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Certains bus, parmi les plus modernes que vous pouvez emprunter aujourd'hui, en 2020, ne sont en fait qu'une version remaniée d'un modèle dont la conception remonte… à la fin des années soixante-dix, il y a quarante ans ! Ce documentaire, sans cachet professionnel mais pas inintéressant, retrace l'histoire des quatre ou cinq générations qui se sont ainsi succédé sur une base commune. En conclusion, son auteur met en exergue la citation suivante, tirée d'un argumentaire commercial de 1985 : « R312 donnera naissance à toute une gamme d'autobus standards ou articulés et de soubassements qui formera le support de base des transports urbains de surface français jusqu'aux années 2010-2020. » Chez RVI (Renault Véhicules Industriels), on ne croyait pas si bien dire !
« S'engageant pour une "publicité plus verte sur ses antennes", le groupe Radio France a annoncé mardi la mise en place dès janvier de nouveaux "espaces publicitaires responsables", gratuits ou à tarifs préférentiels, en faveur des acteurs mobilisés pour la transition écologique. Un premier espace dit "solidaire" accordera ainsi plus de dix heures d'antenne gratuite par an à des ONG, associations voire acteurs du privé en pointe sur la question, explique le groupe public dans un communiqué. »
« Les organisations et messages éligibles seront identifiés au terme "d'une procédure juste et équitable", une "réflexion" étant engagée "en ce sens avec différents acteurs" à "l'expertise reconnue" telle que l'Ademe (Agence de la transition écologique), est-il précisé. Un second espace dit "éco-responsable" offrira des écrans publicitaires à des heures de grande écoute (comme les matinales) aux "produits éco-responsables à un tarif de - 40%", après sélection des annonces éligibles "sur la base des cent labels environnementaux listés et recommandés par l'Ademe". Enfin, un "espace responsable" sera dédié aux spots audio [….] précédant les podcasts ouverts à la publicité "pour inscrire ce tournant" sur "le numérique" et offrir "20 % de contacts supplémentaires aux messages éco-responsables". »
« Les organisations et messages éligibles seront identifiés au terme "d'une procédure juste et équitable", une "réflexion" étant engagée "en ce sens avec différents acteurs" à "l'expertise reconnue" telle que l'Ademe (Agence de la transition écologique), est-il précisé. Un second espace dit "éco-responsable" offrira des écrans publicitaires à des heures de grande écoute (comme les matinales) aux "produits éco-responsables à un tarif de - 40%", après sélection des annonces éligibles "sur la base des cent labels environnementaux listés et recommandés par l'Ademe". Enfin, un "espace responsable" sera dédié aux spots audio [….] précédant les podcasts ouverts à la publicité "pour inscrire ce tournant" sur "le numérique" et offrir "20 % de contacts supplémentaires aux messages éco-responsables". »
« À l'arrière de cette immense berline de près de cinq mètres, on a […] moins d'espace aux genoux que... dans une Yaris ! […] Mais pour tout dire, c'est à peu près le seul véritable défaut que nous trouvons à la nouvelle Mirai. […] Le prix de la Toyota Mirai est […] 20 % inférieur à celui de la première génération. Cette dernière était affichée à 78 900 euros, on tablera donc sur une nouvelle Mirai à 63 000 euros. Face à cette proposition, s'il y avait aujourd'hui en France plus que les quelque vingt-cinq stations H2 publiques (auxquelles s'ajoutent une douzaine de stations privées), il deviendrait très difficile de justifier l'achat d'une voiture électrique à 100 000 euros, dont les batteries promettent six cents kilomètres dans le meilleur de cas, et dont le "plein" demande plusieurs heures de patience… »
« Les règles du confinement ne sont visiblement pas claires pour tout le monde… pas même les forces de l'ordre. Des habitants d'Eure-et-Loir en ont fait l'amère expérience ces dernières semaines. Comme le raconte le Parisien, en voulant se rendre dans des commerces situés à Angerville, dans l'Essonne, ils ont écopé d'une amende de 135 euros, malgré leur attestation de déplacement. La raison invoquée par les gendarmes ? Le passage de la région Centre-Val de Loire à la région Ile-de-France. Pourtant, c'est bien autorisé par la législation en vigueur.
« Comme le relate le quotidien régional, les témoignages se sont rapidement multipliés. Des habitants des communes de Gommerville, Baudreville ou encore Mérouville, qui vivent à proximité d'Angerville se sont vus infliger une amende lors de leurs trajets pour se rendre au supermarché ou encore chez le dentiste. Se rendre dans un supermarché de la région voisine ne prend pour certains que quelques minutes, contre un trajet de plusieurs kilomètres autrement. Face aux récriminations des habitants et même d'élus, les services de l'État ont confirmé que les habitants avaient bien le droit de faire ces déplacements. "La limite de 100 km n'existe plus dans le décret du 29 octobre 2020. Les forces de sécurité du département ont été sensibilisées sur ce point." »
« Comme le relate le quotidien régional, les témoignages se sont rapidement multipliés. Des habitants des communes de Gommerville, Baudreville ou encore Mérouville, qui vivent à proximité d'Angerville se sont vus infliger une amende lors de leurs trajets pour se rendre au supermarché ou encore chez le dentiste. Se rendre dans un supermarché de la région voisine ne prend pour certains que quelques minutes, contre un trajet de plusieurs kilomètres autrement. Face aux récriminations des habitants et même d'élus, les services de l'État ont confirmé que les habitants avaient bien le droit de faire ces déplacements. "La limite de 100 km n'existe plus dans le décret du 29 octobre 2020. Les forces de sécurité du département ont été sensibilisées sur ce point." »
Même France Inter s'est demandé si Sophie Dupont ne jouait pas les « auxiliaire de police ». Mais parler d'un acte de « délation » alors que les faits en cause se passent sous les yeux des forces de l'ordre, cela n'a pas grand sens. Ce qu'il faut retenir de cette affaire, c'est d'abord l'ineptie du laïcisme, qui trahit d'ailleurs la laïcité quand il prétend qu'une manifestation n'en est plus une dès lors qu'on y récite des prières – notion par définition religieuse ; c'est ensuite la portée normative prêtée à la parole d'un ministre, sans fondement juridique établi par ailleurs ; c'est enfin l'embarras des policiers confirmant le ridicule des questions posées par Sophie Dupont. C'était fait à dessein, a-t-elle affirmé par la suite. Qu'elle soit sincère ou pas, c'est bien ce qu'elle a mis en évidence.
« Elle a […] décidé de retracer la construction de son reportage, qui a débuté par des propos de Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur, au micro de France Info vendredi dernier, précisant être prêt à verbaliser les croyants se rendant à l'église. "Cette déclaration est vraiment inédite. C'est du jamais vu. Un ministre de l'Intérieur qui met en garde les catholiques. On s'était posé deux questions. Un, les catholiques allaient-ils quand même se mobiliser. Deux, la police allait-elle vraiment interpeller des croyants ? Une seule solution pour vérifier : il faut aller sur le terrain", a poursuivi Sophie Dupont. Après avoir rediffusé des extraits de son reportage, dont certaines situations sont jugées "absurdes" par la journaliste, la reporter a tenu à faire une mise au point : "Encore une fois, notre volonté était de montrer l'absurdité de la situation actuelle, et non pas de stigmatiser les catholiques." »
« Elle a […] décidé de retracer la construction de son reportage, qui a débuté par des propos de Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur, au micro de France Info vendredi dernier, précisant être prêt à verbaliser les croyants se rendant à l'église. "Cette déclaration est vraiment inédite. C'est du jamais vu. Un ministre de l'Intérieur qui met en garde les catholiques. On s'était posé deux questions. Un, les catholiques allaient-ils quand même se mobiliser. Deux, la police allait-elle vraiment interpeller des croyants ? Une seule solution pour vérifier : il faut aller sur le terrain", a poursuivi Sophie Dupont. Après avoir rediffusé des extraits de son reportage, dont certaines situations sont jugées "absurdes" par la journaliste, la reporter a tenu à faire une mise au point : "Encore une fois, notre volonté était de montrer l'absurdité de la situation actuelle, et non pas de stigmatiser les catholiques." »
En cause : son refus de réécrire sa biographie avec un langage dit inclusif ; son souhait de voir l'élection présidentielle américaine épargnée par la fraude ; et des réserves exprimées au second degré sur le port du masque.
Des opinions somme toute assez convenues, qui lui ont pourtant attiré les foudres des "haters" qui sévissent sur les réseaux sociaux.
Se faisant passer prou « des fans » de Star Wars, et désignés comme tels par nos confrères de Hitek, ceux-ci réclament qu'elle soit exclue du casting de la série.
Affaire à suivre.
Des opinions somme toute assez convenues, qui lui ont pourtant attiré les foudres des "haters" qui sévissent sur les réseaux sociaux.
Se faisant passer prou « des fans » de Star Wars, et désignés comme tels par nos confrères de Hitek, ceux-ci réclament qu'elle soit exclue du casting de la série.
Affaire à suivre.
« Contrôlé le 22 mars par la police, j'ai été jugé et condamné pour déplacement interdit pendant le confinement, sans que je ne le sache. Le motif semble être… ma tenue vestimentaire, pas assez sportive au goût des fonctionnaires. »
« J'imagine une résilience sublime, un roman magistral qui commencerait par une prune scélérate et raconterait la rébellion de plus en plus intense du héros contre le système. À la fin, il devient leader des gilets jaunes et prend l'Élysée. Dès demain, je lancerai une grande enquête sur la montée de l'arbitraire dans la société. »
« Au-delà de l'infraction, c'est l'absence de droits de la défense qui m'interroge. Ce qui se comprend pour une infraction routière – un excès de vitesse est factuel sauf improbable détraquage technique – se justifie beaucoup moins pour le remplissage adéquat de l'attestation du confinement, sujet à interprétations. Dans ce cas, le juge n'est-il pas censé vérifier que l'officier de police a appliqué correctement la loi ? Et pourquoi ces six mois entre les faits et le procès ? Faute d'accès au dossier, je ne peux que faire des conjectures, qui m'amènent à me demander, dans un élan poujadiste inédit, si on ne nous prend pas un peu pour des tiroirs-caisses. Au téléphone, mon beau-père, que je sais sensibilisé à la question depuis sa condamnation inique à un PV de 135 euros dans une obscure affaire de stationnement gênant, ricane : "Ça y est, t'es de droite !" »
« Je prends rapidement la décision solennelle de m'opposer à cette décision de justice. Le courrier précise qu'il est possible de le faire "dans un délai de 30 jours à compter de la date d'envoi de la présente lettre". Tic-tac. Je dois me dépêcher de me battre pour mon honneur. Il faut envoyer une lettre au chef du greffe du tribunal, "en indiquant expressément", insiste-t-on : "Je forme opposition". Soit. Je serai dans ce cas "cité à comparaître devant le tribunal de police qui jugera à nouveau l'affaire". L'affaire Girard contre France ne fait que commencer. »
« Je ne suis d'ailleurs sans doute pas le seul dans la panade. Une collègue, à qui je narre ma mésaventure, me signale qu'une de ses amies journalistes lui a raconté la même histoire. Elle rentrait de reportage, a montré sa carte de presse, on lui a dit que c'était bon… et on l'a verbalisée en loucedé, comme elle l'a appris plus tard dans une lettre. Combien sommes-nous à avoir été ainsi sanctionnés sous des prétextes fallacieux ? Peut-on faire valoir nos droits ? Et surtout, combien, parmi nous, de non-journalistes, ou de moins bourgeois, qui ne disposent ni de l'arme des médias pour se défendre, ni des économies pour payer ? Si vous lisez cet article et que vous vous sentez concernés, n'hésitez pas à m'envoyer un email : e.girard@journal-marianne.com. »
« J'imagine une résilience sublime, un roman magistral qui commencerait par une prune scélérate et raconterait la rébellion de plus en plus intense du héros contre le système. À la fin, il devient leader des gilets jaunes et prend l'Élysée. Dès demain, je lancerai une grande enquête sur la montée de l'arbitraire dans la société. »
« Au-delà de l'infraction, c'est l'absence de droits de la défense qui m'interroge. Ce qui se comprend pour une infraction routière – un excès de vitesse est factuel sauf improbable détraquage technique – se justifie beaucoup moins pour le remplissage adéquat de l'attestation du confinement, sujet à interprétations. Dans ce cas, le juge n'est-il pas censé vérifier que l'officier de police a appliqué correctement la loi ? Et pourquoi ces six mois entre les faits et le procès ? Faute d'accès au dossier, je ne peux que faire des conjectures, qui m'amènent à me demander, dans un élan poujadiste inédit, si on ne nous prend pas un peu pour des tiroirs-caisses. Au téléphone, mon beau-père, que je sais sensibilisé à la question depuis sa condamnation inique à un PV de 135 euros dans une obscure affaire de stationnement gênant, ricane : "Ça y est, t'es de droite !" »
« Je prends rapidement la décision solennelle de m'opposer à cette décision de justice. Le courrier précise qu'il est possible de le faire "dans un délai de 30 jours à compter de la date d'envoi de la présente lettre". Tic-tac. Je dois me dépêcher de me battre pour mon honneur. Il faut envoyer une lettre au chef du greffe du tribunal, "en indiquant expressément", insiste-t-on : "Je forme opposition". Soit. Je serai dans ce cas "cité à comparaître devant le tribunal de police qui jugera à nouveau l'affaire". L'affaire Girard contre France ne fait que commencer. »
« Je ne suis d'ailleurs sans doute pas le seul dans la panade. Une collègue, à qui je narre ma mésaventure, me signale qu'une de ses amies journalistes lui a raconté la même histoire. Elle rentrait de reportage, a montré sa carte de presse, on lui a dit que c'était bon… et on l'a verbalisée en loucedé, comme elle l'a appris plus tard dans une lettre. Combien sommes-nous à avoir été ainsi sanctionnés sous des prétextes fallacieux ? Peut-on faire valoir nos droits ? Et surtout, combien, parmi nous, de non-journalistes, ou de moins bourgeois, qui ne disposent ni de l'arme des médias pour se défendre, ni des économies pour payer ? Si vous lisez cet article et que vous vous sentez concernés, n'hésitez pas à m'envoyer un email : e.girard@journal-marianne.com. »
« Ces engins sont pensés pour être évolutifs, c'est dans leur ADN. Intel proposera un NUC M15 comme une plate-forme qu'il adaptera aux différentes demandes de ses clients professionnels. Cela veut dire que les machines pourront évoluer dans le temps. Leur mémoire vive et leur stockage pourront être modifiés et ne seront, à priori, pas soudés à la carte mère. Une autre bonne habitude qui pourrait déteindre sur des concurrents ayant pris le mauvais pli de trop intégrer leurs machines. »
Pourquoi François Mitterand a-t-il accepté la privatisation de Renault ? « Je ne suis pas loin de penser que cela répond à un vieux souvenir pétainiste », répond Benjamin Cuq ; « que cela lui a permis de défaire ce que Charles de Gaulle a fait ». Donte acte. Tout l'entretien est du même tonneau. Si la critique de Carlos Ghosn est légitime, celle -ci semble peu crédible.
Propos tenus par Sébastien Couasnon, lors de son émission Tech & Co diffusée sur BFM Business le mercredi 18 novembre 2020 :
« Nous, sur BFM Business, on lutte un peu contre ce concept, qu'on voit beaucoup dans les médias mainstream, de produit jetable voire d'obsolescence programmée ; quand tu fais une machine à laver, que tu t'appelles LG, Samsung, ou un smartphone, etc., on se doute bien que tu ne le programmes pas pour qu'au bout de vingt-quatre mois, le truc s'arrête et ne marche plus. »
« Nous, sur BFM Business, on lutte un peu contre ce concept, qu'on voit beaucoup dans les médias mainstream, de produit jetable voire d'obsolescence programmée ; quand tu fais une machine à laver, que tu t'appelles LG, Samsung, ou un smartphone, etc., on se doute bien que tu ne le programmes pas pour qu'au bout de vingt-quatre mois, le truc s'arrête et ne marche plus. »
« La SNCF fait face à un problème assez peu commun : ses voies sont en effet fragilisées par des terriers de blaireaux. […] L'objectif est de fournir aux blaireaux un habitat plus confortable pour qu'ils délaissent les autres terriers. Ce projet, budgétisé à hauteur de 30.000 euros, consiste à creuser un grand terrier avec des tunnels et des chambres. […] Jusqu'ici, la SNCF a tout essayé pour déloger les blaireaux qui mettent en péril les voies ferrées. Boucher les terriers, chasser les blaireaux, les éliminer… En plus d'être coûteuses, aucune de ces solutions ne s'est avérée efficace à long terme. »
« Le débat sur le mot en n a refait surface dans les écoles secondaires, cette fois dans l'enseignement de l'histoire. Les commissions scolaires Lester-B.-Pearson (CSLBP) et English-Montréal (CSEM) ont retiré cette semaine des salles de classe de 4e secondaire le livre Journeys Through the History of Quebec and Canada, parce que l'ouvrage fait référence à l'essai Nègres blancs d'Amérique, de Pierre Vallières. »
« Les championnats de Formule Europe régionale et l'Eurocup Formule Renault fusionneront pour constituer en 2021 une inédite "Formule Alpine". […] Un maximum de trente-six voitures sera autorisé sur la grille avec des équipes conduisant trois voitures, mais ils seront autorisés à piloter une quatrième voiture s’ils ont une pilote féminine. »
« Le blasphème n'est pas quelque chose qui existe en France », affirme Robert Ménard. Bien sûr, ce que veut dire le maire de Béziers, c'est que le blasphème n'a pas d'existence légale dans notre pays. Mais la formulation est porteuse d'une ambiguïté significative. Prétendre que le blasphème n'existe pas, au fond, c'est méconnaître l'existence des religions. Les mépriser. Et flirter avec le laïcisme qui conduira, demain, à réclamer à nouveau le retrait des crèches installées à Béziers ou ailleurs, par exemple…
« Je suis enseignante et, entre deux cours, je suis sortie pour passer un appel. J'ai baissé mon masque en dessous de ma bouche pour que mon interlocuteur puisse m'entendre. J'étais dans une rue déserte et une voiture banalisée s'est arrêtée et deux policiers en civil sont sortis. […] ils m'ont expliqué qu'ils allaient me verbaliser puisque je portais mon masque sous le menton et que j'étais dangereuse. […] Là où j'ai vraiment été dérangée et où cela a fait naître en moi un sentiment de révolte et d'oppression, c'est le fait que les policiers se dérangent uniquement pour me mettre une amende à moi […] à 100 mètres de mon lieu de travail, alors que nous sommes obligés de travailler actuellement. […] Je veux bien croire que, dans le métro, cela puisse mettre en danger, mais là, en l'occurrence le fait que l'on veuille me faire dire quelque chose avec lequel je n'étais pas d'accord, je n'ai pas apprécié. »
« Apple a lancé un programme d'échange pour les Airpods Pro. Certains peuvent grésiller ou avoir une moins bonne réduction de bruit active. Ils seront échangés gratuitement. »
« Les policiers de Rillieux-la-Pape ont récolté un renseignement anonyme : un individu se serait vanté publiquement de vouloir mettre le feu à la mairie de la commune "à cause des caricatures de Charlie Hebdo". Une menace prise au sérieux par les forces de l'ordre qui ont identifié le jeune homme âgé de vingt-cinq ans, habitant de l'Ain mais souvent présent à Rillieux. |…] Durant son interrogatoire, il a reconnu avoir tenu ces propos pour "épater" une femme rencontrée via un réseau social. Il a également dit avoir été passablement alcoolisé au moment des faits. »
Ce fait divers fait écho aux motivations des femmes qui portent un voile intégral. Comme l'explique Agnès de Féo, sociologue, auteur d'un long travail d'enquête sur le sujet, la majorité d'entre elles « portaient le niqab justement dans l'espoir de rencontrer un homme correspondant à leur idéal salafiste ». Alors, séduit ?
Ce fait divers fait écho aux motivations des femmes qui portent un voile intégral. Comme l'explique Agnès de Féo, sociologue, auteur d'un long travail d'enquête sur le sujet, la majorité d'entre elles « portaient le niqab justement dans l'espoir de rencontrer un homme correspondant à leur idéal salafiste ». Alors, séduit ?
« L'idée que les jeunes ne se protègent pas, c'est un mythe contredit par les données de la recherche. Quels que soient les comportements à risque qu'on mesure, on a certes des différences de quelques points, mais pas une majorité de jeunes qui feraient n'importe quoi et les autres groupes d'âge qui se comporteraient bien […] Là où on observe des différences, c'est dans la fréquence des interactions sociales. Les jeunes ont une vie sociale qui s'est davantage maintenue, même si elle n'est pas aussi intense qu'avant, alors que les personnes âgées font encore très attention, pour une raison très simple, c'est qu'elles ont compris qu'elles ont plus de risques de développer des formes graves de la maladie. »
« D'une manière générale la communication a un effet faible sur les changements de comportement, surtout lorsqu'il s'agit de communication verticale. On sait que les modifications environnementales fonctionnent mieux : si vous mettez des distributeurs de gel hydroalcoolique partout à l'entrée d'établissements, de magasins ou de supermarchés, vous augmentez l'utilisation de ces produits, si dans les cafés vous avez des tables au maximum de six, vous allez mécaniquement favoriser la division des groupes. »
« D'une manière générale la communication a un effet faible sur les changements de comportement, surtout lorsqu'il s'agit de communication verticale. On sait que les modifications environnementales fonctionnent mieux : si vous mettez des distributeurs de gel hydroalcoolique partout à l'entrée d'établissements, de magasins ou de supermarchés, vous augmentez l'utilisation de ces produits, si dans les cafés vous avez des tables au maximum de six, vous allez mécaniquement favoriser la division des groupes. »
Une publicité exhumée par Olivier Dauvers. Comment on n'en verra plus ces jours-ci, effectivement.
« Embarquer un aquarelliste à bord des bâtiments de la Marine, c'est accepter que soit posé un nouveau regard sur ce qui nous semble banal à force d'habitude. Travail de poète, au sens de "créateur",les aquarelles de Philippe Gloaguen nous obligent à retrouver l'univers des bateaux gris avec l'émerveillement d'un enfant qui les découvrirait pour la première fois. »