4242 shaares
Comparé au TPS-L2, le premier Walkman de Sony, cet appareil proposé par Oriolus présente des dimensions un peu réduites. Pour le reste, le design est fidèlement reproduit, quoi que la technologie n'ait rien à voir : pas question de revenir aux vieilles cassettes, il s'agit d'un baladeur numérique ! Qui embarque apparemment un DAC de bonne qualité. De quoi justifier son prix ? Comptez quand même 1 800 euros.
Extraits d'une tribune signée Céline Masson, Caroline Eliacheff et Anna Cognet, membres de l'Observatoire des discours idéologiques sur l'enfant et l'adolescent :
« L'évolution du diagnostic de "dysphorie de genre" chez des enfants et des adolescents ces dernières années a […] de quoi interpeller : depuis dix ans, les demandes de réassignation de sexe se sont, dans cette catégorie d'âge, accrues de manière exponentielle selon les pays. […] Les traitements médicaux, à savoir les bloqueurs de puberté, les injections d'hormones du sexe revendiqué, les mastectomies ou ablations des testicules, sont réalisées sur des corps sains d'enfants et, comme s'en inquiètent les parents québécois, "l'enfant en bonne santé devient un patient à vie". »
« La "dysphorie de genre" des enfants et des adolescents témoigne à la fois d'une question intime posée par un enfant ou un adolescent mais aussi de la manière dont les enfants et les adolescents se font caisse de résonance, voire instrument du corps social qui valide immédiatement leur demande. »
« Alors que des jeunes posent des questions par rapport à leur image, leur ressenti, leur souffrance, une certaine médecine apporte sans coup férir des réponses accréditant une thèse qui voudrait que ces jeunes soient dans un "mauvais" corps et qu'il faudrait les aider à changer de "genre" pour "soulager leurs souffrances". Le problème n'est pas la demande adressée par ces jeunes – qui est bien sûr à entendre – mais les réponses qui leur sont proposées. […] Il est urgent de retrouver le sens de nos responsabilités en tant qu'adultes et en tant que corps social à l'égard des jeunes pour les préserver de s'engager sans avoir la maturité suffisante dans ces processus qui transforment "l'enfant en bonne santé" en un "patient à vie". »
« L'évolution du diagnostic de "dysphorie de genre" chez des enfants et des adolescents ces dernières années a […] de quoi interpeller : depuis dix ans, les demandes de réassignation de sexe se sont, dans cette catégorie d'âge, accrues de manière exponentielle selon les pays. […] Les traitements médicaux, à savoir les bloqueurs de puberté, les injections d'hormones du sexe revendiqué, les mastectomies ou ablations des testicules, sont réalisées sur des corps sains d'enfants et, comme s'en inquiètent les parents québécois, "l'enfant en bonne santé devient un patient à vie". »
« La "dysphorie de genre" des enfants et des adolescents témoigne à la fois d'une question intime posée par un enfant ou un adolescent mais aussi de la manière dont les enfants et les adolescents se font caisse de résonance, voire instrument du corps social qui valide immédiatement leur demande. »
« Alors que des jeunes posent des questions par rapport à leur image, leur ressenti, leur souffrance, une certaine médecine apporte sans coup férir des réponses accréditant une thèse qui voudrait que ces jeunes soient dans un "mauvais" corps et qu'il faudrait les aider à changer de "genre" pour "soulager leurs souffrances". Le problème n'est pas la demande adressée par ces jeunes – qui est bien sûr à entendre – mais les réponses qui leur sont proposées. […] Il est urgent de retrouver le sens de nos responsabilités en tant qu'adultes et en tant que corps social à l'égard des jeunes pour les préserver de s'engager sans avoir la maturité suffisante dans ces processus qui transforment "l'enfant en bonne santé" en un "patient à vie". »
« Il est probable que le conflit libyen ait été le premier du genre à avoir recours à des Sala. C'est en effet ce que suggère le dernier rapport du groupe d'experts des Nations unies sur la Libye. […] "Les convois de logistique et les unités des forces affiliées à Haftar qui battaient en retraite ont été pourchassés et pris à partie à distance par des drones de combat ou des systèmes d'armes létaux autonomes tels que le Kargu-2 de STM et d'autres munitions rôdeuses", est-il affirmé dans le rapport. »
« Et ses auteurs précisent : "Les systèmes d'armes létaux autonomes avaient été programmés pour attaquer des cibles, sans qu'il soit besoin d'établir une connexion des données entre l'opérateur et la munition, et étaient donc réellement en mode d'autoguidage automatique." Dans le même temps, les drones de l'ANL ainsi que ses moyens de reconnaissance ont été "neutralisés par le brouillage électromagnétique provenant du système de guerre électronique Koral." »
« "La concentration de puissance de feu et la perception de la situation fournies par ces armes de pointe sur le champ de bataille ont été un multiplicateur de force considérable pour les unités terrestres du GNA, dégradant lentement les capacités opérationnelles des forces affiliées à Haftar, dont les unités n'avaient jamais été formées et n'étaient pas motivées pour se défendre contre l'utilisation efficace de cette nouvelle technologie et ont généralement été mises en déroute", souligne le document, pour qui les SALA "se sont avérées d'une efficacité redoutable pour mettre en échec les systèmes de défense antiaérienne Pantsir S-1 fournis par les Émirats arabes unis." »
« Et ses auteurs précisent : "Les systèmes d'armes létaux autonomes avaient été programmés pour attaquer des cibles, sans qu'il soit besoin d'établir une connexion des données entre l'opérateur et la munition, et étaient donc réellement en mode d'autoguidage automatique." Dans le même temps, les drones de l'ANL ainsi que ses moyens de reconnaissance ont été "neutralisés par le brouillage électromagnétique provenant du système de guerre électronique Koral." »
« "La concentration de puissance de feu et la perception de la situation fournies par ces armes de pointe sur le champ de bataille ont été un multiplicateur de force considérable pour les unités terrestres du GNA, dégradant lentement les capacités opérationnelles des forces affiliées à Haftar, dont les unités n'avaient jamais été formées et n'étaient pas motivées pour se défendre contre l'utilisation efficace de cette nouvelle technologie et ont généralement été mises en déroute", souligne le document, pour qui les SALA "se sont avérées d'une efficacité redoutable pour mettre en échec les systèmes de défense antiaérienne Pantsir S-1 fournis par les Émirats arabes unis." »
« Ceux qui nous expliquent sans cesse qu'il faut arrêter de faire porter du rose aux petites filles et de différencier les enfants en raison de leur sexe n'ont aucun mal à prétendre qu'il faut encourager tel garçon à se "dégenrer" parce qu'il lui arrive de porter des robes ou de jouer à la poupée. Il y a là une contradiction difficile à expliquer. Le "féminin" et le "masculin" n'existeraient pas en tant que tels mais ces catégories sans cesse contestées pourraient quand même justifier un changement de "genre" ? En outre, s'il est vrai que l'attirance des garçons pour le football et celle des filles pour le rose sont des constructions sociales, en quoi devrait-on s'étonner et accorder une importance démesurée à de tels penchants ? Il peut y avoir mille autres raisons à cela qu'un "trouble du genre " : l'influence des aînés dans la fratrie, le plaisir du travestissement ou celui d'inventer des histoires, entre autres. »
« La confusion vient aussi de notre conception très péjorative de ce qui n'est pas totalement naturel, à tout le moins dans ce domaine. On reproche au "genre" d'être une construction sociale. C'est évidemment le cas pour une part, mais est-ce que tout ce qui est construit doit nécessairement être totalement déconstruit ? Pour rebâtir quoi ensuite ? N'est-il pas au contraire souhaitable qu'on soutienne un peu artificiellement ce que la nature a fait de nous ? Le regard des parents participe de cette affirmation en partie arbitraire de notre identité ; ce regard qui nous dit qui nous sommes n'en est pas moins essentiel. Chercher à poser un regard "non genré" sur ses enfants, comme certains nous y encouragent, c'est insinuer le doute identitaire dans leur esprit dès le plus jeune âge au risque que ces préoccupations d'adultes aient sur eux des effets délétères. »
« On ne peut nier que certains se posent des questions, que d'autres soient même mal à l'aise dans le "genre" correspondant à leur sexe. Mais faut-il pour autant encourager ce questionnement dès le plus jeune âge ? Quel enfant ne s'est jamais senti différent des autres ? Le fait que 22 % des 18-30 ans se sentent "non-binaires" est-il seulement l'effet d'une plus grande liberté d'affirmer son "genre" ou est-ce en partie un effet de mode ? Là encore, rien de grave si on prend cette tendance pour ce qu'elle est. Mais acter dès l'âge de sept ou huit ans, comme le font certains, que son fils est en réalité une fille sous les applaudissements des progressistes et face aux caméras des chaînes de télé, ne sera pas sans drame. »
« À l'heure où l'on mesure toutes les conséquences d'avoir accordé aux enfants une majorité sexuelle fantasmée, va-t-on valider leurs élans "gender fluid" ? Seraient-ils trop petits pour décider de ce qu'ils peuvent faire avec leurs organes génitaux mais suffisamment mûrs pour en changer à leur guise ? […] Ne créons pas de nouvelles victimes générationnelles qui se demanderont légitimement comment nous avons pu laisser passer ça. Plutôt que d'expier sans arrêt nos fautes du passé pour nous donner bonne conscience, combattons les tares du présent. »
« La confusion vient aussi de notre conception très péjorative de ce qui n'est pas totalement naturel, à tout le moins dans ce domaine. On reproche au "genre" d'être une construction sociale. C'est évidemment le cas pour une part, mais est-ce que tout ce qui est construit doit nécessairement être totalement déconstruit ? Pour rebâtir quoi ensuite ? N'est-il pas au contraire souhaitable qu'on soutienne un peu artificiellement ce que la nature a fait de nous ? Le regard des parents participe de cette affirmation en partie arbitraire de notre identité ; ce regard qui nous dit qui nous sommes n'en est pas moins essentiel. Chercher à poser un regard "non genré" sur ses enfants, comme certains nous y encouragent, c'est insinuer le doute identitaire dans leur esprit dès le plus jeune âge au risque que ces préoccupations d'adultes aient sur eux des effets délétères. »
« On ne peut nier que certains se posent des questions, que d'autres soient même mal à l'aise dans le "genre" correspondant à leur sexe. Mais faut-il pour autant encourager ce questionnement dès le plus jeune âge ? Quel enfant ne s'est jamais senti différent des autres ? Le fait que 22 % des 18-30 ans se sentent "non-binaires" est-il seulement l'effet d'une plus grande liberté d'affirmer son "genre" ou est-ce en partie un effet de mode ? Là encore, rien de grave si on prend cette tendance pour ce qu'elle est. Mais acter dès l'âge de sept ou huit ans, comme le font certains, que son fils est en réalité une fille sous les applaudissements des progressistes et face aux caméras des chaînes de télé, ne sera pas sans drame. »
« À l'heure où l'on mesure toutes les conséquences d'avoir accordé aux enfants une majorité sexuelle fantasmée, va-t-on valider leurs élans "gender fluid" ? Seraient-ils trop petits pour décider de ce qu'ils peuvent faire avec leurs organes génitaux mais suffisamment mûrs pour en changer à leur guise ? […] Ne créons pas de nouvelles victimes générationnelles qui se demanderont légitimement comment nous avons pu laisser passer ça. Plutôt que d'expier sans arrêt nos fautes du passé pour nous donner bonne conscience, combattons les tares du présent. »
« Mon livre recourt à la féminine universelle. […] Cet outil, qui consiste à reféminiser les mots, va beaucoup plus loin que l'écriture inclusive. Un grand nombre d'éléments de langage – si ce n'est tous – qui expriment une généralité ou une neutralité sont au masculin. Ainsi dit-on qu'"il fait beau" et non pas "elle fait belle". Et pourquoi ne dirait-on pas "elle neige" à la place de "il neige" ? »
« Il ressort du compte rendu visé ci-dessus que, au cours de l'émission "Face à l'info" diffusée sur le service de télévision C-News le 29 septembre 2020, un chroniqueur s'est exprimé sur la situation des mineurs étrangers isolés en France et a notamment déclaré à plusieurs reprises qu'ils étaient, pour la "plupart" ou "tous" des "voleurs", des "violeurs" et des "assassins", à tout le moins qu' "il y en a beaucoup qui le deviennent", évoquant une "invasion" à laquelle la France devrait mettre un terme. Ces propos, émanant d'une personne bénéficiant d'une large exposition médiatique, ont été tenus à un horaire de diffusion susceptible d'attirer des audiences significatives. Aucune réaction marquée n'a été apportée à ces déclarations par les personnes présentes en plateau. »
« Le chroniqueur de l'émission a présenté à plusieurs reprises les mineurs étrangers isolés comme des personnes dangereuses se livrant à des activités criminelles, ou à tout le moins particulièrement susceptibles de se livrer à de telles activités. Le caractère violent et répété du vocabulaire employé par le chroniqueur, stigmatisant les mineurs étrangers isolés en insistant sur les dangers qu'ils représenteraient en termes d'actes criminels, traduit l'expression d'un vif sentiment de rejet à leur égard. Ces propos, quand bien même ils ont été tenus dans le cadre d'un débat en lui-même légitime sur la politique d'accueil des mineurs étrangers isolés en France, sont ainsi de nature à inciter à la haine envers cette population, pour des raisons de nationalité. Par ailleurs, ces propos véhiculent de nombreux stéréotypes particulièrement infamants à l'égard des mineurs étrangers isolés dans leur ensemble, de nature à encourager des comportements discriminatoires à leur égard en raison de leur origine ou de leur nationalité. Cette séquence caractérise ainsi un manquement, d'une part, au dernier alinéa de l'article 15 de la loi du 30 septembre 1986 et, d'autre part, aux stipulations de l'article 2-3-2 de la convention du 27 novembre 2019. »
« Ainsi qu'il a été dit, aucune réaction suffisamment marquée n'a été apportée à ces déclarations par les personnes présentes en plateau. La circonstance qu'ait été indiqué à l'antenne que ces propos émanaient non de la chaîne mais du chroniqueur, au demeurant collaborateur de la chaîne et non simple invité, est à cet égard sans incidence. Par ailleurs, alors que l'émission a été diffusée avec un léger différé, il résulte des informations données par la chaîne durant l'audience du 10 mars 2021 que cette séquence a été diffusée sans aucune modification. Dans ces conditions, un manquement aux stipulations de l'article 2-2-1 de la convention du 27 novembre 2019 est également caractérisé. »
« Il résulte de ce qui précède qu'il y a lieu, compte-tenu de la nature et de la gravité des manquements constatés, intervenus au surplus au cours de la même émission que celle ayant donné lieu à la mise en demeure du 27 novembre 2019 […], de prononcer une sanction pécuniaire d'un montant de 200 000 euros à l'encontre de la Société d'exploitation d'un service d'information (SESI) et d'ordonner la publication de celle-ci au Journal officiel de la République française. »
« Le chroniqueur de l'émission a présenté à plusieurs reprises les mineurs étrangers isolés comme des personnes dangereuses se livrant à des activités criminelles, ou à tout le moins particulièrement susceptibles de se livrer à de telles activités. Le caractère violent et répété du vocabulaire employé par le chroniqueur, stigmatisant les mineurs étrangers isolés en insistant sur les dangers qu'ils représenteraient en termes d'actes criminels, traduit l'expression d'un vif sentiment de rejet à leur égard. Ces propos, quand bien même ils ont été tenus dans le cadre d'un débat en lui-même légitime sur la politique d'accueil des mineurs étrangers isolés en France, sont ainsi de nature à inciter à la haine envers cette population, pour des raisons de nationalité. Par ailleurs, ces propos véhiculent de nombreux stéréotypes particulièrement infamants à l'égard des mineurs étrangers isolés dans leur ensemble, de nature à encourager des comportements discriminatoires à leur égard en raison de leur origine ou de leur nationalité. Cette séquence caractérise ainsi un manquement, d'une part, au dernier alinéa de l'article 15 de la loi du 30 septembre 1986 et, d'autre part, aux stipulations de l'article 2-3-2 de la convention du 27 novembre 2019. »
« Ainsi qu'il a été dit, aucune réaction suffisamment marquée n'a été apportée à ces déclarations par les personnes présentes en plateau. La circonstance qu'ait été indiqué à l'antenne que ces propos émanaient non de la chaîne mais du chroniqueur, au demeurant collaborateur de la chaîne et non simple invité, est à cet égard sans incidence. Par ailleurs, alors que l'émission a été diffusée avec un léger différé, il résulte des informations données par la chaîne durant l'audience du 10 mars 2021 que cette séquence a été diffusée sans aucune modification. Dans ces conditions, un manquement aux stipulations de l'article 2-2-1 de la convention du 27 novembre 2019 est également caractérisé. »
« Il résulte de ce qui précède qu'il y a lieu, compte-tenu de la nature et de la gravité des manquements constatés, intervenus au surplus au cours de la même émission que celle ayant donné lieu à la mise en demeure du 27 novembre 2019 […], de prononcer une sanction pécuniaire d'un montant de 200 000 euros à l'encontre de la Société d'exploitation d'un service d'information (SESI) et d'ordonner la publication de celle-ci au Journal officiel de la République française. »
« La pénurie mondiale de composants électroniques, qui paralyse les chaînes de montage un peu partout dans le monde, se double depuis quelques jours d'un manque de plus en plus criant en matières plastiques. »
« La cause ne fait pas mystère : c'est l'arrêt de la distribution d'eau et d'énergie électrique au Texas, durant la vague de froid mémorable du mois de février dernier, qui a contraint les installations pétrochimiques à suspendre leur activité. De quoi entraîner un arrêt rapide de leurs livraisons de ces matières premières employées dans la fabrication d'un nombre incalculable de pièces pour l'automobile. Tous les secteurs de l'industrie sont touchés, depuis la santé et le matériel médical, jusqu'au bâtiment (avec la tuyauterie et l'isolation), en passant par les produits de grande consommation (jouets, électronique grand public, emballage alimentaire et cosmétique, etc.). »
« Près de 60 % de la capacité américaine de production des matières premières entrant dans la composition des plastiques est encore à l'arrêt. On comprend mieux pourquoi la remise en service des usines pétrochimiques du Golfe du Mexique – opération délicate et chronophage – pourrait s'étaler jusqu'à l'été. De quoi soutenir longtemps les cours du PVC (chlorure de polyvinyle), du polyéthylène et du polypropylène américains, qui ont doublé depuis l'été dernier (à 1.625 dollars, d'après ICIS). Une tendance générale constatée aussi sur le bois, le cuivre et l'acier. »
« La cause ne fait pas mystère : c'est l'arrêt de la distribution d'eau et d'énergie électrique au Texas, durant la vague de froid mémorable du mois de février dernier, qui a contraint les installations pétrochimiques à suspendre leur activité. De quoi entraîner un arrêt rapide de leurs livraisons de ces matières premières employées dans la fabrication d'un nombre incalculable de pièces pour l'automobile. Tous les secteurs de l'industrie sont touchés, depuis la santé et le matériel médical, jusqu'au bâtiment (avec la tuyauterie et l'isolation), en passant par les produits de grande consommation (jouets, électronique grand public, emballage alimentaire et cosmétique, etc.). »
« Près de 60 % de la capacité américaine de production des matières premières entrant dans la composition des plastiques est encore à l'arrêt. On comprend mieux pourquoi la remise en service des usines pétrochimiques du Golfe du Mexique – opération délicate et chronophage – pourrait s'étaler jusqu'à l'été. De quoi soutenir longtemps les cours du PVC (chlorure de polyvinyle), du polyéthylène et du polypropylène américains, qui ont doublé depuis l'été dernier (à 1.625 dollars, d'après ICIS). Une tendance générale constatée aussi sur le bois, le cuivre et l'acier. »
« Il semble que dès I-OS 14.5, l'utilisateur pourra décider d'installer la mise à jour complète ou uniquement la mise à jour de sécurité. […] Actuellement, c'est tout ou rien : un appareil avec des nouveautés et des correctifs, ou un appareil sans les nouvelles fonctions et mal sécurisé. »
« À compter du 1er avril, lors de la configuration initiale d'un appareil I-OS en Russie, le système va proposer à l'utilisateur d'installer des applications tierces développées au pays. […] Une boîte de dialogue s'affichera avec une sélection d'apps ; l'utilisateur pourra toutes les choisir, seulement une ou deux, ou rien du tout. »
« La liste des apps présentes dans cette sélection sera établie par le Gouvernement. Le ministère russe du Numérique précise toutefois qu'il ne cherche pas à proposer des applications "qui occupent une place dominante", mais plutôt des apps qui gagnent rapidement en popularité. Celles-ci étant obligatoirement présentes dans l'App Store, Apple les a examinées et donné un feu vert, donc pas de danger du côté de la sécurité, de la confidentialité et du contenu. »
« Le pays a voté en 2019 une nouvelle loi qui force la préinstallation d'apps russes dans les smartphones, tablettes, ordinateurs portables et de bureau, ainsi que sur les télés intelligentes. […] Le nombre d'apps à présenter varie en fonction de l'appareil, il y en a par exemple seize dans des smartphones Android qui n'ont pas attendu pour se mettre en conformité. »
« La liste des apps présentes dans cette sélection sera établie par le Gouvernement. Le ministère russe du Numérique précise toutefois qu'il ne cherche pas à proposer des applications "qui occupent une place dominante", mais plutôt des apps qui gagnent rapidement en popularité. Celles-ci étant obligatoirement présentes dans l'App Store, Apple les a examinées et donné un feu vert, donc pas de danger du côté de la sécurité, de la confidentialité et du contenu. »
« Le pays a voté en 2019 une nouvelle loi qui force la préinstallation d'apps russes dans les smartphones, tablettes, ordinateurs portables et de bureau, ainsi que sur les télés intelligentes. […] Le nombre d'apps à présenter varie en fonction de l'appareil, il y en a par exemple seize dans des smartphones Android qui n'ont pas attendu pour se mettre en conformité. »
« Donnée peu connue, la Marine nationale est dépendante du matériel américain dans le domaine particulier des bouées acoustiques de lutte anti-sous-marine depuis les années 1990. Il s'agit d'une capacité stratégique quand on sait l'importance de la sous-marinade pour la Défense nationale... et quand on sait également que nos côtes sont régulièrement visitées. »
« C'est pourquoi la France, jusque-là dépendante de l'américain Sparton, s'est lancée dans un effort presque inédit de création de filière en s'appuyant sur Thalès et plusieurs PME. Le ministère des Armées a signé avec Thales Group le contrat "Sonoflash" prévoyant la fourniture de bouées acoustiques développées en partenariat avec Telerad, Realmeca, Selha Group, ainsi que Saft (le fabricant de batteries est d'ailleurs souvent impliqué sur les programmes stratégiques). »
« L'émancipation n'est que rarement rentable et l'achat "sur étagère" est souvent préféré à un investissement lourd dont la viabilité fera défaut. […] Or, nous avons avec les bouées acoustiques une formidable exception, et opportunité donc. Le ministère des Armées estime que le marché représente 4 500 à 7 000 bouées par an, seulement pour la Marine nationale. En prenant en compte l'export, sous monopole américain, le potentiel est faramineux, surtout quand on observe le dynamisme autour de la sous-marinade partout sur la planète. »
« C'est pourquoi la France, jusque-là dépendante de l'américain Sparton, s'est lancée dans un effort presque inédit de création de filière en s'appuyant sur Thalès et plusieurs PME. Le ministère des Armées a signé avec Thales Group le contrat "Sonoflash" prévoyant la fourniture de bouées acoustiques développées en partenariat avec Telerad, Realmeca, Selha Group, ainsi que Saft (le fabricant de batteries est d'ailleurs souvent impliqué sur les programmes stratégiques). »
« L'émancipation n'est que rarement rentable et l'achat "sur étagère" est souvent préféré à un investissement lourd dont la viabilité fera défaut. […] Or, nous avons avec les bouées acoustiques une formidable exception, et opportunité donc. Le ministère des Armées estime que le marché représente 4 500 à 7 000 bouées par an, seulement pour la Marine nationale. En prenant en compte l'export, sous monopole américain, le potentiel est faramineux, surtout quand on observe le dynamisme autour de la sous-marinade partout sur la planète. »
« La Boîte Concept et Micromega, ce sont deux entreprises françaises qui ont chacune un savoir-faire audiophile spécifique : les haut-parleurs et les enceintes pour La Boite Concept ; les électroniques pour Micromega. En réunissant ces expertises par le rachat de Micromega, La Boite Concept promet de développer des produits audio tout-en-un encore plus poussés. C'est aussi une manière de conserver de précieuses compétences dans l'Hexagone. » Espérons-le.
« Monoprix a ouvert l'un de ses "dark stores" parisiens à une journaliste du Monde. Fier de partager une organisation au cordeau pour répondre aux commandes qui seront ensuite livrées par Amazon. Mais révélant au passage quelle est désormais sa réelle position par rapport au géant américain de l'e-commerce : sous-traitant. »
« Les économistes évoquent (savamment) un double phénomène de désintermédiation-réintermédiation. Dans le langage plus courant, c'est l'ubérisation : un nouvel acteur […] utilise les capacités existantes d'un vieil acteur pour proposer un service enrichi aux consommateurs. À l'un la relation-client, à l'autre la possession et l'exploitation des actifs. Les années passent et deux évidences finissent généralement par s'imposer : l'un est… le sous-traitant de l'autre ; et, aux yeux des consommateurs, le commerçant (celui auquel ils s'adressent et… payent) est bien celui qui ne possèdent pas ou peu d'actif commercial. Voilà comment Uber est bien perçu comme une compagnie de taxis, sans réellement posséder de véhicules. Voilà comment Amazon (et d'autres) peuvent escompter devenir des supermarchés en ligne… sans supermarché. Encore faut-il… un sous-traitant. Ce que Monoprix a donc accepté. »
« Depuis l'origine – c'était en 2018 – Monoprix présente l'accord avec le géant américain comme équilibré. En réalité, il ne peut l'être. Dès lors que l'un prend la relation client à l'autre, se produit un déséquilibre. Pire : un transfert de valeur. "Tenir" le client, c'est tenir le maillon ultime, le Saint-Graal du commerce. Alors que… "détenir" un magasin, fût-il "dark store" brillamment imaginé, c'est être… substituable par tant d'autres. Répondant au Monde, Fernando Tomarchio, M. E-commerce de Monoprix ne dit pas autre chose : "Ce ne sont pas nos clients, ce sont ceux d'Amazon". […] Or, dans l'économie contemporaine [...], les clients sont rares. Donc chers. C'est la raison pour laquelle Instacart (le "livreur" des enseignes alimentaires aux États-Unis) vaut… 40 milliards de dollars. Car il détient des clients, pas de magasins. Donneur d'ordres. Pas sous-traitant. »
« Les économistes évoquent (savamment) un double phénomène de désintermédiation-réintermédiation. Dans le langage plus courant, c'est l'ubérisation : un nouvel acteur […] utilise les capacités existantes d'un vieil acteur pour proposer un service enrichi aux consommateurs. À l'un la relation-client, à l'autre la possession et l'exploitation des actifs. Les années passent et deux évidences finissent généralement par s'imposer : l'un est… le sous-traitant de l'autre ; et, aux yeux des consommateurs, le commerçant (celui auquel ils s'adressent et… payent) est bien celui qui ne possèdent pas ou peu d'actif commercial. Voilà comment Uber est bien perçu comme une compagnie de taxis, sans réellement posséder de véhicules. Voilà comment Amazon (et d'autres) peuvent escompter devenir des supermarchés en ligne… sans supermarché. Encore faut-il… un sous-traitant. Ce que Monoprix a donc accepté. »
« Depuis l'origine – c'était en 2018 – Monoprix présente l'accord avec le géant américain comme équilibré. En réalité, il ne peut l'être. Dès lors que l'un prend la relation client à l'autre, se produit un déséquilibre. Pire : un transfert de valeur. "Tenir" le client, c'est tenir le maillon ultime, le Saint-Graal du commerce. Alors que… "détenir" un magasin, fût-il "dark store" brillamment imaginé, c'est être… substituable par tant d'autres. Répondant au Monde, Fernando Tomarchio, M. E-commerce de Monoprix ne dit pas autre chose : "Ce ne sont pas nos clients, ce sont ceux d'Amazon". […] Or, dans l'économie contemporaine [...], les clients sont rares. Donc chers. C'est la raison pour laquelle Instacart (le "livreur" des enseignes alimentaires aux États-Unis) vaut… 40 milliards de dollars. Car il détient des clients, pas de magasins. Donneur d'ordres. Pas sous-traitant. »
Régis Schultz (Al Futtaim Retail) : « Walmart a pris le digital, il a mis le moyens. Et aujourd'hui, on voit bien qu'il reste une guerre qui n'a pas été gagnée, qui n'a pas été perdue, c'est l'alimentaire – et Amazon n'y a pas été. Le pari de Walmart, c'est de dire : si je capture l'alimentaire je regagnerai le non-alimentaire. Pourquoi ? Parce qu'on on achète de l'alimentaire toutes les semaines ; et donc je connaîtrai mieux mon client qu'Amazon, et je vais le reprendre. Ce qui se joue aujourd'hui aux États-Unis, c'est cette guerre-là. »
« La blockchain permet de créer une source de vérité collective, transparente et incorruptible. Elle peut être vue comme un registre de transactions distribué qui est collectivement mis à jour par une communauté d'acteurs, sans besoin de l'intervention ou de l'autorisation d'une quelconque autorité centrale. »
« La blockchain est une philosophie de conception. Le terme "technologie" est trop restrictif car on observe avec la blockchain également un changement de paradigme économique et social. […] La blockchain permet aux gens de coopérer sans confiance préalable. […] La blockchain est une façon de concevoir des systèmes à la fois informatiques mais aussi humains qui rendent possible une gouvernance décentralisée. »
« On dit que la valeur du bitcoin ne repose sur rien, mais sur quoi repose aujourd'hui le dollar puisque l'étalon-or puis la convertibilité ont été abandonnés ? Je rappelle que près de 20 % de tous les dollars américains jamais émis ont été créés l'année dernière. C'est bien la preuve que le système est en roue libre et ne repose plus que sur la puissance perçue des États. […] La monnaie a toujours été une illusion sociale. Qu'il s'agisse de dollars, d'euros, ou de bitcoins… ce sont les gens qui attribuent la valeur à la monnaie. »
« Les monnaies virtuelles ne sont qu'une énième évolution de la forme de la monnaie. La vraie révolution c'est que l'on puisse créer une monnaie sans banque centrale ni État et ainsi redonner du pouvoir aux citoyens. […] L'énergie nécessaire à son fonctionnement n'est en aucun cas gaspillée puisque sans le Bitcoin nous n'aurions en 2021 aucune alternative au système monétaire étatique traditionnel. En ce sens, le protocole Bitcoin est un bien commun. »
« La blockchain est une philosophie de conception. Le terme "technologie" est trop restrictif car on observe avec la blockchain également un changement de paradigme économique et social. […] La blockchain permet aux gens de coopérer sans confiance préalable. […] La blockchain est une façon de concevoir des systèmes à la fois informatiques mais aussi humains qui rendent possible une gouvernance décentralisée. »
« On dit que la valeur du bitcoin ne repose sur rien, mais sur quoi repose aujourd'hui le dollar puisque l'étalon-or puis la convertibilité ont été abandonnés ? Je rappelle que près de 20 % de tous les dollars américains jamais émis ont été créés l'année dernière. C'est bien la preuve que le système est en roue libre et ne repose plus que sur la puissance perçue des États. […] La monnaie a toujours été une illusion sociale. Qu'il s'agisse de dollars, d'euros, ou de bitcoins… ce sont les gens qui attribuent la valeur à la monnaie. »
« Les monnaies virtuelles ne sont qu'une énième évolution de la forme de la monnaie. La vraie révolution c'est que l'on puisse créer une monnaie sans banque centrale ni État et ainsi redonner du pouvoir aux citoyens. […] L'énergie nécessaire à son fonctionnement n'est en aucun cas gaspillée puisque sans le Bitcoin nous n'aurions en 2021 aucune alternative au système monétaire étatique traditionnel. En ce sens, le protocole Bitcoin est un bien commun. »
« Un homme soupçonné d'avoir envoyé, début mars par mail, des menaces de mort à quarante-deux députés de tous partis a été placé en détention provisoire par le tribunal correctionnel de Paris en attendant son procès prévu le 15 avril. […] Le tribunal a ordonné son placement en détention provisoire avant son procès "au regard du risque de réitération des faits et de l'insuffisance des garanties de représentation", conformément aux réquisitions du parquet. »
« Condamné en 2018 pour "menaces de mort réitérées", le prévenu, livreur de repas pour des applications mobiles, devra en outre se soumettre à une expertise psychiatrique. […] L'homme, né au Cameroun et arrivé en France à l'âge de cinq ans. […] "Vous allez payer (…), les Français on va vous faire votre fête bande d'arrogants" était-il notamment écrit dans ces mails. Seuls des élus dont les noms commencent par les lettres C ou M ont reçu ces courriels, avait indiqué à l'AFP une source parlementaire, évoquant l'acte "d'un déséquilibré manifestement". »
« Condamné en 2018 pour "menaces de mort réitérées", le prévenu, livreur de repas pour des applications mobiles, devra en outre se soumettre à une expertise psychiatrique. […] L'homme, né au Cameroun et arrivé en France à l'âge de cinq ans. […] "Vous allez payer (…), les Français on va vous faire votre fête bande d'arrogants" était-il notamment écrit dans ces mails. Seuls des élus dont les noms commencent par les lettres C ou M ont reçu ces courriels, avait indiqué à l'AFP une source parlementaire, évoquant l'acte "d'un déséquilibré manifestement". »
« Noémie Giard, cheffe du service des publics au musée Carnavalet - Histoire de Paris, tient à mettre les choses au point : c'est en fait une infime partie des contenus qui sera modifiée. Je confirme que tous les visiteurs qui viendront au musée Carnavalet au moment de la réouverture, pourront bien lire Louis XIV, XV, ou Henri IV en chiffres romains, sur tous les cartels et même pour les enfants, et c'est uniquement, sur 170 textes, sur un ensemble de 3 000 contenus, qui ont été produits pour le nouveau parcours dans le musée, que nous avons choisi d'appliquer cette mesure d'accessibilité universelle. C'est une recommandation européenne, pour une information facile à lire et à comprendre". Pas question de bannissement des chiffres romains, explique donc la responsable, "il y a juste une volonté de s'adresser à tous les publics, à tous les visiteurs étrangers, aux personnes en situation de handicap psychique, qui peuvent être gênés dans leur compréhension." Cette toute petite partie des contenus, est donc "exagérément grossie dans la polémique". » Dont acte.
« Christophe Bertrand constate que certains clients d'OVH Cloud communiquent sur leur intention de faire héberger leurs sites et leurs applications ailleurs. "Mais ils courront exactement le même risque ailleurs ! Tant que les entreprises ne souscriront pas explicitement à des offres de redondance, elles s'exposeront au même danger de voir leurs données partir en fumée avec le reste du datacenter." »
« Les concurrents américains d'OVH Cloud seraient bien plus habitués à vendre de la redondance dans un pays où les entreprises ont souvent besoin d'avoir une présence sur la côte ouest et une autre sur la côte est. Pour autant, si la redondance des données y est plus fréquente, elle est autant une option que chez OVH Cloud. Et, hélas, l'histoire montre que le géant AWS, numéro un mondial du secteur du cloud, n'est pas plus à l'abri d'une catastrophe naturelle : en 2018, c'est son datacenter de Tokyo qui disparaissait dans les flammes. »
« Les concurrents américains d'OVH Cloud seraient bien plus habitués à vendre de la redondance dans un pays où les entreprises ont souvent besoin d'avoir une présence sur la côte ouest et une autre sur la côte est. Pour autant, si la redondance des données y est plus fréquente, elle est autant une option que chez OVH Cloud. Et, hélas, l'histoire montre que le géant AWS, numéro un mondial du secteur du cloud, n'est pas plus à l'abri d'une catastrophe naturelle : en 2018, c'est son datacenter de Tokyo qui disparaissait dans les flammes. »
L'Alpine A310 a été présentée au public en mars 1971, lors du salon de Genève, il y a cinquante ans. À l'occasion de cet anniversaire, Didier Ric mentionne quelques emprunts qu'elle faisait à la production automobile de l'époque.
« L'héritière de l'A110 en a conservé le moteur. Un quatre cylindres de 1 605 cm3 animant l'Alpine A110 1600S, bloc qui n'était autre que celui de la Renault 16 TS mais poussé à 128 ch sur la 310 VE. En 1974, elle passe à l'injection en récupérant le moteur 1645 cm3 de la R17 TS qui développe 125 ch sur la 310 VF. Autre emprunt aux productions hexagonales de grande série, des moyeux de roue et des feux avant de Peugeot 504 qui lui lègue aussi, à son bord, ses poignées de portes, son cendrier et son plafonnier. Question clignotants, c'est la Simca 1301 qui fournit, et pour les feux c'est la Renault 12 qui s'y colle. Le projet de feux arrière sous verrière – proposé sur le prototype – pour faire écho au museau ayant essuyé un refus du service des Mines. »
« L'héritière de l'A110 en a conservé le moteur. Un quatre cylindres de 1 605 cm3 animant l'Alpine A110 1600S, bloc qui n'était autre que celui de la Renault 16 TS mais poussé à 128 ch sur la 310 VE. En 1974, elle passe à l'injection en récupérant le moteur 1645 cm3 de la R17 TS qui développe 125 ch sur la 310 VF. Autre emprunt aux productions hexagonales de grande série, des moyeux de roue et des feux avant de Peugeot 504 qui lui lègue aussi, à son bord, ses poignées de portes, son cendrier et son plafonnier. Question clignotants, c'est la Simca 1301 qui fournit, et pour les feux c'est la Renault 12 qui s'y colle. Le projet de feux arrière sous verrière – proposé sur le prototype – pour faire écho au museau ayant essuyé un refus du service des Mines. »
« Le précieux gaz […] peut être conservé dans des liquides ayant une densité de stockage jusqu'à 5 fois supérieure à l'hydrogène gazeux. Il s'agit des LOHC (Liquid Organic Hydrogen Carrier), des liquides organiques porteurs d'hydrogène. »
« Le stockage s'effectue chez Hydrogenious LOHC Technologies dans un liquide huileux à base de dibenzyltoluène, par le biais d'une réaction catalytique exothermique d'hydrogénation. À pression ambiante, le produit est stable sur une très large plage de température, très largement suffisante pour encaisser les grands froids et les plus fortes chaleurs ambiantes connues sur la planète. »
« Emprisonné de la sorte, l'hydrogène peut être transporté très classiquement comme n'importe quel carburant classique. Ainsi par pétrolier, camion et wagon citerne. Le liquide organique porteur d'hydrogène est très peu inflammable et non explosif. En outre, il n'y a pas de perte d'hydrogène avec ce moyen de stockage, même sur une longue durée. »
« Le stockage s'effectue chez Hydrogenious LOHC Technologies dans un liquide huileux à base de dibenzyltoluène, par le biais d'une réaction catalytique exothermique d'hydrogénation. À pression ambiante, le produit est stable sur une très large plage de température, très largement suffisante pour encaisser les grands froids et les plus fortes chaleurs ambiantes connues sur la planète. »
« Emprisonné de la sorte, l'hydrogène peut être transporté très classiquement comme n'importe quel carburant classique. Ainsi par pétrolier, camion et wagon citerne. Le liquide organique porteur d'hydrogène est très peu inflammable et non explosif. En outre, il n'y a pas de perte d'hydrogène avec ce moyen de stockage, même sur une longue durée. »
« Ils sont voleurs, ils sont assassins, ils sont violeurs » : tel est le portrait des mineurs étrangers isolés brossé par Éric Zemmour. Cela n'a pas été du goût du CSA, qui vient de prononcer, en conséquence, une sanction à l'encontre de C-News.
« Cette décision nous permet de rappeler que ce type de propos […] sont inadmissibles et servent d'autres intérêts que ceux de la vérité et du respect des citoyens », a réagi Valérie Beausert-Leick, présidente (PS) du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle. La « vérité », pourtant, la voici : un mineur isolé sur dix commet des délits, selon un rapport parlementaire présenté le 10 mars 2021 ; et dans l'agglomération parisienne, « la moitié des personnes interpellées pour cambriolages sont des mineurs isolés », selon un constat fait à la Préfecture de Police (Le Parisien, 29 septembre 2020). On peut donc reprocher à Zemmour sa virulence, voire ses approximations. Mais dans cette affaire, ce sont assurément ses détracteurs qui « servent d'autres intérêts que ceux de la vérité et du respect des citoyens ».
« Cette décision nous permet de rappeler que ce type de propos […] sont inadmissibles et servent d'autres intérêts que ceux de la vérité et du respect des citoyens », a réagi Valérie Beausert-Leick, présidente (PS) du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle. La « vérité », pourtant, la voici : un mineur isolé sur dix commet des délits, selon un rapport parlementaire présenté le 10 mars 2021 ; et dans l'agglomération parisienne, « la moitié des personnes interpellées pour cambriolages sont des mineurs isolés », selon un constat fait à la Préfecture de Police (Le Parisien, 29 septembre 2020). On peut donc reprocher à Zemmour sa virulence, voire ses approximations. Mais dans cette affaire, ce sont assurément ses détracteurs qui « servent d'autres intérêts que ceux de la vérité et du respect des citoyens ».