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Les voitures autonomes développées par des constructeurs étrangers sont les bienvenues sur les routes de l'empire du Milieu… À condition qu'elles embarquent une technologie chinoise. À l'image des Audi, BMW et Mercedes qui ont donc commencé leurs essais.
Dans la perspective d'un développement international, notamment en Europe, « c'est un beau coup pour Geely qui gagne de précieuses années », commente Le Blog auto ; en effet, « Hyundai-Kia avait travaillé plusieurs années pour obtenir sa licence bancaire afin de proposer des services financiers sans passer par une banque partenaire ».
Les temps changent. « Ce qui est inédit, c'est que Ford va proposer pour la première fois sous son nom un modèle conçu et fabriqué par un constructeur chinois. C'est une première mondiale, aucun constructeur "historique" n'ayant jusqu'ici osé faire de même. »
En résumé : « En juillet 2018, l'ensemble des constructeurs français présents en Chine totalisaient 15 860 ventes ou 1 % de part de marché importations inclues, malgré une implantation (et donc reconnaissance de marque) qui remonte à près de trente-cinq ans dans les cas de Peugeot et Citroën. »
Tandis que l'UE s'interroge sur l'encadrement des investissements étrangers, « au Portugal, les rachats chinois opérés depuis 2011 pourraient donner le contrôle total des réseaux électriques du pays à Pékin ».
Une quarantaine d'appareils sont déployés par JD.com. Les plus gros peuvent transporter jusqu'à trente kilogrammes de marchandises sur une trentaine de kilomètres. Ils se posent toutefois à l'écart des habitations.
L'Usine nouvelle s'interroge : « Des entreprises numériques fortes, un crédit sous contrôle, un virage environnemental et des compétences d'innovation, n'est-ce pas ce tout ce dont rêve l'Europe ? » La démocratie n'a plus la cote…
Tianqi, le géant chinois du lithium, va monter au capital du Chilien SQM, sur lequel il se défend toutefois de vouloir exercer un contrôle.
Retour sur la conception puis le tournage d'une publicité pour la citadine aux chevrons. C'était au milieu des années quatre-vingt.
Bruxelles s'était penché sur le dossier l'année dernière, saisi par les concurrents malheureux des manufacturiers de l'empire du Milieu. Les produits de ces derniers vendus sur le Vieux-Continent seront désormais surtaxés.
Les vols pour Taipei sont bien à destination de la Chine ! Du moins sont-ils présentés comme tels par la compagnie aérienne française, qui a vraisemblablement cédé aux pressions de Pékin. Elle n'est pas la seule.
Ce qui est intéressant, c'est que, selon Caradisiac, cela s'expliquerait par la moindre automatisation des chaînes de production implantées dans l'empire du Milieu. Voilà une information qu'il faudrait vérifier.
En Chine, c'est déjà demain : « Le magasin est truffé de caméras. Peut être qu'à l'avenir, Carrefour et Tencent seront capables d'identifier les clients au moment où ils entrent, sans qu'ils aient besoin de passer par la case du selfie. »
Selon Maxime Lemerle, économiste chargé de l'automobile pour Euler Hermes, « tout a effectivement été fait pour que les acteurs locaux soient les principaux bénéficiaires de cette évolution ».
« Le constructeur justifie ce choix par le fait que le gros de la demande pour ce modèle proviendra de l'empire du Milieu », rapporte Challenges. C'est pareil pour Volvo avec la S90.
Cela semble peu vraisemblable au regard de ces considérations. Les intérêts sont en fait très imbriqués. Et la stabilité du renminbi ferait plutôt les affaires de la Chine de toute façon.
« L'objectif qui s'inscrit dans le cadre du "made in China 2025" est de faire en sorte que le marché du véhicule électrique soit contrôlé par les producteurs domestiques à 70 % en 2020 et 80 % en 2025. »
En cause, aujourd'hui, des vélos à assistance électrique. Or, « depuis une affaire portant sur l'acier chinois, en 2016, on sait […] que Bruxelles n'hésite plus à utiliser cette possibilité d'appliquer des droits rétroactifs ».
« Le capital chinois est très patient », affirme le président du syndicat. Selon lui, ses représentants « investissent sur le long terme » sans beaucoup interférer dans la gestion opérationnelle ni porter atteinte aux droits des employés.
Le constructeur de Stuttgart s'est confondu en excuses après avoir invoqué le Dalaï-Lama dans sa communication. Ironie de l'histoire : la publicité incriminée avait été diffusée sur Instagram, un réseau censuré en Chine.