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« On a laissé se développer face à l'automobile des exigences contradictoires sans que personne ne veuille rendre explicite les arbitrages. On appelle alors triche l'effet de cette lâcheté politique. »
Bernard Jullien : « On ne peut que souligner aujourd'hui que cet attelage improbable fonctionne et que ce qui est perdu en termes de commonalité et d'économies d'échelle a une contrepartie palpable en termes de compétences et d'innovation. »
Une fois n'est pas coutume, c'est un partage tout à fait gratuit... L'aileron n'est pas des plus élégant, mais le capot noir rappelle les évolutions apportées à l'AE86 de Takumi. Série limitée à cent exemplaires, réservés au Japon !
Infiniti va plus loin que ses concurrents : sur certains de ses modèles, la direction s'avère quasiment virtuelle, en cela qu'elle ne comprend même plus de colonne. Le feeling n'étant pas au rendez-vous, le constructeur vient de revoir sa copie.
Dans la nouvelle Renault Mégane GT, les deux cents et quelque chevaux sont bien réels, les sièges baquets aussi, mais la seconde sortie d'échappement est factice, tout comme le diffuseur et même le bruit du moteur ! Un exemple parmi d'autres.
Désormais, les voitures "connectées" sont censées prévenir les secours en cas d'accident. En Floride, la conductrice d'une Ford Escort l'a appris à ses dépens, alors qu'elle tentait de fuir ses responsabilités...
Dans les années cinquante, Simca rêvait d'une automobile dont les moteurs électriques auraient été alimentés par des piles atomiques. Illustration avec la Fulgur, un prototype qu'on croirait sorti d'un vieux film de science-fiction !
Porsche multiplie les initiatives à l'intention des amateurs d'anciennes. Après leur avoir proposé, par exemple, un GPS dédié, il ouvre son premier "Classic Centre". La même chose pour les voitures populaires, c'est pour quand ?
L'histoire de la Ve République revisitée sur quatre roues : de la DS du général De Gaulle jusqu'à la DS5 de François Hollande, en passant par la Renault 25 « très fabiusienne, surtout dans sa version V6 turbo Baccara "gauche caviar" ».
Emboîtant le pas à Toyota et Honda, le constructeur de Stuttgart devrait commercialiser d'ici deux ou trois ans une déclinaison du GLC équipée d'une pile à combustible. Pas d'annonce fracassante, juste la poursuite d'un petit travail de veille !
À quoi bon ? « On aurait pu faire l’économie d'un raid raté et gratuit contre une entreprise performante qui a réussi sa mondialisation en inventant une gouvernance originale », regrette Élie Cohen.
Philippe Chain brosse le portrait élogieux d'un constructeur automobile iconoclaste, dont il fut quelques mois durant le directeur de la qualité. Sa présentation générale vire peut-être à l'apologie, mais la suite s'avère instructive.
Des objectifs trop ambitieux quant aux réductions des émissions de CO2 expliqueraient bel et bien le scandale. Autrement dit, au regard des seules préoccupations de la COP 21, cette triche serait... un exemple à suivre.
Dans la foulée de la Mirai, Toyota commercialisera des bus à pile à combustible en 2017. Objectif : vendre chaque année 30 000 véhicules à hydrogène d'ici 2020. Mais aussi développer des infrastructures recourant à la même technologie.
Pour chaque Phaeton vendue, Volkswagen perdrait 28 000 euros. Cette berline de grand luxe n'en sera pas moins maintenue au catalogue, et même renouvelée. Question d'image. Politique de long terme. Un exemple à suivre pour Renault et PSA.
L'élimination des oxydes d'azote (NOx) susciterait une surconsommation. D'où l'intérêt qu'il y aurait à désactiver certains dispositifs antipollution sur des véhicules qui en sont pourtant équipés, selon le site Industrie & Technologies.
Il est toujours facile, pour un industriel, de se défausser sur les pouvoirs publics. Le louvoiement de la réglementation, tout comme les aberrations des incitations fiscales, n'en sont pas moins dénoncées à juste titre par Maxime Picat.
Ce qui « agace » Jean Savary, « dans les réactions outrées à la décision somme toute rationnelle de Citroën, c'est la démonstration de passéisme typiquement franchouillard ». Nous sommes nous-même visé, mais sans doute a-t-il raison...
Crée en 1934 par un Italien, afin de construire en France des voitures conçues par Fiat, Simca s'imprégna de la culture américaine de Ford, puis devint la filiale européenne de Chrysler... jusqu'à son rachat par Peugeot en 1979.
L'initiateur du projet ne travaillait pas quai de Javel. C'était un pionnier de la plasturgie, qui s'était illustré, par ailleurs, au sein de l'escadron Normandie-Niemen. Étonnant parcours que celui de Roland de la Poype !