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Gruau aménage des véhicules pour les transformer selon les besoins de ses clients. L'entreprise se porte bien mais il y a des freins à son internationalisation. Comme l'explique son président, Patrick Gruau : « Les coûts logistiques élevés rendent difficiles les exportations. Et chaque pays a ses spécificités : vous ne vendrez pas un véhicule funéraire basé sur un utilitaire au Royaume-Uni alors que c’est la majorité du marché en France. De même, les bennes en Italie et en Allemagne doivent pouvoir se déverser sur le côté, alors que le marché en France pour ces tri-bennes est d’à peine 250 unités par an. »