4206 shaares
« Lorsque la réalité se confronte au dogme, c'est tout un système victimaire qui s'effondre. L'affaire Pépita est la preuve en image et en son de cette idéologie haineuse qui enferme les personnes en ne leur laissant pas d'autre choix que d'être victime. »
« Le mot "racisé" pour désigner tout individu non blanc est le socle d'une manipulation essentialiste qui ne prend pas en compte l'existence. […] Avec les wokes, lorsque vous êtes noir, vous êtes par essence victime. Pour le mouvement indigéniste et racialiste, il en est fini de l'existence, de la liberté d'être, de votre réalité, vous êtes pris au piège de votre peau. Créer une communauté de racisés permet d'asseoir un socle, une masse d'individus, inféodés à la "cause". En nous coupant du réel, la colonisation et la domination de la pensée woke des universités américaines sont un danger ultime pour nos sociétés. La haine est tout au bout. »
« Ces images sont choquantes. Mais, je comprends aussi que le montage est fait dans une finalité précise : faire de Pépita une victime pour nourrir des idéologies qui nous tuent. Est-ce de cela dont nous avons besoin en ce moment ? Ne pas replacer les images dans le contexte, ne pas tenter de comprendre les relations que ses personnes avaient entre elles, leur complicité, faire fi de l'humour, (concept étranger aux wokes, d'ailleurs), ne pas chercher non plus à parler à la principale intéressée est malhonnête et violent. »
« Certes, il y a eu du racisme, il y en a encore. […] Les choses évoluent lentement, mais elles évoluent et ce n'est pas crisper la société et faire croire aux jeunes qu'ils sont des victimes de naissance dans un État qui les déteste, en nourrissant frustrations, haines, colères donc violence que les choses vont s'arranger. »
« Parce que Pépita revendique de ne pas être assignée à un rôle de victime, elle n'a pas d'autre choix que d'être mise dans la case de "traître à la cause". Voilà, la haine, l'intolérance. Pépita est esclave de sa peau d'où doit découler une pensée prédéfinie. Toute liberté, toute émancipation est impossible. […] Depuis qu'elle a dit qu'elle n'était pas une victime Pépita est traitée de "négresse de maison" ou de "Bounty". Il est grand temps de s'attaquer à ce racisme abject d'une violence rare. »
« Le mot "racisé" pour désigner tout individu non blanc est le socle d'une manipulation essentialiste qui ne prend pas en compte l'existence. […] Avec les wokes, lorsque vous êtes noir, vous êtes par essence victime. Pour le mouvement indigéniste et racialiste, il en est fini de l'existence, de la liberté d'être, de votre réalité, vous êtes pris au piège de votre peau. Créer une communauté de racisés permet d'asseoir un socle, une masse d'individus, inféodés à la "cause". En nous coupant du réel, la colonisation et la domination de la pensée woke des universités américaines sont un danger ultime pour nos sociétés. La haine est tout au bout. »
« Ces images sont choquantes. Mais, je comprends aussi que le montage est fait dans une finalité précise : faire de Pépita une victime pour nourrir des idéologies qui nous tuent. Est-ce de cela dont nous avons besoin en ce moment ? Ne pas replacer les images dans le contexte, ne pas tenter de comprendre les relations que ses personnes avaient entre elles, leur complicité, faire fi de l'humour, (concept étranger aux wokes, d'ailleurs), ne pas chercher non plus à parler à la principale intéressée est malhonnête et violent. »
« Certes, il y a eu du racisme, il y en a encore. […] Les choses évoluent lentement, mais elles évoluent et ce n'est pas crisper la société et faire croire aux jeunes qu'ils sont des victimes de naissance dans un État qui les déteste, en nourrissant frustrations, haines, colères donc violence que les choses vont s'arranger. »
« Parce que Pépita revendique de ne pas être assignée à un rôle de victime, elle n'a pas d'autre choix que d'être mise dans la case de "traître à la cause". Voilà, la haine, l'intolérance. Pépita est esclave de sa peau d'où doit découler une pensée prédéfinie. Toute liberté, toute émancipation est impossible. […] Depuis qu'elle a dit qu'elle n'était pas une victime Pépita est traitée de "négresse de maison" ou de "Bounty". Il est grand temps de s'attaquer à ce racisme abject d'une violence rare. »