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Benoît Beucher, docteur en histoire et en sciences politiques : « À chaque moment de crise majeure dans l'histoire du pays, la royauté a joué un rôle, un rôle de médiation. »
La lecture de cette biographie suffirait-elle à dissiper les fantasmes conspirationnistes ? Ce n'est pas certain, mais au moins aurons-nous signalé sa parution. Politique étrangère en propose une critique assez élogieuse.
« Il faut prendre dans Lugan ce qu'il y a à y prendre », écrit Olivier Kempf. Or ce livre lui semble excellent : « traiter ensemble Égypte, Libye, Tunisie, Algérie et Maroc, une bonne idée, incontestablement ».
Regard critique sur Vladimir Poutine : sa politique extérieure aurait surtout pour but de masquer l'indigence de l'économie russe, selon l'analyse proposée par Royal Artillerie.
Certains points nous laissent dubitatif, mais cela tranche avec la légèreté observée ici ou là, où la question n'est abordée que via le prisme étroit des petits calculs politiciens, plus encore que politiques.
Un nouveau petit livre signé Hubert Védrine. Une leçon de réalisme guère surprenante de la part de l'auteur. Critique bienveillante publiée sur Contrepoints.
Une émission à télécharger sur France Culture. Cela devrait nous donner un aperçu des différentes politiques d'influence mises en œuvre par le Quai d'Orsay.
Tribune intéressante, en cela qu'elle souligne que le Quai d'Orsay n'invoque la justice internationale que dans le mesure où cela sert ses desseins, toujours gouvernés par la realpolitik. Le droit-de-l'hommisme, un fantasme d'extrême droite ?
Lu sur Echoradar : « l'incertitude internationale [...] peut ouvrir des voies de coopération entre le Japon et les pays d'Europe à commencer par la France » – notamment dans le champ de l'économie maritime, selon Nicolas Mazzucchi.
Cyrille Bret : « Quand Vladimir Poutine et le patriarche Cyrille opposent chrétienté russe et islam moyen-oriental, ils surjouent largement l'affrontement religieux pour amadouer les opinions des États fondateurs de l'Europe. »
Les dirigeants luxembourgeois sont polyglottes. Cela contribue directement à l'influence de leur pays, comme l'explique Jean-Claude Juncker. Quant aux représentants des États membres de l' OIF, ils rechignent à parler la langue de Molière !
Accusé d'avoir « violé » la souveraineté de son pays, le ministre néo-zélandais de l'Économie a reçu un sextoy en pleine figure. En cause, selon la femme à l'origine de cette farce : l'accord de partenariat transpacifique.
En donnant du travail à des Somaliens, le patron d'un restaurant japonais aurait apporté une contribution significative à la lutte contre la piraterie dans le golfe d'Aden. Qui a parlé d'« approche globale » ?
Patrick Weil les estime à cinq millions. Un tiers d'entre eux vivraient à l'étranger. Selon lui, alors que certains voudraient s'en débarrasser, ce seraient autant de compatriotes contribuant à l'influence de la France dans le monde.
Ce livre de deux cents pages suscite la critique élogieuse de DSI : « L'analyse a ici une profondeur et une vision qui font plaisir à lire [ce] qui n'exclut pas un coup de griffe à une approche globale un peu trop doctrinaire. »
Ce petit livre en brosse le portrait sur une centaine de pages. Cela semble assez bien fait ! De plus, l'éditeur propose une version numérique apparemment sans DRM. Peut-être aurons-nous l'occasion d'en rendre compte prochainement.
Tandis que les attentats perpétrés en Europe galvanisent les combattants, une partie se joue en Libye : l'État islamique voudrait y ouvrir un nouveau front, afin que ses ennemis relâchent la pression en Irak et en Syrie.
Quelques clefs pour comprendre les circonstances dans lesquelles la Turquie a pu abattre un avion militaire russe. Celui-ci n'aurait pénétré dans son espace aérien que pendant dix-sept secondes – mais à quelle vitesse !
Olivier Kempf : « Même théorie politique à la fois simpliste et compliquée, même maniement d'une langue codée, même sorte de livre fondateur [...], même internationalisme, même concentration des efforts dans un seul pays. »
L'islam devrait poursuivre sa montée en puissance, au point de rattraper le christianisme. Mais dans l'Hexagone, les "non-affiliés" seront vraisemblablement les plus nombreux. Autrement dit, « l'exception française sera également religieuse ».