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Vous rendez compte de vos faits et geste dans un fichier ouvert à des consultations multiples. Et ensuite, vous vous indignez que la police y accède pour enquêter sur un drame, parce que des gens vous avaient promis que jamais personne ne céderait à la tentations d'exploiter ces informations à d'autres fins que la lutte contre le Covid ? Franchement, de qui se moque-t-on ?
« La police de Mayence en Allemagne s'est attirée les critiques en utilisant dans une enquête une application de traçage anti-Covid destinée à aider bars et restaurants à enregistrer leurs clients et censée assurer la protection des données. »
« L'affaire remonte à fin 2021 mais a été rendue publique récemment : le 29 novembre, un homme a fait une chute mortelle à la sortie d'un restaurant de Mayence (Ouest). Pour retrouver d'éventuels témoins, la police locale a décidé de mettre à contribution l'application Luca, l'une des plus répandues du genre, qui assiste restaurants et bars dans l'enregistrement des clients pour permettre un traçage en cas de contamination. »
« Cet accès leur a permis de contacter vingt-et-une personnes, auxquelles le parquet de Mayence a depuis présenté ses excuses. Le commissariat local à la protection des données a annoncé l'ouverture d'une enquête. "Le cas présent est grave car l'interdiction légale d'utiliser les données de suivi des contacts à des fins policières est clairement et sans équivoque inscrite dans la loi sur les infections", qui régit la réponse allemande à la pandémie de Covid, a estimé mardi Stefan Brink, commissaire à la protection des données du Bade-Wurtemberg dans le quotidien économique Handelsblatt. »
« L'application Luca enregistre lieu et durée du séjour, nom complet, adresse et numéros de téléphone. Cette application allemande contient plusieurs pare-feux pour protéger les données. Seul un service de santé peut ainsi avoir accès aux données des clients enregistrés. En date d'octobre dernier, l'application revendiquait plus de 35 millions d'utilisateurs en Allemagne, pays de 83 millions d'habitants. Or, pour mener son enquête, la police et le parquet local ont sollicité un service de santé, qui a accepté de prétendre qu'un cas d'infection avait été détecté pour donner l'accès aux données aux enquêteurs. »
« La police de Mayence en Allemagne s'est attirée les critiques en utilisant dans une enquête une application de traçage anti-Covid destinée à aider bars et restaurants à enregistrer leurs clients et censée assurer la protection des données. »
« L'affaire remonte à fin 2021 mais a été rendue publique récemment : le 29 novembre, un homme a fait une chute mortelle à la sortie d'un restaurant de Mayence (Ouest). Pour retrouver d'éventuels témoins, la police locale a décidé de mettre à contribution l'application Luca, l'une des plus répandues du genre, qui assiste restaurants et bars dans l'enregistrement des clients pour permettre un traçage en cas de contamination. »
« Cet accès leur a permis de contacter vingt-et-une personnes, auxquelles le parquet de Mayence a depuis présenté ses excuses. Le commissariat local à la protection des données a annoncé l'ouverture d'une enquête. "Le cas présent est grave car l'interdiction légale d'utiliser les données de suivi des contacts à des fins policières est clairement et sans équivoque inscrite dans la loi sur les infections", qui régit la réponse allemande à la pandémie de Covid, a estimé mardi Stefan Brink, commissaire à la protection des données du Bade-Wurtemberg dans le quotidien économique Handelsblatt. »
« L'application Luca enregistre lieu et durée du séjour, nom complet, adresse et numéros de téléphone. Cette application allemande contient plusieurs pare-feux pour protéger les données. Seul un service de santé peut ainsi avoir accès aux données des clients enregistrés. En date d'octobre dernier, l'application revendiquait plus de 35 millions d'utilisateurs en Allemagne, pays de 83 millions d'habitants. Or, pour mener son enquête, la police et le parquet local ont sollicité un service de santé, qui a accepté de prétendre qu'un cas d'infection avait été détecté pour donner l'accès aux données aux enquêteurs. »
« Le ministère de la Justice allemand a créé un débat houleux en écrivant un projet de loi entièrement au féminin. Dans ce texte, traitant de l'insolvabilité et du redressement judiciaire, tous les titres et fonctions ont été déclinés au féminin. […] "Je pense qu'il est bon que nous discutions maintenant d'un langage égalitaire entre les sexes dans les textes juridiques", a déclaré la députée Katja Mast, membre du SPD, le parti de la ministre de la Justice Christine Lambrecht. Mais cet avis est loin d'avoir été partagé, et le projet de loi a fait polémique jusqu'au cœur du gouvernement d'Angela Merkel. "Le masculin générique, c'est-à-dire l'utilisation de la forme masculine du langage, est reconnu pour les personnes des deux sexes", a fait savoir un porte-parole du ministère de l'Intérieur, qui a obtenu la révision du texte. Alors que le féminin générique "n'est pas à ce jour admis sur le plan linguistique pour être utilisé par les personnes de sexe féminin et masculin". »
Et cela, depuis un peu plus d'un an. En effet, rapporte Cheek Magazine, « le gouvernement du SPD (Parti Social Démocrate Allemand), mené par le maire Michael Müller, a voté en juin dernier une mesure sans précédent en Europe : destiner une partie du budget alloué aux cinémas berlinois à la projection et au soutien du porno éthique ». « Le but », paraît-il : « promouvoir les productions locales et, à plus long terme, les inclure dans les programmes télévisés ». Ce faisant, « les sociaux-démocrates suivent […] le modèle de la Suède, pionnière de la révolution de l'éducation sexuelle à travers le cinéma pour adultes ».
« Nous travaillons sur une base de scénario mais ici personne ne te dit "coupez", personne ne te dit comment faire, ce que nous montrons est du sexe avec une connexion, et véritable », selon le témoignage d'une actrice ; « nous évoluons dans un milieu gender free, queer, bi et trans. Le porno féministe est du porno fait normalement, pour et par des femmes, où est aboli le rôle de l'homme blanc dominant, qui chosifie la femme et où prédomine une vision misogyne ». Tout un programme.
« Nous travaillons sur une base de scénario mais ici personne ne te dit "coupez", personne ne te dit comment faire, ce que nous montrons est du sexe avec une connexion, et véritable », selon le témoignage d'une actrice ; « nous évoluons dans un milieu gender free, queer, bi et trans. Le porno féministe est du porno fait normalement, pour et par des femmes, où est aboli le rôle de l'homme blanc dominant, qui chosifie la femme et où prédomine une vision misogyne ». Tout un programme.
« En suivant l'analyse de la CJE, elle-même en ligne avec celle de la BCE, la cour allemande reconnaît que les politiques quantitatives sont parfaitement légales, relèvent de la politique monétaire et non pas du financement monétaire des États membres. C'est certainement une lourde déception pour les plaignants, qui n'ont cessé d'agiter le spectre de la planche à billet, dont on sait qu'il résonne toujours de façon amère auprès du public allemand. »
« Le jugement […] était fortement attendu dans les salles de marché. Pourtant, lorsqu'il fut publié, rien ne s'est passé. […] Les intervenants de marché ont bien noté que le BVERFG avait rejeté l'accusation de financement monétaire et en ont déduit, peut être hâtivement, que le reste n'était que détails rhétoriques. À court terme du moins, la réaction des marchés est raisonnable. En effet, la BCE n'est en aucun cas impliquée par l'arrêt du tribunal allemand. »
« Donner de la voix nationale sur un sujet aussi technique que la politique monétaire pourrait augmenter la pression sur les États membres pour avancer vers une politique budgétaire mieux coordonnée, de façon à soulager la BCE et lui redonner ainsi des marges de manœuvre. Ce ne serait pas le moindre des paradoxes d'un arrêt que beaucoup d'analystes associent à une tendance eurosceptique, qui animait d'ailleurs certains des plaignants, que d'accélérer l'évolution de la zone euro vers une forme de fédéralisme plus prononcée qu'aujourd'hui. »
« Le jugement […] était fortement attendu dans les salles de marché. Pourtant, lorsqu'il fut publié, rien ne s'est passé. […] Les intervenants de marché ont bien noté que le BVERFG avait rejeté l'accusation de financement monétaire et en ont déduit, peut être hâtivement, que le reste n'était que détails rhétoriques. À court terme du moins, la réaction des marchés est raisonnable. En effet, la BCE n'est en aucun cas impliquée par l'arrêt du tribunal allemand. »
« Donner de la voix nationale sur un sujet aussi technique que la politique monétaire pourrait augmenter la pression sur les États membres pour avancer vers une politique budgétaire mieux coordonnée, de façon à soulager la BCE et lui redonner ainsi des marges de manœuvre. Ce ne serait pas le moindre des paradoxes d'un arrêt que beaucoup d'analystes associent à une tendance eurosceptique, qui animait d'ailleurs certains des plaignants, que d'accélérer l'évolution de la zone euro vers une forme de fédéralisme plus prononcée qu'aujourd'hui. »
La plupart de ses Eurofighter ne seraient pas opérationnels. Des pièces cruciales feraient défaut. Elles ne pourraient pas être livrées dans l'attente de la recertification d'un fournisseur dont le propriétaire a changé.
L'intégration semble effectivement assez poussée. Cela mériterait d'être étudié de plus près. Notamment dans la perspective des engagements opérationnels.
« Le capital chinois est très patient », affirme le président du syndicat. Selon lui, ses représentants « investissent sur le long terme » sans beaucoup interférer dans la gestion opérationnelle ni porter atteinte aux droits des employés.
Aucun de ses six sous-marins n'est opérationnel ! Ça craint. En cause : l'approvisionnement en pièces détachées "à la demande", qui se solde manifestement par un fiasco.
Une mise à jour mécanique sera-t-elle appliquée à des véhicules Diesel circulant outre-Rhin, en plus des modifications logicielles ? La formation d'un nouveau gouvernement met la pression sur les constructeurs. Affaire à suivre.
Un rappel au passage… Des militaires allemands en Afrique ? « Au bout de quelques jours, le Bundestag enverrait un représentant vérifier que chaque soldat dispose bien d’une connexion Internet pour appeler sa famille. » Caricature ?
BMW évoque notamment « les connaissances acquises de l'observation des véhicules en circulation entre 2010 et 2015 », lesquelles permettraient une « optimisation du système de post-traitement des gaz d'échappement ».
Les suspicions qui planent sur le Diesel font fuir les acheteurs. « Les revendeurs […] demandent au gouvernement d'avoir une vision claire des choses », rapporte Caradisiac.
La « question allemande » traitée avec subtilité : « Bruxelles n'est vue que comme un relais ou prête-nom de Berlin, une manière de kommandantur bruxelloise des années 1940 dans une version plus civilisée. »
Moyennant finances, des ambassades africaines attribueraient aux migrants des origines souvent fictives, afin de faciliter leur expulsion d'Allemagne.
Lu sur Euractiv : « Pour Heiko Maas, ministre de la Justice, les agressions ont été organisées et coordonnées. » Par des islamistes, comme le suggère Nicolas Gros-Verheyde ? Par des militants d'extrême droite ? Assez d'insinuations !
Mette en ligne la photo d'une assiette servie au restaurant, cela aussi peut constituer une violation du droit d'auteur. En Allemagne, en tout cas, la pratique est illégale et passible d'amende. Cela depuis 2013.
Peut-être faudrait-il vérifier cette information : apparemment, la littérature érotique ne pourrait plus être proposée à la vente avant 22 heures dans les boutiques en ligne installées outre-Rhin !
Le casse-tête juridique suscité par un transexuel allemand ayant donné naissance à un enfant.
Un horodateur est réservé aux prostituées de Bohn, qui doivent s'acquitter d'un "ticket fiscal" pour chaque nuit qu'elles veulent passer à faire le trottoir.
Le bouton "J'aime" de Facebook n'a plus droit de cité dans le Schwlesig-Holstein. Les contrevenants risqueraient bientôt 50 000 euros d'amande.