4243 shaares
Dans une université américaine, les étudiants de première année, obligés de porter un "traceur d'activité", sont priés de faire huit kilomètres de marche chaque jour. Totalitarisme hygiéniste ? En tout cas, cela nous rappelle The Island.
Prenez un embryon de cochon, ajoutez-y quelques cellules humaines prélevées sur un patient, et vous obtiendrez un cœur ou quelque organe qui pourraient lui être greffés sans craindre un rejet... On y travaille outre-Atlantique.
Dénonçant une « invasion organisée », le président tchèque Milos Zeman attribue la responsabilité des vagues migratoires aux Frères musulmans, qui chercheraient, selon lui, à « prendre progressivement le contrôle de l'Europe ».
Accusé d'avoir « violé » la souveraineté de son pays, le ministre néo-zélandais de l'Économie a reçu un sextoy en pleine figure. En cause, selon la femme à l'origine de cette farce : l'accord de partenariat transpacifique.
Aucune innovation ne serait inéluctable selon François Jarrige. Selon lui, cela dépendrait des rapports sociaux. Il regrette même que la démocratie n'ait pas davantage son mot à dire ! A priori, nous y voyons une utopie constructiviste.
En donnant du travail à des Somaliens, le patron d'un restaurant japonais aurait apporté une contribution significative à la lutte contre la piraterie dans le golfe d'Aden. Qui a parlé d'« approche globale » ?
Destinés à rassurer une opinion publique xénophobe, les contrôles systématiques aux frontières n'ont été vraiment rétablis que dans les discours. Enquête de Jean Quatremer entre la France et la Belgique.
Une fois n'est pas coutume, votre serviteur se retrouve d'accord avec Noël Mamère, lequel conteste que l'espace public doive être « purgé de tout signe religieux » (musulman en l'occurrence).
Royal Artillerie : « Oui, la cellule familiale est la brique naturelle élémentaire d'une société, n'en faisons pas un sacrement universel obligatoire. » Revenir sur le "mariage pour tous" ? « Ce serait une perte de temps et d'énergie. »
La petite Miata reste l'une de nos voitures préférées, mais n'en tirez pas de conclusion déplacée ! Décidément, certaines revendications "communautaires" se prêtent aux déclinaisons les plus improbables.
Lettre à François Hollande : « Nous autres, Français de hasard, ne voulons plus être français tant que vous incarnerez cette idée de la France. » Peut-être s'agit-il, au fond, d'un regard lucide porté sur le contractualisme.
Moyennant finances, des ambassades africaines attribueraient aux migrants des origines souvent fictives, afin de faciliter leur expulsion d'Allemagne.
Le numérique abolit les frontières, a-t-on coutume de dire. Mais les réseaux ne se déploient pas sans infrastructures. Si bien que la proximité de la mer s'avère préférable pour développer des activités de trading à haute fréquence.
L'Assemblée nationale « souligne avec force », à l'intention de Bruxelles, « l'importance [...] d'adopter des mesures [...] contre l'obsolescence programmée ».
Patrick Weil les estime à cinq millions. Un tiers d'entre eux vivraient à l'étranger. Selon lui, alors que certains voudraient s'en débarrasser, ce seraient autant de compatriotes contribuant à l'influence de la France dans le monde.
L'Alliance Renault-Nissan prévoit d'adapter ses véhicules à la « respiration consciente », suivant les conseils d'une officine dont les responsables tiennent un discours aux accents conspirationnistes. Un curieux partenariat !
DSI nous semble être une revue sérieuse. Que ses collaborateurs en viennent à traiter de clown le chef du gouvernement en dit long sur l'inconséquence des responsables politiques. Lesquels comptent cependant des détracteurs complices !
Le « danger » serait « de voir le personnel, le savoir-faire, et la réflexion militaire française dissous dans un prêt-à-porter otanien ». Sans partager cette inquiétude, au moins la jugerons-nous légitime.
La prospection commence, et même l'exploitation à petite échelle : au Mali, un forage de deux cents mètres de profondeur permettrait d'alimenter un village en électricité. Affaire à suivre.
Au passage, on remarquera que les projets plus ou moins "supranationaux" se sont pas l'apanage de Bruxelles et des ses partenaires. : « Adhérer à une union douanière impose en effet de renoncer à mener une politique commerciale indépendante. »