Passage en revue
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Trois ans après avoir dévoilé les Galaxy Note 5 et Galaxy S6 Edge +, le constructeur coréen a cessé de proposer des mises à jour de sécurité mensuelles pour ces appareils. De quoi susciter un mécontentent légitime chez ses clients selon Notebookcheck. Les utilisateur les plus avertis peuvent toutefois bidouiller leur smartphone pour bénéficier des dernières évolutions d'Android.
Une expérimentation a été lancée en juillet dernier dans un magasin de Haute-Garonne. Des produits sont rachetés contre des cartes-cadeaux. Ils sont ensuite remis en vente avec le bénéfice d'une garantie d'un an. C'est vraisemblablement la traduction d'une tendance de fond.
L'avocat de l'association HOP se fourvoie dans un mauvais combat en prétendant lutter contre l'obsolescence programmée. Les cinq initiatives qu'il présente ici n'en sont pas moins dignes d'intérêt.
Demain, au lieu d'exiger des fabricants d'un produit quelconque qu'ils s'engagent sur la disponibilité de certaines pièces d'écachées, il suffira de réclamer la mise à disposition du fichier nécessaire à leur impression. Révolution en perspective ?
« En adoptant la meilleure stratégie de charge possible, on peut doubler voire tripler la durée de vie des batteries. » C'est en tout cas ce que promet Josselin Priour, fondateur de Powerup, une entreprise qui vend des solutions en conséquence.
Ces explications publiées en 1950 dans le magazine américain Good Housekeeping en témoignent. À l'époque, le débat se posait déjà dans les mêmes termes qu'aujourd'hui. Rien n'a changé !
Les entreprises soucieuses de bénéficier d'un support pour Windows 7 au-delà du 20 janvier 2020 pourront l'obtenir. À condition d'y mettre le prix. Lequel ira croissant trois ans durant. Dans l'espoir de les pousser à migrer.
À l'avenir, sur les modèles Jaguar et Land Rover, « les systèmes d'infodivertissement recevront [...] des mises à jour à distance et disposeront d’un nouveau concept de mise à niveau matérielle sous la forme de "cartouches" ». Intéressant !
Le remplacement d'un capteur s'avère particulièrement coûteux comparé au prix d'un appareil neuf. S'agit-il pour autant d'un cas d'obsolescence programmée ? Livrer une pièce commandée au détail, puis la changer, c'est une tout autre activité que de vendre un produit fabriqué à la chaîne.
Cinq ans après sa sortie, le premier Chromebook n'est déjà plus supporté par Google. Il n'avait pourtant rien d'un produit lowcost. Cela peut se comprendre, comme expliqué dans cet article. Mais les consommateurs tentés par l'achat d'une machine de ce type doivent être mis en garde.
En moyenne, 70 % des entreprises utiliseraient leurs PC pendant au moins cinq ans. Elle seraient 24 % à le faire pendant sept ans ou plus. La durée de vie des tablettes serait évidemment bien moindre. C'est en tout cas la conclusion d'une enquête menée par Spiceworks de part et d'autre de l'Atlantique.
Une fois l'échéance arrivée, le produit reste utilisable. Mais le support risque de faire défaut. Devenu officiellement obsolète en cette rentrée 2018, le Macbook Air 2012 bénéficie toutefois d'un sursis : il pourra encore être réparé pendant deux ans avec l'aide de la marque à la pomme.
Dans cet article du Devoir, publié en 2014, on reconnaît que les cas d'obsolescence prétendument programmée sont mal documentés ; on récuse la réalité d'un complot industriel ; on souligne la responsabilité des consommateurs ; on rappelle enfin que si l'on répare moins qu'avant, c'est en partie parce qu'on est mieux payé.
Voilà un curieux article. La parole est d'abord donnée à l'accusation. C'est ensuite la défense qui s'exprime. Mais la conclusion s'avère étonnamment complaisante envers Epson.
Il ne sera plus possible de faire réparer une Play Station 2 au Japon. Du moins pas chez Sony. Ce service n'est plus proposé depuis le 1er septembre 2018. Cela dix-huit ans après le lancement de cette console. Mais moins de six ans après l'interruption de sa production.
Le verrouillage des appareils électroniques suscite des polémiques récurrentes. Dernièrement, les beta-testeurs d'une mise à jour proposée par Xiaomi en ont fait les frais. C'est l'occasion de rappeler que les industriels sont loin de toujours tout maîtriser.
S'agit-il vraiment d'obsolescence programmée ? C'est loin d'être certain. L'auteur de ce tutoriel encourage toutefois ses lecteurs à prendre contact avec le SAV pour ensuite rendre compte de l'accueil qui leur aura été réservé. À suivre.
Tout n'est pas à rejeter dans ces critiques, loin s'en faut ! Mais leur inspiration demeure biaisée par un complotisme diffus. Partage pour suivi du dossier et archivage.
C'est important : Epson confirme qu'il remplace gratuitement le fameux tampon absorbeur ; y compris au-delà de la période de garantie. Mais si le constructeur est si bien disposé, pourquoi ne communique-t-il pas en conséquence ?
Deux points à retenir : l'invocation des aléas climatiques pour expliquer le traitement réservé au tampon absorbeur ; et l'affirmation selon laquelle l'impression jet d'encre serait plus écologique que la technologie laser.