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Rendre potentiellement dangereuses voire inopérantes des caméras de surveillance quatre ans seulement après la fin de leur fabrication (alors que certains clients les auront peut-être achetées un peu pus tard), c'est navrant, et cela mérite d'être dénoncé. Mais s'agit-il pour autant d'un cas d'« obsolescence programmée », comme l'affirme Clubic, en titre d'un article signé Mallory Delicourt ? Au sens strict, cela suppose un sabotage délibéré. Dans le cas présent, le fabricant pêche plutôt par passivité. Il n'en reste pas moins essentiel d'exiger un meilleur support. Que les clients se montrent vigilants !