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Sous l'impulsion de François Hollande, « la France qui est encore entre les deux Europe risque [...] de glisser définitivement dans les rangs des pays dits du "Club Med" ».
Confrontée, il y a vingt ans, à l'explosion d'une bulle immobilière, la Suède se serait accommodée, avec succès, d'un lourd déficit public. Un exemple à suivre?
L'abandon par l'Union européenne « de la règle de non-sauvetage » serait « une erreur historique », selon Charles Wyplosz, qui oppose au "modèle allemand" la responsabilité des États américains.
Entre la période d'avant crise (2004-2007) et la période de crise (2008-2011), pas un seul pays de l'Union européenne n'a réduit son niveau de dépense publique, soutien Georges Kaplan.
À rien, ou presque, selon cette analyse dont l'auteur déplore le recours des États à « une autodiscipline s'éloignant de la méthode communautaire ».
Les suicides se multiplieraient par la faute de la Commission européenne et du FMI... Mise en perspective des chiffres instrumentalisés par des démagogues néo-keynésiens.
Considérations iconoclastes sur l'endettement public.
Un article susceptible d'aider les profanes (dont nous sommes) à combler leurs lacunes, sur un sujet d'une actualité brûlante. En résumé : « Tout dépend de la conjoncture économique [...] et du comportement des agents économiques. »
Tandis que la Grèce nage en plein marasme, peut-être faut-il tirer quelque leçon des expérience argentine et irlandaise.
Outre la fuite en avant fédéraliste, Alain Madelin fustige la nouvelle marotte de l'Exécutif : le projet de "convergence franco-allemande" serait « la recette de l'explosion ».
Alain Madelin résume sa position dans un entretien accordé à Atlantico.
Des consultants du gouvernement allemand proposent de jouer à fond la carte des privatisations, en s'inspirant de l'expérience de la réunification.
Avancer vers l'équilibre en douceur, en privilégiant la réduction des dépenses plutôt que l'augmentation des impôts : voilà comment préserver la croissance selon quatre économistes de Goldman Sachs.
La Finlande négocie des garanties préférentielles en échange de son soutien à la Grèce. Preuve que la « solidarité européenne » n'est qu'un vœu pieux.
Paris continue à souscrire de nouveaux emprunts pour payer les intérêts dûs à ses créanciers. preuve qu'en dépit des annonces du gouvernement, la France peut difficilement se targuer d'une gestion exemplaire de ses finances publiques.
Agitant le spectre d'une Europe fédérale, Marine Le Pen promet un avenir meilleur à la faveur d'une dévaluation accompagnant le retour au franc. Fait remarquable, sa tribune est publiée par Les Échos.
Alain Madelin ponte les inepties souverainistes tout en dénonçant la surenchère européiste.
L'opposition se défend de rejeter en bloc les propositions du Premier ministre. Mais elle promeut davantage de coupes budgétaires, ainsi qu'une restructuration accélérée des entreprises publiques, de façon à baisser la pression fiscale.
« Les cas chinois et européens relèvent de la même volonté de rééquilibrer les points de vue », soutient Éric Albert, correspondant à Londres pour La Tribune
Standard and Poor's a annoncé ce vendredi qu'elle pourrait dégrader la note "AAA" de la France à l'horizon 2020 si elle n'agit pas pour réduire son déficit et si elle ne réforme pas la Sécurité sociale.