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PQCD
Le propagandiste en chef d'une théorie complotiste est apparemment professeur d'économie sociale et solidaire à Sciences Po. Cela nous laisse incrédule.
Apple est critiqué pour proposer des mises à jour. D'autres le sont pour la raison inverse. Reste à savoir de quel côté se trouve l'obsolescence plus ou moins programmée…
À retenir : « un réfrigérateur coûtait quatorze jours de travail à un salarié moyen en 1984, contre six aujourd'hui » ; « près de 40% de baisse sur une machine à laver depuis 1990 » (mais l'avantage des cuves en plastique est ignoré).
Le témoignage d'un utilisateur manifestement très satisfait de son imprimante Epson. Mais beaucoup moins des émissions télévisées du prétendu « service public ».
Cela « à peine trois ans après sa commercialisation », comme dénoncé ici. Obsolescence programmée ? Toute l'ambiguïté tient à la singularité de l'informatique, où le bien n'est jamais que le support d'un service.
Partage d'une mise au point publiée il y a déjà quelques années. Ce choix technique, à nos yeux regrettable, s'explique en partie par la demande des consommateurs, y compris les professionnels, séduits par des appareils d'une extrême finesse.
Selon ce chantre de la décroissance, « les lobbies industriels […] n'ont pas tout à fait tort de prétendre que l'obsolescence programmée, entendue dans le sens d'un complot ou d'un sabotage, n'existe pas ».
Merci à Contrepoints d'avoir accepté notre proposition. Il s'agit du commentaire critique d'un reportage d'Envoyé spécial dont les auteurs reprennent avec crédulité les accusations assénées par l'association HOP.
Christopher Santerre, l'un des artisans du projet, regrette que les machines actuelles ne soient pas davantage réparables. Mais « il ne s'agit pas d’un complot du fabricant », explique-t-il, soulignant la responsabilité des consommateurs.
Lu dans Sciences et Avenir en 2014 : « Ces courbes, aussi éloquentes qu'elles semblent être, ne prouvent absolument pas la théorie d'une obsolescence programmée manigancée par Apple. » Explications.
Il semblerait que cela devienne la règle, y compris sur les modèle de gamme pro ! Exemple avec le top chez Lenovo. Par ailleurs, les lecteurs de carte SD plein format et les prises réseau font les frais d'une miniaturisation inutile. Agaçant.
Au moins la question est-elle posée par Les Échos. Mais l'article se termine par une citation aux accents conspirationnistes.
Mise à jour matérielle : sur le marché de l'occasion, l'offre ne correspond pas tout à fait à la demande ; aussi Renault Trucks a-t-il entrepris de transformer des tracteurs en porteurs et d'autres camions en véhicules de chantier.
Surtout si c'est à la charge des constructeurs ! Aux yeux de leur représentant, cela serait finalement trop coûteux. Il juge les mises à jour logicielles suffisantes. Affaire à suivre.
La sortie d'un nouvel appareil photo peut frustrer les possesseurs du modèle précédent. Dans le cas du K1, Pentax a proposé à ses clients de mettre à jour leur boîtier. Pour 500 dollars quand même. Mais l'initiative mérite d'être relevée.
À creuser : « On ne sait pas si Lynk & Co prévoit d'adopter la même stratégie qu'en Chine où ses modèles sont garantis à vie et où le SAV est assuré par des employés […] qui récupèrent les véhicules selon les souhaits des clients. »
Victime d'un procès médiatique à charge, Epson sort de son silence. Cela rattrape à peine une com' calamiteuse, d'autant que certaines réponses semblent insuffisantes. Mais le sort réservé à Apple illustre la difficulté de l'exercice.
Arnaud Gossement, avocat : « Je suis désolé de le dire, mais [avec] l'obsolescence programmée, on est un peu dans la théorie du complot. » Un peu seulement ? Un peu beaucoup ! À noter aussi : la rentabilité douteuse de l'Increvable.
On appelle cela le « surcyclage ». L'initiative séduit sur le principe, mais son intérêt semble limité dans la pratique. Un simple coup de communication ?
Un exemple parmi d'autres : quand une voiture est équipée d'une caméra frontale, celle-ci doit être recalibrée après un changement de pare-brise ; cela à l'aide d'un outil qui coûterait quand même 15 000 euros.