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Le Parisien voit d'un mauvais œil le renouveau royaliste à l'œuvre dans l'Oise. Pressé de réagir, interrogé sur l'Action française, Philippe Marini, maire de Compiègne, tient le discours qui devrait être celui de n'importe quel responsable politique : « Je n'ai pas de censure à exercer si ce groupe est dans le cadre légal, balaye l'élu. Je ne surveille pas plus cette association que les opposants à la chasse à courre. Cela fait partie du pluralisme, je ne suis pas le directeur des renseignements généraux. »
Voilà ce que prévoit le projet de loi de finances pour 2021. Et cela, alors que « début septembre, la ministre reconnaissait que les jeunes éligibles à ce coup de pouce financier et culturel achetaient surtout des objets revendables ».
« Il s'agit moins pour l'autrice de mettre en actes cette détestation somme toute légitime que d'atténuer le plus possible l'envahissante influence masculine dans sa vie. Effacer les hommes plutôt que de perdre une précieuse énergie à les combattre ou à tenter vainement de les éduquer. […] Cet épanouissement en non-mixité qu'appelle de ses vœux Pauline Harmange, même s'il fera sans doute hurler des hommes qui invoqueront un universalisme de façade, ressemble fort à une libération trop longtemps repoussée à des lendemains qui n'arrivent jamais. "Détester les hommes et tout ce qu'ils représentent est notre droit le plus strict. C'est aussi une fête. Qui aurait cru qu'il y aurait autant de joie dans la misandrie ?" »
« "On ne m'a jamais censuré, sauf une fois. C'était sur C8 parce que j'avais interviewé un mec qui travaillait au Qatar. Il disait du mal du Qatar. La direction m'a fait comprendre qu'elle était en train de signer avec Bein Sports et qu'il fallait éviter de dire du mal du Qatar", a expliqué Thierry Ardisson. Et de souligner : "C'est la seule fois de ma carrière ! Il faut le dire ! J'ai fait les pires conneries et je n'ai jamais été censuré, sauf une fois". "On dit ce qu'on veut à la télé. Il faut le dire aux gens. Si on ne dit rien, c'est parce qu'on a rien à dire !", a-t-il blagué en conclusion. »
« Le Gouvernement demande à la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) de mener une enquête sur le fonctionnement du marché de l'après-vente des terminaux (prix des pièces détachées, conditions d'accès des réparateurs…). Une concertation avec les opérateurs télécoms est également lancée pour les encourager à s'engager fermement "en faveur du réemploi et du reconditionnement d'équipements numériques usagés". Les opérateurs sont également invité à lancer une campagne de sensibilisation pour inciter les Français à donner leurs téléphones usagés. »
« On apprend que la boîte automatique EDC des Renault Mégane et Kadjar rencontre quelques soucis. […] Le bouton de déverrouillage pourrait se rompre et entraîner avec lui l'immobilisation du véhicule. […] Cet élément commencerait par se fissurer, puis, avec le temps, se briser. […] Le constructeur français est prêt à remplacer les pommeaux défaillants, encore faut-il le réclamer ! »
« Le cas de Renault n'est franchement pas un cas isolé. À l'été 2019, Porsche avait rappelé 337 000 véhicules à cause du levier de vitesses qui pouvait ne pas se mettre en position parking à cause d'une douille en plastique défaillante située entre le levier et la boîte de vitesses. Aucun constructeur n'est donc à l'abri d'un problème technique survenu après la production et la commercialisation des véhicules. »
« Le cas de Renault n'est franchement pas un cas isolé. À l'été 2019, Porsche avait rappelé 337 000 véhicules à cause du levier de vitesses qui pouvait ne pas se mettre en position parking à cause d'une douille en plastique défaillante située entre le levier et la boîte de vitesses. Aucun constructeur n'est donc à l'abri d'un problème technique survenu après la production et la commercialisation des véhicules. »
« L'extrait a rencontré un vif succès sur les réseaux sociaux. Alice Coffin répond aux question de Sonia Mabrouk sur Europe 1, l'occasion pour elle de se plaindre avec vigueur de son éviction de l'Institut catholique de Paris. Mais voilà que la très courtoise et cependant implacable Sonia Mabrouk la met brutalement, d'un ton candide, devant ses contradictions : "Vous dénoncez une censure dans une université, c'est très grave ! Mais pourquoi ne pas l'avoir aussi dénoncée quand la philosophe Sylviane Agacinski a été censurée à l'université de Bordeaux pour ses positions – qu'elle est libre d'avoir – contre la PMA ?" Alice Coffin, décontenancée, respire un grand coup, cherche ses mots, balbutie, bégaie, hésite, se gratte la tête, se raccroche à des anathèmes éculés comme un naufragé à un bois flotté, et à des mises en garde surréalistes "attention aux fausses équivalences"… pas simple de justifier l'injustifiable. »
« Spotify, leader de la musique en streaming, empêche désormais d'effectuer un transfert de votre bibliothèque vers un service concurrent. » Mais peut-être cela changera-t-il le jour où les abonnés potentiels feront de la portabilité des données un critère de choix… La balle est dans notre camp !
Combien de temps faut-il passer avec une personne porteuse du coronavirus pour risquer d'être contaminé ? Un quart d'heure ? C'est ce que le gouvernement avait décrété en lançant son application Stop Covid. Peut-être cette durée sera-t-elle abaissée bientôt à cinq minutes. Quoi qu'il en soit, c'est bien peu cohérent avec la volonté d'imposer le port du masque partout et tout le temps, même à l'extérieur, comme si croiser un passant dans la rue était dangereux.
« Le Dr David Nabarro, l'un des six envoyés spéciaux de l'Organisation mondiale de la Santé pour le COVID-19 […] a exhorté les dirigeants du monde entier à cesser d'utiliser le confinement comme principale méthode de contrôle contre la propagation du coronavirus. "Nous, à l'Organisation mondiale de la Santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle de ce virus", a déclaré David Nabarro dans une interview diffusée le 8 octobre au quotidien britannique The Spectator."La seule fois où nous pensons qu'un confinement est justifié, c'est pour permettre de gagner du temps pour vous réorganiser, vous regrouper, rééquilibrer vos ressources, protéger vos travailleurs de la santé qui sont épuisés, mais dans l'ensemble, nous préférons ne pas le faire". »
« Le Dr Nabarro a souligné les dommages collatéraux qu'entraînent le confinement dans le monde entier, en particulier parmi les populations les plus pauvres."Il suffit de voir ce qui est arrivé aux petits exploitants agricoles dans le monde entier parce que leurs marchés ont été endommagés. Regardez ce qu'il advient des niveaux de pauvreté. Il semble que nous pourrions bien voir la pauvreté mondiale doubler d'ici l'année prochaine. Il semble que nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile parce que les enfants ne reçoivent pas de repas à l'école et que leurs parents, dans les familles pauvres, ne peuvent pas se le permettre", a déclaré David Nabarro. »
« "Il s'agit en fait d'une terrible et épouvantable catastrophe mondiale", a-t-il déclaré."Et nous lançons donc un appel à tous les dirigeants du monde : cessez d'utiliser le confinement comme votre principale méthode de contrôle, développez de meilleurs systèmes pour le faire, travaillez ensemble et apprenez les uns des autres, mais rappelez-vous que les confinements ont une seule conséquence que vous ne devez jamais négliger qui est de rendre les pauvres beaucoup plus pauvres". »
« Le Dr Nabarro a souligné les dommages collatéraux qu'entraînent le confinement dans le monde entier, en particulier parmi les populations les plus pauvres."Il suffit de voir ce qui est arrivé aux petits exploitants agricoles dans le monde entier parce que leurs marchés ont été endommagés. Regardez ce qu'il advient des niveaux de pauvreté. Il semble que nous pourrions bien voir la pauvreté mondiale doubler d'ici l'année prochaine. Il semble que nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile parce que les enfants ne reçoivent pas de repas à l'école et que leurs parents, dans les familles pauvres, ne peuvent pas se le permettre", a déclaré David Nabarro. »
« "Il s'agit en fait d'une terrible et épouvantable catastrophe mondiale", a-t-il déclaré."Et nous lançons donc un appel à tous les dirigeants du monde : cessez d'utiliser le confinement comme votre principale méthode de contrôle, développez de meilleurs systèmes pour le faire, travaillez ensemble et apprenez les uns des autres, mais rappelez-vous que les confinements ont une seule conséquence que vous ne devez jamais négliger qui est de rendre les pauvres beaucoup plus pauvres". »
« La loi sur le voile intégral, contrairement à ses objectifs, a eu un caractère incitatif », constate Agnès de Féo, sociologue, auteur d'un long travail d'enquête sur le sujet. Sans doute faudrait-il parler plutôt des objectifs affichés de cette loi, tant ses conséquences étaient prévisibles. Visiblement, tout s'est passé comme nous l'avions craint à l'époque : « des femmes se sont mises à porter le niqab en réaction » ; « et le jilbab s'est beaucoup démocratisé depuis 2010 ». De fait, « au moment où il a été interdit en 2010, il a manifesté une sorte de piété héroïque qui défiait la société, et celles qui l'ont adopté ont joui d'une grande aura dans les milieux salafistes ». Et si Cela étant, « beaucoup de celles qui le portaient l'ont abandonné au moment de la chute de Daech, quand les images de prisonnières en niqab dans les camps kurdes ont commencé à circuler ».
Qui sont ces « niqabées », comme les appelle Agnès de Féo ? « Il y a une constante chez elles : toutes viennent de familles déculturées par rapport à l'islam, et jamais de milieux défavorisés. Elles sont dans une très large majorité célibataires. La moitié sont des converties. C'est une proportion très importante quand on sait qu'au total, les convertis ne représentent que 1 % à 2 % des musulmans en France. Elles ont grandi dans des familles athées, dont les parents pouvaient tenir des propos islamophobes. Celles qui sont d'origine musulmane viennent de foyers qui ont laissé tomber la religion. Elles ont trouvé l'islam sur Internet. Pour elles, c'est un peu le retour du refoulé. […] Il faut distinguer celles, très piétistes, qui ont commencé à le porter avant 2010, et celles qui l'ont adopté ensuite, dans une démarche de subversion, une volonté d'en découdre avec l'autorité. Ces dernières se plient au niqab mais ont une faible connaissance de l'arabe ou du Coran. Pour les plus jeunes, qui vivent encore chez leurs parents, le niqab est une rébellion : elles ont choisi de porter le vêtement de l'opprobre pour choquer le bourgeois. »
Enfin, est-ce que ce sont des hommes qui les forcent à se vêtir de la sorte ? « Non. La grande majorité […] portaient le niqab justement dans l'espoir de rencontrer un homme correspondant à leur idéal salafiste. C'était pour elles une manière de placer la barre religieuse très haut, sur le marché matrimonial. Celles qui étaient déjà mariées étaient dans un processus de réislamisation avec leur mari, mais le niqab était leur choix. Les hommes étant plutôt réticents, parce qu'ils craignaient qu'on les accuse d'avoir forcé leur épouse. »
Qui sont ces « niqabées », comme les appelle Agnès de Féo ? « Il y a une constante chez elles : toutes viennent de familles déculturées par rapport à l'islam, et jamais de milieux défavorisés. Elles sont dans une très large majorité célibataires. La moitié sont des converties. C'est une proportion très importante quand on sait qu'au total, les convertis ne représentent que 1 % à 2 % des musulmans en France. Elles ont grandi dans des familles athées, dont les parents pouvaient tenir des propos islamophobes. Celles qui sont d'origine musulmane viennent de foyers qui ont laissé tomber la religion. Elles ont trouvé l'islam sur Internet. Pour elles, c'est un peu le retour du refoulé. […] Il faut distinguer celles, très piétistes, qui ont commencé à le porter avant 2010, et celles qui l'ont adopté ensuite, dans une démarche de subversion, une volonté d'en découdre avec l'autorité. Ces dernières se plient au niqab mais ont une faible connaissance de l'arabe ou du Coran. Pour les plus jeunes, qui vivent encore chez leurs parents, le niqab est une rébellion : elles ont choisi de porter le vêtement de l'opprobre pour choquer le bourgeois. »
Enfin, est-ce que ce sont des hommes qui les forcent à se vêtir de la sorte ? « Non. La grande majorité […] portaient le niqab justement dans l'espoir de rencontrer un homme correspondant à leur idéal salafiste. C'était pour elles une manière de placer la barre religieuse très haut, sur le marché matrimonial. Celles qui étaient déjà mariées étaient dans un processus de réislamisation avec leur mari, mais le niqab était leur choix. Les hommes étant plutôt réticents, parce qu'ils craignaient qu'on les accuse d'avoir forcé leur épouse. »
« Le ministère de la Justice allemand a créé un débat houleux en écrivant un projet de loi entièrement au féminin. Dans ce texte, traitant de l'insolvabilité et du redressement judiciaire, tous les titres et fonctions ont été déclinés au féminin. […] "Je pense qu'il est bon que nous discutions maintenant d'un langage égalitaire entre les sexes dans les textes juridiques", a déclaré la députée Katja Mast, membre du SPD, le parti de la ministre de la Justice Christine Lambrecht. Mais cet avis est loin d'avoir été partagé, et le projet de loi a fait polémique jusqu'au cœur du gouvernement d'Angela Merkel. "Le masculin générique, c'est-à-dire l'utilisation de la forme masculine du langage, est reconnu pour les personnes des deux sexes", a fait savoir un porte-parole du ministère de l'Intérieur, qui a obtenu la révision du texte. Alors que le féminin générique "n'est pas à ce jour admis sur le plan linguistique pour être utilisé par les personnes de sexe féminin et masculin". »
Connaissez-vous « l'univers extraordinaire des BL aka Boys Love » ?
« Ces séries avec pour unique scénario des histoires d'amour entre garçons, généralement au lycée ou à l'université. […] Et être fan de ce type d'histoire, ça porte un terme très précis : yaoiste, qui est un dérivé francisé du vrai terme japonais yaoi qui décrit le genre de mangas faits par des femmes pour les femmes, et traitant d'histoires d'amour entre personnages masculins. Tout l'univers des séries BL qui sont produites aujourd'hui découlent de ce genre japonais. Et cet univers est vraiment gigantesque. C'est une énoooorme industrie, de production de séries, de films, d'animés… Tout ça en Asie du Sud-Est. Le pays qui domine l'industrie à l'heure actuelle est la Thaïlande. C'est un pôle économique non négligeable pour le pays et bon nombre de secteurs gravitent autour du BL. Notamment l'industrie agroalimentaire avec tous les placements de produits présents dans les épisodes, l'industrie des cosmétiques, ou encore l'événementiel avec tous les fans-services promotionnels organisés à la sortie d'une nouvelle série. […] Vous retrouvez des BL également au Japon (bien sûr), en Chine (plus rare à cause de la censure), à Taïwan, au Vietnam, en Corée du Sud, à Myanmar, et plus récemment aux Philippines. »
« Ces séries avec pour unique scénario des histoires d'amour entre garçons, généralement au lycée ou à l'université. […] Et être fan de ce type d'histoire, ça porte un terme très précis : yaoiste, qui est un dérivé francisé du vrai terme japonais yaoi qui décrit le genre de mangas faits par des femmes pour les femmes, et traitant d'histoires d'amour entre personnages masculins. Tout l'univers des séries BL qui sont produites aujourd'hui découlent de ce genre japonais. Et cet univers est vraiment gigantesque. C'est une énoooorme industrie, de production de séries, de films, d'animés… Tout ça en Asie du Sud-Est. Le pays qui domine l'industrie à l'heure actuelle est la Thaïlande. C'est un pôle économique non négligeable pour le pays et bon nombre de secteurs gravitent autour du BL. Notamment l'industrie agroalimentaire avec tous les placements de produits présents dans les épisodes, l'industrie des cosmétiques, ou encore l'événementiel avec tous les fans-services promotionnels organisés à la sortie d'une nouvelle série. […] Vous retrouvez des BL également au Japon (bien sûr), en Chine (plus rare à cause de la censure), à Taïwan, au Vietnam, en Corée du Sud, à Myanmar, et plus récemment aux Philippines. »
« Le patron de la diplomatie comorienne […] frauderait à la CMU depuis au moins dix ans en étant inscrit en tant qu'allocataire à La Réunion. […] Pour preuve, le JIR diffuse l'attestation de droit à l'assurance maladie et à la couverture maladie universelle du ministre né en 1969 et dénonce "l'équipe de bras cassés" dont fait partie le ministre qui "fraude du mieux qu'il peut la Sécurité sociale, vole le contribuable et se fout de notre gueule". »
« Le monde universitaire commencerait-il enfin à se réveiller ? C'est à croire, même si ce réveil demeure pour le moins discret. Ainsi dix professeurs viennent-ils de rendre publique une tribune dans laquelle ils viennent au secours d'Aram Mardirossian, un de leurs collègues de la Sorbonne, professeur en histoire du droit. Que reproche-t-on à ce dernier ? Tout simplement d'avoir, le 29 septembre dernier, émis une opinion hétérodoxe sur le mariage homosexuel. […] Aussitôt, les justiciers en herbe de l'Unef montent sur leurs petits chevaux. […] Une majorité de ses collègues, tétanisés par la peur de ne plus être dans le vent – ou, plus prosaïquement, de perdre leur boulot –, exigent suspension et conseil de discipline pour le trublion, tandis que le parquet de Paris décide d'ouvrir une enquête préliminaire pour "injures homophobes". »
« Eurelec […] indique qu'elle "prend acte" de l'amende "imposée le 28 août par l'administration française pour non-respect allégué de la réglementation française relative au formalisme des négociations entre fournisseurs et distributeurs". Revendiquant opérer "en pleine conformité avec la législation belge et les principes de droit européen", elle se veut "l'exemple même de ce que l'Union européenne doit susciter". Elle "conteste vigoureusement la position de l'administration française qui, par une application erronée de la législation française à l'égard d'Eurelec, impose une mesure protectionniste contraire au droit européen". »
« Le problème de la GT est d'avoir un chant à la hauteur du plumage et du ramage. On rappelle en effet que la GT dispose de 600 ch et de performances de premier ordre. Une sorte de RS7 du futur qui va devoir tenter de faire oublier aux clients Audi Sport habituels le bruit du V8 4.0 biturbo au profit d'un brame bien plus artificiel. […] Audi a implanté quatre haut-parleurs majeurs sur la GT : deux à l'extérieur, deux à l'intérieur. »
Selon Mike Lee, sénateur républicain de l'Utah : « Notre objectif n'est pas la démocratie, mais la liberté, la paix et la prospérité. Nous cherchons l'épanouissement de la condition humaine. L'excès de démocratie peut contrecarrer cet objectif. »
Cela semble considérable. Pourtant, le définition du viol proposée dans ce sondage ne prête pas à équivoque. Peut-être faudrait-il étudier ce document de façon plus approfondie.
« Dimanche soir, un habitant de Villeurbanne regardait par la fenêtre lorsqu'il a vu un passant promener son chien sans muselière. Il décida alors de l'interpeller verbalement, avant de descendre pour en découdre, armé d'un couteau et accompagné de son propre chien. Une bagarre s'était alors engagée entre les deux individus, et le Villeurbannais portait un coup de couteau au visage de son adversaire. L'homme, un ancien militaire âgé de cinquante-six ans, était jugé ce mardi. Il s'est excusé, et a expliqué que l'alcool ingéré en quantité avait guidé sa rage. Il a écopé de six mois de prison avec sursis et devra verser 2000 euros de dommages et intérêts à sa victime balafrée et qui aurait pu perdre son œil. »