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Le Gouvernement a présenté « un nouveau plan d'actions à destination des personnes LGBT+ » dont la République en marche assure ici la promotion.
Selon le parti, « l'école doit être le premier lieu de sensibilisation et de prévention des LGBT-phobies ». Ce que confirme le Gouvernement : « si la lutte contre l'homophobie et la transphobie est désormais inscrite dans les programmes scolaires, "nous devons aller plus loin", a déclaré Élisabeth Moreno » ; « la formation des équipes pédagogiques sera ainsi renforcée et un observatoire de la haine anti-LGBT+ sera créé dans chaque académie ».
Parmi les objectifs affichés, il y a aussi « la reconnaissance des droits des personnes LGBT+ avec notamment l'ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes célibataires mais aussi la lutte contre de nouvelles législations LGBT-phobes, y compris au sein de l'Union européenne ».
Selon le parti, « l'école doit être le premier lieu de sensibilisation et de prévention des LGBT-phobies ». Ce que confirme le Gouvernement : « si la lutte contre l'homophobie et la transphobie est désormais inscrite dans les programmes scolaires, "nous devons aller plus loin", a déclaré Élisabeth Moreno » ; « la formation des équipes pédagogiques sera ainsi renforcée et un observatoire de la haine anti-LGBT+ sera créé dans chaque académie ».
Parmi les objectifs affichés, il y a aussi « la reconnaissance des droits des personnes LGBT+ avec notamment l'ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes célibataires mais aussi la lutte contre de nouvelles législations LGBT-phobes, y compris au sein de l'Union européenne ».
« Le Gouvernement pourrait se montrer "plus coercitif" pour obliger les chaînes de télévision à faire davantage de place aux personnes handicapées, si elles ne progressent pas elles-mêmes sur ce plan d'ici à un an, a menacé vendredi la secrétaire d'Etat chargée du Handicap Sophie Cluzel. […] Pour les médias, le handicap est une "force", "ça fait de l'audience", a-t-elle affirmé. »
Les personnes concernées apprécieront… D'ailleurs, ont-elles demandé quoi que ce soit ? Et ensuite, à qui le tour ?
Les personnes concernées apprécieront… D'ailleurs, ont-elles demandé quoi que ce soit ? Et ensuite, à qui le tour ?
« Pour des propos tenus dix jours plus tard sur le même réseau social, le tribunal a cependant relaxé l'essayiste qui était poursuivi pour provocation à la haine raciale. Le Délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT avait signalé un commentaire contenant lui aussi un lien vers un article. Alain Soral écrivait notamment "plus les juifs nous écrasent, plus ils exigent qu'on les ignore". Le tribunal a estimé que cette formulation n'appelait "que de manière trop indirecte" à la haine et la violence pour pouvoir être qualifiée "d'exhortation", un nuance liée à une jurisprudence récente de la Cour de cassation. »
« À l'attention des commentateurs et du public : on dit "la" Covid comme "la" variole ou "la" tuberculose car ce sont des maladies », proclame Bruno Bonnell, député du Rhône ( LREM).
Ah bon ? Ce sont certes des maladies… mais est-ce que ce ne sont pas aussi des maux et des malheurs ? Et qu'en est-il de l'asthme, du glaucome, du lupus ou du mélanome, toutes ces maladies affublées d'un nom masculin ? Le genre des mots ne procède pas de leur sens ni de la nature de qu'ils désignent. C'est précisément ce que les promoteurs de l'écriture dite inclusive font semblant de ne pas comprendre.
Ah bon ? Ce sont certes des maladies… mais est-ce que ce ne sont pas aussi des maux et des malheurs ? Et qu'en est-il de l'asthme, du glaucome, du lupus ou du mélanome, toutes ces maladies affublées d'un nom masculin ? Le genre des mots ne procède pas de leur sens ni de la nature de qu'ils désignent. C'est précisément ce que les promoteurs de l'écriture dite inclusive font semblant de ne pas comprendre.
« Tant qu'on ne l'entend pas, personne n'ose penser qu'elle pense vraiment ce qu'elle pense. C'est la raison pour laquelle aucune imprécation, aucune indignation, aucune profession de foi universaliste, ne dessert autant Alice Coffin qu'un discours d'elle-même. »
« Il s'agit moins pour l'autrice de mettre en actes cette détestation somme toute légitime que d'atténuer le plus possible l'envahissante influence masculine dans sa vie. Effacer les hommes plutôt que de perdre une précieuse énergie à les combattre ou à tenter vainement de les éduquer. […] Cet épanouissement en non-mixité qu'appelle de ses vœux Pauline Harmange, même s'il fera sans doute hurler des hommes qui invoqueront un universalisme de façade, ressemble fort à une libération trop longtemps repoussée à des lendemains qui n'arrivent jamais. "Détester les hommes et tout ce qu'ils représentent est notre droit le plus strict. C'est aussi une fête. Qui aurait cru qu'il y aurait autant de joie dans la misandrie ?" »
Combien de temps faut-il passer avec une personne porteuse du coronavirus pour risquer d'être contaminé ? Un quart d'heure ? C'est ce que le gouvernement avait décrété en lançant son application Stop Covid. Peut-être cette durée sera-t-elle abaissée bientôt à cinq minutes. Quoi qu'il en soit, c'est bien peu cohérent avec la volonté d'imposer le port du masque partout et tout le temps, même à l'extérieur, comme si croiser un passant dans la rue était dangereux.
« Le Dr David Nabarro, l'un des six envoyés spéciaux de l'Organisation mondiale de la Santé pour le COVID-19 […] a exhorté les dirigeants du monde entier à cesser d'utiliser le confinement comme principale méthode de contrôle contre la propagation du coronavirus. "Nous, à l'Organisation mondiale de la Santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle de ce virus", a déclaré David Nabarro dans une interview diffusée le 8 octobre au quotidien britannique The Spectator."La seule fois où nous pensons qu'un confinement est justifié, c'est pour permettre de gagner du temps pour vous réorganiser, vous regrouper, rééquilibrer vos ressources, protéger vos travailleurs de la santé qui sont épuisés, mais dans l'ensemble, nous préférons ne pas le faire". »
« Le Dr Nabarro a souligné les dommages collatéraux qu'entraînent le confinement dans le monde entier, en particulier parmi les populations les plus pauvres."Il suffit de voir ce qui est arrivé aux petits exploitants agricoles dans le monde entier parce que leurs marchés ont été endommagés. Regardez ce qu'il advient des niveaux de pauvreté. Il semble que nous pourrions bien voir la pauvreté mondiale doubler d'ici l'année prochaine. Il semble que nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile parce que les enfants ne reçoivent pas de repas à l'école et que leurs parents, dans les familles pauvres, ne peuvent pas se le permettre", a déclaré David Nabarro. »
« "Il s'agit en fait d'une terrible et épouvantable catastrophe mondiale", a-t-il déclaré."Et nous lançons donc un appel à tous les dirigeants du monde : cessez d'utiliser le confinement comme votre principale méthode de contrôle, développez de meilleurs systèmes pour le faire, travaillez ensemble et apprenez les uns des autres, mais rappelez-vous que les confinements ont une seule conséquence que vous ne devez jamais négliger qui est de rendre les pauvres beaucoup plus pauvres". »
« Le Dr Nabarro a souligné les dommages collatéraux qu'entraînent le confinement dans le monde entier, en particulier parmi les populations les plus pauvres."Il suffit de voir ce qui est arrivé aux petits exploitants agricoles dans le monde entier parce que leurs marchés ont été endommagés. Regardez ce qu'il advient des niveaux de pauvreté. Il semble que nous pourrions bien voir la pauvreté mondiale doubler d'ici l'année prochaine. Il semble que nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile parce que les enfants ne reçoivent pas de repas à l'école et que leurs parents, dans les familles pauvres, ne peuvent pas se le permettre", a déclaré David Nabarro. »
« "Il s'agit en fait d'une terrible et épouvantable catastrophe mondiale", a-t-il déclaré."Et nous lançons donc un appel à tous les dirigeants du monde : cessez d'utiliser le confinement comme votre principale méthode de contrôle, développez de meilleurs systèmes pour le faire, travaillez ensemble et apprenez les uns des autres, mais rappelez-vous que les confinements ont une seule conséquence que vous ne devez jamais négliger qui est de rendre les pauvres beaucoup plus pauvres". »
« La loi sur le voile intégral, contrairement à ses objectifs, a eu un caractère incitatif », constate Agnès de Féo, sociologue, auteur d'un long travail d'enquête sur le sujet. Sans doute faudrait-il parler plutôt des objectifs affichés de cette loi, tant ses conséquences étaient prévisibles. Visiblement, tout s'est passé comme nous l'avions craint à l'époque : « des femmes se sont mises à porter le niqab en réaction » ; « et le jilbab s'est beaucoup démocratisé depuis 2010 ». De fait, « au moment où il a été interdit en 2010, il a manifesté une sorte de piété héroïque qui défiait la société, et celles qui l'ont adopté ont joui d'une grande aura dans les milieux salafistes ». Et si Cela étant, « beaucoup de celles qui le portaient l'ont abandonné au moment de la chute de Daech, quand les images de prisonnières en niqab dans les camps kurdes ont commencé à circuler ».
Qui sont ces « niqabées », comme les appelle Agnès de Féo ? « Il y a une constante chez elles : toutes viennent de familles déculturées par rapport à l'islam, et jamais de milieux défavorisés. Elles sont dans une très large majorité célibataires. La moitié sont des converties. C'est une proportion très importante quand on sait qu'au total, les convertis ne représentent que 1 % à 2 % des musulmans en France. Elles ont grandi dans des familles athées, dont les parents pouvaient tenir des propos islamophobes. Celles qui sont d'origine musulmane viennent de foyers qui ont laissé tomber la religion. Elles ont trouvé l'islam sur Internet. Pour elles, c'est un peu le retour du refoulé. […] Il faut distinguer celles, très piétistes, qui ont commencé à le porter avant 2010, et celles qui l'ont adopté ensuite, dans une démarche de subversion, une volonté d'en découdre avec l'autorité. Ces dernières se plient au niqab mais ont une faible connaissance de l'arabe ou du Coran. Pour les plus jeunes, qui vivent encore chez leurs parents, le niqab est une rébellion : elles ont choisi de porter le vêtement de l'opprobre pour choquer le bourgeois. »
Enfin, est-ce que ce sont des hommes qui les forcent à se vêtir de la sorte ? « Non. La grande majorité […] portaient le niqab justement dans l'espoir de rencontrer un homme correspondant à leur idéal salafiste. C'était pour elles une manière de placer la barre religieuse très haut, sur le marché matrimonial. Celles qui étaient déjà mariées étaient dans un processus de réislamisation avec leur mari, mais le niqab était leur choix. Les hommes étant plutôt réticents, parce qu'ils craignaient qu'on les accuse d'avoir forcé leur épouse. »
Qui sont ces « niqabées », comme les appelle Agnès de Féo ? « Il y a une constante chez elles : toutes viennent de familles déculturées par rapport à l'islam, et jamais de milieux défavorisés. Elles sont dans une très large majorité célibataires. La moitié sont des converties. C'est une proportion très importante quand on sait qu'au total, les convertis ne représentent que 1 % à 2 % des musulmans en France. Elles ont grandi dans des familles athées, dont les parents pouvaient tenir des propos islamophobes. Celles qui sont d'origine musulmane viennent de foyers qui ont laissé tomber la religion. Elles ont trouvé l'islam sur Internet. Pour elles, c'est un peu le retour du refoulé. […] Il faut distinguer celles, très piétistes, qui ont commencé à le porter avant 2010, et celles qui l'ont adopté ensuite, dans une démarche de subversion, une volonté d'en découdre avec l'autorité. Ces dernières se plient au niqab mais ont une faible connaissance de l'arabe ou du Coran. Pour les plus jeunes, qui vivent encore chez leurs parents, le niqab est une rébellion : elles ont choisi de porter le vêtement de l'opprobre pour choquer le bourgeois. »
Enfin, est-ce que ce sont des hommes qui les forcent à se vêtir de la sorte ? « Non. La grande majorité […] portaient le niqab justement dans l'espoir de rencontrer un homme correspondant à leur idéal salafiste. C'était pour elles une manière de placer la barre religieuse très haut, sur le marché matrimonial. Celles qui étaient déjà mariées étaient dans un processus de réislamisation avec leur mari, mais le niqab était leur choix. Les hommes étant plutôt réticents, parce qu'ils craignaient qu'on les accuse d'avoir forcé leur épouse. »
« Le ministère de la Justice allemand a créé un débat houleux en écrivant un projet de loi entièrement au féminin. Dans ce texte, traitant de l'insolvabilité et du redressement judiciaire, tous les titres et fonctions ont été déclinés au féminin. […] "Je pense qu'il est bon que nous discutions maintenant d'un langage égalitaire entre les sexes dans les textes juridiques", a déclaré la députée Katja Mast, membre du SPD, le parti de la ministre de la Justice Christine Lambrecht. Mais cet avis est loin d'avoir été partagé, et le projet de loi a fait polémique jusqu'au cœur du gouvernement d'Angela Merkel. "Le masculin générique, c'est-à-dire l'utilisation de la forme masculine du langage, est reconnu pour les personnes des deux sexes", a fait savoir un porte-parole du ministère de l'Intérieur, qui a obtenu la révision du texte. Alors que le féminin générique "n'est pas à ce jour admis sur le plan linguistique pour être utilisé par les personnes de sexe féminin et masculin". »
Connaissez-vous « l'univers extraordinaire des BL aka Boys Love » ?
« Ces séries avec pour unique scénario des histoires d'amour entre garçons, généralement au lycée ou à l'université. […] Et être fan de ce type d'histoire, ça porte un terme très précis : yaoiste, qui est un dérivé francisé du vrai terme japonais yaoi qui décrit le genre de mangas faits par des femmes pour les femmes, et traitant d'histoires d'amour entre personnages masculins. Tout l'univers des séries BL qui sont produites aujourd'hui découlent de ce genre japonais. Et cet univers est vraiment gigantesque. C'est une énoooorme industrie, de production de séries, de films, d'animés… Tout ça en Asie du Sud-Est. Le pays qui domine l'industrie à l'heure actuelle est la Thaïlande. C'est un pôle économique non négligeable pour le pays et bon nombre de secteurs gravitent autour du BL. Notamment l'industrie agroalimentaire avec tous les placements de produits présents dans les épisodes, l'industrie des cosmétiques, ou encore l'événementiel avec tous les fans-services promotionnels organisés à la sortie d'une nouvelle série. […] Vous retrouvez des BL également au Japon (bien sûr), en Chine (plus rare à cause de la censure), à Taïwan, au Vietnam, en Corée du Sud, à Myanmar, et plus récemment aux Philippines. »
« Ces séries avec pour unique scénario des histoires d'amour entre garçons, généralement au lycée ou à l'université. […] Et être fan de ce type d'histoire, ça porte un terme très précis : yaoiste, qui est un dérivé francisé du vrai terme japonais yaoi qui décrit le genre de mangas faits par des femmes pour les femmes, et traitant d'histoires d'amour entre personnages masculins. Tout l'univers des séries BL qui sont produites aujourd'hui découlent de ce genre japonais. Et cet univers est vraiment gigantesque. C'est une énoooorme industrie, de production de séries, de films, d'animés… Tout ça en Asie du Sud-Est. Le pays qui domine l'industrie à l'heure actuelle est la Thaïlande. C'est un pôle économique non négligeable pour le pays et bon nombre de secteurs gravitent autour du BL. Notamment l'industrie agroalimentaire avec tous les placements de produits présents dans les épisodes, l'industrie des cosmétiques, ou encore l'événementiel avec tous les fans-services promotionnels organisés à la sortie d'une nouvelle série. […] Vous retrouvez des BL également au Japon (bien sûr), en Chine (plus rare à cause de la censure), à Taïwan, au Vietnam, en Corée du Sud, à Myanmar, et plus récemment aux Philippines. »
« Le patron de la diplomatie comorienne […] frauderait à la CMU depuis au moins dix ans en étant inscrit en tant qu'allocataire à La Réunion. […] Pour preuve, le JIR diffuse l'attestation de droit à l'assurance maladie et à la couverture maladie universelle du ministre né en 1969 et dénonce "l'équipe de bras cassés" dont fait partie le ministre qui "fraude du mieux qu'il peut la Sécurité sociale, vole le contribuable et se fout de notre gueule". »
« Le monde universitaire commencerait-il enfin à se réveiller ? C'est à croire, même si ce réveil demeure pour le moins discret. Ainsi dix professeurs viennent-ils de rendre publique une tribune dans laquelle ils viennent au secours d'Aram Mardirossian, un de leurs collègues de la Sorbonne, professeur en histoire du droit. Que reproche-t-on à ce dernier ? Tout simplement d'avoir, le 29 septembre dernier, émis une opinion hétérodoxe sur le mariage homosexuel. […] Aussitôt, les justiciers en herbe de l'Unef montent sur leurs petits chevaux. […] Une majorité de ses collègues, tétanisés par la peur de ne plus être dans le vent – ou, plus prosaïquement, de perdre leur boulot –, exigent suspension et conseil de discipline pour le trublion, tandis que le parquet de Paris décide d'ouvrir une enquête préliminaire pour "injures homophobes". »
Selon Mike Lee, sénateur républicain de l'Utah : « Notre objectif n'est pas la démocratie, mais la liberté, la paix et la prospérité. Nous cherchons l'épanouissement de la condition humaine. L'excès de démocratie peut contrecarrer cet objectif. »
Cela semble considérable. Pourtant, le définition du viol proposée dans ce sondage ne prête pas à équivoque. Peut-être faudrait-il étudier ce document de façon plus approfondie.
« Vers une proposition de loi "visant à encadrer la modération des contenus sur Internet" ? Selon nos informations, un tel texte est en préparation. […] Son dépôt n'est pas acté pour l'instant, le gouvernement évaluant son opportunité. »
« "La lutte contre la haine, la lutte contre le terrorisme, la création au fond d'un ordre public commun de l'internet sont aussi importants que l'innovation technologique et que la liberté, car il n'y a pas de liberté sans ordre public", a exposé le 22 septembre dernier Emmanuel Macron devant l'Assemblée générale des Nations Unies. "C'est à nous de le créer par un engagement international et je ne crois pas que la protection de la liberté d'expression puisse s'accommoder du discours terroriste, des discours de haine, de l'anonymat qui couvre en quelque sorte la désinhibition de la violence. Cet agenda est essentiel pour nous tous et toutes. Nous continuerons d'y agir avec force" a insisté le chef de l'État. »
« "La lutte contre la haine, la lutte contre le terrorisme, la création au fond d'un ordre public commun de l'internet sont aussi importants que l'innovation technologique et que la liberté, car il n'y a pas de liberté sans ordre public", a exposé le 22 septembre dernier Emmanuel Macron devant l'Assemblée générale des Nations Unies. "C'est à nous de le créer par un engagement international et je ne crois pas que la protection de la liberté d'expression puisse s'accommoder du discours terroriste, des discours de haine, de l'anonymat qui couvre en quelque sorte la désinhibition de la violence. Cet agenda est essentiel pour nous tous et toutes. Nous continuerons d'y agir avec force" a insisté le chef de l'État. »
« Une première en France. Jeudi, Mediapart a annoncé la création d'un poste de "gender editor" ou responsable éditorial aux questions de genre. […] "L'objectif est de veiller de manière transversale à ce que le journal soit inclusif dans son traitement éditorial et dans son fonctionnement interne. En lien avec l'ensemble des services, et en concertation avec les journalistes, il s'agit que les sujets traités dans le journal ''n'oublient pas' la moitié de la population, s'emparent des problématiques spécifiques aux femmes et ne les invisibilisent pas dans l'ensemble de la couverture", a expliqué le site d'information fondé par Edwy Plenel. »
« Harry said he has only recently recognized the full extent of racism in everyday life, telling the UK's Evening Standard newspaper: "I've had an awakening as such of my own, because I wasn't aware of so many of the issues and so many of the problems within the UK, but also globally as well. I thought I did but I didn't." »
Concrètement ?
« "When you go into a shop with your children and you only see White dolls, do you even think, 'that's weird, there is not a Black doll there?'" Harry said. "I use that as just one example of where we as White people don't always have the awareness of what it must be like for someone else of a different colored skin, of a Black skin, to be in the same situation as we are, where the world that we know has been created by White people for White people," he added. »
Sans commentaire.
Concrètement ?
« "When you go into a shop with your children and you only see White dolls, do you even think, 'that's weird, there is not a Black doll there?'" Harry said. "I use that as just one example of where we as White people don't always have the awareness of what it must be like for someone else of a different colored skin, of a Black skin, to be in the same situation as we are, where the world that we know has been created by White people for White people," he added. »
Sans commentaire.
« Chez Alice Coffin, la différence, pourtant revendiquée, est vue comme une menace quand elle est masculine. Elle demande l'inclusion et pourtant ne cesse d'exclure. Les stéréotypes de genre affluent. […] Dans un condensé simpliste et intransigeant, la militante met dans un même sac tous les hommes, renvoyés à une masse informe et indistincte, "des assaillants", écrit-elle. "Il ne suffit pas de nous entraider, il faut, à notre tour, les éliminer." Tout en nuances, Alice Coffin précise qu'elle ne lit plus de livres écrits par des hommes, qu'elle ne regarde plus de films réalisés par des hommes, qu'elle n'écoute plus de musique composée par des hommes. […] Censé être une apologie du droit à la différence, son argumentaire dévoile au contraire une idéologie rétractée, communautariste, teintée de sectarisme. »
Le titre de son livre : "Le Génie lesbien". Commentaire de Caroline Fourest : « Le féminisme a du génie, le lesbianisme politique aussi. Mais on n'est pas géniale parce qu'on est lesbienne. Et je crains que ce livre ne le démontre. »
Le titre de son livre : "Le Génie lesbien". Commentaire de Caroline Fourest : « Le féminisme a du génie, le lesbianisme politique aussi. Mais on n'est pas géniale parce qu'on est lesbienne. Et je crains que ce livre ne le démontre. »
« L'ancienne ministre allemande de la Défense, pourtant "vendue" comme francophone par Emmanuel Macron, a parlé durant une heure vingt presque uniquement en anglais (ou plutôt en globish, sa version abâtardie). Pire : plusieurs chefs de groupe politique lui ont répondu dans la langue de Shakespeare, y compris l'Allemand Manfred Weber, le patron du Parti populaire européen (PPE, conservateur) dont l'anglais est tout sauf courant. »
« Une vraie rupture avec tous les usages : tous ses prédécesseurs ont toujours veillé à respecter un certain équilibre linguistique entre les trois langues de travail de l'Union que sont l'anglais, l'allemand et le français, Jean-Claude Juncker (2014-2019) étant sans aucun doute l'un des orfèvres en la matière. »
« Si la présidente de la Commission avait parlé quasi uniquement en allemand, personne n'aurait été choqué : il y a une armée d'interprètes et de traducteurs au service des institutions et il est normal que l'on parle sa propre langue dans l'enceinte où siègent les représentants des peuples européens qui sont très loin de parler tous anglais. »
« Comment expliquer une telle dérive ? La raison en est simple : von der Leyen se repose sur deux hommes de confiance et deux seulement: Björn Seibert, son chef de cabinet, et Jens Flosdorff, son conseiller "communication". Or ces deux Allemands ne parlent pas un mot de français et exigent que tout leur remonte en anglais, rares étant les fonctionnaires européens maîtrisant suffisamment la langue de Goethe… »
« Reste que ses deux conseilleurs auraient au moins pu lui préparer son discours en allemand, ce qu'ils n'ont pas fait, sans doute parce qu'il y a un tabou persistant sur cette langue. Rappelons qu'en 1958, les premiers mots du premier président de la Commission, l'Allemand Walter Hallstein furent : "et naturellement, messieurs, nous parlerons français". Ce basculement vers l'anglais langue unique est d'autant plus sidérant alors que le Royaume-Uni a quitté l'Union le 31 janvier et qu'il y a moins de vingt députés sur sept cent cinq dont la langue natale est l'anglais… »
« Une vraie rupture avec tous les usages : tous ses prédécesseurs ont toujours veillé à respecter un certain équilibre linguistique entre les trois langues de travail de l'Union que sont l'anglais, l'allemand et le français, Jean-Claude Juncker (2014-2019) étant sans aucun doute l'un des orfèvres en la matière. »
« Si la présidente de la Commission avait parlé quasi uniquement en allemand, personne n'aurait été choqué : il y a une armée d'interprètes et de traducteurs au service des institutions et il est normal que l'on parle sa propre langue dans l'enceinte où siègent les représentants des peuples européens qui sont très loin de parler tous anglais. »
« Comment expliquer une telle dérive ? La raison en est simple : von der Leyen se repose sur deux hommes de confiance et deux seulement: Björn Seibert, son chef de cabinet, et Jens Flosdorff, son conseiller "communication". Or ces deux Allemands ne parlent pas un mot de français et exigent que tout leur remonte en anglais, rares étant les fonctionnaires européens maîtrisant suffisamment la langue de Goethe… »
« Reste que ses deux conseilleurs auraient au moins pu lui préparer son discours en allemand, ce qu'ils n'ont pas fait, sans doute parce qu'il y a un tabou persistant sur cette langue. Rappelons qu'en 1958, les premiers mots du premier président de la Commission, l'Allemand Walter Hallstein furent : "et naturellement, messieurs, nous parlerons français". Ce basculement vers l'anglais langue unique est d'autant plus sidérant alors que le Royaume-Uni a quitté l'Union le 31 janvier et qu'il y a moins de vingt députés sur sept cent cinq dont la langue natale est l'anglais… »