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Plusieurs centaines de SUV électriques Aiways U5 rejoindront d'ici l'été la flotte de Filippi Auto, qui représente Hertz sur l'île de Beauté. « Pour la marque chinoise créée en 2017, et qui dépend du groupe SAIC également propriétaire de Maxus et MG, il s'agit là de la première commande reçue pour l'Europe », précise Philippe Schwoerer sur Automobile propre. « Les partenaires envisagent ainsi de faire de la Corse "une plaque tournante de la mobilité électrique" », poursuit-il. Et une tête de point pour conquérir l'Hexagone ?
L'INA revient, vidéos à l'appui, sur l'accueil qui fut réservé en France au premier Star Wars.
« C'est avec Michel Drucker, le 11 septembre 1977, que les téléspectateurs français ont vent pour la première fois du succès phénoménal aux États-Unis d'un film pas comme les autres, Star Wars […] Le film est projeté en clôture du festival de Deauville, environ un mois avant sa sortie commerciale en France. C'est à cette occasion que Michel Drucker demande à Jodie Foster et Claude Lelouch s'ils ont aimé cette "aventure gigantesque qui restera sans doute dans les annales et dans l'histoire du cinéma". Réponse positive des deux personnalités : "Film vraiment extraordinaire, réalisé avec tellement de créativité", s'enthousiasme la jeune Jodie Foster, "film complètement fou, avec un humour formidable", renchérit le réalisateur d' Un homme et une femme, décidément emballé. »
« L'actrice Carrie Fisher, qui prête ses traits à la princesse Leïa, évoque dans une interview donnée en français le 3 octobre les caractéristiques de son personnage et dévoile les éléments centraux de l'histoire. L'actrice prévient que son rôle, "très indépendant, est très éloigné du stéréotype [européen] de la princesse". »
« Le 17 octobre, deux jours avant la sortie tant attendue du film en France, l'émission Aujourd'hui magazine donne la parole au producteur de Star Wars, Gary Kurtz. »
« Sur France Inter, les cinéphiles du Masque et la plume s'interrogent sur un nouveau genre de cinéma. […] Pour Jean-Louis Bory, c'est un film devant lequel "on s'amuse beaucoup", et dans lequel "on trouve des tas de choses". Avec, pour commencer, une adaptation remarquée des romans de chevalerie et de la littérature populaire : "On a pris tous les ingrédients de la littérature chevaleresque, populaire, et on les a transplantés dans le monde de la science fiction". La confrontation entre les "chevaliers noirs et les chevaliers blancs", à l'aide de sabres laser comme autant de "duels fantastiques à l'épée" n'est pas pour lui déplaire, tout au contraire de Georges Charensol, qui moque "de simples néons". […] Nuance importante cependant pour le critique du Masque et la plume : une représentation trop complaisante du fascisme latent au fil de cette confrontation intergalactique entre forces du Bien et forces du Mal. »
« C'est avec Michel Drucker, le 11 septembre 1977, que les téléspectateurs français ont vent pour la première fois du succès phénoménal aux États-Unis d'un film pas comme les autres, Star Wars […] Le film est projeté en clôture du festival de Deauville, environ un mois avant sa sortie commerciale en France. C'est à cette occasion que Michel Drucker demande à Jodie Foster et Claude Lelouch s'ils ont aimé cette "aventure gigantesque qui restera sans doute dans les annales et dans l'histoire du cinéma". Réponse positive des deux personnalités : "Film vraiment extraordinaire, réalisé avec tellement de créativité", s'enthousiasme la jeune Jodie Foster, "film complètement fou, avec un humour formidable", renchérit le réalisateur d' Un homme et une femme, décidément emballé. »
« L'actrice Carrie Fisher, qui prête ses traits à la princesse Leïa, évoque dans une interview donnée en français le 3 octobre les caractéristiques de son personnage et dévoile les éléments centraux de l'histoire. L'actrice prévient que son rôle, "très indépendant, est très éloigné du stéréotype [européen] de la princesse". »
« Le 17 octobre, deux jours avant la sortie tant attendue du film en France, l'émission Aujourd'hui magazine donne la parole au producteur de Star Wars, Gary Kurtz. »
« Sur France Inter, les cinéphiles du Masque et la plume s'interrogent sur un nouveau genre de cinéma. […] Pour Jean-Louis Bory, c'est un film devant lequel "on s'amuse beaucoup", et dans lequel "on trouve des tas de choses". Avec, pour commencer, une adaptation remarquée des romans de chevalerie et de la littérature populaire : "On a pris tous les ingrédients de la littérature chevaleresque, populaire, et on les a transplantés dans le monde de la science fiction". La confrontation entre les "chevaliers noirs et les chevaliers blancs", à l'aide de sabres laser comme autant de "duels fantastiques à l'épée" n'est pas pour lui déplaire, tout au contraire de Georges Charensol, qui moque "de simples néons". […] Nuance importante cependant pour le critique du Masque et la plume : une représentation trop complaisante du fascisme latent au fil de cette confrontation intergalactique entre forces du Bien et forces du Mal. »
« L'ère des voitures qui restent inchangées une fois qu'elles quittent les concessions semble révolue », annonce Numerama. Dans le cas du Ford Mach-E, est-il précisé dans cet article, « les performances évolueront avec le temps, en plus des fonctionnalités à bord » ; « on pense en premier lieu à l'autonomie ».
« Voir un constructeur historique comme Ford mettre fin à l'obsolescence des voitures est une excellente nouvelle », s'enthousiasme Maxime Claudel. C'est oublier que jusqu'à l'immixtion à bord de tablettes numériques, puis l'introduction des vignettes Crit-Air, les voitures n'étaient confrontés à aucune obsolescence, sinon aux ravages de la rouille et à la disparition de l'essence sans plomb.
« Ce changement prouve que le logiciel a de plus en plus d'emprise sur le hardware », souligne l'auteur. Autrement dit, les automobiles seront de plus en plus soumises aux règles qui régissent l'informatique. Et donc, en réalité, les mises à jour ne sont pas une réponse à une obsolescence auparavant inexistante ; elles participent, au contraire, du phénomène qui va l'accélérer.
« Voir un constructeur historique comme Ford mettre fin à l'obsolescence des voitures est une excellente nouvelle », s'enthousiasme Maxime Claudel. C'est oublier que jusqu'à l'immixtion à bord de tablettes numériques, puis l'introduction des vignettes Crit-Air, les voitures n'étaient confrontés à aucune obsolescence, sinon aux ravages de la rouille et à la disparition de l'essence sans plomb.
« Ce changement prouve que le logiciel a de plus en plus d'emprise sur le hardware », souligne l'auteur. Autrement dit, les automobiles seront de plus en plus soumises aux règles qui régissent l'informatique. Et donc, en réalité, les mises à jour ne sont pas une réponse à une obsolescence auparavant inexistante ; elles participent, au contraire, du phénomène qui va l'accélérer.
« À ce stade, le Covid-19 est une épidémie assez peu grave, mesurée à l'aune des grandes épidémies que l'humanité a pu connaître et même simplement à l'aune des causes de mortalité en général. Ce qui a dicté notre réaction extrême, consistant à enfermer chez elles autoritairement et pour une durée indéterminée des dizaines de millions de personnes, n'est pas la dangerosité du Covid-19, mais notre rapport à la maladie et à la médecine. Ce qui a changé, par rapport aux épidémies des siècles précédents, c'est que nous avons perdu l'habitude de mourir des maladies infectieuses. »
« Nous nous sommes affolés lorsque nous nous sommes rendus compte que le nombre de cas graves allait dépasser notre capacité de les traiter. Ce qui nous est apparu comme insupportable, c'est l'idée de mourir alors que la médecine aurait pu nous sauver, c'est la perspective de voir les médecins trier parmi les malades ceux qu'ils essayeraient de soigner. Bref, notre affolement est avant tout le résultat des progrès de la médecine et du fait que ces progrès, pour admirables qu'ils soient, nous désapprennent à mourir et érodent notre courage. Plus précisément, puisque la décision du confinement appartient au Gouvernement, le Gouvernement a pensé qu'il serait tenu pour responsable de tous les décès "évitables", de tous les gens qui seraient morts du Covid-19 parce que les services de réanimation n'auraient pas pu les prendre en charge. »
« Brusquement, toute la vie de la nation s'est mise à tourner autour des services de réanimation de nos hôpitaux, l'objectif suprême et éclipsant tous les autres est devenu d'éviter leur saturation. Ce qui est compréhensible, peut-être, mais pas raisonnable. […] Il est normal, il est bon que les médecins répugnent à l'idée de laisser mourir des gens qu'ils auraient pu sauver "s'il avaient eu plus de moyens". Mais il est anormal que les responsables politiques se mettent à raisonner comme des médecins et se laissent obnubiler par une seule chose : les "vies qui auraient pu être sauvées". Une telle manière de prendre des décisions est d'autant plus absurde qu'il y a et il y aura toujours des gens qui auraient pu être sauvés par la médecine "avec plus de moyens". Il y a et il y aura toujours des gens qui mourront "à cause des choix budgétaires", parce qu'il y aura toujours des choix budgétaires à faire. Les "besoins" (c'est-à-dire en fait les désirs, et en l'occurrence notre désir de vivre) sont illimités et les ressources limitées, telle est la loi d'airain de la condition humaine. En fait, chaque vote du budget de la nation peut être considéré comme une condamnation à mort pour un certain nombre de malades, présents ou futurs, car chaque vote du budget opère des arbitrages entre les différents biens que nous essayons de nous procurer avec nos ressources limitées, parmi lesquels la santé. La vraie différence avec la situation actuelle, c'est que d'habitude ces choix sont implicites. »
« Il est d'autant moins rationnel de se laisser obnubiler par les ressources actuelles des services de santé que, même si nous raisonnons en termes d'espérance de vie, même si nous considérons que la survie est un bien qui devrait avoir priorité sur tous les autres, la médecine n'est pas forcément la chose la plus importante. […] L'économie, c'est aussi "des vies". Le confinement induira une récession, et une récession ce sont des années de vies en moins pour un nombre indéterminé de personnes par la dégradation de leurs conditions de vie. Une récession aujourd'hui ce sont des ressources en moins demain, car même si le gouvernement ouvre actuellement en grand le robinet du déficit et de la dette, l'argent gratuit n'existe pas, tout finit par se payer. Donc ce seront des ressources en moins aussi pour financer toutes sortes d'investissements qui auraient pu "sauver des vies", y compris bien sûr des investissements dans le système de santé. »
« Nous nous sommes affolés lorsque nous nous sommes rendus compte que le nombre de cas graves allait dépasser notre capacité de les traiter. Ce qui nous est apparu comme insupportable, c'est l'idée de mourir alors que la médecine aurait pu nous sauver, c'est la perspective de voir les médecins trier parmi les malades ceux qu'ils essayeraient de soigner. Bref, notre affolement est avant tout le résultat des progrès de la médecine et du fait que ces progrès, pour admirables qu'ils soient, nous désapprennent à mourir et érodent notre courage. Plus précisément, puisque la décision du confinement appartient au Gouvernement, le Gouvernement a pensé qu'il serait tenu pour responsable de tous les décès "évitables", de tous les gens qui seraient morts du Covid-19 parce que les services de réanimation n'auraient pas pu les prendre en charge. »
« Brusquement, toute la vie de la nation s'est mise à tourner autour des services de réanimation de nos hôpitaux, l'objectif suprême et éclipsant tous les autres est devenu d'éviter leur saturation. Ce qui est compréhensible, peut-être, mais pas raisonnable. […] Il est normal, il est bon que les médecins répugnent à l'idée de laisser mourir des gens qu'ils auraient pu sauver "s'il avaient eu plus de moyens". Mais il est anormal que les responsables politiques se mettent à raisonner comme des médecins et se laissent obnubiler par une seule chose : les "vies qui auraient pu être sauvées". Une telle manière de prendre des décisions est d'autant plus absurde qu'il y a et il y aura toujours des gens qui auraient pu être sauvés par la médecine "avec plus de moyens". Il y a et il y aura toujours des gens qui mourront "à cause des choix budgétaires", parce qu'il y aura toujours des choix budgétaires à faire. Les "besoins" (c'est-à-dire en fait les désirs, et en l'occurrence notre désir de vivre) sont illimités et les ressources limitées, telle est la loi d'airain de la condition humaine. En fait, chaque vote du budget de la nation peut être considéré comme une condamnation à mort pour un certain nombre de malades, présents ou futurs, car chaque vote du budget opère des arbitrages entre les différents biens que nous essayons de nous procurer avec nos ressources limitées, parmi lesquels la santé. La vraie différence avec la situation actuelle, c'est que d'habitude ces choix sont implicites. »
« Il est d'autant moins rationnel de se laisser obnubiler par les ressources actuelles des services de santé que, même si nous raisonnons en termes d'espérance de vie, même si nous considérons que la survie est un bien qui devrait avoir priorité sur tous les autres, la médecine n'est pas forcément la chose la plus importante. […] L'économie, c'est aussi "des vies". Le confinement induira une récession, et une récession ce sont des années de vies en moins pour un nombre indéterminé de personnes par la dégradation de leurs conditions de vie. Une récession aujourd'hui ce sont des ressources en moins demain, car même si le gouvernement ouvre actuellement en grand le robinet du déficit et de la dette, l'argent gratuit n'existe pas, tout finit par se payer. Donc ce seront des ressources en moins aussi pour financer toutes sortes d'investissements qui auraient pu "sauver des vies", y compris bien sûr des investissements dans le système de santé. »
Cette bibliothèque, imaginée par le designer William Warren, peut se démonter pour être transformée…. en cercueil. Aussi est-elle jugé « éco-responsable » par le site Creapills. « C'est légèrement glauque mais c'est aussi très créatif, surtout pour souligner la durabilité d'un produit », commente Maxime Delmas. Vraiment ? De notre point de vue, un produit « durable », surtout un meuble, devrait survivre à son propriétaire. Dans l'idéal, il sera transmis d'une génération à l'autre. Dans le cas présent, on a plutôt affaire à un produit typique de la nouvelle économie circulaire, qui donnera bonne conscience à son propriétaire n'ayant pas d'autre horizon que sa propre existence.
L'UX 300e, la première voiture électrique de Lexus (dont on connaissait jusqu'à présent les modèles hybrides) s'appuiera sur un système de refroidissement par air pour limiter la surchauffe de la batterie. Celle-ci tiendra-t-elle le coup à long terme ? Le constructeur japonais promet qu'elle conservera sans problème au moins 70 % de sa capacité d'origine pendant dix ans ou un million de kilomètres, garantie à l'appui.
Un sextape filmée dans un magasin chinois d'Ikea – avec des clients en arrière-plan – circule sur Internet. À cette occasion, on apprend qu' « en 2015, un couple s'était filmé faisant l'amour dans une cabine d'un magasin de vêtements Uniqlo à Pékin ». Or, « diffusée sur internet, la vidéo était également devenue virale et le lieu était même devenu, un temps, une attraction pour certains chinois qui venaient s'y prendre en photo dans des positions suggestives ». Avec une « conséquence inattendue » : « quelques heures après la diffusion de la vidéo, la compagnie avait enregistré une hausse de sa cotation en bourse de 5 % à Hong Kong » !
Tout l'historique des manipulations a été reconstitué… Avec d'autant plus de facilité que les intervenants n'ont pas toujours été très discret : modification de la page via un compte à usage unique, connexion depuis un serveur de l'Assemblée nationale identifiable par son adresse IP… Le comble, c'est peut-être de voir un collaborateur de Lætitia Avia se prévaloir de cette qualité pour tenter d'en brosser un portrait plus élogieux. C'est raté !
Les conducteurs d'une Jaguar produite dans les années soixante-dix, quatre-vingt et quatre-vingt-dix peuvent désormais installer à bord de leur voiture les derniers gadgets à la mode : « les alertes trafic, le micro embarqué, la radio DAB +, le Bluetooth, le streaming musical, la navigation, l'intégration smartphone, l'écran 3,5 pouces et l'amplificateur 4 x 45 watts ». « Il faut compter 1200 livres sterling, soit 1350 euros au taux de change actuel pour équiper votre ancienne », précise Caradisiac. C'est le prix à payer pour une intégration parfaite dans le tableau de bord.
« Nous avons éplucher les notes techniques confidentielles mises à la disposition des concessionnaires », annoncent les journalistes de L'Argus. « À notre grande surprise », poursuivent-ils, « elles sont peu nombreuses ». « Il faut dire que la fabrication à l’usine de Dieppe ressemble davantage à du fait main qu’à de la production en grande série », expliquent-ils en forçant un peu le trait. « De plus », rappellent-ils, « en septembre 2019, le constructeur avait opéré des modifications sur certains véhicules avant leur livraison : changement de la visière de compteur, du cache moteur, du boîtier de connectivité multimédia, du support de refroidisseur d’air ainsi que reprogrammation de la radio ». Résultat : « l’A110 présente un carnet de santé sain même si quelques points sont à surveiller ». Visiblement, on est loin des déboires rencontrés, par exemple, par la Vel Satis peu après son lancement. Tant mieux !
« C'est une autre optique de l'informatique qui est visée ici » : « celle d'un outil totalement réapproprié par son utilisateur », annonce Mini Machines.
« La machine pourra […] être démontée, modifiée et l'ensemble des éléments qui la constitue sont totalement documentés » ; « les schémas de conception et les pilotes sont accessibles, ce qui permettra de se servir de l'engin comme d'une base évolutive vers d'autres composants. Si à l'avenir vous voulez changer la batterie, faire évoluer son stockage ou augmenter ses performances, cela sera donc parfaitement possible ».
La batterie ? Elle est « constituée de huit modules standardisés 18650 que l'on pourra modifier ». « Autre point fort » : « le duo mémoire et processeur sont montés sur un port SO-DIMM deux cents broches totalement documenté » ; « puisque le cœur de la machine n'est pas soudé à sa carte mère, il sera possible de le faire évoluer avec un nouveau module d'extension de son choix ».
En revanche, les performances ne seront pas de premier ordre : « on découvre […] une solution […] identique à ce que l'on peut trouver dans des TV-Box entrée de gamme » ; « des choix qui s'expliquent par la volonté de pouvoir partager les ressources et documentations des composants », « ce qui exclut des solutions plus haut de gamme pour le moment ».
De plus, cet appareil présente « des dimensions et un poids assez élevés pour un 12.5 pouces » ; « mais c'est la première conséquence de l'ouverture du dispositif ».
Quant au prix – 1300 dollars pour un PC quasiment prêt à l'emploi –, même si c'est « un résultat logique au vu de la confidentialité de l'objet et des choix internes », il fera fuir bien des acheteurs potentiels.
Cette initiative n'en est pas moins prometteuse. Selon Mini Mahciens, « Il en faut peu – et il s'agit probablement plus d'une question de financement que de compétences – pour proposer un engin totalement abouti et plus abordable ».
« La machine pourra […] être démontée, modifiée et l'ensemble des éléments qui la constitue sont totalement documentés » ; « les schémas de conception et les pilotes sont accessibles, ce qui permettra de se servir de l'engin comme d'une base évolutive vers d'autres composants. Si à l'avenir vous voulez changer la batterie, faire évoluer son stockage ou augmenter ses performances, cela sera donc parfaitement possible ».
La batterie ? Elle est « constituée de huit modules standardisés 18650 que l'on pourra modifier ». « Autre point fort » : « le duo mémoire et processeur sont montés sur un port SO-DIMM deux cents broches totalement documenté » ; « puisque le cœur de la machine n'est pas soudé à sa carte mère, il sera possible de le faire évoluer avec un nouveau module d'extension de son choix ».
En revanche, les performances ne seront pas de premier ordre : « on découvre […] une solution […] identique à ce que l'on peut trouver dans des TV-Box entrée de gamme » ; « des choix qui s'expliquent par la volonté de pouvoir partager les ressources et documentations des composants », « ce qui exclut des solutions plus haut de gamme pour le moment ».
De plus, cet appareil présente « des dimensions et un poids assez élevés pour un 12.5 pouces » ; « mais c'est la première conséquence de l'ouverture du dispositif ».
Quant au prix – 1300 dollars pour un PC quasiment prêt à l'emploi –, même si c'est « un résultat logique au vu de la confidentialité de l'objet et des choix internes », il fera fuir bien des acheteurs potentiels.
Cette initiative n'en est pas moins prometteuse. Selon Mini Mahciens, « Il en faut peu – et il s'agit probablement plus d'une question de financement que de compétences – pour proposer un engin totalement abouti et plus abordable ».
La gamme Mmydlink comprend des caméras, des capteurs de mouvement, des alarmes et d'autres appareils avec lesquels il était possible d'interagir jusqu'à présent via le service IFTTT. Ce qui ne sera plus la cas à partir du 1er décembre 2020. « La sanction est visiblement sans appel », constate Next Inpact. Le fabricant a publié la liste des produits affectés sans donner d'autre explication. Sans doute l'Internet des objets nous réservera-t-il régulièrement de telles déconvenues.
Twitter a été assigné en justice par quatre associations – l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), J'accuse, SOS-Racisme et SOS-Homophobie – qui lui reprochent son « inaction massive » face aux discours qu'elles réprouvent, notamment racistes. C'est-à-dire « anti-asiatiques, anti-arabes, anti-musulmans, anti-chrétiens, anti-roms, anti-noirs ». Y compris « anti-chrétiens » donc.
« En raison de la pandémie de coronavirus, les parents étrangers ont besoin d'une autorisation spéciale pour entrer en Ukraine, délivrée par Kiev sur demande de leur pays d'origine. Mais certaines de leurs ambassades ont "refusé" d'intervenir et "cette question n'est toujours pas réglée", a fait valoir la responsable. Il s'agit notamment de la France, où la GPA est interdite. L'Ukraine est une destination de plus en plus populaire pour des parents voulant pratiquer la GPA, notamment en raison de prix relativement bas, 28 000 euros en moyenne. Selon la loi ukrainienne, seuls les couples hétérosexuels mariés et reconnus comme infertiles peuvent en bénéficier. »
« Moritz Kütt et Alexander Glaser, spécialisés dans ces sujets du contrôle des armements, ont conçu un prototype basé sur un vénérable Apple IIe tout à fait standard mais équipé tout de même de deux cartes d'extension (en open source). »
« Pourquoi un tel retour en arrière ? Tout simplement pour limiter sinon éviter tout risque de manipulations, malheureuses ou intentionnées. Un matériel plus contemporain pourrait receler un logiciel espion pour obtenir plus d'informations que nécessaire. En face, chez le contrôlé, on pourrait vouloir trafiquer les données envoyées en s'appuyant sur des failles du matériel informatique de mesure. »
« Mais avec un Apple IIe, et plus spécialement son processeur 6502, les capacités de triche sont considérablement réduites voire inexistantes. L'architecture et le fonctionnement de la puce sont archi-connus et, à la date de sa conception, il n'est guère plausible qu'elle ait été pourvue de portes dérobées, de mécanismes cachés, et a fortiori dans l'optique d'être utilisés dans ce contexte de contrôles de démilitarisation. »
« En outre, ce processeur ne contient que 3 500 transistors (moins que n'en contient une ogive nucléaire) et ses capacités de traitement (1 MHz) n'en font pas un foudre de guerre s'il s'agit de se lancer dans des calculs complexes et cachés. »
« Moritz Kütt et Alexander Glaser ont constaté que cette plateforme était tout à fait apte à conduire ces tests d'une manière fiable, tout en instaurant un climat de confiance entre les parties impliquées. Ils proposent d'aller plus loin en développant un ordinateur dédié à cette seule fonction de contrôle – donc plus dépouillé encore qu'un Apple IIe – et toujours avec le 6502 comme base. »
« Pourquoi un tel retour en arrière ? Tout simplement pour limiter sinon éviter tout risque de manipulations, malheureuses ou intentionnées. Un matériel plus contemporain pourrait receler un logiciel espion pour obtenir plus d'informations que nécessaire. En face, chez le contrôlé, on pourrait vouloir trafiquer les données envoyées en s'appuyant sur des failles du matériel informatique de mesure. »
« Mais avec un Apple IIe, et plus spécialement son processeur 6502, les capacités de triche sont considérablement réduites voire inexistantes. L'architecture et le fonctionnement de la puce sont archi-connus et, à la date de sa conception, il n'est guère plausible qu'elle ait été pourvue de portes dérobées, de mécanismes cachés, et a fortiori dans l'optique d'être utilisés dans ce contexte de contrôles de démilitarisation. »
« En outre, ce processeur ne contient que 3 500 transistors (moins que n'en contient une ogive nucléaire) et ses capacités de traitement (1 MHz) n'en font pas un foudre de guerre s'il s'agit de se lancer dans des calculs complexes et cachés. »
« Moritz Kütt et Alexander Glaser ont constaté que cette plateforme était tout à fait apte à conduire ces tests d'une manière fiable, tout en instaurant un climat de confiance entre les parties impliquées. Ils proposent d'aller plus loin en développant un ordinateur dédié à cette seule fonction de contrôle – donc plus dépouillé encore qu'un Apple IIe – et toujours avec le 6502 comme base. »
« Le 7 mai 2019, un F-35B de l'US Marine Corps (USMC) avait été sérieusement endommagé au niveau de son train d'atterrissage, à la suite d'une collision avec un faucon alors qu'il s'apprêtait à décoller. […] Exactement un an plus tard, l'un des sept avions de transport A400M « Atlas » de la 31e escadre de l'Ejercito del Aire (force aérienne espagnole) a connu un incident similaire alors qu'il venait de décoller de la base aérienne de Saragosse pour un vol d'entraînement. »
« Si cet A400M a pu se poser sans problème, les dégâts causés par cette rencontre fortuite avec un volatile paraissent assez importants. Selon des images publiés sur les réseaux sociaux, on peut voir un trou béant (avec des plumes et des traces de sang) d'environ un mètre de long dans le fuselage de l'avion, au niveau de son train arrière droit. »
« Pour rappel, les matériaux composites (à base de fibres de carbone) – sensibles aux chocs avec des oiseaux – représentent 30% du fuselage d'un A400M. »
« Quant à l'oiseau impliqué dans cette collision, il pourrait s'agir d'une cigogne ou d'un vautour, dans la masse peut atteindre les 6,5 kilos. Ce qui, avec la vitesse de l'impact, est cohérent avec les dégâts observés. »
« Si cet A400M a pu se poser sans problème, les dégâts causés par cette rencontre fortuite avec un volatile paraissent assez importants. Selon des images publiés sur les réseaux sociaux, on peut voir un trou béant (avec des plumes et des traces de sang) d'environ un mètre de long dans le fuselage de l'avion, au niveau de son train arrière droit. »
« Pour rappel, les matériaux composites (à base de fibres de carbone) – sensibles aux chocs avec des oiseaux – représentent 30% du fuselage d'un A400M. »
« Quant à l'oiseau impliqué dans cette collision, il pourrait s'agir d'une cigogne ou d'un vautour, dans la masse peut atteindre les 6,5 kilos. Ce qui, avec la vitesse de l'impact, est cohérent avec les dégâts observés. »
« Avec la version 2004 de Windows 10 […], Microsoft ne fournit plus de nouvelle version 32 bits de son système d'exploitation à ses partenaires », rapporte Clubic. Autrement dit : « les nouveaux ordinateurs lancés par les constructeurs devront obligatoirement embarquer une version 64 bits de Windows 10 ».
En revanche, « pour les utilisateurs tournant encore sur des versions 32 bits de Windows 10, Microsoft confirme qu'ils bénéficieront toujours des mises à jour de sécurité et de fonctionnalités » ; « le support sera assuré durant plusieurs années et une version 32 bits sera également disponible au téléchargement en cas de restauration ».
« Microsoft est le dernier éditeur à faire le grand saut vers le 64 bits », souligne Mathieu Grumiaux ; d'après lui, même « les différentes distributions Linux commencent également à abandonner le support de l'architecture ».
En revanche, « pour les utilisateurs tournant encore sur des versions 32 bits de Windows 10, Microsoft confirme qu'ils bénéficieront toujours des mises à jour de sécurité et de fonctionnalités » ; « le support sera assuré durant plusieurs années et une version 32 bits sera également disponible au téléchargement en cas de restauration ».
« Microsoft est le dernier éditeur à faire le grand saut vers le 64 bits », souligne Mathieu Grumiaux ; d'après lui, même « les différentes distributions Linux commencent également à abandonner le support de l'architecture ».
Une publication de France Stratégie (le laboratoire d'idées du Gouvernement) bouscule certaines idées reçues. De fait, « le patrimoine retraite des femmes est supérieur de près de 7 % en moyenne à celui des hommes », constatent Clément Dherbécourt, Gautier Maigne et MathildeViennot. En effet, expliquent-ils, « leur espérance de vie plus élevée compense un niveau de pension plus faible et leur donne accès beaucoup plus souvent à la réversion ». Cela étant, évidemment, « en équivalent viager, leur retraite est cependant inférieure à celle des hommes : elles reçoivent en moyenne annuellement 18 000 euros jusqu'à leur mort, contre 20 100 pour les hommes ».
On dirait bien. Ce secteur d'activité (chaussures, vêtements, appareils électroménagers, smartphones, vélos, meubles, etc.) concentrerait chez nous 0,47 % des emplois, selon Right to repair. De ce point de vue, notre pays serait « le mieux classé », loin devant la Belgique, par exemple, où cette proportion ne serait que de 0,2 %. L'organisation n'en regrette pas moins que cette activité soit aujourd'hui très marginale, dans l'Hexagone comme ailleurs. Du moins, dans les pays riches, ajouterons-nous, la situation étant vraisemblablement différente là où les salaires sont beaucoup plus faibles, et donc les réparations plus rentables.
Facebook ne se contente pas d'entraver la communication de Génération identitaire, qu'il pourrait éventuellement priver de compte en prétendant que cette organisation contredit ses propres "valeurs", comme on dit aujourd'hui. Mais c'est le fait même de la citer qui devient parfois impossible sur le réseau social. Si notre publication y est acceptée, cela relativisera évidemment ce constat, qui n'en est pas moins étayé par divers témoignages, bien au-delà de ceux rapportés par des médias engagés comme Valeurs actuelles.