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C'est donc Arquus qui va lui succéder. Les marques Acmat et Panhard vont disparaître elles aussi. L'entreprise demeure toutefois une filiale du Suédois AB Vovlo, dont le Chinois Geely est actionnaire.
Joël Barre (DGA) : « On ne peut pas développer la coopération européenne si les différents pays n'ont pas des règles d’exportation homogènes. »
Florence Parly : « Nous nous interrogeons sur le contenu de l'accord de coalition. […] Il semble en effet que les principes liés à l'exportation des matériels d'armement vont faire l’objet […] de contraintes, de garanties importantes. »
En cause : la présence d'un composant américain intégré par MBDA dans la fabrication des missiles Scalp, censés équiper les avions français convoités par Le Caire.
L'ancien CEMA œuvrait en faveur des exportations d'armements, plus particulièrement vers l'Arabie saoudite. « Bercy et le ministère des Armées souhaitent un changement de stratégie pour cette société », rapporte Jean-Dominique Merchet.
À noter, concernant les perspectives d'exportations, le « découragement » dont seraient victimes les commerciaux français. En cause : des pressions américaines mais aussi celles du Parquet national financier.
Le greenwashing n'épargne pas la Défense. Avec toutefois quelques bénéfices quant aux performances (couple accru) et à la discrétion (silence de fonctionnement).
Notre confrère Laurent Lagneau présente quelques arguments en faveur de ce projet. Mais lui-même ne semble pas très convaincu. Il n'est pas anodin de le voir citer Éric Trappier en conclusion.
La Tribune annonce « un Anschluss allemand, particulièrement visible dans le domaine des sous-marins et qui pourrait s'étendre très prochainement, après la Norvège, à la Pologne puis aux Pays-Bas ».
Pour tout ce qui concerne spécifiquement la France, « on ne parle pas avec d'autres que des Français », martèle Laurent Collet-Billon, délégué général pour l'armement. Et toc !
Le remplacement du Famas par un fusil étranger suscite la controverses. Mais tandis que les démagogues s'indignent, il semblerait que le Gouvernement travaille à rendre à la France la capacité de produire ses propres munitions.
« On oublie un peu trop souvent qu'au début des années 1980 l'industrie armurière militaire française avait déjà pratiquement disparu. » Article intéressant, mais tout n'est pas facile à suivre pour le profane que nous sommes !
Les députés Jean-Jacques Candelier (PCF) et Philippe Meunier (LR) prétendent que oui. Mais en fait, si leur proposition était retenue, il s'agirait plutôt d'acheter israélien, selon les explications de Nicolas Gros-Verheyde.
Tout n'est pas facile à suivre dans cet article, mais notre confrère Michel Cabirol revient notamment sur les transferts de technologies dont a effectivement bénéficié la Russie, relativement insignifiants en définitive.
Louis Gautier, négociateur de l'accord passé avec Moscou, s'est expliqué devant l'Assemblée nationale. Il s'est bien débrouillé quand même ! Reste à boucler la revente des bâtiments, à propos de laquelle il se dit optimiste.
En écho à la polémique sur les P4... C'est l'occasion de rappeler « que les besoins multiples [...] ne permettent plus de commander en grand nombre un seul type de matériel, et que la nationalité d'un véhicule est parfois trompeuse ».
« Il semblerait qu'une fois de plus, le sacro-saint "achetez français, sauvez l'industrie française" ait aveuglé bien des élus et nombre de journalistes avides de sensationnalisme. »
N'en déplaise aux souverainistes à la botte de Moscou, des avions de combat, cela ne se vend pas suivant les mêmes modalités qu'un vulgaire réfrigérateur !
« La France doit choisir son camp en Europe centrale et du Nord », clame Olivier Bault, sur Nouvelles de France.