à cause des températures très basses, le vrai problème se situe au niveau du circuit pneumatique des véhicules. Fonctionnant à l'aide de bouteilles d'air comprimé, de la condensation s'est formée à l'intérieur. Le gel a ensuite fait son effet. Les circuits d'air permettant de libérer le système de freinage sont restés coincés. »
« Finalement, ce sont 37 véhicules sur 43 qui sont restés coincés sur le parc du réseau Ametis. Certains ont pu être remplacés par des véhicules de réserve d'ancienne génération. […] Les techniciens du constructeur Irizar devaient se rendre sur place […] pour tenter de remédier aux différents problèmes rencontrés. La Métropole d'Amiens a investi plus de 40 millions d'euros dans ses 43 véhicules mis en service au printemps 2019. Son représentant, Alain Gest, a déclaré à France Bleu Picardie qu'il n'avait que très rarement vu les quarante-trois véhicules fonctionner tous en même temps. »
« Sur les véhicules de type poids-lourd, fonctionnant avec un circuit pneumatique pour le freinage, il existait des systèmes de purge de la condensation pour éviter ce problème. Le conducteur ou un mécanicien devait régulièrement tirer sur une languette sous le véhicule qui libérait un orifice en bas des bouteilles d'air prévues pour évacuer l'eau qui avait pu se former à l'intérieur. Reste à savoir si les véhicules d'Irizar en sont encore pourvus de nos jours et si le système n'a pas été automatisé pour éviter aux conducteurs ou aux services techniques des transporteurs de devoir le faire. Quoi qu'il en soit, la motorisation électrique n'a rien à voir avec le fond du problème. Du moins pour la partie freinage. »
« Le système de pompe à chaleur équipant ce type de véhicule montre néanmoins ses limites dans des conditions hivernales. Certains constructeurs d'autobus, tels que MAN, proposent en option des systèmes de chauffage auxiliaire fonctionnant au gasoil sur ces véhicules pour les journées les plus froides. »
« Si la température à bord des bus électriques peinait à atteindre les 10 °C à cause des températures très basses, le vrai problème se situe au niveau du circuit pneumatique des véhicules. Fonctionnant à l'aide de bouteilles d'air comprimé, de la condensation s'est formée à l'intérieur. Le gel a ensuite fait son effet. Les circuits d'air permettant de libérer le système de freinage sont restés coincés. »
« Finalement, ce sont 37 véhicules sur 43 qui sont restés coincés sur le parc du réseau Ametis. Certains ont pu être remplacés par des véhicules de réserve d'ancienne génération. […] Les techniciens du constructeur Irizar devaient se rendre sur place […] pour tenter de remédier aux différents problèmes rencontrés. La Métropole d'Amiens a investi plus de 40 millions d'euros dans ses 43 véhicules mis en service au printemps 2019. Son représentant, Alain Gest, a déclaré à France Bleu Picardie qu'il n'avait que très rarement vu les quarante-trois véhicules fonctionner tous en même temps. »
« Sur les véhicules de type poids-lourd, fonctionnant avec un circuit pneumatique pour le freinage, il existait des systèmes de purge de la condensation pour éviter ce problème. Le conducteur ou un mécanicien devait régulièrement tirer sur une languette sous le véhicule qui libérait un orifice en bas des bouteilles d'air prévues pour évacuer l'eau qui avait pu se former à l'intérieur. Reste à savoir si les véhicules d'Irizar en sont encore pourvus de nos jours et si le système n'a pas été automatisé pour éviter aux conducteurs ou aux services techniques des transporteurs de devoir le faire. Quoi qu'il en soit, la motorisation électrique n'a rien à voir avec le fond du problème. Du moins pour la partie freinage. »
« Le système de pompe à chaleur équipant ce type de véhicule montre néanmoins ses limites dans des conditions hivernales. Certains constructeurs d'autobus, tels que MAN, proposent en option des systèmes de chauffage auxiliaire fonctionnant au gasoil sur ces véhicules pour les journées les plus froides. »
« Yoshiro Mori va quitter la présidence du comité d'organisation des JO de Tokyo (Tocog). […] Révélée jeudi 11 février par la presse nippone, la démission de M. Mori, quatre-vingt-trois ans, devrait être actée le vendredi, lors d'une réunion du comité d'organisation décidée dans l'urgence, en présence du président du Comité international olympique, Thomas Bach, de la ministre des Jeux olympiques, Seiko Hashimoto, et de la gouverneure de Tokyo, Yuriko Koike, qui avait annoncé qu'elle n'y participerait pas si la situation autour de l'affaire Mori "ne s'améliorait pas". »
« Les participants vont discuter de la succession de M. Mori, avec l'espoir qu'elle calme la tempête déclenchée par les propos du démissionnaire, qui avait déploré le 3 février que "les conseils d'administration avec beaucoup de femmes prennent beaucoup de temps", car elles ont, selon lui, "du mal à finir" leurs interventions. Ses excuses formulées du bout des lèvres le lendemain n'avaient fait qu'exacerber la colère provoquée. »
« Une pétition lancée le 4 février et appelant à des "sanctions appropriées" a réuni en une semaine près de cent cinquante mille signatures. Le 7 février, 60 % des Japonais estimaient dans un sondage que M. Mori n'avait plus sa place à la tête du Tocog, et quelque quatre cent quarante bénévoles ont décidé de renoncer à leur mission. A l'international, les critiques se sont multipliées. »
« Du côté du gouvernement japonais, l'idée du départ de M. Mori semblait inenvisageable en raison de son influence et de son rôle central dans la préparation des JO. […] M. Mori reste l'artisan du succès de la coupe du monde de rugby organisée en 2019 dans l'archipel. […] Le Premier ministre, Yoshihide Suga a considéré ainsi ses propos comme "s'écartant complètement de l'importante philosophie olympique en faveur de l'égalité des genres". Mais il n'a pas appelé à sa démission. Idem du côté du Keidanren, la puissante confédération patronale nippone. "S'il démissionne, il n'y aura pas de Jeux olympiques. Nous avons besoin de lui. Il faut qu'il continue, quel qu'en soit le prix", déclarait le 8 février une source gouvernementale. »
« C'était sans compter la colère des sponsors nippons. […] "Nous sommes déçus par les récents commentaires du président du Tocog, qui sont contraires aux valeurs que Toyota respecte et soutient", a déclaré, le 10 février, Akio Toyoda, patron du tout-puissant constructeur automobile. […] Plus tôt, le brasseur Asahi avait trouvé les propos de M. Mori "décevants et inappropriés, alors que les JO promeuvent l'égalité des genres". Le groupe pétrolier Eneos a, lui, "déploré les propos sexistes" du président du comité. L'évolution de la situation a aussi poussé le Comité international olympique à revoir son positionnement : ayant initialement déclaré que l'affaire était close après les excuses de M. Mori, il a finalement qualifié le 9 septembre ses commentaires d'"absolument inappropriés". »
« Les participants vont discuter de la succession de M. Mori, avec l'espoir qu'elle calme la tempête déclenchée par les propos du démissionnaire, qui avait déploré le 3 février que "les conseils d'administration avec beaucoup de femmes prennent beaucoup de temps", car elles ont, selon lui, "du mal à finir" leurs interventions. Ses excuses formulées du bout des lèvres le lendemain n'avaient fait qu'exacerber la colère provoquée. »
« Une pétition lancée le 4 février et appelant à des "sanctions appropriées" a réuni en une semaine près de cent cinquante mille signatures. Le 7 février, 60 % des Japonais estimaient dans un sondage que M. Mori n'avait plus sa place à la tête du Tocog, et quelque quatre cent quarante bénévoles ont décidé de renoncer à leur mission. A l'international, les critiques se sont multipliées. »
« Du côté du gouvernement japonais, l'idée du départ de M. Mori semblait inenvisageable en raison de son influence et de son rôle central dans la préparation des JO. […] M. Mori reste l'artisan du succès de la coupe du monde de rugby organisée en 2019 dans l'archipel. […] Le Premier ministre, Yoshihide Suga a considéré ainsi ses propos comme "s'écartant complètement de l'importante philosophie olympique en faveur de l'égalité des genres". Mais il n'a pas appelé à sa démission. Idem du côté du Keidanren, la puissante confédération patronale nippone. "S'il démissionne, il n'y aura pas de Jeux olympiques. Nous avons besoin de lui. Il faut qu'il continue, quel qu'en soit le prix", déclarait le 8 février une source gouvernementale. »
« C'était sans compter la colère des sponsors nippons. […] "Nous sommes déçus par les récents commentaires du président du Tocog, qui sont contraires aux valeurs que Toyota respecte et soutient", a déclaré, le 10 février, Akio Toyoda, patron du tout-puissant constructeur automobile. […] Plus tôt, le brasseur Asahi avait trouvé les propos de M. Mori "décevants et inappropriés, alors que les JO promeuvent l'égalité des genres". Le groupe pétrolier Eneos a, lui, "déploré les propos sexistes" du président du comité. L'évolution de la situation a aussi poussé le Comité international olympique à revoir son positionnement : ayant initialement déclaré que l'affaire était close après les excuses de M. Mori, il a finalement qualifié le 9 septembre ses commentaires d'"absolument inappropriés". »
« Le conseil académique de San Francisco a voté en faveur de la destitution de Lincoln, de sept autres présidents des États-Unis, de trois anciens maires de la ville et d'une vingtaine d'autres notables et pour que leurs noms soient retirés d'écoles publiques parce qu'il s'agissait soit de racistes, soit de conquistadors, ou parce qu'ils avaient un lien avec l'esclavage, le racisme ou l'oppression. »
« Le lycée Mission et le collège Presidio se sont également retrouvés sur la liste. Le couperet n'a même pas épargné ce qui est le nom d'un mythe : El Dorado. Quant à Alamo, mieux vaut l'oublier. Washington, Jefferson, Daniel Webster, Paul Revere, John Muir, Robert Louis Stevenson, Francis Scott Key et James Marshall, dont la découverte a déclenché la ruée vers l'or qui a transformé la Californie, tous sont désormais exclus. La sénatrice démocrate Dianne Feinstein est la seule personne vivante sur la liste. Quand elle était maire, elle avait ordonné qu'un drapeau confédéré arraché par des manifestants soit remis à sa place dans une salle de la mairie. C'était il y a trente-six ans. »
« Le lycée Mission et le collège Presidio se sont également retrouvés sur la liste. Le couperet n'a même pas épargné ce qui est le nom d'un mythe : El Dorado. Quant à Alamo, mieux vaut l'oublier. Washington, Jefferson, Daniel Webster, Paul Revere, John Muir, Robert Louis Stevenson, Francis Scott Key et James Marshall, dont la découverte a déclenché la ruée vers l'or qui a transformé la Californie, tous sont désormais exclus. La sénatrice démocrate Dianne Feinstein est la seule personne vivante sur la liste. Quand elle était maire, elle avait ordonné qu'un drapeau confédéré arraché par des manifestants soit remis à sa place dans une salle de la mairie. C'était il y a trente-six ans. »
On a vu passer des messages d'indignation à ce sujet. Aussi cette mise au point n'est-elle pas inutile. Une fois les faits connus, chacun pourra se faire son idée.
« Elle a trente ans cette année mais elle n'a pas attendu d'être une ancienne pour voir ses prix grimper. Et pour le coup cela ne s'arrête pas. Pourtant cela fait quelques années que l'Alpine A610 n'est plus la dernière Alpine, mais cela n'a pas entamé le fait qu'elle soit recherchée. Ah, le fait qu'elle soit plutôt rare aide également. »
« Selon un sondage Opinion Way pour Contrepoints […], 37 % des Français estiment que les barrières commerciales devraient être baissées au moins si les autres pays le font (et 13 % de manière unilatérale), 31 % pensent qu'il faudrait les maintenir ou les augmenter et 29 % sont sans opinion. »
« Ainsi, 3 Français sur 10 pensent que le pays "devrait maintenir ou augmenter ses barrières commerciales, car cela protégerait les entreprises françaises contre l'importation de produits de concurrents étrangers, même si cela a un effet négatif sur les consommateurs français et les producteurs français des secteurs d'exportation". »
« Presque 4 Français sur dix estiment au contraire que la France devrait baisser ses barrières commerciales. Parmi eux, ils sont 24 % à répondre que "la France ne devrait abaisser ses barrières commerciales que si d'autres pays le font, car c'est la seule façon de les inciter à ouvrir leurs marchés" et 13 % à préférer que la pays baisse "ses barrières commerciales même si les autres pays ne le font pas, car les consommateurs pourraient acheter des produits importés moins chers et la concurrence étrangère inciterait les entreprises françaises à améliorer la qualité et les prix de leurs produits." »
« Contrairement aux idées reçues, ce sondage révèle donc que les Français sont plus enclins au libre-échange qu'au protectionnisme.[…] On dit que les plus modestes seraient opposés au libre-échange ? C’est faux : les employés et ouvriers sont les plus susceptibles de vouloir un libre-échange unilatéral. »
« Ainsi, 3 Français sur 10 pensent que le pays "devrait maintenir ou augmenter ses barrières commerciales, car cela protégerait les entreprises françaises contre l'importation de produits de concurrents étrangers, même si cela a un effet négatif sur les consommateurs français et les producteurs français des secteurs d'exportation". »
« Presque 4 Français sur dix estiment au contraire que la France devrait baisser ses barrières commerciales. Parmi eux, ils sont 24 % à répondre que "la France ne devrait abaisser ses barrières commerciales que si d'autres pays le font, car c'est la seule façon de les inciter à ouvrir leurs marchés" et 13 % à préférer que la pays baisse "ses barrières commerciales même si les autres pays ne le font pas, car les consommateurs pourraient acheter des produits importés moins chers et la concurrence étrangère inciterait les entreprises françaises à améliorer la qualité et les prix de leurs produits." »
« Contrairement aux idées reçues, ce sondage révèle donc que les Français sont plus enclins au libre-échange qu'au protectionnisme.[…] On dit que les plus modestes seraient opposés au libre-échange ? C’est faux : les employés et ouvriers sont les plus susceptibles de vouloir un libre-échange unilatéral. »
« Désormais, les ateliers indépendants vont pouvoir réparer les véhicules Tesla. […] Ainsi, ils peuvent consulter le site web de Tesla délivrant les informations sur la réparation. Ils ont également accès au logiciel de diagnostic et de programmation du constructeur américain. Là où le bât blesse, c'est sur les modalités de cet accès. Tesla facture la consultation du site web 30 euros de l'heure. Pour le logiciel de diagnostic et de programmation, l'entreprise demande pas moins de 125 euros de l'heure. […] S'ils souhaitent rentrer dans leurs frais, les réparateurs indépendants devront forcément répercuter ce surcoût à leurs clients. D'après l'association industrielle allemande ZDK, une telle tarification rend impossible un "service comparable aux ateliers Tesla agréés". Elle compte prendre à nouveau contact avec la Commission européenne "afin d'obtenir une amélioration". »
« Tout ne s'est pas passé comme prévu, raconte un des fondateurs du projet. […] Le manque de soleil à l'endroit où ils ont été installés a empêché la pompe d'évacuer l'urine dans le réservoir prévu à cet effet. Un problème d'emplacement donc… "On a décidé de l'emplacement des urinoirs en février. Il n'y avait alors pas une feuille sur les arbres. Maintenant, il y a un platane et c'est beaucoup moins ensoleillé", concède Benjamin Clouet de la société Ecosec. Résultat : des traces d'urine sur le trottoir, des odeurs incommodantes, des plantes vertes asséchées et le bois qui entoure les urinoirs qui se détériore de jour en jour. Dans un premier temps, Benjamin Clouet espérait solutionner la question en changeant son emplacement sur le trottoir d'en face, mais rien n'y a fait. »
« La révolution néopuritaine qui fait rage dans les universités américaines serait-elle en train de gagner la France ? On peut le craindre. Déjà, les annulations et les tentatives d'annulation de conférences sont légion. […] L'an dernier, l'enseignante de la Sorbonne Yana Grinshpun s'est fait refuser la publication d'un texte sous prétexte qu'il ne respectait pas les règles de l'"écriture inclusive", ce code impraticable devenu le nouveau drapeau rouge des militantes féministes les plus radicales. »
« Ce que Grinshpun nomme la "radicalisation progressive de l'espace universitaire" a déjà atteint aux États-Unis des sommets stratosphériques. En 2018, les chercheurs américains Helen Pluckrose, James Lindsay et Peter Boghossian en avaient fait la démonstration par l'absurde. Ils rédigèrent une vingtaine d'articles truffés d'enquêtes bidon et de statistiques bidouillées flattant tous dans le sens du poil les nouvelles idéologies radicales à la mode. L'un d'eux affirmait démontrer qu'une "rampante culture du viol" sévissait chez les chiens, dont certaines races souffraient d'une "oppression systémique". Un autre dénonçait l'astrologie comme une pratique masculiniste et sexiste afin de lui opposer "une astrologie féministe, queer et indigéniste". Au moment où le canular fut révélé, sept de ces articles avaient été acceptés, sept autres étaient à l'étape du comité de lecture et six seulement avaient été refusés. »
« Un dernier, mais non le moindre, reproduisait un extrait de Mein Kampf où l'on avait simplement remplacé les Juifs par les Blancs. Il fut refusé, mais reçut les éloges de plusieurs universitaires chevronnés. Les auteurs de ce coup fumant entendaient ainsi démontrer à quel point ce qu'ils nomment les "grievance studies" – que l'on pourrait traduire par "facultés de la récrimination" ou des "doléances" – a substitué l'idéologie à l'étude des faits. »
« Ce que Grinshpun nomme la "radicalisation progressive de l'espace universitaire" a déjà atteint aux États-Unis des sommets stratosphériques. En 2018, les chercheurs américains Helen Pluckrose, James Lindsay et Peter Boghossian en avaient fait la démonstration par l'absurde. Ils rédigèrent une vingtaine d'articles truffés d'enquêtes bidon et de statistiques bidouillées flattant tous dans le sens du poil les nouvelles idéologies radicales à la mode. L'un d'eux affirmait démontrer qu'une "rampante culture du viol" sévissait chez les chiens, dont certaines races souffraient d'une "oppression systémique". Un autre dénonçait l'astrologie comme une pratique masculiniste et sexiste afin de lui opposer "une astrologie féministe, queer et indigéniste". Au moment où le canular fut révélé, sept de ces articles avaient été acceptés, sept autres étaient à l'étape du comité de lecture et six seulement avaient été refusés. »
« Un dernier, mais non le moindre, reproduisait un extrait de Mein Kampf où l'on avait simplement remplacé les Juifs par les Blancs. Il fut refusé, mais reçut les éloges de plusieurs universitaires chevronnés. Les auteurs de ce coup fumant entendaient ainsi démontrer à quel point ce qu'ils nomment les "grievance studies" – que l'on pourrait traduire par "facultés de la récrimination" ou des "doléances" – a substitué l'idéologie à l'étude des faits. »
« Dans une nouvelle page de support, Apple explique que certains utilisateurs sont affectés par un problème : la batterie ne se recharge pas au-delà de 1 %. Sans plus de précision, l'entreprise précise que le nombre de personnes concernées est limité. Les modèles présentant ce problème ont été produits en 2016 et 2017. »
Ce réfrigérateur – un General Electric DE30 – est apparemment devenu célèbre outre-Manche. Acheté en 1954, il fonctionnerait toujours aujourd'hui… même si son propriétaire « a fini par acquérir un engin plus récent pour économiser sur sa facture d'électricité », comme le rapporte Marion Lagardère sur France Info le 8 février 2021.
De son point de vue, cependant, « le frigo d'Edmund Garrod est devenu non pas l'archétype du vieux tas de ferraille vorace à éliminer, mais au contraire, un modèle de longévité comme on n'en fait plus, un symbole de résistance à l'obsolescence programmée ». Vraiment ?
« Le Daily Mail a reçu des dizaines et des dizaines de courriers de lecteurs accompagnés de photos où ils posent fièrement à côté de leurs appareils encore en état de marche », poursuit-elle : « Brenda, quatre-vingt quatorze ans, avec son réfrigérateur acheté en 1960, Steve et la tondeuse en bakélite acquise par sa mère en 1941 » ; « on a aussi un sèche-cheveux de 1968, un micro-ondes de 1985, ou encore un sèche-linge reçu en cadeau de mariage en 1969 ». « Tous fonctionnent », souligne-t-elle, opposant leur longévité à la faible espérance de vie attribuée aux produits d'aujourd'hui.
Ce faisant, elle élude une question (très) importante : où sont passés tous les autres appareils produits à la même époque ? Méfions nous du "biais du survivant" !
De son point de vue, cependant, « le frigo d'Edmund Garrod est devenu non pas l'archétype du vieux tas de ferraille vorace à éliminer, mais au contraire, un modèle de longévité comme on n'en fait plus, un symbole de résistance à l'obsolescence programmée ». Vraiment ?
« Le Daily Mail a reçu des dizaines et des dizaines de courriers de lecteurs accompagnés de photos où ils posent fièrement à côté de leurs appareils encore en état de marche », poursuit-elle : « Brenda, quatre-vingt quatorze ans, avec son réfrigérateur acheté en 1960, Steve et la tondeuse en bakélite acquise par sa mère en 1941 » ; « on a aussi un sèche-cheveux de 1968, un micro-ondes de 1985, ou encore un sèche-linge reçu en cadeau de mariage en 1969 ». « Tous fonctionnent », souligne-t-elle, opposant leur longévité à la faible espérance de vie attribuée aux produits d'aujourd'hui.
Ce faisant, elle élude une question (très) importante : où sont passés tous les autres appareils produits à la même époque ? Méfions nous du "biais du survivant" !
« Mon dernier souvenir, c'est un baiser qu'il a fait de sa main avant que la porte de l'ambulance se referme. J'ai pu avoir de ses nouvelles car il avait son téléphone. Mais le corps médical ne m'en a jamais donné, je suis donc restée quatre jours sans savoir ce qui se passait. Et, bien sûr, interdiction de le voir. Après quatre jours, j'ai enfin un médecin qui m'a dit que son état était grave mais qu'on ne le mettait pas en réanimation parce qu'il n'avait pas de pathologie particulière. »
« Mon père est mort seul, sans qu'on puisse le visiter, le soutenir, et je l'ai vu juste quelques minutes une fois décédé. On m'a appelée, le médecin m'a dit qu'il était désolé mais que cela avait été très vite, il n'avait pas eu le temps de me prévenir. On m'a dit d'apporter des vêtements, je l'ai aperçu sur son lit de mort quelques instants. Finalement, ils m'ont dit qu'ils n'avaient pas besoin des habits. Je suis redescendue, dans un état second, les déposer dans ma voiture. Quand je suis revenue, mon père avait été mis dans une housse, avec les vêtements qu'il avait en arrivant à l'hôpital pliés sur la housse. Ils ne l'avaient pas habillé. Plus de possibilité, ensuite, malgré mon insistance, pour le voir. Même pas dans le cercueil. La famille n'assiste pas à la mise en bière. J ai insisté auprès du personnel pour qu'il me prenne au moins une photo, pour être sûr que ce soit bien lui… refus total. »
« Il est resté quinze jours au dépositoire ou dans les camions frigorifiques qui étaient à l'extérieur (par manque de place,) et j ai dû payer 45 euros par jour (les trois premiers jours sont offerts). Voilà l'état de nos hôpitaux publics : plus d'humanité, de l'argent récupéré sur la souffrance des familles. Ceci s'est passé à Marseille mais, hélas, ce n'est pas un cas isolé. »
« Mon père est mort seul, sans qu'on puisse le visiter, le soutenir, et je l'ai vu juste quelques minutes une fois décédé. On m'a appelée, le médecin m'a dit qu'il était désolé mais que cela avait été très vite, il n'avait pas eu le temps de me prévenir. On m'a dit d'apporter des vêtements, je l'ai aperçu sur son lit de mort quelques instants. Finalement, ils m'ont dit qu'ils n'avaient pas besoin des habits. Je suis redescendue, dans un état second, les déposer dans ma voiture. Quand je suis revenue, mon père avait été mis dans une housse, avec les vêtements qu'il avait en arrivant à l'hôpital pliés sur la housse. Ils ne l'avaient pas habillé. Plus de possibilité, ensuite, malgré mon insistance, pour le voir. Même pas dans le cercueil. La famille n'assiste pas à la mise en bière. J ai insisté auprès du personnel pour qu'il me prenne au moins une photo, pour être sûr que ce soit bien lui… refus total. »
« Il est resté quinze jours au dépositoire ou dans les camions frigorifiques qui étaient à l'extérieur (par manque de place,) et j ai dû payer 45 euros par jour (les trois premiers jours sont offerts). Voilà l'état de nos hôpitaux publics : plus d'humanité, de l'argent récupéré sur la souffrance des familles. Ceci s'est passé à Marseille mais, hélas, ce n'est pas un cas isolé. »
« L'un des avantages majeurs de ce produit et non des moindres, est sa promesse de non obsolescence. La batterie est facilement amovible, ce qui est très rare, même sur des appareils haut de gamme. Ce n'est pas tout, puisque la carte réseau peut également être retirée, ce qui permettra de la remplacer ou de l'upgrader si à l'avenir certains protocoles évoluaient. Il ne s'agit pas d'un système modulaire total, mais l'initiative mérite déjà d'être soulignée et gagnerait à se démocratiser. »
« Poignées de portes arrachées, fenêtres cassées, électroménager dérobé. Voici l'état dans lequel Emmanuelle vient de récupérer son studio. Un petit appartement situé dans le 9e arrondissement qu'elle avait intégralement refait à neuf avant de le mettre sur le marché locatif. En mars 2019, une famille avait profité du déménagement d'un locataire pour forcer la porte et s'y installer. […] En novembre 2019, le tribunal avait ordonné l'expulsion immédiate des squatteurs mais la police n'est jamais intervenue pour les déloger. La préfecture affirme n'avoir eu connaissance du dossier qu'à l'été dernier à cause d'une erreur administrative d'un huissier. Aujourd'hui, Emmanuelle est ruinée et aucune indemnisation ne lui est proposée. »
« Vroomly a annoncé mardi 2 février 2021 avoir levé 5 millions d'euros pour numériser l'achat B2B de pièces de rechange dans l'automobile. […] Vroomly veut désormais renforcer son activité en proposant aux garagistes une marketplace sur laquelle ils puissent chercher la bonne pièce au meilleur prix. Son service, lancé à la fin de l'année 2020 sous le nom Vroomly Parts, a déjà séduit six cents garages clients. […] Vroomly veut presque doubler ses effectifs pour passer de trente-cinq à soixante salariés d'ici la fin de l'année. […] Ensuite, Vroomly entend lancer sa plateforme dans de nouveaux pays européens pour s'approprier une partie du marché de la pièce de rechange automobile. »
« L'entreprise basée dans l'Essonne est une pure réussite de l'investissement français en matière de pharmaceutique. La société est devenue le premier industriel français dédiée à la création de médicaments de thérapie génique et cellulaire concernant les maladies rares. […] L'entreprise se voulait leader européen en matière de thérapie génique et cellulaire. »
« Pourtant, malgré les investissements futurs pour la société française et les espoirs placés en elle, c'est bien vers un rachat que l'on se dirigerait d'après Médiapart. […] Ce potentiel rachat est un nouvel exemple des échecs successifs dans le domaine pharmaceutique mais aussi de la confusion ambiante sur la politique à mener concernant les investissements étrangers vis à vis des actifs stratégiques de notre pays. […] Après le refus de cession de Carrefour au groupe canadien Couche Tard, celle de Yposkesi questionnerait la cohérence stratégique de l'État français concernant le contrôle des investissements étrangers. »
« Pourtant, malgré les investissements futurs pour la société française et les espoirs placés en elle, c'est bien vers un rachat que l'on se dirigerait d'après Médiapart. […] Ce potentiel rachat est un nouvel exemple des échecs successifs dans le domaine pharmaceutique mais aussi de la confusion ambiante sur la politique à mener concernant les investissements étrangers vis à vis des actifs stratégiques de notre pays. […] Après le refus de cession de Carrefour au groupe canadien Couche Tard, celle de Yposkesi questionnerait la cohérence stratégique de l'État français concernant le contrôle des investissements étrangers. »