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La résolution du Parlement européen (juin 2017). Partagée pour archivage. Peut-être aurons-nous l'occasion d'y revenir !
Les ordinateurs portables se prêtent davantage aux réparations que les tablettes. Or, « si la catégorie s'en tire mieux, note Ifixit, c'est parce que les consommateurs attendent d'un ordinateur portable qu'il dure plus longtemps ».
Par rapport aux années soixante-dix, « il faut travailler six fois moins de nos jours pour acheter le même genre de frigo ». De plus, les modèles actuels « sont moins énergivores, moins lourds et permettent d'entreposer plus d'aliments ».
Le "service public" bourre le crâne des enfants, auxquels des journalistes indignes expliquent qu'un vaste complot gouverne le tissu industriel mondial dont les acteurs mettraient en œuvre une politique d'obsolescence programmée.
Noyé dans un flot d'inepties (du grand n'importe quoi), on retient tout de même l'échec commercial auquel s'est heurté Maped, après avoir proposé des ciseaux et autres produits de meilleure qualité.
Francis Vailles dénonce « la logique tordue » selon laquelle « les grandes entreprises complotent systématiquement » ; « pour quiconque […] affronte la vive concurrence », explique-t-il, « elle est insensée ».
Apologie du "décrassage" par hydrogène : « Plutôt qu'une prime de 400 euros pour l'achat d'un vélo à assistance électrique, pourquoi ne pas prendre en charge le coût d'un décalaminage ? » Sans parler des primes à la casse !
BMW n'est pas le seul à s'engager sur cette voie : Volkswagen va apporter des modifications à des moteurs diesel répondant à la norme Euro 5, lesquels équipent apparemment des véhicules commercialisés entre 2011 à 2015.
Pascal Durand évoque des produits « qui tombent en panne dès que les garanties légales s'arrêtent ». Cela jette un sérieux discrédit sur son rapport.
Prolonger la durée de vie des produits, d'accord. Mais le Parlement européen propose apparemment d'édifier une nouvelle usine à gaz administrative. Peut-être faudrait-il cibler les consommateurs, dont la responsabilité semble minimisée.
Des automobiles mises en circulation il y a quelques années vont bénéficier d'une révision censée réduire leurs émissions polluantes. Une démarche à l'opposé de la politique d'obsolescence programmée mise en œuvre par la ville de Paris.
Le Soir se montre compréhensif : « garantir un support de plusieurs années force Apple à limiter le déploiement de nouvelles fonctionnalités », est-il expliqué dans cet article. Peut-être y aurait-il matière à discussion.
Cette étude « n'exclut pas des mécanismes d'obsolescence programmée mais éprouve le plus grand mal à en démontrer l'existence » ; aussi la réflexion a-t-elle été étendue aux mesures qui visent à augmenter la durée de vie des produits.
Ce vieux réfrigérateur en serait la preuve, selon cet article qui dénonce l'obsolescence prétendument programmée des appareils neufs. Peut-être faudrait-il se demander ce que sont devenus tous les autres réfrigérateurs de la même époque.
« Tous les appareils sont réparables », affirme un bénévole officiant dans un Repair café ; « ce qu'on oublie », selon lui, « c'est que nous achetons des appareils de plus en plus complexes » mais aussi « de moins en moins chers ».
Une directive est en chantier avec pour objectif d'allonger la durée de vie des produits.
La plupart y croient. En tout cas, c'est ce qu'ils disent. Peut-être Emmanuel Macron se distingue-t-il toutefois en évoquant « le progrès technique et l'évolution des normes » ; ce faisant, il semble récuser implicitement la thèse d'un vaste complot.
Le Monde entretient le mythe conspirationniste de l'obsolescence programmée. Cela à la faveur d'une interview inconséquente où sont cités des exemples aussi convenus que grotesques. Les Décodeurs feraient bien de balayer devant leur porte.
Bien sûr que non. Comme l’explique notre confrère Frédéric Bianchi, il est « difficile de mettre au jour une quelconque obsolescence programmée, qui semble relever de la théorie du complot ».
Boulanger met à disposition les plans d'une centaine de pièces détachées susceptibles d'être imprimées en 3D. Cela afin de réparer des produits vendus sous sa marque. C'est peut-être le début d'une petite révolution !