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politique
Lu dans L'Usine nouvelle : « Macron, lui, semble avoir compris ce que Colbert, Napoléon III ou Angela Merkel ont toujours su – que la puissance d'un royaume se définit par sa richesse. »
Une page Facebook met en lumière les véritables desseins d'Emmanuel Macron, manifestement décidé à renouer les fils de l'histoire.
Stéphane Bern risque la comparaison : « On a eu un président qui pensait que pour rajeunir il fallait casser les codes. Lui a compris au contraire qu'il fallait les garder pour incarner la fonction et rajeunir à l'intérieur. »
Peut-être faut-il le rappeler : cette voiture de parade a été mise à disposition de l'Élysée sans que l'État débourse quoi que ce soit. DS avait préparé son coup de longue date !
N'en déplaise aux détracteurs d'« Emmanuel Hollande », la présidence « normale », c'est fini. En témoigne cet hommage rendu à la ville de Paris, sans doute convenu, mais de circonstance.
À propos de la DS7 Crossback, peu avant son apparition sur les Champs-Élysées avec Emmanuel Macron à son bord : « cette auto se veut mondialiste comme son peut-être futur occupant » – sic !
Extrait : « À partir d'un certain niveau d'instruction, les gens ne se satisfont plus d'entendre pour toute réponse à toute question que c'est la faute à l'Europe, c'est la faute à l'immigré légal et clandestin. »
Extrait d'une tribune où il annonçait son vote en faveur d'Emmanuel Macron : « Il est vain de vouloir se battre contre la mondialisation qui est la réalité de notre monde, qui est le produit inéluctable du progrès technologique. »
Le commentaire de Royal Artillerie après l'élection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République.
Extrait d'un éditorial de L'Usine nouvelle : « Il existe deux sortes de populistes : ceux qui troquent leurs promesses contre la realpolitik, et ceux qui préfèrent ruiner leur pays [plutôt] que de se renier. »
Qu'on propose le partage du travail ou qu'on dénonce le vol des emplois par des immigrés, on puise dans la même inspiration malthusienne. De ce point de vue, les propos prêtés ici au gouverneur Tarkin donnent à réfléchir.
Retrouver la compétitivité de la France ? Ce serait l'affaire « d'un trait de plume » selon Philippe Murer, conseiller économique de Marine Le Pen. Tout comme le bénéfice de 14 milliards d'euros obtenu en éradiquant la fraude fiscale.
En marche pour le retour du roi : Emmanuel Macron serait, paraît-il, un lointain descendant d'Hugues Capet. À travers lui, les liens seront enfin renoués entre la France et sa famille !
Petite pirouette : Éric Chaney raille un « catalogue international de recettes protectionnistes » dans lequel Marine Le Pen et le FN puiseraient sans élaborer aucun projet répondant aux spécificités de l'économie française.
Selon Varsovie, « il est difficile de voir une différence entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron » ; c'est même « du populisme à l'état pur », dénonce le gouvernement polonais. En cause : l'affaire Whirlpool.
À première vue, l'inflexion semble sensible, tout particulièrement sur le protectionnisme et la monnaie. Il ne reste plus qu'à proposer à Emmanuel Macron la présidence de l'Assemblée nationale.
En tout cas, à l'heure où nous partageons ce lien, la page consacrée au sujet sur Wikipédia n'est pas très fournie. Faut-il y voir le signe que nul ne prend au sérieux l'hypothèse d'une élection de Marine Le Pen le 7 mai prochain ?
Emmanuel Macron cité par Le Figaro en septembre 2015 : « Si rien ne bouge, il n'y a plus de zone euro dans dix ans. » L'horloge tourne…
Sans surprise : « Nous recommandons de voter Emmanuel Macron au second tour pour donner leur légitimité aux réformes et aux timides coupes budgétaires annoncées. »
Curieuse formule. On la doit à Jean-Louis Bourlanges, selon lequel Emmanuel Macron « a clairement choisi la ligne du social-libéralisme et le rejet des oripeaux du socialisme bureaucratique ».