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« Dans Dimension Voyage, Warrius commande le Karyu, mais a connu Albator au sein de la flotte Gaia. Si les deux hommes ont suivi des chemins différents, ils sont restés en bons termes. Warrius apportera une aide discrète mais décisive aux pirates de l'espace, en leur permettant d'accéder à la forteresse du Trident, où repose l'Arcadia n°3 conçu par Tochirô. Malgré sa courte apparition, cette version de Warrius a conservé tout son capital sympathie. »
Leiji Matsumoto lui-même avait fait la promotion du projet. Mais son financement n'est pas assuré. D'autant que la campagne de crowdfunding lancée à cet effet n'a pas rencontré le succès escompté.
L'ouverture d'un bar associatif a été annoncée à Strasbourg. Son nom ? L'Arcadia. En référence « au vaisseau qui […] permettait à Albator de saborder le système », selon le porte-parole du Bastion social.
Il était temps… Plus précisément, un éditeur annonce une édition prometteuse de L'Arcadia de ma jeunesse. Wait and see.
Un Albator en chair et en os ? C'est pour bientôt. Avec un Français à l'écriture du scénario. Une adaptation de Galaxy Railways est annoncée également. Avec, cette fois-ci, l'un de nos compatriotes à la réalisation.
Marcus Rediker « porte un regard neuf et engagé sur flibustiers, fuyards et esclaves marrons qui trouvèrent en mer une liberté que la société terrienne leur refusait ». Un article du Monde (mais en accès payant).
Une adaptation en film "live" des aventures du capitaine Harlock vient d'être annoncée. Ce projet aboutira-t-il ? On verra bien. En attendant, c'est l'occasion de rappeler que sur son vaisseau, l'Arcadia, « c'est l'anarchie plus un » !
Connaissez-vous la série des Battlefield Manga ? Au Japon, c'est « l'une des œuvres les plus célèbres et célébrées de Leiji Matsumoto », le créateur du capitaine Harlock, alias Albator.
Triple 9 nous rappelle brièvement quels furent les différents navires japonais de classe Yamato. Et à quelles apparitions ceux-ci se sont prêtés sous le crayon de Leiji Matsumoto, le créateur du capitaine Harlock, alias Albator.
Les politiciens imaginés par Leiji Matsumoto « sont invariablement incompétents, hédonistes et libidineux ». À l'image de ce Premier ministre, incarnation d'un mal « insidieux », dont les traits sont inspirés d'un certain Takeo Miki.
« L'objectivisme prône que le seul but de l'homme est d'assurer sa propre survie et son propre bonheur. » Tous les chemins mènent à la philosophie, y compris les aventures du capitaine Harlock, alias Albator !