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« Emprisonné depuis l'automne, le militant d'extrême droite était jugé en appel à Paris, ce 18 mars, pour négationnisme et antisémitisme. Il a minimisé les faits et répété ses antiennes. » Est-il possible de défendre la liberté d'expression, tout en récusant l'usage qui en est fait ? C'est difficile, tout particulièrement en pareille circonstance.
« En Espagne, un projet de loi vise à autoriser l'autodétermination du genre sur les documents officiels par simple déclaration sur l'honneur. »
« L'Église catholique va-t-elle pouvoir continuer à proclamer sa doctrine ? C'est la question que pose la mise en examen, le 24 février dernier, de Jean-Pierre Maugendre, le directeur de publication du site internet Renaissance Catholique, pour "provocation à la discrimination à l'égard d'un groupe de personnes à raison de leur orientation sexuelle". Cette mise en examen fait suite à une plainte, avec constitution de partie civile, déposée par l'association Stop Homophobie le 30 juillet 2020. »
Le texte suivant, signé par des cardinaux et des évêques, serait en cause : « Les autorités civiles ne doivent pas établir d'unions civiles ou légales entre deux personnes du même sexe, qui clairement imitent l'union du mariage, même si de telles unions ne reçoivent pas le nom de mariage, puisque de telles unions encourageraient le péché grave pour les personnes concernées et seraient cause d'un grave scandale pour d'autres (cf. Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Considérations à propos des projets de reconnaissance juridique des unions entre personnes homosexuelles, 3 juin 2003). »
« L'affaire Renaissance catholique n'est pas une première en France puisque l'abbé Pagès est déjà poursuivi par l'association Mousse pour avoir rappelé la doctrine catholique sur l'homosexualité (audience fixée en octobre 2022). S'il rappelle que la cour de cassation avait annulé en 2018 la condamnation pour "provocation à la haine ou à la violence" de Christine Boutin qui avait affirmé que "l'homosexualité est une abomination" ou la cassation en 2008 de la condamnation des propos de Christian Vanneste jugeant l'homosexualité inférieure à l'hétérosexualité au regard de la survie de l'espèce humaine, maître Triomphe juge ces offensives "extrêmement inquiétantes". "Il y a un recul de la liberté d'expression dans notre pays. »
Le texte suivant, signé par des cardinaux et des évêques, serait en cause : « Les autorités civiles ne doivent pas établir d'unions civiles ou légales entre deux personnes du même sexe, qui clairement imitent l'union du mariage, même si de telles unions ne reçoivent pas le nom de mariage, puisque de telles unions encourageraient le péché grave pour les personnes concernées et seraient cause d'un grave scandale pour d'autres (cf. Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Considérations à propos des projets de reconnaissance juridique des unions entre personnes homosexuelles, 3 juin 2003). »
« L'affaire Renaissance catholique n'est pas une première en France puisque l'abbé Pagès est déjà poursuivi par l'association Mousse pour avoir rappelé la doctrine catholique sur l'homosexualité (audience fixée en octobre 2022). S'il rappelle que la cour de cassation avait annulé en 2018 la condamnation pour "provocation à la haine ou à la violence" de Christine Boutin qui avait affirmé que "l'homosexualité est une abomination" ou la cassation en 2008 de la condamnation des propos de Christian Vanneste jugeant l'homosexualité inférieure à l'hétérosexualité au regard de la survie de l'espèce humaine, maître Triomphe juge ces offensives "extrêmement inquiétantes". "Il y a un recul de la liberté d'expression dans notre pays. »
« Mercredi soir, Yann Barthès a reçu dans Quotidien sur TMC l'historienne et psychanalyste Élisabeth Roudinesco, auteure de Soi-même comme un roi – Essai sur les dérives identitaires, publié aux éditions Seuil. Lors de son intervention, l'invitée a provoqué la colère de certains internautes après des propos sur les personnes transgenres. "Il n'y a pas un troisième sexe. Il y a une bisexualité. Il y a un genre. Le transgenre a été invité à partir de personnes qui avaient des problèmes avec l'identité. Ce qu'on a appelé le transexualisme. Il ne faut pas les discriminer. Ça existe. Mais je trouve qu'il y a un peu une épidémie de transgenres. Il y en a beaucoup trop", a déclaré Élisabeth Roudinesco, installant un malaise sur le plateau. Elle s'est alors expliquée : "Il y a des gens qui se sentent dans une identité qui n'est pas la leur depuis l'enfance. C'est appelé le transexualisme. Quand un enfant de huit ans dit qu'il est de l'autre sexe, en quoi est-il habilité ?" »
« Après cette séquence, plusieurs comptes Twitter ont fait part de leur colère, dont notamment des députés de La République en marche. Hier soir, les élus de la majorité Raphaël Gérard, Laurence Vanceunebrock et Valérie Petit ont publié sur leurs réseaux sociaux la lettre dans laquelle ils saisissent le Conseil supérieur de l'audiovisuel. […] "La loi prévoit que les diffuseurs doivent s'assurer que les programmes ne contiennent pas d'incitation à la haine à raison de l'identité de genre", débutent les trois parlementaires. Et d'ajouter : "Ces propos portent atteinte à la dignité des personnes transgenres en renouant avec une longue tradition de pathologisation des corps et des identités transgenres et appellent, de manière détournée, à leur effacement". Le trio de députés estime que Yann Barthès, "en dépit des obligations de modération des propos haineux qui pèsent sur les chaînes de télévision, est resté silencieux". »
Rappelons toutefois que selon la Justice, il est tout à fait légal d'affirmer, à tort ou à raison, que les trans sont des « malades qui relèvent de la psychiatrie » ; ainsi en avait décidé la Cour de cassation le 7 janvier 2020.
Par ailleurs, ces jours-ci, c'est un véritable déluge de propagande qui s'abat sur les téléspectateurs. Les chaînes TMC et Arte ont ouvert la voie… aussitôt suivies par TF1, France 2, RMC Découverte, France 24 : toutes cherchent à vous convaincre qu'il est tout à fait normal de changer de sexe à sept ou huit ans !
« Après cette séquence, plusieurs comptes Twitter ont fait part de leur colère, dont notamment des députés de La République en marche. Hier soir, les élus de la majorité Raphaël Gérard, Laurence Vanceunebrock et Valérie Petit ont publié sur leurs réseaux sociaux la lettre dans laquelle ils saisissent le Conseil supérieur de l'audiovisuel. […] "La loi prévoit que les diffuseurs doivent s'assurer que les programmes ne contiennent pas d'incitation à la haine à raison de l'identité de genre", débutent les trois parlementaires. Et d'ajouter : "Ces propos portent atteinte à la dignité des personnes transgenres en renouant avec une longue tradition de pathologisation des corps et des identités transgenres et appellent, de manière détournée, à leur effacement". Le trio de députés estime que Yann Barthès, "en dépit des obligations de modération des propos haineux qui pèsent sur les chaînes de télévision, est resté silencieux". »
Rappelons toutefois que selon la Justice, il est tout à fait légal d'affirmer, à tort ou à raison, que les trans sont des « malades qui relèvent de la psychiatrie » ; ainsi en avait décidé la Cour de cassation le 7 janvier 2020.
Par ailleurs, ces jours-ci, c'est un véritable déluge de propagande qui s'abat sur les téléspectateurs. Les chaînes TMC et Arte ont ouvert la voie… aussitôt suivies par TF1, France 2, RMC Découverte, France 24 : toutes cherchent à vous convaincre qu'il est tout à fait normal de changer de sexe à sept ou huit ans !
« Dans les services de dépannage ou chez les artisans réparateurs, les mêmes pannes sont constatées régulièrement sur l'électroménager », rapporte Alternativi. Et selon et article, « pour un appareil sur deux, il s'agit principalement d'un problème d'entretien ». Autrement dit, « les machines ne sont pas défectueuses, ni en fin de vie, et la plupart des réparations ne demanderont même pas de pièces de rechange ».
Exemples : « les systèmes de circulation d'eau à l'intérieur de la machine à laver ou du lave-vaisselle sont totalement obstrués par le tartre » ; « les grilles de ventilation du sèche-linge ou du réfrigérateur sont chargées de poussière » ; « trop de calcaire accumulé dans le fer à repasser » ; « trop de poussière compactée dans le filtre de l'aspirateur » ; etc.
Exemples : « les systèmes de circulation d'eau à l'intérieur de la machine à laver ou du lave-vaisselle sont totalement obstrués par le tartre » ; « les grilles de ventilation du sèche-linge ou du réfrigérateur sont chargées de poussière » ; « trop de calcaire accumulé dans le fer à repasser » ; « trop de poussière compactée dans le filtre de l'aspirateur » ; etc.
Comme l'explique Anne Dister, linguiste, enseignante à l'université Saint-Louis à Bruxelles : « L'écriture inclusive se base sur des présupposés qui sont faux, à savoir que le masculin invisibilise. C'est faux. Qui pense, quand on dit "un passage pour piétons", que les femmes ne peuvent pas traverser ? C'est l'économie de la langue. »
« Maman de Lilie, un enfant transgenre qui fêtera ses neuf ans samedi, Chrystelle Vincent a annoncé ce lundi que le procureur de la République de Carpentras (Vaucluse) avait refusé le changement d'état civil demandé par la famille. Les papiers officiels de l'enfant qui a annoncé à ses parents qu'« elle » se sentait petite fille il y a deux ans porteront encore son prénom masculin de naissance. Le parquet motive son refus par le fait qu'une procédure de « changement irréversible » n'a pas été entamée. »
« "Pourtant, nous ne demandons que l'application de la loi de 2016", clame la maman. "C'est contraire à la procédure du cheminement de la transition chez un enfant. Lilie ne comprend pas pourquoi des adultes peuvent refuser son prénom. C'est un ascenseur émotionnel pour elle, elle va d'espoir en désillusion." »
« La "petite fille" est suivie par une équipe pluridisciplinaire de l'hôpital Robert Debré à Paris. "Après avoir médiatisé son cas à la rentrée, nous avons obtenu que la maîtresse d'école l'appelle Lilie et ça se passe très bien." En témoignant dans de nombreux médias, Lilie est devenue un symbole du combat pour l'acceptation des enfants transgenres. "C'est presque elle qui en est à l'initiative", assure Chrystelle Vincent, "elle voulait même organiser une manifestation dans l'école pour revendiquer le droit d'être différente. En disant ce qu'elle est, estime la maman, elle sait qu'elle aide d'autres enfants dans son cas." »
Presque ? Voilà un mot qui en dit long. Surtout qu'à cet âge-là, on n'a pas forcément de carte d'identité, ni l'obligation de remplir des formulaires administratifs à son nom à longueur de journée…
« "Pourtant, nous ne demandons que l'application de la loi de 2016", clame la maman. "C'est contraire à la procédure du cheminement de la transition chez un enfant. Lilie ne comprend pas pourquoi des adultes peuvent refuser son prénom. C'est un ascenseur émotionnel pour elle, elle va d'espoir en désillusion." »
« La "petite fille" est suivie par une équipe pluridisciplinaire de l'hôpital Robert Debré à Paris. "Après avoir médiatisé son cas à la rentrée, nous avons obtenu que la maîtresse d'école l'appelle Lilie et ça se passe très bien." En témoignant dans de nombreux médias, Lilie est devenue un symbole du combat pour l'acceptation des enfants transgenres. "C'est presque elle qui en est à l'initiative", assure Chrystelle Vincent, "elle voulait même organiser une manifestation dans l'école pour revendiquer le droit d'être différente. En disant ce qu'elle est, estime la maman, elle sait qu'elle aide d'autres enfants dans son cas." »
Presque ? Voilà un mot qui en dit long. Surtout qu'à cet âge-là, on n'a pas forcément de carte d'identité, ni l'obligation de remplir des formulaires administratifs à son nom à longueur de journée…
« Ils sont des centaines, le chiffre exact est impossible à déterminer, de vrais mineurs, cette fois, pour la plupart marocains, à vivre de cambriolages et de vols à l'arraché en Île-de-France. Les policiers appellent ces jeunes délinquants des "mijeurs" (car ils se présentent toujours comme mineurs pour échapper aux poursuites). Et même les tests osseux sont sujets à controverse. Un magistrat le reconnaît : "C'est vrai qu'il y a une marge d'erreur de plus ou moins deux ans." »
« C'est un casse-tête pour la Justice et l'exaspération monte chez les victimes. S'ils ne s'emparent que de quelques centaines d'euros la plupart du temps, "le plus gros préjudice consiste surtout dans la réparation des dégâts causés", confie Alain Marcillac, référant sûreté de l'ordre national des pharmaciens. En moyenne, une facture de 3 500 euros. »
« Une razzia qui se traduit dans les chiffres. "Depuis trois ans, leur nombre a augmenté avec une succession de vagues migratoires", précise la préfecture de police de Paris. En 2018, on recensait 7 603 interpellations de mineurs isolés dans l'agglomération parisienne (Paris, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et Hauts-de-Seine). En 2019, c'était 9 134 interpellations, soit une hausse de 20 %. Et pour les huit premiers mois de 2020, on dénombre déjà l'interpellation de 6 309 mineurs étrangers, soit 300 de plus qu'en 2019 sur la même période. Une nouvelle augmentation de 42 %, qui atteint même 51 % à Paris ! »
« À la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP), on précise que "la moitié des personnes interpellées pour cambriolages sont des mineurs isolés maghrébins". "Parfois, on va avoir une réponse pénale digne de ce nom parce que le vol s'accompagne de violences, et là, la qualification juridique permet au parquet de pouvoir requérir l'enfermement des mineurs", souffle un haut gradé. Autrement, ils sont placés en foyer, "et deux minutes après, ils fuguent". »
« C'est un casse-tête pour la Justice et l'exaspération monte chez les victimes. S'ils ne s'emparent que de quelques centaines d'euros la plupart du temps, "le plus gros préjudice consiste surtout dans la réparation des dégâts causés", confie Alain Marcillac, référant sûreté de l'ordre national des pharmaciens. En moyenne, une facture de 3 500 euros. »
« Une razzia qui se traduit dans les chiffres. "Depuis trois ans, leur nombre a augmenté avec une succession de vagues migratoires", précise la préfecture de police de Paris. En 2018, on recensait 7 603 interpellations de mineurs isolés dans l'agglomération parisienne (Paris, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et Hauts-de-Seine). En 2019, c'était 9 134 interpellations, soit une hausse de 20 %. Et pour les huit premiers mois de 2020, on dénombre déjà l'interpellation de 6 309 mineurs étrangers, soit 300 de plus qu'en 2019 sur la même période. Une nouvelle augmentation de 42 %, qui atteint même 51 % à Paris ! »
« À la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP), on précise que "la moitié des personnes interpellées pour cambriolages sont des mineurs isolés maghrébins". "Parfois, on va avoir une réponse pénale digne de ce nom parce que le vol s'accompagne de violences, et là, la qualification juridique permet au parquet de pouvoir requérir l'enfermement des mineurs", souffle un haut gradé. Autrement, ils sont placés en foyer, "et deux minutes après, ils fuguent". »
« Environ 10 % des mineurs isolés étrangers ont commis des actes de délinquance, en hausse "tant dans leur fréquence que dans leur violence", met en évidence un rapport parlementaire présenté ce mercredi 10 mars. »
« La mission d'information menée par les députés Jean-François Eliaou (LREM) et Antoine Savignat (LR) sur "les problématiques de sécurité associées à la présence sur le territoire de mineurs non accompagnés" (MNA), a permis de "dresser le profile "type" des MNA délinquants". »
« "Le portrait type, c'est un Maghrébin, seize, dix-sept ans, en rupture totale avec son pays et sa famille, fracassé par son parcours migratoire, polytoxicomane, qui est dans une délinquance de subsistance, qui vole au sein d'une bande pas très bien organisée", résume pour l'AFP le député de l'Hérault Jean-François Eliaou. Ils commettent surtout des vols de rue, dans les transports en commun, parfois avec violences, ou des vols par effraction, en premier lieu dans les pharmacies. »
« La mission d'information menée par les députés Jean-François Eliaou (LREM) et Antoine Savignat (LR) sur "les problématiques de sécurité associées à la présence sur le territoire de mineurs non accompagnés" (MNA), a permis de "dresser le profile "type" des MNA délinquants". »
« "Le portrait type, c'est un Maghrébin, seize, dix-sept ans, en rupture totale avec son pays et sa famille, fracassé par son parcours migratoire, polytoxicomane, qui est dans une délinquance de subsistance, qui vole au sein d'une bande pas très bien organisée", résume pour l'AFP le député de l'Hérault Jean-François Eliaou. Ils commettent surtout des vols de rue, dans les transports en commun, parfois avec violences, ou des vols par effraction, en premier lieu dans les pharmacies. »
« Il y a des limites, surtout si les véhicules sont très proches esthétiquement des originaux ! La Clio va notamment être fort sollicitée. Car Nissan devrait aussi reprendre ce modèle comme base de sa future petite Micra pour l'Europe. Nissan "doit suivre Renault", expliquait ainsi récemment à Challenges Ashwani Gupta, numéro 2 de Nissan. "Faut-il différencier le modèle Nissan avec une simple face avant, ou plus ?", s'interrogeait le dirigeant. Trop tôt pour le dire. Mais "il faut que les portières par exemple soient les mêmes, sinon on fait des doublons", soulignait l'ancien responsable des véhicules utilitaires de l'Alliance, qui avait déjà mis en avant cette standardisation des produits d'une marque à l'autre. […] Le problème, c'est que si l'ajout de tels modèles peut faire vivre un réseau, cela pose un gros problème d'identité. Et les copies ne rencontrent généralement que peu d'intérêt face à l'original. Le petit Nissan NV 250, clone du Kangoo de Renault, n'a ainsi été produit qu'à… 3 500 unités l'an dernier (contre plus de 130 000 exemplaires du Français). »
Pierre Stemmelin est enthousiasmé par cet ampli hifi d'origine hongroise. Un point retient plus particulièrement notre attention dans sa critique du Heed Audio Elixir (un appareil au compact, vendu 1350 euros) : il souligne que « tous les composants sont de valeurs standardisées, facilement accessibles et remplaçables en cas de panne ». Un exemple à suivre !
« Un célèbre présentateur britannique, Piers Morgan, va quitter son émission matinale, Good Morning Britain, après avoir vertement critiqué Meghan Markle dans une émission qui a provoqué une vague de plaintes, a annoncé mardi son employeur, ITV. »
« Lundi, après avoir diffusé un extrait de l'interview donnée par Meghan à Oprah Winfrey, dans laquelle l'épouse du prince Harry évoquait ses idées suicidaires et se plaignait de n'avoir reçu aucune aide, le présentateur s'en est violemment pris à la duchesse de Sussex, mettant en doute ses propos. "Je suis désolé, je ne crois pas un mot de ce qu'elle dit", a-t-il déclaré. "Je ne la croirais pas si elle me lisait un bulletin météo", a-t-il ajouté. »
« L'Ofcom, le régulateur britannique, a annoncé mardi avoir ouvert une enquête sur ces propos. L'organisation a expliqué avoir reçu plus de 41 000 plaintes concernant l'émission. Les propos de Piers Morgan ont aussi été critiqués par l'association de défense de la santé mentale, Mind. "Il est essentiel que, lorsque les gens demandent du soutien ou partagent leurs problèmes de santé mentale, ils soient considérés avec dignité, respect et empathie", a réagi Mind sur Twitter. Lors de l'émission de mardi, le présentateur est revenu sur ses déclarations de la veille, expliquant avoir "toujours de sérieuses inquiétudes quant à la véracité de beaucoup de choses qu'elle a dites" tout en reconnaissant que la santé mentale et le suicide étaient "des choses extrêmement graves qui devraient être prises très au sérieux". »
« Lundi, après avoir diffusé un extrait de l'interview donnée par Meghan à Oprah Winfrey, dans laquelle l'épouse du prince Harry évoquait ses idées suicidaires et se plaignait de n'avoir reçu aucune aide, le présentateur s'en est violemment pris à la duchesse de Sussex, mettant en doute ses propos. "Je suis désolé, je ne crois pas un mot de ce qu'elle dit", a-t-il déclaré. "Je ne la croirais pas si elle me lisait un bulletin météo", a-t-il ajouté. »
« L'Ofcom, le régulateur britannique, a annoncé mardi avoir ouvert une enquête sur ces propos. L'organisation a expliqué avoir reçu plus de 41 000 plaintes concernant l'émission. Les propos de Piers Morgan ont aussi été critiqués par l'association de défense de la santé mentale, Mind. "Il est essentiel que, lorsque les gens demandent du soutien ou partagent leurs problèmes de santé mentale, ils soient considérés avec dignité, respect et empathie", a réagi Mind sur Twitter. Lors de l'émission de mardi, le présentateur est revenu sur ses déclarations de la veille, expliquant avoir "toujours de sérieuses inquiétudes quant à la véracité de beaucoup de choses qu'elle a dites" tout en reconnaissant que la santé mentale et le suicide étaient "des choses extrêmement graves qui devraient être prises très au sérieux". »
On trouve désormais des appareils neufs chez Back Market. En l'occurrence, des Fairphone. De quoi donner un peu plus de visibilité à ces produits, tout en confortant l'image plus ou moins écologique que la plate-forme cherche à se donner.
« Partant du fait que seul un tiers des soignants sont actuellement vaccinés dans notre pays, l'opprobre est soudainement jetée sur eux. Seront-ils insultés demain du haut de nos balcons ? […] C'est vraiment injuste de les traiter de la sorte, presque comme des salauds, alors qu'ils se dévouent toujours autant malgré leur grande fatigue. Alors aussi que des informations contradictoires ont circulé sur le vaccin qui leur est destiné et sur ses effets secondaires. Du calme, s'il vous plaît ! Et surtout, un peu plus de psychologie et de pédagogie. »
Dimanche dernier, 7 mars, « un important déploiement de gendarmes a eu lieu à Collonges-au-Mont-d'Or ». Les voitures garées aux abords d'un restaurant auront sans doute attiré l'attention. Une trentaine de personnes étaient effectivement rassemblée à l'intérieur. Mais « selon Lyon People », le couple propriétaire de l'établissement « avait pourtant prévenu la gendarmerie depuis une semaine qu'il fêterait un anniversaire entre amis », obtenant même son « son accord, avec comme consigne que tout le monde parte avant le début du couvre-feu à 18 heures ». D'après Lyon Mag, cependant, « la demande faite aux gendarmes n'était pas précise ». Quoi qu'il en soit, « au final, aucune verbalisation n'a été dressée », mais « les gendarmes ont […] mis fin à la petite sauterie et prié les invités de rentrer chez eux ». Pour quel motif ? Une fois de plus, il n'est pas du tout certain que celui-ci soit légal.
« Le rover Perseverance embarque de nombreux instruments sophistiqués pour observer, écouter, forer et stocker sur Mars. Néanmoins, tous ses composants ne sont pas forcément extrêmement récents : le "cerveau" de l'astromobile de la Nasa embarque le même processeur que celui qui se trouvait à l'intérieur de l'I-Mac G3 en 1998. »
« Il suffit de faire un tour sur le site de la Nasa consacré à la mission Mars 2020 pour s'en assurer : il est précisé que le module informatique de Perseverance, composé de deux RCE (pour "Rover Compute Element") intègre le processeur central Power PC 750. Ce composant, répondant au nom de code Arthur, a été utilisé dans les I-Mac jusqu'en 2001. »
« Ce processeur n'a pas une rapidité exceptionnelle, comparée aux technologies plus récentes. […] L'agence spatiale paraît surtout attachée à utiliser des composants qui ont fait preuve de leur robustesse par le passé. Or, le Power PC 750 a démontré sa fiabilité sur ce point. »
« Pour les applications militaires et spatiales, la Nasa choisit souvent d'utiliser le RAD 750, un ordinateur fondé sur le processeur Power PC 750, capable de résister à des conditions extrêmes. […] Actuellement, le RAD750 équipe environ cent satellites en orbite autour de la Terre, où il est toujours fonctionnel, selon Engadget. Le rover Curiosity, l'autre astromobile martien actif de la Nasa, est aussi équipé d'un RAD750 et du processeur Power PC 750. »
« Il suffit de faire un tour sur le site de la Nasa consacré à la mission Mars 2020 pour s'en assurer : il est précisé que le module informatique de Perseverance, composé de deux RCE (pour "Rover Compute Element") intègre le processeur central Power PC 750. Ce composant, répondant au nom de code Arthur, a été utilisé dans les I-Mac jusqu'en 2001. »
« Ce processeur n'a pas une rapidité exceptionnelle, comparée aux technologies plus récentes. […] L'agence spatiale paraît surtout attachée à utiliser des composants qui ont fait preuve de leur robustesse par le passé. Or, le Power PC 750 a démontré sa fiabilité sur ce point. »
« Pour les applications militaires et spatiales, la Nasa choisit souvent d'utiliser le RAD 750, un ordinateur fondé sur le processeur Power PC 750, capable de résister à des conditions extrêmes. […] Actuellement, le RAD750 équipe environ cent satellites en orbite autour de la Terre, où il est toujours fonctionnel, selon Engadget. Le rover Curiosity, l'autre astromobile martien actif de la Nasa, est aussi équipé d'un RAD750 et du processeur Power PC 750. »
« Ces édifices de béton sont parfois impopulaires et certaines communautés ont refusé d'être coupées de la mer, quels que soient les risques. Le village de pêcheurs de Mone (département de Miyagi) – où le tsunami de 2011 a fait quatre morts et détruit quarante-deux des cinquante-cinq maisons "– a ainsi préféré déménager plus loin, à quarante mètres au-dessus du niveau de la mer. »
« "La seule manière de sauver nos vies quand un tsunami frappe est d'évacuer en hauteur. Qu'il y ait un mur ou non n'a pas d'importance", pense Makoto Hatakeyama, un ostréiculteur de Mone. Il y a dix ans, comme d'autres pêcheurs, il s'est précipité vers la mer pour tenter de sauver son bateau et a survécu en gagnant une île voisine à la nage. "On ne peut rien faire contre" les tsunamis et les séismes qui se produisent régulièrement, estime cet homme de quarante-deux ans. »
« Il n'est pas prêt en revanche à renoncer à son lien avec la mer. "Cette vue, cette brise, cette atmosphère… Il ne reste presque plus d'endroits comme ça au Japon." La mer : "C'est mon identité. Elle m'apaise. C'est chez moi." »
Cela rappelle, à certains égards, le dilemme auquel nous confronte le coronavirus.
« "La seule manière de sauver nos vies quand un tsunami frappe est d'évacuer en hauteur. Qu'il y ait un mur ou non n'a pas d'importance", pense Makoto Hatakeyama, un ostréiculteur de Mone. Il y a dix ans, comme d'autres pêcheurs, il s'est précipité vers la mer pour tenter de sauver son bateau et a survécu en gagnant une île voisine à la nage. "On ne peut rien faire contre" les tsunamis et les séismes qui se produisent régulièrement, estime cet homme de quarante-deux ans. »
« Il n'est pas prêt en revanche à renoncer à son lien avec la mer. "Cette vue, cette brise, cette atmosphère… Il ne reste presque plus d'endroits comme ça au Japon." La mer : "C'est mon identité. Elle m'apaise. C'est chez moi." »
Cela rappelle, à certains égards, le dilemme auquel nous confronte le coronavirus.
« Le bureau de tabac installé […] à Brignais a été fermé administrativement pour non-respect du port du masque. Le buraliste avait déjà reçu une mise en demeure au début du mois de février pour les mêmes raisons. »
Autopsie d'un sophisme par Jean Szlamowicz :
« Certains linguistes ont été jusqu'à transformer leur interprétation des faits de langue pour considérer que "aller chez le coiffeur" est une locution sexiste au regard de "aller aux putes" : le coupable serait la préposition "chez" qui marquerait le respect du coiffeur et alors que "aux" serait méprisant pour les péripatéticiennes. Pour imposer une telle projection délirante, cela implique – outre une profonde mauvaise foi – un remaniement intégral des normes d'interprétation de la langue. Cela illustre bien que les divers postulats, plus ou moins implicites, qui fondent l'inclusivisme linguistique sont en vérité anti-scientifiques. »
« L'égarement inclusiviste, friand d'injustices à dénoncer, part du principe que tout est patriarcat et que tout doit être "déconstruit". La langue serait donc sexiste et favoriserait une vision du monde "androcentrée". Réfutons immédiatement cette proposition faisant de la grammaire le fondement de l'organisation sociale : si l'on appliquait littéralement cette idée que la langue exprime une vision de la société, alors les locuteurs des langues dénuées de genre seraient aveugles à la différence sexuelle… Il faudrait alors penser que les locuteurs arméniens, basques, cantonnais, comanches, finnois, géorgiens, igbos, perses, khmers, turcs, vietnamiens, yorubas partagent une conception du genre qui ne parviendrait pas à distinguer les hommes des femmes ! Si un discours peut être sexiste, la langue comme structure n'est que ce que les locuteurs en font. »
« La comparaison entre coiffeur et putes constitue un rapprochement sélectif provenant d'un biais parfaitement arbitraire. Quel peut bien être le lien entre deux expressions dans une langue ? Comment expliquer une locution en allant chercher une autre qui n'a pas grand-chose en commun ? Bref, que viennent faire les putes là-dedans ? Absurdité supplémentaire, le postulat idéologique de ces remarques qui échouent si catastrophiquement à établir un lien entre grammaire et société consiste à arguer que la péjoration sémantico-grammaticale pèserait sur la femme au bénéfice de l'homme. Faut-il vraiment leur faire remarquer que, dans les faits, coiffeur est une profession radicalement féminisée ? »
« Décidément, l'état de crétinisme avancé de telles grandiloquences vertueuses constitue une offense envers l'université, la science et le bon sens. C'est donc à des analyses de ce niveau qu'on se fierait pour réformer la langue sur un socle moral ? »
« Certains linguistes ont été jusqu'à transformer leur interprétation des faits de langue pour considérer que "aller chez le coiffeur" est une locution sexiste au regard de "aller aux putes" : le coupable serait la préposition "chez" qui marquerait le respect du coiffeur et alors que "aux" serait méprisant pour les péripatéticiennes. Pour imposer une telle projection délirante, cela implique – outre une profonde mauvaise foi – un remaniement intégral des normes d'interprétation de la langue. Cela illustre bien que les divers postulats, plus ou moins implicites, qui fondent l'inclusivisme linguistique sont en vérité anti-scientifiques. »
« L'égarement inclusiviste, friand d'injustices à dénoncer, part du principe que tout est patriarcat et que tout doit être "déconstruit". La langue serait donc sexiste et favoriserait une vision du monde "androcentrée". Réfutons immédiatement cette proposition faisant de la grammaire le fondement de l'organisation sociale : si l'on appliquait littéralement cette idée que la langue exprime une vision de la société, alors les locuteurs des langues dénuées de genre seraient aveugles à la différence sexuelle… Il faudrait alors penser que les locuteurs arméniens, basques, cantonnais, comanches, finnois, géorgiens, igbos, perses, khmers, turcs, vietnamiens, yorubas partagent une conception du genre qui ne parviendrait pas à distinguer les hommes des femmes ! Si un discours peut être sexiste, la langue comme structure n'est que ce que les locuteurs en font. »
« La comparaison entre coiffeur et putes constitue un rapprochement sélectif provenant d'un biais parfaitement arbitraire. Quel peut bien être le lien entre deux expressions dans une langue ? Comment expliquer une locution en allant chercher une autre qui n'a pas grand-chose en commun ? Bref, que viennent faire les putes là-dedans ? Absurdité supplémentaire, le postulat idéologique de ces remarques qui échouent si catastrophiquement à établir un lien entre grammaire et société consiste à arguer que la péjoration sémantico-grammaticale pèserait sur la femme au bénéfice de l'homme. Faut-il vraiment leur faire remarquer que, dans les faits, coiffeur est une profession radicalement féminisée ? »
« Décidément, l'état de crétinisme avancé de telles grandiloquences vertueuses constitue une offense envers l'université, la science et le bon sens. C'est donc à des analyses de ce niveau qu'on se fierait pour réformer la langue sur un socle moral ? »
C'est à craindre, alors qu'un référendum vient de se tenir pour la proscrire. « Tout cela pour une burqa qui ne serait portée que par trente à quarante personnes de l'autre côté des Alpes. » Ce sera certainement davantage demain, du moins si les choses se passent comme en France, où son interdiction a directement contribué à sa prolifération (voir à ce sujet les travaux de la sociologue Agnès de Féo).