4242 shaares
38 résultats
taggé
euro
« L'euro a agi de facto comme l'étalon-or : il a discipliné société, politiques et gouvernants, neutralisé les démagogues et démasqué les groupes de pression. »
L'abandon par l'Union européenne « de la règle de non-sauvetage » serait « une erreur historique », selon Charles Wyplosz, qui oppose au "modèle allemand" la responsabilité des États américains.
Pourquoi « rien ne permet d'affirmer que nous souffrons d'une politique d'euro fort ».
« Il n'y a pas de magie de la dévaluation compétitive. » Du moins, pas « pour une grande économie dont les exportations sont peu élastiques aux prix », lisait-on dans Les Échos en décembre dernier.
Outre la fuite en avant fédéraliste, Alain Madelin fustige la nouvelle marotte de l'Exécutif : le projet de "convergence franco-allemande" serait « la recette de l'explosion ».
Chantre du retour aux monnaies nationales, Jean-Jacques Rosa l'envisage toutefois après une dévaluation préalable de l'euro. En cela, bien qu'il verse dans la politique-fiction, il nous apparaît plus sensé que les idéologues souverainistes.
Agitant le spectre d'une Europe fédérale, Marine Le Pen promet un avenir meilleur à la faveur d'une dévaluation accompagnant le retour au franc. Fait remarquable, sa tribune est publiée par Les Échos.
Alain Madelin ponte les inepties souverainistes tout en dénonçant la surenchère européiste.
Réagissant aux propos de Pierre Lequiller, l'égérie populiste exerce son droit de réponse dans La Tribune.
SI Athènes « réduit sa dette de, disons, 50 % du PIB et qu'il lui faut alors remettre à flot (c'est-à-dire nationaliser) le système bancaire pour un coût de l'ordre de 20% du PIB, le gain reste de 30% du PIB, une jolie opération financière ».
Le recours aux dévaluations apparaît inéluctable aux yeux de Jacques Sapir, qui cite quelques précédents sur lesquels nous tâcherons de nous documenter à l'occasion.
C'est, en tout cas, l'avis de Massimo Prandi , journaliste aux Échos.
Deux rapports dévoilés outre-Rhin insistent sur la perte de souveraineté budgétaire du Bundestag dans le cadre du MES. La cour constitutionnelle de Karlsruhe pourrait lui faire obstacle.
Un nouveau décryptage de la politique de la BCE. Une lecture enrichissante, mais insuffisante pour en finir avec la perplexité qui nous hante en matière monétaire.
Jean Quatremer exagère, selon nous, la portée du Pacte pour l'euro. Mais sa critique de la stratégie britannique donne à réfléchir.
Inscrite dans le "Pacte pour l'euro plus", la réduction des déficits de compétitivité inquiète la Confédération européenne des syndicats. S'émancipant du strict domaine social, celle-ci appelle les États européens à mutualiser leur dette...
L'abandon de la monnaie unique aurait de telles conséquences qu'elle apparaît inimaginable aux yeux de Pierre-Yves Cossé, ancien commissaire au Plan. D'autant qu'une dévaluation ne suffirait pas à s'émanciper de la rigueur.
Une centaine de pages pour se familiariser avec un sujet au cœur de l'actualité.