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« Il existe, depuis le XXe siècle, certaines méthodes afin de forcer à la surconsommation », affirme Valentine Costantini, le 29 octobre 2021, sur le site Actualitté, manifestement inspirée par la lecture d'un ouvrage intitulé Pour une écologie du 99% – 20 mythes à déboulonner sur le capitalisme.
Parmi ces méthodes, poursuit-elle, il y a « ce que Theurillat-Cloutier décrit comme le "sabotage" des produits, avec une notion connue de beaucoup : celle de l'obsolescence programmée ». Au moins en propose-t-elle une définition sans ambiguïté.
« Cette technique n'a […] rien de nouveau, et existe dans tous les secteurs », affirme-t-elle ensuite.
Cette conviction n'a jamais été étayée, mais cet article en illustre tout l'intérêt : laisser penser que « le problème de la surconsommation ne dépend que très peu des choix des consommateurs eux-mêmes ».
Le message est effectivement très clair : selon Valentine Costantini et, vraisemblablement, selon les auteurs du livre cité, « la culpabilité environnementale doit changer de camp : ce sont les entreprises capitalistes qui prennent les grandes décisions économiques, pas les consommateurs ». Dont acte.
Parmi ces méthodes, poursuit-elle, il y a « ce que Theurillat-Cloutier décrit comme le "sabotage" des produits, avec une notion connue de beaucoup : celle de l'obsolescence programmée ». Au moins en propose-t-elle une définition sans ambiguïté.
« Cette technique n'a […] rien de nouveau, et existe dans tous les secteurs », affirme-t-elle ensuite.
Cette conviction n'a jamais été étayée, mais cet article en illustre tout l'intérêt : laisser penser que « le problème de la surconsommation ne dépend que très peu des choix des consommateurs eux-mêmes ».
Le message est effectivement très clair : selon Valentine Costantini et, vraisemblablement, selon les auteurs du livre cité, « la culpabilité environnementale doit changer de camp : ce sont les entreprises capitalistes qui prennent les grandes décisions économiques, pas les consommateurs ». Dont acte.