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Le Fauteuil de Colbert : « Il n'est pas reproché au général Pierre de Villiers d'avoir assumé – enfin ! – la parole militaire dans le débat public. » Ce serait donc le contrôle parlementaire qui serait en cause.
La crise ayant conduit à la démission du CEMA semble incompréhensible. Des crédits en moins aujourd'hui, d'autres en plus dès demain ? Peut-être le président de la République vise-t-il coûte que coûte la crédibilité budgétaire en Europe.
Patrice de Mac Mahon : « Je rayerai du tableau d'avancement tout officier dont je verrai le nom sur une couverture. »
En dépit de la bienveillance que nous inspire le chef de l'État, force est de constater la maladresse de ce communiqué : en saluant la mémoire de Robert Vigouroux, il donne l'impression de célébrer sa propre personne…
Le chef de l'État prétend « reconstruire des formes de solidarité concrètes [...] dans un monde qui a tendance à se disloquer ». Citation extraite d'une conférence de presse aux côtés… du président de la Banque mondiale.
François Sureau souligne « son goût inavoué pour une construction politique où, le sacré s'incarnant dans la personne du roi et non dans le peuple, celui-ci admet plus facilement des différences ».
Extrait vidéo : « Transformez notre pays ! […] Mais n'oubliez jamais […] que vous devez le faire changer pour longtemps et que vous avez à chaque instant cette responsabilité immense d'être né ou d'avoir grandi […] en France. »
Lu dans L'Usine nouvelle : « Macron, lui, semble avoir compris ce que Colbert, Napoléon III ou Angela Merkel ont toujours su – que la puissance d'un royaume se définit par sa richesse. »
Football : le président de la République met à l'honneur « le modèle lyonnais » – et fête l'anniversaire de Gérard Colomb. Sans allusion à la "parité" bien que ce ce soit l'équipe féminine de l'OL qui soit reçue à l'Élysée.
Une page Facebook met en lumière les véritables desseins d'Emmanuel Macron, manifestement décidé à renouer les fils de l'histoire.
En aparté : « La fonction de président de la République […] suppose un cérémonial, une distance, une verticalité. Il faut l'assumer. Parce qu'on est dépositaire d'une fonction qui est immémoriale et qu'on habite quelques années. »
Jérôme Perrier : « La société de mobilité et d'égalité des chances qu'entend promouvoir Emmanuel Macron s'inscrit pleinement dans un courant parfaitement identifiable pour l'historien des idées politiques. »
N'en déplaise aux détracteurs d'« Emmanuel Hollande », la présidence « normale », c'est fini. En témoigne cet hommage rendu à la ville de Paris, sans doute convenu, mais de circonstance.
S'exprimant aux côtés d'Emmanuel Macron, le président du Conseil européen s'est attaqué au FN : « pour des patriotes rationnels et responsables », a-t-il déclaré, « il n'y a pas d'alternative à une Europe unie et souveraine ».
Cela étant : « Rattacher la fonction présidentielle à l'histoire des rois de France augure une certaine retenue dans l'exercice de la fonction, une dignité retrouvée, sans doute plus de classe que chez les deux derniers titulaires. »
Regards croisés : les réponses de Jacques Garello, Gaspard Koenig et Jérôme Perrier publiées par Contrepoints.
Lu sur Vox Europ : « Alors […] qu'il se refusait de faire des promesses populistes aux ouvriers de Whirlpool, il rejoint à présent le cortège des chantres de l'anti-européisme en choisissant la Pologne comme bouc émissaire. »
Un peu de fraîcheur ? Son élection pourrait entraîner « un grand renouvellement du personnel politique ». D'autant qu'il incarnerait un « libéralisme optimiste » par opposition au « libéralisme sadique » prêté à François Fillon.