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politique
Syndicats et organisations patronales ont voté contre le projet de "prime dividences" au sein du Conseil de l'assurance-maladie, saisi pour avis.
La rhétorique française évolue subtilement... En définitive, beaucoup de bruit pour rien.
Une synthèse à l'intention du gogo abusé par le numéro d'esbroufe de Nicolas Sarkozy et Silvio Berlusconi.
La Cour européenne des droits de l'homme demande des explications à la France sur la condamnation à une amende avec sursis de l'auteur de la banderole "Casse-toi, pov'con", destinée à Nicolas Sarkozy, en 2008.
À lire absolument ! « Opposer l’intérêt des actionnaires et ceux des salariés est stérile », rappelle Alain Madelin.
Pas la peine de vous excuser, Madame le ministre ! ;-)
Jacques Delpla fustige « une mauvaise idée économique, budgétaire et politique ».
À l'approche de l'élection présidentielle, l'étatisme et les fantasmes interventionnistes semblent plébiscités par l'ensemble de la classe politique. Au risque de noyer la France dans la frilosité. Éric Le Boucher s'en désole à juste titre.
Jean-Francis Pécresse se satisfait de l'option retenue par l'Élysée. Sans être tout à fait convaincu, nous saluons sa démarche consistant à évaluer l'action politique au regard du contexte dans lequel elle s'exerce. Ce n'est pas si courant.
On n'en est pas encore là, mais l'ancien patron de Reporters sans frontières publiera le 5 mai un pamphlet intitulé... "Vive Le Pen !"
Le Conseil supérieur de l'audiovisuel aurait épinglé la chronique où Sophia Aram s'attaquait aux "gros cons" - laquelle exprimait peut-être davantage de mépris pour la classe politique que pour les électeurs du FN.
Un cabinet de gestion des affaires courantes lui suffit bien, et ceux qui pétitionnent pour le retour des politiques aux manettes n'ont rien compris aux pays modernes : la Belgique est le prototype de l'État futur, affirme Catoneo.
Certains commentateurs résistent à la vague bleu Marine, observant que sur près de quatre cents duels où le FN était en lice, il n'en aurait gagné que deux.
Une analyse inattendue des élections du Bade-Wurtemberg.
Si les États membres bénéficient d'une large autonomie pour la désignation de leurs représentants au PE, la France semble bafouer son propre droit dans le cas présent.
Un certain sens de la répartie, une colère maitrisée... Ça promet !