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royalisme
« "C'est un geste culturel très différent de celui qu'il y a dans des jeux sur l'histoire, dans les films et séries Netflix ou Apple", explique Guillaume Lancereau. "Ce n'est pas nouveau d'avoir des dégradations de la vérité historique ou des anachronismes dans la production culturelle. La différence c'est vraiment le caractère politique de cette entreprise culturelle là". »
« "Ce qui nous inquiète, c'est la puissance du discours politique et surtout d'un discours politique qui ne s'assume pas", développe Pauline Ducret. "Ça ne peut pas être compté dans un temps de parole puisqu'on nous dit 'mais non, on ne fait que s'amuser c'est du divertissement'». Guillaume Lancereau s'alarme lui de la "monopolisation du divertissement historique" par le Puy du Fou "qui en a les moyens" et s'en sert pour véhiculer certaines idées. »
« "Ce qui nous inquiète, c'est la puissance du discours politique et surtout d'un discours politique qui ne s'assume pas", développe Pauline Ducret. "Ça ne peut pas être compté dans un temps de parole puisqu'on nous dit 'mais non, on ne fait que s'amuser c'est du divertissement'». Guillaume Lancereau s'alarme lui de la "monopolisation du divertissement historique" par le Puy du Fou "qui en a les moyens" et s'en sert pour véhiculer certaines idées. »
« Dans le sillage du parc de loisirs du Puy du Fou, le film semble être surtout un prétexte à grand spectacle avec un message idéologique assez clair, catholique et critique des dimensions criminelles et terroristes de l'idéologie révolutionnaire. On y parle de la résistance face à la levée en masse ou encore des menées criminelles des colonnes infernales, ainsi que de l'entreprise de destruction systématique de la Vendée, ce qui peut déplaire mais reste néanmoins vrai. »
« Le film de chouans aurait sans doute fini noyé dans la médiocre production ordinaire française si certains commentateurs n'y avaient pas vu une atteinte intolérable à la vérité historique, un outil de propagande insidieux des intégristes catholiques et un signe des temps apocalyptique. »
« Il est assez drôle de voir Libération, Mediapart ou Le Monde s'insurger contre les approximations ou biais historiques dudit film, eux qui à longueur de colonnes glorifient le moindre navet dès lors que celui-ci "va dans le bon sens", c'est-à-dire du progrès infini, du wokisme dominant ou du socialisme de centre-ville. Il suffit de voir comment Libé a encensé The Women King, monument de révisionnisme historique au nom de la cause des femmes et des minorités qui réussit le tour de force de présenter un État esclavagiste comme un exemple d'émancipation à suivre. »
« Vaincre ou Mourir ne marquera pas l'histoire du cinéma mais agit comme le révélateur de la mentalité paranoïaque et obsidionale de la gauche médiatique. Un petit film de droite de qualité très moyenne suffit à convoquer tout le ban et l'arrière-ban de l'éditocratie pour le dézinguer : on y voit la main cachée de Bolloré, le grand complot zemmouro-lepéniste pour reconquérir les esprits et les cœurs, et on oublie que la production ordinaire est majoritairement à gauche. »
« Le film de chouans aurait sans doute fini noyé dans la médiocre production ordinaire française si certains commentateurs n'y avaient pas vu une atteinte intolérable à la vérité historique, un outil de propagande insidieux des intégristes catholiques et un signe des temps apocalyptique. »
« Il est assez drôle de voir Libération, Mediapart ou Le Monde s'insurger contre les approximations ou biais historiques dudit film, eux qui à longueur de colonnes glorifient le moindre navet dès lors que celui-ci "va dans le bon sens", c'est-à-dire du progrès infini, du wokisme dominant ou du socialisme de centre-ville. Il suffit de voir comment Libé a encensé The Women King, monument de révisionnisme historique au nom de la cause des femmes et des minorités qui réussit le tour de force de présenter un État esclavagiste comme un exemple d'émancipation à suivre. »
« Vaincre ou Mourir ne marquera pas l'histoire du cinéma mais agit comme le révélateur de la mentalité paranoïaque et obsidionale de la gauche médiatique. Un petit film de droite de qualité très moyenne suffit à convoquer tout le ban et l'arrière-ban de l'éditocratie pour le dézinguer : on y voit la main cachée de Bolloré, le grand complot zemmouro-lepéniste pour reconquérir les esprits et les cœurs, et on oublie que la production ordinaire est majoritairement à gauche. »
« Ringard, le royalisme ? S'il n'était pas rare de croiser des monarchistes au siècle dernier, leur existence aujourd'hui est perçue comme une incongruité par une majorité de Français. Quand ils ne sont pas considérés comme une dangereuse mouvance d'extrême-droite. Pourtant, d'après un sondage BVA paru en 2016, 17 % des Français verraient bien la fonction présidentielle être assurée par un roi. Un chiffre identique à celui d'un autre sondage, datant de 2007, confirmant qu'il existe bien une base royaliste établie et stable. »
« Une personne a demandé à la paroisse Saint-Roch de Paris de dire une messe, le 16 novembre dernier à l'intention de Charles Maurras, sans doute pour les soixante-dix ans de sa mort. L'abbé Thierry Laurent, curé de la paroisse, a dit cette messe. »
« Le 10 décembre, une réprimande était adressée à l'abbé Thierry Laurent par Mgr Michel Gueguen, vicaire général. Le prélat acte d'un désaccord : il affirme que cette messe avait "un contenu politique déplacé et provoquant", ce que le curé conteste. Il relève, en outre, que cette messe aurait suscité l'étonnement, voire le scandale, chez des fidèles. »
« Si Charles Maurras a beaucoup péché, comme il est une créature aimée de Dieu, il convient que ses frères en humanité prient beaucoup et sincèrement pour lui. »
« Peut-être s'est-il dit pendant la prédication lors de cette messe quelque chose de scandaleux. Si c'est le cas, c'est pour ces propos scandaleux identifiés comme tels de façon explicite dans des attendus que l'abbé Thierry Laurent pourrait être sanctionné. Il me semble qu'infliger une sanction parce que le défunt aurait l'heur de déplaire à des fidèles ou à l'épiscopat, c'est instituer une discrimination au sein de l'Église. Encore une fois, la gouvernance de l'Église est piètre et pitoyable. Sa cohérence peut elle aussi être battue en brèche : deux mitres pour célébrer les obsèques de Valéry Giscard d'Estaing, n'est-ce pas faire beaucoup d'honneur au responsable de la dépénalisation de l'avortement ? »
« Quant au scandale qui ferait se pâmer d'émotion les hypocrites qui ne sont pas dans l'Église mais tentent de lui dicter son magistère et sa conduite, il me semble opportun de les envoyer gentiment se faire rôtir le fessier, mais non sans leur rappeler que des catholiques prient pour eux et pour leur salut, ainsi que pour les nocifs qui nous imposent de vivre dans ce siècle où toute vie spirituelle est honnie. »
« Le 10 décembre, une réprimande était adressée à l'abbé Thierry Laurent par Mgr Michel Gueguen, vicaire général. Le prélat acte d'un désaccord : il affirme que cette messe avait "un contenu politique déplacé et provoquant", ce que le curé conteste. Il relève, en outre, que cette messe aurait suscité l'étonnement, voire le scandale, chez des fidèles. »
« Si Charles Maurras a beaucoup péché, comme il est une créature aimée de Dieu, il convient que ses frères en humanité prient beaucoup et sincèrement pour lui. »
« Peut-être s'est-il dit pendant la prédication lors de cette messe quelque chose de scandaleux. Si c'est le cas, c'est pour ces propos scandaleux identifiés comme tels de façon explicite dans des attendus que l'abbé Thierry Laurent pourrait être sanctionné. Il me semble qu'infliger une sanction parce que le défunt aurait l'heur de déplaire à des fidèles ou à l'épiscopat, c'est instituer une discrimination au sein de l'Église. Encore une fois, la gouvernance de l'Église est piètre et pitoyable. Sa cohérence peut elle aussi être battue en brèche : deux mitres pour célébrer les obsèques de Valéry Giscard d'Estaing, n'est-ce pas faire beaucoup d'honneur au responsable de la dépénalisation de l'avortement ? »
« Quant au scandale qui ferait se pâmer d'émotion les hypocrites qui ne sont pas dans l'Église mais tentent de lui dicter son magistère et sa conduite, il me semble opportun de les envoyer gentiment se faire rôtir le fessier, mais non sans leur rappeler que des catholiques prient pour eux et pour leur salut, ainsi que pour les nocifs qui nous imposent de vivre dans ce siècle où toute vie spirituelle est honnie. »
Selon Thomas Sowell, « la question la plus fondamentale n'est pas de savoir ce qui est le mieux, mais qui doit décider de ce qui est le mieux ». Et pour y répondre, peut-être faut-il mentionner cette conviction exprimée par Milton Friedman : « Personne ne dépense l'argent d'autrui aussi soigneusement qu'il dépense le sien. Personne n'utilise les ressources de quelqu'un d'autre aussi soigneusement qu'il utilise les siennes. Donc, si vous voulez de l'efficience et de l'efficacité, si vous voulez que les connaissances soient correctement utilisées, vous devez le faire par le biais de la propriété privée. »
Le Parisien voit d'un mauvais œil le renouveau royaliste à l'œuvre dans l'Oise. Pressé de réagir, interrogé sur l'Action française, Philippe Marini, maire de Compiègne, tient le discours qui devrait être celui de n'importe quel responsable politique : « Je n'ai pas de censure à exercer si ce groupe est dans le cadre légal, balaye l'élu. Je ne surveille pas plus cette association que les opposants à la chasse à courre. Cela fait partie du pluralisme, je ne suis pas le directeur des renseignements généraux. »
Extrait d'un "cahier de doléances" ouvert à la mairie du 7e arrondissement de Paris : « Il faut un roi. La nation a besoin d'une incarnation enracinée dans le temps et au-dessus des partis. Les élections présidentielles tous les cinq ans coûtent et divisent les Français. Le chef de l'État doit incarner l'union au-delà des clivages. C'est donc un roi qu'il faut pour cela. »
« Carquefou – Ouvert il y a un an, le lycée n'a toujours pas été baptisé. La Région veut lui donner le nom du résistant Honoré d'Estienne d'Orves. Mais pour la gauche, il sonne droite monarchiste. »
Un reportage de quelques minutes, plutôt bienveillant, où sont notamment interviewés deux représentants de l'Action française.
L'ex-président normal dénonce les penchants monarchistes de son successeur à l'Élysée. Alors que celui-ci les avait explicitement revendiqués tandis qu'il était ministre, celui-là raconte qu'il ne l'avait pas pris au sérieux.
Un tsar succédera-t-il à Vladimir Poutine ? « On voit clairement que les générations "soviétiques" résistent à cette idée bien plus que les jeunes, pour qui la monarchie est un système de gouvernement envisageable. »
La France insoumise est partie en croisade contre le drapeau européen. Quant à Marie-France Lorho, elle propose qu'un drapeau blanc, « symbole de la construction nationale précédant la Révolution », puisse être présent dans l'hémicycle.
Peut-être Jean Birnbaum connaît-il cette formule. En tout cas, au micro de France Culture, il a retracé brièvement le parcours de Georges Bernanos, dont l'arrière-petit-fils, militant d'extrême gauche, vient d'être condamné par la Justice.
Confusion entre réalité et fiction ? « Elle se découvre une filiation avec Louis XVII », titre Ouest-France. Cela aurait même fourni la matière d'un livre… Publié à compte d'auteur cependant.
La question vient d'être posée par Les Inrockuptibles. Dans cet article signé Hugo Boursier, parmi les noms cités, plusieurs nous sont familiers.
Wikipédia : « Très conservateur sur le plan des mœurs, il interdit le port du pantalon par les femmes dans ses entreprises ; ouvertement monarchiste, il participait quand il le pouvait à la messe annuelle commémorative pour Louis XVI. »
Un nouveau coup de Rodolphe Crevel. Après avoir promu l'improbable candidature d'Hugues Auffray à l'élection présidentielle, il est accusé de semer la zizanie dans la vallée de la Roya, où il a diffusé une publication controversée.
Emmanuel Macron ? C'est « un homme […] qui au fond croit davantage en une forme de monarchie qu'en la démocratie ». Du moins selon Matthias Fekl, qui fut ministre de l'Intérieur quelques mois durant sous François Hollande.
Il vient d'être nommé porte-parole de l'Élysée. Il y a deux ans, rappelons-le, il avait jugé intolérable qu'une distinction soit établie entre la France et la République.
Divisés, ils avaient perdu un référendum en 1993, comme le rappelle Vexilla Galliae. Mais ce n'est que partie remise ! Pour le moment, 20 à 30 % des Brésiliens seraient prêts à voter en faveur de la monarchie.