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Et cela, depuis un peu plus d'un an. En effet, rapporte Cheek Magazine, « le gouvernement du SPD (Parti Social Démocrate Allemand), mené par le maire Michael Müller, a voté en juin dernier une mesure sans précédent en Europe : destiner une partie du budget alloué aux cinémas berlinois à la projection et au soutien du porno éthique ». « Le but », paraît-il : « promouvoir les productions locales et, à plus long terme, les inclure dans les programmes télévisés ». Ce faisant, « les sociaux-démocrates suivent […] le modèle de la Suède, pionnière de la révolution de l'éducation sexuelle à travers le cinéma pour adultes ».
« Nous travaillons sur une base de scénario mais ici personne ne te dit "coupez", personne ne te dit comment faire, ce que nous montrons est du sexe avec une connexion, et véritable », selon le témoignage d'une actrice ; « nous évoluons dans un milieu gender free, queer, bi et trans. Le porno féministe est du porno fait normalement, pour et par des femmes, où est aboli le rôle de l'homme blanc dominant, qui chosifie la femme et où prédomine une vision misogyne ». Tout un programme.
« Nous travaillons sur une base de scénario mais ici personne ne te dit "coupez", personne ne te dit comment faire, ce que nous montrons est du sexe avec une connexion, et véritable », selon le témoignage d'une actrice ; « nous évoluons dans un milieu gender free, queer, bi et trans. Le porno féministe est du porno fait normalement, pour et par des femmes, où est aboli le rôle de l'homme blanc dominant, qui chosifie la femme et où prédomine une vision misogyne ». Tout un programme.
« Le site lancé par la Maison Blanche, baptisé "Tech Biais" (que l'on pourrait traduire par "Parti pris politique de l'industrie tech"), propose ainsi un formulaire dans lequel renseigner ses coordonnées, le réseau social à l'origine de la présupposée censure ainsi que captures écran du contenu supprimé et de la notification émise par le réseau social incriminé. "L'administration Trump se bat pour la libre expression en ligne", peut-on lire dans un tweet de la Maison Blanche. "Quels que soient vos avis, si vous suspectez avoir été censuré ou interdit de parler en raison d'un parti pris politique, dites-le-nous, cela nous intéresse !". Et de préciser que "trop d'Américains ont vu leurs comptes suspendus, interdits ou dénoncés frauduleusement pour d'obscures 'violations' des règles d'utilisation". »
« Un matin, se levant du pied gauche, elle a décidé qu’il fallait "démasculiniser le langage" et créer une "langue féministe", ce à quoi elle réfléchissait "depuise des années". Du coup elle a "inventée la concepte de la féminine universelle", a ajouté des "e" un peu partout, histoire de bien féminiser la langue, et a donc "toute naturellemente" remplacé le "Il était une fois" des contes par "Elle était une fois". »
« La Commission européenne a adopté, le 8 avril 2020, une communication sur le cadre temporaire applicable à l’appréciation des pratiques anticoncurrentielles dans les coopérations mises en place entre des entreprises pour réagir aux situations d’urgence découlant de la pandémie actuelle de Covid-19. Cette communication autorise notamment des entreprises concurrentes à coordonner temporairement leurs actions afin de lutter contre les pénuries en produits essentiels, que ceux-ci soient utilisés directement ou non dans le traitement des patients atteints du coronavirus. […] En outre […], la Commission a réinstauré, a priori de façon temporaire, le mécanisme des lettres de confort, qui étaient délivrées avant 2003 mais ont depuis lors été abandonnées, au profit […] d’un auto-examen par les entreprises de la compatibilité de leurs comportements avec le droit de la concurrence. »
Un lave-linge qui fait rêver ? Presque ! Ce projet avait suscité un certain enthousiasme : on nous promettait une machine facile à réparer. Mais voilà : « les discussions menées avec plusieurs acteurs industriels du secteur de l'électroménager n'ont pas abouti à des pistes de collaboration tangibles », a-t-il été annoncé il y a déjà trois mois, le 13 février 2020.
En cause, selon les promoteurs du projet : « les doutes de nos interlocuteurs quant à notre capacité à vendre suffisamment de machines à laver l'Increvable pour que cela justifie d'y investir du temps, de l'énergie et des financements de leur côté ».
« En attendant un potentiel débouché industriel », précisent-ils, « l'Increvable en tant que projet d'entreprise visant à produire et commercialiser de l'électroménager durable va donc être mis en pause ». Cependant, nous annoncent-ils, « vous continuerez néanmoins à en entendre parler puisqu'il est d'ores et déjà prévu que la machine soit présentée lors de plusieurs expositions à venir ». Affaire toujours à suivre donc.
En cause, selon les promoteurs du projet : « les doutes de nos interlocuteurs quant à notre capacité à vendre suffisamment de machines à laver l'Increvable pour que cela justifie d'y investir du temps, de l'énergie et des financements de leur côté ».
« En attendant un potentiel débouché industriel », précisent-ils, « l'Increvable en tant que projet d'entreprise visant à produire et commercialiser de l'électroménager durable va donc être mis en pause ». Cependant, nous annoncent-ils, « vous continuerez néanmoins à en entendre parler puisqu'il est d'ores et déjà prévu que la machine soit présentée lors de plusieurs expositions à venir ». Affaire toujours à suivre donc.
Le critique de Satr Wars Universe a été enthousiasmé par The Art of Rebels, un livre richement illustré – où le texte viendrait presque à manquer ! – dévoilant quelques-un des coulisses de cette sympathique série d'animation.
« Quand il s'agit de personnages ou d'objet déjà apparu dans les films, les artistes ont procédé à une simplification des détails tout en gardant les caractéristiques majeures », apprend-on notamment au fil de l'ouvrage : « il en est ainsi pour les chasseurs Tie, les AT-AT, les A-Wing, Tarkin, Vador, etc. » ; « d'ailleurs, concernant les vaisseaux, les simplifications ont été aidées en étudiant les jouets vintage Kenner ».
Le monde à l'envers ?
« Quand il s'agit de personnages ou d'objet déjà apparu dans les films, les artistes ont procédé à une simplification des détails tout en gardant les caractéristiques majeures », apprend-on notamment au fil de l'ouvrage : « il en est ainsi pour les chasseurs Tie, les AT-AT, les A-Wing, Tarkin, Vador, etc. » ; « d'ailleurs, concernant les vaisseaux, les simplifications ont été aidées en étudiant les jouets vintage Kenner ».
Le monde à l'envers ?
« Le Conseil d'État a ordonné le 18 mai 2020 la suspension de la surveillance du confinement par drone par la police parisienne. […] Le Conseil d'État estime qu'une surveillance policière par drone ne pourra être envisagée qu'après l'intervention du pouvoir réglementaire et l'avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil). À défaut, les préfectures devront doter les appareils utilisés de "dispositifs techniques de nature à rendre impossible […] l'identification des personnes filmées". »
« Le rôle de l'état-major de la Marine est de mettre à disposition de l'EMA des moyens (bateaux, aéronefs et équipages) à même de remplir leurs missions. Il ne les commande donc pas à la mer. C'est la différence entre l'"organique" et l'"opérationnel". Il existe néanmoins une certaine "ambiguïté" en matière navale, comme le reconnaît un proche du dossier. En effet, un bateau à la mer continue à s'entraîner en permanence – y compris pendant les opérations. C'est par exemple le cas des pilotes du Charles de Gaulle qui poursuivent leur qualification, y compris pendant la participation à Chammal. Cet entraînement reste du ressort de l'état-major de la Marine, via ses commandements comme la Force d'action navale (Alfan) ou de l'aéronautique navale (Alavia). »
« Le plastique végétal produit par Avantium a des qualités de durabilité très intéressantes, assure Tom van Aken, le P-DG de la société », cité par le Courrier international. La preuve : « des essais ont montré que ce nouveau plastique végétal "se décomposerait en un an en utilisant un composteur", et en quelques années de plus "dans des conditions extérieures normales" ». Autrement dit, ce qui est « durable », aujourd'hui, selon la novlangue écologiste, ce n'est pas ce qui résiste à l'épreuve du temps, ce que l'on transmet de génération en génération… C'est, au contraire, l'éphémère, l'effaçable, l'oubliable… C'est un renversement remarquable !
« Plusieurs Hongrois ont été interpellés pour avoir critiqué leur gouvernement sur les réseaux sociaux » ; faut-il y voir le signe de la dérive dictatoriale de ce pays ?
« Mercredi, c'est un membre du parti d'opposition Momentum qui a été détenu quelques heures » ; « il avait publié un message sur une mesure controversée ayant conduit à expulser de nombreux patients des hôpitaux hongrois pour libérer des lits en prévision d'une aggravation de l'épidémie de Covid-19 ». Un sort similaire n'a-t-il pas été réservé, en France, à ceux qui avaient déployé une banderole « Macronavirus » sur la façade de leur habitation ?
« La veille, la police avait annoncé avoir perquisitionné le domicile d'un homme de soixante-quatre ans pour un message posté le mois dernier sur les réseaux sociaux » ; « le message visé critiquait les mesures de confinement avec le commentaire suivant : "vous êtes un tyran sans pitié, mais rappelez-vous, les dictateurs tombent toujours" ». Qu'est-il advenu ? « Le sexagénaire a indiqué à la presse que la police l'avait interrogé sur la personne visée par le mot "dictateur", avant de le relâcher » ; et finalement, « les procureurs ont indiqué mercredi que ce cas avait été classé ». La Hongrie se montrerait-elle moins sévère que la France ? Chez-nous, en février dernier, un homme a été condamné, lui, pour avoir comparé le ministre de l'Intérieur et le président de la République à Oussama ben Laden et Saddam Hussein…
« Mercredi, c'est un membre du parti d'opposition Momentum qui a été détenu quelques heures » ; « il avait publié un message sur une mesure controversée ayant conduit à expulser de nombreux patients des hôpitaux hongrois pour libérer des lits en prévision d'une aggravation de l'épidémie de Covid-19 ». Un sort similaire n'a-t-il pas été réservé, en France, à ceux qui avaient déployé une banderole « Macronavirus » sur la façade de leur habitation ?
« La veille, la police avait annoncé avoir perquisitionné le domicile d'un homme de soixante-quatre ans pour un message posté le mois dernier sur les réseaux sociaux » ; « le message visé critiquait les mesures de confinement avec le commentaire suivant : "vous êtes un tyran sans pitié, mais rappelez-vous, les dictateurs tombent toujours" ». Qu'est-il advenu ? « Le sexagénaire a indiqué à la presse que la police l'avait interrogé sur la personne visée par le mot "dictateur", avant de le relâcher » ; et finalement, « les procureurs ont indiqué mercredi que ce cas avait été classé ». La Hongrie se montrerait-elle moins sévère que la France ? Chez-nous, en février dernier, un homme a été condamné, lui, pour avoir comparé le ministre de l'Intérieur et le président de la République à Oussama ben Laden et Saddam Hussein…
Cet article n'entre pas trop dans les détails techniques. Par exemple, il donne peu d'explications pour comprendre l’origine de cette curiosité propre à la R16, dont l'espacement entre les roues avant et arrière n'était pas le même de chaque côté de la voiture ! Il en recense néanmoins toutes les évolutions esthétiques et mécaniques. Saviez-vous, par exemple, qu'aucun losange n'était présent sur la calandre des premiers modèles ? Ou qu'une version avait été adaptée aux spécificité du marché américain ?
Le recours à l'écriture dite inclusive produit-il « un contenu neutre, débarrassé de toute notion de genre », comme on le lit sur Abondance ? Cette pratique interdit de parler de quoi que ce soit sans distinguer les hommes et les femmes ; c'est donc l'inverse… De cette vidéo, on retiendra surtout que si vous utilisez les formes les moins lisibles de l'écriture inclusives (points médians, tirets, etc.), « il y a assez peu de chance en général que vous soyez trouvé avec des requêtes classiques » effectués sur un moteur de recherche. Par conséquent, du point de vue d'un éditeur soucieux de son référencement, « ce n'est ps une très bonne idée » d'y recourir.
Le New York Times et le Financial Times sont dans le collimateur de Moscou. Ils sont suspectés d'avoir versé dans la « désinformation » après avoir chacun affirmé que les méfaits du coronavirus étaient sous-estimés en Russie. « Nous voyons, avec de plus en plus de preuves, que certaines forces en Occident cherchent à utiliser la crise actuelle pour discréditer les efforts gouvernementaux dans un certain nombre de pays et à déstabiliser la situation », a déclaré Maria Zakharova, porte-parole de la diplomatie russe. Bref, on parle des médias occidentaux en Russie à peu près comme on perle en France des médis russes.
« Devant la panique, les hommes politiques des pays du Sud, notamment français, ont ressorti un de leurs marronniers favoris : des obligations émises par les institutions européennes, sur le modèle des bons du Trésor américain, nommées eurobonds (puis "coronabonds", histoire de culpabiliser les sceptiques). »
De quoi susciter l'enthousiasme des promoteurs les plus fervents de la construction européenne ? Pas forcément, comme en témoigne cette tribune signée Éric Drevon-Mollard, membre des Jeunes Européens.
« Si le concept d'obligation fédérale n'est pas absurde dans une Union qui aurait parachevé sa construction politique, le moment est fort mal choisi : tous les pays européens souffrent économiquement, y compris les moins impactés et ceux qui avaient réformé leurs économies quand c'était le moment (pensons à l'Allemagne et aux Pays Bas). Leur demander de payer (et se persuader qu'ils doivent le faire) n'est pas la solution. Ils souffrent aussi (certes un peu moins que la France et l'Italie), et le sentiment national européen n'a pas commencé à être construit. Le risque est donc de conduire à des blocages politiques et à des rancœurs des deux côtés qui peuvent disloquer l'Union européenne. »
En résumé :
« Les eurobonds ne sont pas la bonne réponse aux enjeux politiques et économiques auxquels l'Union européenne doit faire face. En effet, les importants excédents d'épargne des pays du Nord ne demandent qu'à s'investir dans des projets rentables à long terme en Europe. Aux pouvoirs publics de donner le bon cadre réglementaire pour faire revenir la confiance des épargnants envers les pays du Sud, en favorisant de bons investissements, sources de croissance sur le long terme et de bons emplois pour les citoyens européens. Ce cadre prendrait la forme d'obligations privées qui mobiliseraient efficacement l'épargne des pays du Nord vers la construction de centrales nucléaires et la modernisation du capital des entreprises. »
De quoi susciter l'enthousiasme des promoteurs les plus fervents de la construction européenne ? Pas forcément, comme en témoigne cette tribune signée Éric Drevon-Mollard, membre des Jeunes Européens.
« Si le concept d'obligation fédérale n'est pas absurde dans une Union qui aurait parachevé sa construction politique, le moment est fort mal choisi : tous les pays européens souffrent économiquement, y compris les moins impactés et ceux qui avaient réformé leurs économies quand c'était le moment (pensons à l'Allemagne et aux Pays Bas). Leur demander de payer (et se persuader qu'ils doivent le faire) n'est pas la solution. Ils souffrent aussi (certes un peu moins que la France et l'Italie), et le sentiment national européen n'a pas commencé à être construit. Le risque est donc de conduire à des blocages politiques et à des rancœurs des deux côtés qui peuvent disloquer l'Union européenne. »
En résumé :
« Les eurobonds ne sont pas la bonne réponse aux enjeux politiques et économiques auxquels l'Union européenne doit faire face. En effet, les importants excédents d'épargne des pays du Nord ne demandent qu'à s'investir dans des projets rentables à long terme en Europe. Aux pouvoirs publics de donner le bon cadre réglementaire pour faire revenir la confiance des épargnants envers les pays du Sud, en favorisant de bons investissements, sources de croissance sur le long terme et de bons emplois pour les citoyens européens. Ce cadre prendrait la forme d'obligations privées qui mobiliseraient efficacement l'épargne des pays du Nord vers la construction de centrales nucléaires et la modernisation du capital des entreprises. »
Ces voitures seront destinées en priorité à l'Inde, puis à l'Amérique latine et à l'Afrique du Nord. Le prix : 10 000 euros. C'est « dans la fraction haute du marché indien, où le prix de vente moyen des voitures tourne autour de 5 000 euros », précise Challenges ; « en revanche, ce serait pile dans le créneau des voitures d'entrée de gamme au Brésil ». Qu'en sera-t-il chez nous ? « On pourra utiliser la plate-forme en Europe, mais avec des véhicules différents visuellement », révèle Vincent Cobée, directeur de la marque aux Chevrons. Selon Alain-Gabriel Verdevoye, « la future C3 […] pourrait être a priori développée sur cette plate-forme moins sophistiquée ». Par le passé, Citroën avait déjà annoncé un "retour à l'essentiel", avec le concept Cactus, sans vraiment donner suite, malgré la commercialisation du modèle éponyme. Affaire à suivre.
« Estimant qu'il était "logique" que les célibataires aient eux aussi besoin de contact physique, le RIVM, l'institut de santé publique néerlandais, a publié cette semaine des recommandations à l'usage des célibataires. On y lisait : "Il est très important de maintenir le risque de transmission du coronavirus au plus bas niveau possible, [y compris] dans le cadre de l'intimité et des rapports sexuels. Vous pouvez par exemple vous mettre d'accord avec une seule et même personne pour avoir des rapports physiques ou sexuels, par exemple un partenaire de câlins ou un sexbuddy." En réalité, note le site d'information néerlandais NU.nl, "les réactions dans les médias et sur les réseaux sociaux ont pris une ampleur que le RIVM n'avait pas vu venir." C'est pourquoi le message a été quelque peu atténué le 15 mai. Le passage évoquant les "partenaires de câlin" ou "sexbuddies" a disparu du site, note NU.nl. »
« Pourvue d'un système de calage intégré », cette boîte – « The Box » – proposée par Living Packets « remplace à la fois le carton à usage unique et les mousses de calage », rapporte L'Usine nouvelle. « Grâce à une fermeture aimantée, le produit n'a pas besoin d'adhésif ». De plus, « l'étiquette digitale remplace son équivalent en papier ». Ce produit connecté – ce qui « permet de sécuriser et de suivre la commande » est « garanti pour mille utilisations ». Les premiers exemplaires « seront en circulation cette année ». Reste à savoir comment s'organisera leur collecte après réception des colis.
Apple vient d'accoler l'étiquette "vintage" à six nouveaux produits.
« Cela veut dire que le support technique dépendra des stocks de pièces détachées officielles, disponibles en Genius Bar et chez les réparateurs agréés », explique Phonandroid ; « une fois les stocks épuisés, le produit vintage ou obsolète ne peut plus y être réparé » ; « il faut alors passer par des réparateurs tiers avec des pièces non officielles ».
De là à parler d'obsolescence programmée, il y a un pas que nous ne franchirons pas, contrairement à Sam Azzemou, qui parle également, et plus justement, d'une « politique d'obsolescence graduée ».
En effet, rappelle-t-il, « les étapes de la vie d'un produit Apple sont l'arrêt de sa commercialisation, l'arrêt des mises à jour, l'arrêt partiel de la prise en charge en Genius Bar et le refus systématique des produits en Genius Bar ». « La troisième étape concerne les produits dits "vintages" », considérés comme tels par leur fabricant « cinq à sept ans » après la fin de leur commercialisation, précise-t-il ; et « la dernière concerne les produits dits "obsolètes" » – une appellation à laquelle Apple n'a pas renoncé en dépit des connotations négatives.
La marque à la Pomme se distinguerait-elle surtout par sa transparence ?
« Cela veut dire que le support technique dépendra des stocks de pièces détachées officielles, disponibles en Genius Bar et chez les réparateurs agréés », explique Phonandroid ; « une fois les stocks épuisés, le produit vintage ou obsolète ne peut plus y être réparé » ; « il faut alors passer par des réparateurs tiers avec des pièces non officielles ».
De là à parler d'obsolescence programmée, il y a un pas que nous ne franchirons pas, contrairement à Sam Azzemou, qui parle également, et plus justement, d'une « politique d'obsolescence graduée ».
En effet, rappelle-t-il, « les étapes de la vie d'un produit Apple sont l'arrêt de sa commercialisation, l'arrêt des mises à jour, l'arrêt partiel de la prise en charge en Genius Bar et le refus systématique des produits en Genius Bar ». « La troisième étape concerne les produits dits "vintages" », considérés comme tels par leur fabricant « cinq à sept ans » après la fin de leur commercialisation, précise-t-il ; et « la dernière concerne les produits dits "obsolètes" » – une appellation à laquelle Apple n'a pas renoncé en dépit des connotations négatives.
La marque à la Pomme se distinguerait-elle surtout par sa transparence ?
« Comment retrouver une souveraineté industrielle ? "En cessant d'être naïfs et lâches", s'agace Christian Saint-Étienne, professeur au Conservatoire national des arts et métiers. Pour lui, cette pandémie montre surtout la faiblesse stratégique du Vieux Continent. "Contrairement à la Chine ou aux États-Unis, l'Europe a été le seul acteur mondial à ne pas être stratège, puisque dominé par la règle de la concurrence inscrite dans le traité de Rome de mars 1957." Sa proposition ? Que la France se dote d'une vraie politique industrielle, quitte à croiser le fer avec la Commission. »
« Mais, selon l'économiste, l'erreur serait de croire que la France peut agir seule : "Elle n'a pas la taille suffisante pour retrouver des capacités stratégiques fortes." Sur tout, on aurait tort de chercher à s'allier à tout prix avec l'Allemagne, "qui nous regarde de haut". C'est plutôt avec les pays du Sud qu'il convient de nouer des partenariats. "L'Espagne est plus robotisée que la France ; l'Italie du Nord dispose d'un véritable tissu industriel ; le Portugal, d'une main-d'œuvre compétente…", assure-t-il. Seules ces alliances permettront à l'Hexagone de créer des filières d'avenir solides et modernes. »
« Mais, selon l'économiste, l'erreur serait de croire que la France peut agir seule : "Elle n'a pas la taille suffisante pour retrouver des capacités stratégiques fortes." Sur tout, on aurait tort de chercher à s'allier à tout prix avec l'Allemagne, "qui nous regarde de haut". C'est plutôt avec les pays du Sud qu'il convient de nouer des partenariats. "L'Espagne est plus robotisée que la France ; l'Italie du Nord dispose d'un véritable tissu industriel ; le Portugal, d'une main-d'œuvre compétente…", assure-t-il. Seules ces alliances permettront à l'Hexagone de créer des filières d'avenir solides et modernes. »
L'Argus croit savoir qu'un tel modèle sera vraisemblablement commercialisé d'ici trois ou quatre ans. On verra bien. « La marque française [...] ne peut vivre sur un seul modèle », est-il affirmé en introduction. Dans ce cas, pourquoi une petite sportive basé sur la plate-forme de la Twingo – une propulsion ! – ne pourrait-elle pas voir le jour ? À noter, dans cet article, un rappel bienvenu, selon lequel « la Berlinette n'est pas la seule auto du passé d'Alpine ». Aussi est-il suggéré, illustration à l'appui, que ce futur SUV puisse « s'inspirer d'autres modèles, comme l'A310 ou l'A610 ». Lesquelles mériteraient pourtant une descendance plus glorieuse !