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S'agit-il d'une sage précaution ou bien cela traduit-il la volonté de complaire à Washington ? « La pression américaine est très forte sur le Japon. Le gouvernement japonais se trouve dans une position très délicate car Huawei est très impliqué dans la R&D sur 5G dans le pays. On s'oriente vers une nouvelle sorte de guerre froide entre d'un côté la Chine et de l'autre les États-Unis et leurs plus proches alliés comme le Japon, la Corée du Sud, l'Australie… À terme, il y aura également des pressions sur l'Europe qui jusqu'à maintenant ne s'est pas manifestée. Le débat est déjà vif en Angleterre où le gouvernement ignore les menaces de Trump, laissant les opérateurs télécoms continuer à déployer et utiliser des équipements chinois. »
Trois ans après avoir dévoilé les Galaxy Note 5 et Galaxy S6 Edge +, le constructeur coréen a cessé de proposer des mises à jour de sécurité mensuelles pour ces appareils. De quoi susciter un mécontentent légitime chez ses clients selon Notebookcheck. Les utilisateur les plus avertis peuvent toutefois bidouiller leur smartphone pour bénéficier des dernières évolutions d'Android.
Demain, au lieu d'exiger des fabricants d'un produit quelconque qu'ils s'engagent sur la disponibilité de certaines pièces d'écachées, il suffira de réclamer la mise à disposition du fichier nécessaire à leur impression. Révolution en perspective ?
« En adoptant la meilleure stratégie de charge possible, on peut doubler voire tripler la durée de vie des batteries. » C'est en tout cas ce que promet Josselin Priour, fondateur de Powerup, une entreprise qui vend des solutions en conséquence.
On n'en est pas encore là, mais l'engouement pour les boîtiers mirrorless donne à réfléchir. Même les amateurs les plus avertis semblent disposés à regarder le monde à travers un écran et non plus directement tandis qu'ils composent leurs images. C'était mieux avant.
Le remplacement d'un capteur s'avère particulièrement coûteux comparé au prix d'un appareil neuf. S'agit-il pour autant d'un cas d'obsolescence programmée ? Livrer une pièce commandée au détail, puis la changer, c'est une tout autre activité que de vendre un produit fabriqué à la chaîne.
Cinq ans après sa sortie, le premier Chromebook n'est déjà plus supporté par Google. Il n'avait pourtant rien d'un produit lowcost. Cela peut se comprendre, comme expliqué dans cet article. Mais les consommateurs tentés par l'achat d'une machine de ce type doivent être mis en garde.
En moyenne, 70 % des entreprises utiliseraient leurs PC pendant au moins cinq ans. Elle seraient 24 % à le faire pendant sept ans ou plus. La durée de vie des tablettes serait évidemment bien moindre. C'est en tout cas la conclusion d'une enquête menée par Spiceworks de part et d'autre de l'Atlantique.
Il ne sera plus possible de faire réparer une Play Station 2 au Japon. Du moins pas chez Sony. Ce service n'est plus proposé depuis le 1er septembre 2018. Cela dix-huit ans après le lancement de cette console. Mais moins de six ans après l'interruption de sa production.
Le verrouillage des appareils électroniques suscite des polémiques récurrentes. Dernièrement, les beta-testeurs d'une mise à jour proposée par Xiaomi en ont fait les frais. C'est l'occasion de rappeler que les industriels sont loin de toujours tout maîtriser.
À côté de quelques gadgets, c'est un produit proposé par Lenovo qui retient notre attention : le Yoga Book C930, qui tourne sous Windows, intègre un second écran sur lequel on peut certes afficher un clavier mais qui devrait aussi permettre de lire avec tout le confort de l'encre électronique. Dommage que la mémoire vive plafonne à 4 Mo.
Pour preuve, des investissements sont annoncés pour financer le développement d'applications adaptées – comme une déclinaison de Google Maps dans le cas présent. C'est toutefois la marché indien qui semble visé en priorité.
Le constructeur à la Pomme aurait émis des déclarations mensongères sur les droits des consommateurs en refusant de remettre en état des appareils défaillants ayant été réparés auparavant par un tiers.
Une quarantaine d'appareils sont déployés par JD.com. Les plus gros peuvent transporter jusqu'à trente kilogrammes de marchandises sur une trentaine de kilomètres. Ils se posent toutefois à l'écart des habitations.
Cela va encore nourrir bien des suspicions. En cause : la gestion du Wifi. « Mais il s'agit là a priori d'un bug et non d'une manœuvre volontaire d'Apple », comme l'explique Phonandroid.
Trois ans de maintenance, pour un gadget électronique, malheureusement, cela n'est pas si mal. Pour une montre de luxe (pas donnée en tout cas), c'est autre chose. C'est la raison pour laquelle nos confrères du Point croient pouvoir s'indigner
Intel a présenté une petite machine équipée de deux écrans. L'appareil s'ouvre comme un livre. Avec un côté dédié à l'encre électronique. C'est idéal pour lire ou prendre des notes manuscrites. Mais le clavier physique est sacrifié.
« Dans la voiture intelligente et autonome, nous offrons une alternative européenne aux puces des américains Nvidia, Intel Mobileye et Qualcomm. » Tant mieux ! La fabrication est toutefois confiée à TSMC, un fondeur taïwanais.
L'EOS-1V, dernier boîtier argentique de la marque, avait été lancé en 2000. Il était toujours en vente, quoique sa production ait cessé depuis 2010. Chez Nikon, le grand concurrent, le F6 demeure toutefois au catalogue.
En dépit du poids croissant de l'électronique dans nos boîtiers, des acteurs traditionnels continuent finalement de dominer le marché. On peut se demander si le même sort sera réservé aux constructeurs automobiles…