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Il aurait jugé préférable de donner libre cours à la circulation de toutes les monnaies nationales dans chacun des États membres de la Communauté européenne. Incidemment, la bonne monnaie aurait chassé la mauvaise.
Ironie : « La Bundesbank a doublé son bénéfice l'année dernière grâce à la politique non conventionnelle de la Banque centrale européenne (BCE), dont elle demande la fin le plus vite possible. »
Dans ce passage du 2e arrondissement, on peut régler ses achats en crypto-monnaie ! En un an, l'équivalent de 3 000 euros ont été dépensés par ce biais. Mais il s'agit surtout d'une opération de communication.
À lire ! Cela tranche avec le discours des analystes déboussolés. En plus d'évoquer les cartels, Olivier Kempf rappelle que le Bitcoin pourrait avoir été conçu pour survivre à une déstabilisation du système financier.
La malheureuse faisant commerce d'une culture souvent prise en défaut, il n'est pas certain que ses conseils soit pris très au sérieux. Son ingénuité s'avère moins critiquable que le conservatisme de ses détracteurs.
C'est une crypto-monnaie qui commence à peser. Mais à la différence du Bitcoin, elle ne semble pas présenter de caractère disruptif : il s'agit en fait d'un outil de compensation à la disposition du système financier.
Lu sur Numerama : « À défaut de pouvoir être minée […], le crypto-rouble sera échangeable contre des roubles sans frais. Sauf si leur propriétaire ne peut justifier de sa provenance : dans ce cas, une taxe de 13 % est imposée. »
Peut-être le sera-t-elle bientôt. Du point de vue des souverainistes et autres détracteurs de l'euro. En effet, le Parlement vient d'autoriser le Trésor public à emprunter auprès de la banque centrale. Affaire à suivre.
L'objectif ? « Rendre les échanges financiers moins coûteux, plus rapides et plus sécurisés. » Affaire à suivre.
Pas d'indépendance nationale sans un contrôle politique exercé sur la monnaie. Tel est, en substance, le message délivré par ce personnage sulfureux. Les souverainistes français parlent de l'euro à peu près de la même façon.
Selon Bruno Bernard, économiste, « ceux qui poussent à sortir du franc CFA sont des industriels situés hors de la zone euro, que ce soit en Suisse (cacao), en Chine (cuivre) ou dans les pays anglo-saxons ».
Mamadou Diarra (1972) :« C'est précisément dans l'effort à faire pour atteindre les équilibres généraux (en matière de politique de développement d'un pays) que réside l'essence même de l'indépendance. » Bon courage !
Cet article s'avère moins fouillé qu'on pouvait l'espérer, mais peut-être aurons-nous l'occasion de revenir sur la question.
Chris Dixon, entrepreneur et investisseur américian : « Il y a eu trois ères monétaires : celle basée sur les matières premières, celle basée sur le politique et, aujourd'hui, celle qui repose sur les mathématiques. »
Sa confession tient en quelques mots. À propos de la sortie de l'euro, il évoque « une idée pas seulement anxiogène mais mortifère pour notre économie ».
La zone euro le tolèrerait-elle ? « L'estcoin pourrait être accepté comme moyen de paiement pour les services publics et privés et finalement fonctionner comme une monnaie viable utilisée à l'échelle mondiale. »
Le profane a du mal à suivre, mais l'enjeu n'est pas seulement technique: « pour certains, le bitcoin doit rester un système de confiance alors que d'autres veulent faire du bitcoin un système de paiement courant ».
L'attractivité du Royaume-Uni diminue, aux yeux des migrants, avec la valeur de sa monnaie. On comrpend mieux pourquoi le Front national veut sortir de l'euro !
Comme la rapporte Numerama, au pays du Soleil-Levant, « le bitcoin pourrait devenir un mode de paiement comme un autre ». Affaire à suivre.
Nous sommes du même avis : « L'à-peu-près en matière monétaire et financière ne pardonne pas. Et les tergiversations du Front national sur une question aussi essentielle sont de bien mauvais augure. »