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« Transporter du gaz est dix fois moins cher que transporter des électrons », explique Thierry Lepercq. Par ailleurs, poursuit-il, « avec l’hydrogène, des actifs échoués pourraient même retrouver une seconde jeunesse » ; autrement dit, « pour les gestionnaires d’infrastructures existantes, c’est une planche de salut ». En résumé, « c’est une opportunité pour réindustrialiser notre pays », annonce-t-il avec enthousiasme.
Produit à Biarritz par Pragma Industries, l'Alpha Bike embarque une pile à combustible à proximité du pédalier. Engie vient d'en commander deux cents. Dans l'immédiat, ces vélos sont appelés à rejoindre des flottes d'entreprise ou des parcs en location. Affaire à suivre.
« PSA réfléchit plutôt à des solutions hybrides, avec des "piles à combustible de moyenne puissance associées à une petite quantité de batteries". "Cela permet d’assurer le démarrage des véhicules et règle la problématique de l’évacuation et du gel de l’eau dans le système", un défi de taille […] lorsque seule la pile à combustible assure la propulsion du véhicule. »
« Les trains seront construits à partir de rames déjà existantes. Alstom et Eversholt Rail, qui travaillent ensemble depuis quinze ans sur du matériel roulant, proposent de reconfigurer des Class 321 (le modèle de train circulant actuellement sur les rails britanniques) en UMH (Unité Multiple à Hydrogène). »
Selon son président, Patrick Koller : « Nous ne parviendront pas à remplir les objectifs sans employer l'hydrogène sur les poids lourds. Les batteries ne sauront pas obtenir les résultats souhaités. Il faut développer les filières de recharge d'hydrogène »
Le Nexo succède au IX35 dans la gamme du constructeur coréen. « Nous comptons en vendre une centaine par an en France », annonce Lionel French Keogh, directeur général de Hyundai France ; « il y a une demande des administrations de Rhône-Alpes, du département de la Manche, d'Engie, d'Air liquide », précise-t-il.
Les ventes seront vraisemblablement confidentielles : alors que son prix frôle les 80 000 euros, cette voiture souffrira de toute façon du manque d'infrastructures. Cela étant, c'est un pas symbolique qui est ainsi franchi ; l'hydrogène est en marche !
La Centrale électrique de l'Ouest guyanais (CEOG) stockera sous forme d'hydrogène l'énergie emmagasinée via des panneaux solaires. Ce serait, paraît-il, une première mondiale. Rendez-vous à l'automne 2020.
Renault ne s'en désintéresse certes pas totalement. Mais « nous ne mettons pas le paquet dessus », a déclaré son P-DG. De toute façon, s'est-il justifié, « il reste beaucoup de progrès à réaliser en termes de coût et de sécurité ».
C'est une première en France ! Deux cents logements seront chauffés en partie avec de l'hydrogène. Lequel est injecté dans le réseau de gaz naturel à Cappelle-la-Grande (Nord) après avoir été produit via des éoliennes ou des panneaux solaires.
L'électricien national investit 16 millions d'euros dans McPhy, un fabricant français d'électrolyseurs et de solutions de stockage et distribution d'hydrogène, dont il devient ainsi l'actionnaire de référence.
Alors que le Gouvernement vient de proclamer son intérêt pour ces technologies, L'Usine nouvelle rend compte des perspectives ouvertes par le recours à l'hydrogène. La France n'est pas dénuée d'atouts en la matière !
Faurecia se prépare à son développement. L'équipementier pourrait réaliser un chiffre d'affaires proche de 6 000 euros sur chaque véhicule équipé d'une pile à combustible, d'une vanne de pression et de deux réservoirs.
Cela en mettant vraisemblablement à profit des compétences acquises par Opel. Tant mieux ! En revanche, on ne parle plus de l'hybrid-air, qui semblait si prometteur.
Par rapport à une batterie, « beaucoup moins de matériaux critiques entrent dans la composition d'une pile à combustible », souligne Patrick Koller. Son entreprise a pour ambition de « diviser par deux » le coût de cette technologie.
Ce n'est pas encore fait. Mais BMW n'exclut pas de revenir en LMP1 avec une voiture équipée d'une pile à combustible.
« Les véhicules lourds […] ont un rôle à jouer dans la rentabilisation des stations de recharge car un nombre moyen de ces véhicules peut suffire à assurer un taux de charge initial de la station satisfaisant. »
À noter : « La durée de vie des piles à combustible devrait passer à 6 000 heures en 2020, puis à 7 000 en 2023, contre 4 100 heures aujourd'hui (soit un peu plus de 150 000 kilomètres). »
Cette région espère devenir « le leader de la mobilité hydrogène en Europe en accélérant le déploiement de véhicules à pile à combustible et de stations à hydrogène ». Affaire à suivre.
En France, on ne compte encore qu'une vingtaine de stations accessibles à tous pour faire le plein d'hydrogène. La moitié d'entre elles ont été mises en place par Air Liquide. À Paris, une flotte de taxis montre l'exemple.
Honda, Nissan et Toyota s'associent pour en promouvoir le développement. Avec pour objectif, selon L'Argus, « d'instaurer une véritable société de l'hydrogène au Japon ». Un exemple à suivre ?
Des trains équipés d'une pile à combustible, fabriqués par Alstom, vont être mis en circulation outre-Rhin.
Les avantages sont multiples : « Grâce à ce dispositif quatre fois plus léger que les batteries électriques [...], le passeur Galilée gagne en autonomie, en vitesse et en capacité de transport. »
L'hydrogène semble séduire l'US Army : « Les militaires envisagent même la possibilité de recueillir la vapeur d'eau produite par la pile à combustible, afin de ravitailler les troupes. » Vraiment ?
Lu dans Challenges : « Daimler juge aujourd'hui opportun de rejoindre Honda, Toyota et Hyundai-Kia dans le club très fermé des constructeurs qui commercialisent au compte-goutte des voitures électriques alimentées par hydrogène. »
Aujourd'hui, la pile à combustible a la faveur des ingénieurs. Mais l'hydrogène peut également alimenter un moteur à pistons. Comme sur feue la BMW Hydrogen 7.
Aujourd'hui, la pile à combustible a la faveur des ingénieurs. Mais l'hydrogène peut également alimenter un moteur à pistons. Comme sur feue la BMW Hydrogen 7.
Votre serviteur n'a pas tout compris à cet article, mais cette technologie semble intéressante. À suivre !
Le CCFA annonce que « le Japon va prendre une longueur d'avance en matière de stations d'hydrogène d'ici à 2020 ». Toyota salue « une approche 100 % japonaise ». Air Liquide n'en participe pas mois au projet.
Sans entrer dans les détails, cet article donne un aperçu des multiples utilisations auxquelles se prête d'ores et déjà l'hydrogène, en France ou ailleurs, alors qu'un salon vient de leur être consacré à Paris.
La prospection commence, et même l'exploitation à petite échelle : au Mali, un forage de deux cents mètres de profondeur permettrait d'alimenter un village en électricité. Affaire à suivre.
« La cartouche contient une poudre d'hydrures métalliques qui fait office "d'éponge" à hydrogène », explique Sciences et Avenir. De quoi répandre l'utilisation des piles à combustible sans se soucier des infrastructures ?
Bientôt des taxis du ciel ? Il s'agirait de relier ainsi des aérodromes urbains, en exploitant les bénéfices du moteur électrique : le silence, mais aussi le couple élevé, qui réduirait la longueur des pistes nécessaires au décollage.
Emboîtant le pas à Toyota et Honda, le constructeur de Stuttgart devrait commercialiser d'ici deux ou trois ans une déclinaison du GLC équipée d'une pile à combustible. Pas d'annonce fracassante, juste la poursuite d'un petit travail de veille !
Dans la foulée de la Mirai, Toyota commercialisera des bus à pile à combustible en 2017. Objectif : vendre chaque année 30 000 véhicules à hydrogène d'ici 2020. Mais aussi développer des infrastructures recourant à la même technologie.
« Le modèle Alter 2 peut se recharger en trois minutes », se vante son constructeur. De plus, nous dit-il, « sa batterie ne vieillit pas »... tout en présentant une faible sensibilité au froid. Qu'on se le dise : l'hydrogène, ça déchire !
« Pour le moment », explique Sciences et Avenir, « l'intérêt de l'hydrogène pour alimenter smartphones et ordinateurs portables [...] ne semble pas évident... à part dans certains pays où le réseau électrique est peu fiable ».
Une société britannique aurait greffé une pile à combustible sur un smartphone. De quoi décupler son autonomie. Commercialisation d'ici deux ans, nous dit-on. Wait and see. Attention, toutefois : cela risque de mouiller les poches !
Quinze stations délivrant de l'hydrogène vont être installées d'ici trois ans, à l'initiative du conseil régional de Basse-Normandie. De quoi alimenter, dans un premier temps, un parc estimé à trois cents véhicules. C'est un début !
Le recours au dihydrogène se heurte au cout énergétique et financier de sa production, est-il rappelé dans cette analyse. Effectivement, mais les batteries sont-elles vraiment plus prometteuses que les piles à combustible ?